The Multiversity

La servante d’Ishtar apportait à Samara, outre sa beauté, une expérience certaine dans le domaine du sexe. Elle n’avait clairement pas affaire à une débutante, et Samara soupirait de plaisir, caressant les cheveux de la femme, tout en sentant cette dernière glisser ses doigts entre ses cuisses, les enfonçant dans son sexe. Elle soupirait longuement, continuant à l’embrasser, sa langue se faufilant dans la bouche tendre et parfumée de la femme., et commença à promener sa main sur les parties intéressantes de l’humaine : une main sur l’un de ses seins, le pressant entre ses griffes, et une autre allant se poser sur ses fesses. C’est ça qui était bien chez les humaines : elles étaient tellement exotiques ! Une peau lisse, fine, tendre, douce... En Enfer, on ne trouvait pas autant de beauté. Les succubes n’étaient pas très nombreuses, par rapport à l’essentiel des démons peuplant cette dimension infernale.

Aucune des deux femmes ne parlait, Samara se contentant de l’embrasser. Elle était, sur le coup, moins gourmande qu’Ishtar, mais il fallait aussi dire que Samara avait fait l’amour de manière intensive pendant deux semaines. Son insatiable libido était donc plutôt bien apaisée, et une seule femme, surtout une belle femme expérimentée, lui suffisait amplement pour le moment. Elle l’embrassait avec talent, leurs langues s’entremêlant. L’humaine mouillait de plaisir, et l’un des doigts de l’Archimage démoniaque s’enfonça dans l’anus de cette dernière, le perforant lentement. Elle sentit l’humaine frémir un peu à ce contact, mais le contact, pour autant, ne se rompit pas. Elles continuèrent à s’embrasser, respirant par le nez, la queue démoniaque de Samara venant glisser sur les jambes de la femme, s’enroulant gracieusement autour. Elle continuait à profiter de son corps, jusqu’à entendre des bruits.

Se retournant, Samara se tenait sur le corps de la femme, et continuait à tendrement l’embrasser, relevant alors la tête pour voir une espèce de fée approcher. Elle avait perdu de sa splendeur, et semblait désespérée. Ses ailes étaient tristes, et elle était solidement attachée, retenue par des chaînes et des entraves magiques qui l’empêchaient de fuir. Sentant les mains de la servante presser les fesses de la démone, caresser sa queue, et sa bouche s’attarder sur sa nuque, Samara se surprit à mouiller encore, tout en observant le corps d’Ishtar. La propriétaire des lieux semblait ravie, et s’attaqua à la fée, lui faisant un cunni’ ensanglanté. La fée gémit de douleur, remuant faiblement, et Samara continuait à observer la scène, avant d’embrasser à nouveau la servante, et de s’écarter d’elle.

De sa démarche gracieuse et sensuelle, la démone ne tarda pas à rejoindre Ishtar, et se glissa dans son dos, embrassant ses épaules. Elle n’était spécialement pas intéressée par le sang de cette fée. Samara, contrairement à Ishtar, visiblement, n’avait aucun gène de vampirisme en elle. Le sang ne l’attirait que pour faire des potions, mais, en l’occurrence, son esprit était occupé par bien autre chose que faire des potions. Elle embrassa ainsi les épaules de la femme, puis sa nuque, sans l’empêcher de boire, de satisfaire son estomac, et glissa l’un de ses doigts dans le fondement de la femme, le remuant en elle.

« Hum... Te voir te régaler est un régal pour moi, Ishtar. Tu dégages... Tant de charme... Tu m’excites tellement... »

Samara était sincère, le prouvant en embrassant solidement la peau noirâtre de la femme. Elle lui faisait une sodomie avec un doigt, car elle avait clairement compris que la passion de la femme-dragon allait pour ce genre d’activité sexuelle.

Excitée, Samara enfonçait son doigt dans le fondement d’Ishtar. Son cul avait tellement été utilisé qu’elle n’avait aucune difficulté à y glisser un simple doigt. Il s’agissait juste d’un accompagnement sexuel pendant qu’Ishtar prenait son repas. La dragonne semblait beaucoup se plaire à boire le sang de la fée, dont il était difficile de déterminer si elle souffrait uniquement, ou si elle ne ressentait pas autre chose. Samara savait combien les émotions et les sentiments pouvaient être contradictoires entre eux. On finit par ramener la fée, et les deux femmes échangèrent un long et sulfureux baiser. Cette dragonne, cette souveraine, était superbe. Étonnante, surtout. Samara ne s’était pas franchement attendue à ça en entrant dessus. Elle était aussi perverse que redoutable, aussi belle que dangereuse, aussi sauvage que sensuelle. Mijak avait heurté une femme qui aurait pu être leur Impératrice, si elle ne restait pas sur son caillou volcanique. Il était évident que les Infernois ne se rendraient pas si facilement, et continueraient à se battre, même après la disparition de leur souveraine. Les Mijakiens n’avaient pas pissé contre le vent, c’était contre un véritable ouragan. Le seul moyen de prendre Infernis ne se résumait pas à tuer sa souveraine, mais à massacrer tout le monde. Samara ne doutait pas qu’Mijak, avec ses légions de démons et de monstres, en avait les moyens, mais ce serait du gâchis. C’était bien pour ça que Samara était là.

Le baiser se rompit un peu trop vite à son goût, même si elle était sexuellement rassasiée. Tout cela, c’était de la gourmandise. Ishtar appela ensuite ses servantes. Samara vit un curieux homme, très efféminé. Il lui apporta ses vêtements, complètement soumis. Sûrement un eunuque, ou quelqu’un de castré. Elle le regarda légèrement. Il était plutôt beau, mais il restait un mâle. Elle vit alors une batterie de superbes femmes entrer. Elles avaient des vêtements en latex très attirants, et l’Archimage comprit rapidement que les mannequins d’Ishtar étaient des mannequins vivants. Curieux... Mais pas inintéressant. Ishtar devait être une femme terriblement riche, pour s’offrir un tel luxe, et de tels fantasmes. Ishtar s’habilla de manière très sensuelle, et se retourna vers son invitée.

« Vous êtes prête, Samara ? Il est tant de retrouver ces mâles de l'empire. »

Samara pencha la tête, et envoya un message télépathique aux deux démones qui l’avaient accompagné, afin qu’elles aillent prévenir le campement, et organiser une réunion. Ce fut rapide, le temps d’un battement de cils, et la queue de Samara se mit ensuite à remuer d’elle-même, venant caresser les joues du serviteur, tandis que les vêtements dé placèrent d’eux-mêmes, flottant dans les airs.

« Patientez encore un peu, ma belle... Il existe encore des envies que je ne pouvais décemment pas soulager sur vous... »

Mais, sur un mâle, c’était autre chose. Sa queue vint lentement s’enrouler autour de son cou, pour éviter que sa tête ne bouge, et elle s’approcha, le bout de sa queue se mettant à glisser le long de son dos, se faufilant sous sa soubrette pour caresser sa peau douce et imberbe. On avait probablement du la travailler au laser, ou d’autres techniques similaires, avant de lui retirer tous ses poils. Les gants de Samara se remirent automatiquement autour de ses bras, et elle attrapa les cheveux de l’homme, afin de caler son intimité contre ses lèvres. Plissant alors les yeux, Samara força un peu, et se mit à uriner dans sa bouche. Elle urina assez longuement, pendant une bonne minute, un flux continuel de pisse s’enfonçant entre les lèvres de l’homme, sa main lui empoignant fermement les yeux.

« Haaa... C’est si bon ! »

Elle continua encore un peu, remuant son bassin, puis libéra l’homme, sa queue revenant à sa position normale. Les derniers vêtements de Samara se mirent alors en place, et elle secoua ses cheveux, un léger sourire sur les lèvres. Elle embrassa brièvement Ishtar.

« Vous avez de très bons récipients... Il est temps d’y aller. Mais ne vous attendez pas à croiser des Mijakiens. C’est l’autre sexe qui nous accueillera. »

Les deux femmes quittèrent ainsi le palais, puis Inferis, la queue de Samara continuant à remuer de droite à gauche, comme d’habitude. Ishtar guida Samara, cette dernière étant encore un peu perdue dans cette grande ville souterraine. Elles retrouvèrent les rivières volcaniques, avec ces gisements, tellement précieux pour Mijak. Elles sortirent donc, quittant les protections d’Inferis, pour avancer sur un sentier volcanique, en pierres noirâtres, se rapprochant des lignes mijakiennes. Un grand camp. Elles n’allaient toutefois pas y rentrer, car on pouvait apercevoir, devant, une grande table. La scène était plutôt insolite, car l’endroit était assez venteux, mais les Mijakiens tenaient à respecter les coutumes diplomatiques, et à faire cette négociation hors de leurs lignes, pour qu’on ne pense pas à un piège.

Samara avançait en première. Autour de la table, les montures des Mijakiennes attendait. Il y avait un énorme cerbère dont du feu semblait continuellement brûler dans ses gueules aux dents immenses et tranchantes. Chaque tête avait deux yeux rouges saignants. Le cerbère était retenu à chaque tête par d’énormes chaînes en adamantium. Il était énorme, pour un cerbère, semblant tout droit sorti des Enfers. Outre le cerbère, il y avait également plusieurs araignées géantes, particulièrement repoussantes. Elles étaient noirâtres, et des guerrières se tenaient dessus. Il s’agissait de séduisantes elfes noires, des Drow. Elles appartenaient à un clan qui était contrôlé par Mijak. Les araignées restaient en retrait.

La table était rectangulaire. Samara s’avança, et fit les présentations à Ishtar, histoire qu’elle sache qui était qui. Sur un gros siège, au centre, il y avait Nettila. La démone était habituellement ambassadrice à Tekhos, un poste difficile, mais, compte tenu de la circonstance, elle avait été rappelée par le Conseil pour représenter Mijak. Elle était l’ambassadrice officielle d’Mijak ici, sa signature représentant l’Empire. C’était donc une femme plutôt importante.

A sa droite, il y avait une magicienne, Alextrasa, qui avait été l’une des formatrices de Samara. Elle adorait le feu, étant une pyromancienne de génie. A sa gauche, il y avait une autre démone, que Samara connaissait plutôt bien, car c’était elle qui était responsable de sa présence ici : Kaileesha. La belle démone était une redoutable guerrière venant des profondeurs des Enfers, et qui servait l’un des plus influents conseillers impériaux, Emhyr Var Emreis, dont le frère était plutôt connu d’Ishtar, puisqu’il s’agissait du Maréchal Coehoorn. Kaileesha représentait donc directement Coehoorn. C’était une militaire.

Outre ces trois femmes, il y avait également, sur la table, plusieurs succubes, dans de courtes tenues rouges. Elles s’allongeaient lascivement sur les rebords de la table. Le divertissement. Il y avait également des croissants, des petits pains chauds, et des boissons. Et, enfin, pour parfaire le tableau, sur une chaise, à côté de Kaileesha, il y avait une femme dans une belle tenue bleue : Alice Korvander, Princesse de Sylvandell. Elle portait une belle petite tenue bleue, de robe noble qui la rendait très attirante. Elle était la fille de Tywill Korvander, et représentait Sylvandell. Assez nerveuse, évitant surtout de regarder derrière elle pour voir les abominables araignées, elle buvait son café. A côté d’elle, il y avait, dans une tenue très légère, Nyla, sa garde du corps, un Commandeur.

Samara alla s’asseoir devant ces femmes, et, une fois les civilités passées, Nettila se mit à parler.

« L’Empire vous présente officiellement ses excuses pour son agression. En vertu de nos accords, et, à titre de dédommagement, nous vous avons fourni mille esclaves. Comme vous avez déjà du le noter, ce sont des travailleurs endurcis. Je ne vous cache pas qu’il y a parmi eux quelques prisonniers, même si les barons ayant été chargés de collecter les esclaves nous ont assuré du contraire. »

C’était une manœuvre classique. Les succubes se déplaçaient lentement sur la table, offrant la vue de leurs fesses.

« L’Empire, reprit Nettila, souhaiterait pouvoir ainsi engager des relations constructives avec nous, et qui seraient profitables aux deux parties. »

La démone se tut alors. La Princesse observait toutes ces femmes rapidement, avec ses yeux. La pomme était très loin de l’arbre. Elle n’avait rien à voir avec Tywill, un homme qui, par sa forte carrure, était facilement reconnaissable. Elle était discrète, timide, semblant aussi fragile qu’une branche d’olivier. Le constat était troublant. C’était la première fois que Samara voyait ce fameux « Joyau », et elle comprenait mieux pourquoi les Sylvandins affublaient leur Princesse d’un tel surnom. C’était à croire que les Dieux, frustrés de voir à quel point ils avaient physiquement loupé Tywill, avaient décidé de se rabattre sur sa fille. Elle serait, soit une potiche, soit une grande souveraine. Quand on avait une telle beauté, il n’y avait pas de juste milieu.

Alice n’avait pas assisté à la campagne d’Infernis. Elle n’avait pas tenu à y aller, et, de manière générale, son père préférait la conserver à Sylvandell, afin qu’elle puisse gérer le royaume en son absence. Elle avait ainsi appris l’échec de la campagne quand son père était rentré, avec de nombreux cadavres sur les bras. La Princesse n’avait rien dit, sachant qu’il ne valait mieux pas embêter son père après un échec. Infernis avait été prise, mais la dirigeante s’était échappée, et les Mijakiens avaient été déboutés. Conformément à la politique impériale, Mijak avait envoyé des renforts, en faisant appel à de puissants démons, et avait opté pour une approche diplomatique, à laquelle Sylvandell, en raison de son rôle actif durant la campagne, avait été mêlée, sur demande des Infernois. Plusieurs Mijakiens étaient venus, dont Nettila, qui avait été reçue par Tywill, Alice, et plusieurs Commandeurs. Elle avait demandé aux Sylvandins qu’Alice les accompagne, et cette dernière avait accepté. Tywill avait bougonné, pestant au sujet de la dragonne, mais n’avait pas été contre l’idée que sa fille s’affirme. Cette dernière avait rejoint la capitale impériale, le temps que la délégation parte. Elle en avait profité pour se renseigner sur Infernis, à l’aide de la documentation figurant dans la bibliothèque impériale, et s’était détendue au harem de Mélinda, son amie vampirique. Elle avait passé de très belles semaines en compagnie de Mélinda, et de ses multiples « protégées », comme elle les appelait.

Elle se trouvait maintenant devant Infernis, dans sa tenue, devant un énorme volcan. Infernis n’était pas un endroit où elle avait envie de passer ses vacances. Le cortège, avec ses innombrables esclaves, essentiellement des prisonniers de guerre selon Alice, avait du traverser des étendues glaciales très inhospitalières, avant de rejoindre le camp de guerre. Elle avait vu les horribles montures de guerres, et les terrifiantes armes de siège des Mijakiens. On ne s’était pas contentés de simples beffrois ou trébuchets ; il y avait des catapultes permettant de balancer des loups-garous, d’énormes balistes, et de terrifiants lance-pieux. Mijak avait déployé l’artillerie lourde, justifiant en ce sens son titre d’« Empire démoniaque ». Elle avait même vu les chars aux plaques d’acier, qui avaient des tonneaux remplis d’explosifs. La Princesse était restée dans sa tente, lisant les livres qu’elle avait emporté, jusqu’àç ce que la réunion s’organise.

Maintenant qu’on y était, dire qu’elle était nerveuse était un euphémisme. Elle n’avait encore jamais assisté à des négociations aussi importantes. Les Infernois n’étaient certes pas des Nexusiens, mais l’enjeu était de taille. Les riches gisements naturels intéressaient l’Empire, afin d’augmenter leur rendement d’armes. Ce genre de gisements naturels était rare sur Terra. Les Mijakiens avaient tenu à montrer qu’il était préférable de négocier, en montrant à ces arrogantes Infernoises qu’ils avaient potentiellement la puissance de raser leurs tours. Alice se tenait donc assise, lorsqu’Ishtar vint, en compagnie de Samara. Deux belles femmes. Nettila entama rapidement la conversation, rappelant toutes les concessions faites par Mijak. Ishtar, de son côté, avait amené contre elle l’une des succubes de Nettila, embrassant ses seins, la doigtant volontiers, faisant gémir cette dernière, qui se blottissait contre le corps de la femme.

« Rejoindre l'empire donc ?... Hmmm... Pourquoi pas, en effet... Surtout que les richesses de mon royaume sont des plus... magnifiques. Adamantium, obsidienne de haute qualité... En passant par les rubis, améthystes, diamants, cobalt volcanique et autres matériaux bruts que mes hauts-fournaux transforment en produit de qualité supérieure... ce microcosme renferme aussi de nombreux arbres spéciaux qui font une sève avec laquelle nous faisons le latex le plus pur qui soit, sans parler de notre science du tannage et de la joaillerie. Je peux partager cela, en effet... »

Voilà qui était encourageant ! Alice commençait à se dire que cette discussion serait moins houleuse que prévue, d’autant plus qu’Ishtar semblait se faire plaisir avec la succube. Nettila ne dit rien sur le coup, et Ishtar repoussa la succube, avant de se relever, et de faire le tour de la table... Pour se mettre à caresser la tête d’Alice. Cette dernière eut peur, sur le coup, qu’elle ne cherche à la tuer, mais se détendit, en entendant cette dernière parler.

Elle embrassa encore la succube avant de doigter doucement la succube en léchant entre les deux seins de la créature infernale. La belle Ishtar dégustait cette créature sans se priver et visiblement elle se faisait beaucoup de plaisir. Embrassant encore cette petite démone de moindre importance, elle finit par la pousser pour la remettre sur la table. Ishtar se releva et marcha sur la table jusqu'à aller devant Alice.

« Vous êtes magnifique malgré votre nature humaine et je vois que votre tenue met votre glabre à l'honneur. Il ne tient donc qu'à vous de conclure cet entente...
-  M-Merci... »

Mais que voulait-elle dire par là ? La dragonne s’écarta alors, et commença à se déshabiller. Alice la vit retirer son boxer, révélant un petit string, qu’elle écarta. Elle rougit en voyant l’intimité de la dragonne, avec plusieurs piercings. A quoi jouait-elle ? Elle ne tarda pas à avoir la réponse :

« Prodiguez-moi un orgasme... Là maintenant, sur cette table, aux yeux de tout le monde... Je lèverais la malédiction que j'ai lancé sur votre con de père et... Je vous offrirais le partage des richesses de ce monde en échange de mon indépendance politique... Ce n'est pas cher payé, non ? »

Elle lui caressait la tête, son intimité caressant presque le nez de la Princesse, qui était rouge, confuse, ne s’attendant pas du tout à ça. Ishtar lui promit que ce serait délicieux, et Alice se racla la gorge.

« Je... Et bien, c’est... Inattendu... »

Elle n’eut pas le temps d’ajouter quoi que ce soit qu’elle sentit le regard de Samara, la démone rouge, poser sur le sien. Une vive chaleur se mit alors à résonner en elle, et elle se mit à remuer sur son siège. Elle regarda les autres démones, mais savait, par avance, qu’un tel spectacle ne les dérangerait pas. La pudeur n’existait pas vraiment chez les démons. Alice s’éclaircit la gorge.

« Inattendu, mais pas inintéressant... » rajouta-elle.

La Princesse embrassa le haut de la jambe d’Ishtar, près de son aine, caressant avec ses mains gantées sa peau sombre. Elle lui lécha tendrement la peau, savourant cette peau douce et chaude, et approcha ensuite ses lèvres de l’intimité d’Ishtar, donnant quelques coups de langues, avant de se redresser.

« Allongez-vous sur la table... » suggéra-t-elle.

Alice se mit également dessus, à quatre pattes, et se glissa entre les jambes d’Ishtar, avant de lécher son intimité, fermant les yeux. Dans son dos, l’une des succubes vint poser ses mains sur les fesses de la Princesse, se mettant à tendrement les pétrir entre ses doigts. La Princesse se mit à pousser des gémissements de plaisir, savourant ce contact, ce doigté délicat et sensuel.

Entre les jambes de l’Infernoise, Alice avait les yeux clos, et léchait l’intimité de cette dernière. Sa langue glissait sur les piercings de cette dernière, un contact assez curieux et inattendu, pour elle qui avait plutôt l’occasion de lécher des intimités propres, imberbes, et sans ces anneaux de métal. Ce n’était pas dérangeant, non, juste inattendu. Elle léchait donc, posant ses mains sur ses cuisses, gémissant silencieusement, frissonnant en sentant la main d’Ishtar sur sa tête, pressant cette dernière contre ses cuisses, l’immobilisant. Elle entendait du bruit autour d’elle, mais était coincée entre ses jambes, ne pouvant pas tourner la tête. Une position chaude, délicieuse, mais aussi un peu frustrante. La langue de la Princesse continuait à remuer rapidement, s’enfonçant dans la fente d’Ishtar, cette redoutable souveraine. Alice, en sentant sa mouille, se rappelait encore la colère de son père quand on lui avait dit que l’Empire négocierait, et que la présence des Sylvandins était nécessaire. Il avait été difficile de le convaincre d’y répondre, et encore plus d’y envoyer sa fille, tant cette négociation sentait le traquenard. Tywill s’était difficilement plié, mais, maintenant qu’on y était, Alice se demandait si les inquiétudes de son père avaient vraiment été justifiées. Elle avait peur qu’Ishtar ne cherche à la tuer sur place, mais elle était en train de lécher sa mouille, et sa croix ne vibrait pas, signe qu’il n’y avait aucun piège magique.

*Mon père est d’un naturel bien trop nerveux... Mais je serais pareille, à sa place... Voire même pire envers ma descendance.*

La grande fragilité de Sylvandell, c’est qu’il ne pouvait y avoir qu’un seul héritier par génération. Si l’héritier mourait, un problème sérieux se poserait. Pour l’heure, il n’avait été que théorique, car la descendance avait toujours été assurée, mais, en théorie, on ne trouvait aucune solution satisfaisante. Le sang royal des Korvander était la seule chose qui permettait d’unir les humains de Sylvandell et les dragons dorés. Si ce sang périclitait, l’alliance ancestrale disparaîtrait, et Sylvandell avec. Privé de ses dragons, le royaume n’était plus rien. Cette perspective était suffisamment effrayante pour comprendre pouruqoi une Princesse chétive comme Alice était surprotégée, et ne se déplaçait jamais seule. Les risques étaient trop grands, et un Commandeur veillait toujours sur elle. A défaut, Hodor, son demi-géant, s’en chargeait.

Alice continuait à la lécher, sentant Ishtar se remue. Cette dernière accueillit sous elle l’une des succubes de Nettila, s’en servant comme d’une espèce de coussin, tout en roulant une pelle à l’ambassadrice mijakienne. Bien qu’elle soit sérieuse et professionnelle, Nettila restait une démone... Et les démons n’étaient pas vraiment à cheval sur les principes, loin de là. Les deux femmes s’embrassèrent donc longuement, Nettila pressant l’un des seins de la femme contre l’une de ses mains. Les quatre femmes formaient un assez curieux tableau, ce qui, naturellement, conduisit Ishtar à plusieurs requêtes :

« Qu'est-ce que j'adorerais immortaliser ce moment... Ma maid est dessinatrice et peintre, pouvez-vous lui donner un grand chevalet, du parchemin et un fusain ? Il feras de magnifiques représentations de nous, que ma peintre rendront immortelles. Une copie vous seras bien entendu donnée. Et la belle succube rouge qui me caresse actuellement les seins et me sert de dossier... Pourrais-je la compter dans mes maids également ? »

Nettila lui sourit, et attrapa l’une des mains gantées d’Ishtar, suçotant ses doigts.

« Vous êtes une femme plein de goût... Bien plus intéressante que la plupart des conseillers impériaux. »

Elle continua à lécher ses doigts, lui parlant tranquillement, tandis que la Princesse de Sylvandell, sans rien dire, continuait à lécher la fente d’Ishtar, inlassablement. Avec ses longues bottes à cuissarde, Nettila était une femme aussi fatale que glamour.

« Le latex est un tissu que j’adore... Et cette tenue rose flashy vous va à ravir... »

Elle aurait fait ridicule sur n’importe qui, mais pas chez elle. Nettila retourna l’embrasser.

« Cette succube n’est pas une citoyenne mijakienne, mais vient des cercles infernaux... Je vous dirais comment l’invoquer, les glyphes à réunir, et la bonne formule pour obtenir son aide... Quant à votre tableau...
-  Laissez-moi m’en charger... »

Samara s’approcha de la servante d’Ishtar, ou, plutôt, de son servant. La queue démoniaque de Samara s’enroula autour de son taille, et elle fit parler sa magie, enfermant l’artiste et elle dans une bulle temporelle, afin de perturber le temps. De cette manière, il aurait tout le temps de faire un tableau, car le temps s’accélérait tellement dans la bulle que, à l’extérieur, le temps semblait comme figé. Les deux femmes s’embrassèrent pendant quelques secondes, équivalant à plusieurs heures pour l’artiste, soit largement le temps de terminer son tableau. Nettila embrassa ensuite Ishtar sur la joue, léchant sa peau.

« Vous êtes amatrice de sexe et de latex... Que de qualités. »

Alice, de son côté, se caressait lentement, gémissant de plaisir.

Alice était très excitée par ce qui se passait autour d’elle. Elle ne comprenait pourtant pas grand-chose à ce qui l’entourait, si ce n’est que tout le monde avait l’air de se faire plaisir. Nettila, la succube, et, surtout, la belle et redoutable femme-dragon : Ishtar Naviento. La Princesse léchait l’intimité de cette dernière, comme une délicieuse petite chienne, réveillant en elle ses instincts de soumission. Elle était venue pour parvenir à un accord de paix, et, de ce qu’elle semblait voir, cet objectif serait bientôt rempli. Tout se déroulait pour le mieux, jusqu’à ce qu’Ishtar relève la tête d’Alice. Cette dernière était légèrement surprise. Coincée entre les cuisses de la femme, ses oreilles plaquées contre sa peau sombre, elle n’avait pas entendu ce qui se passait autour d’elle, et n’avait donc pas vu que la servante (Alice se trompait sur son sexe) d’Ishtar avait fait un croquis. Elle s’approcha de la table, tandis que la Princesse, clignant des yeux, regardait autour d’elle. On était toujours à Infernis, et un léger vent remuait sa robe. Elles se tenaient à proximité du château, sur une table dressée ici, entourée par des gardes. La servante en tenue de maid leur montra une image qui les représentait. Il y avait quantité de détails assez réussis : la table était plutôt bien représentée, tout comme la succube, et Alice rougit même en voyant que l’une de ses mains se caressait intimement. Samara dominait ce croquis, et Alice imaginait déjà une peinture où le reflet de lumières, le jeu des couleurs, mettrait cette dernière en valeur, sans pour autant négliger ses partenaires. La Princesse esquissa un léger sourire, avant qu’Ishtar ne se rapproche d’elle, la mettant à s’agenouiller sur le sol, avant de lui retirer le haut de sa robe bleue, faisant ressortir ses seins. Alice rougit légèrement, avant de sentir les mains d’Ishtar les attraper. Elle se contenta de les relever, puis s’attaqua ensuite à sa culotte.

*Qu’est-ce qu’elle fiche ?* s’étonna la Princesse.

Gênée, cette dernière se laissa faire, aidant Ishtar à lui ôter sa culotte, qui glissa sous sa robe, filant le long de ses jambes. Elle lui expliqua ensuite qu’elle faisait tout simplement une collection de culottes. Un curieux hobby, et elle cligna des yeux, surprise et excitée à la fois, avant de voir la servante arriver... Alice réalisa son erreur quand Ishtar en parla au masculin :

« Je vous laisse aux soins de mon petit protégé... »

La Princesse rougit, comprenant qu’il s’agissait d’un homme, très bien travesti, et très efféminé. Les grandes personnes restaient entre elles, Nettila et Ishtar discutant, tandis qu’Alice se retrouvait avec le servant. Ce dernier fléchit les genoux devant elle, et commença à la lécher, écartant les pans de sa robe pour avoir un accès direct sur son intimité. Fermant les yeux, la Princesse gémit faiblement, la langue de ce dernier s’enfonçant en elle, avant qu’il ne remonte, pour l’embrasser sur les lèvres, la plaquant contre le rebord de la table, ses fesses s’enfonçant. Elle sentit ainsi son membre (assez petit, au demeurant, voire même minuscule) taper contre ses cuisses, formant une minuscule bosse. Alice le regarda, lisant soumission, passion, et frustration dans son regard. Trois choses qui étaient souvent très liées entre elles.

Entre-temps, Nettila et Ishtar, proches l’une de l’autre, s’embrassaient, l’une des mains de Nettila se posant négligemment sur l’une des fesses d’Ishtar.

« Tant que nous sommes d’accord sur les principes, c’est l’essentiel, glissa Nettila. Laissons le détail et le reste à nos juristes et à nos diplomates, c’est à cela qu’ils servent, après tout. La seule question qui m’importe, c’est de savoir si vous appréciez la manière dont l’Empire cherche à se faire pardonner à vos yeux... Le reste, la question du contenu du traité, des clauses de réserve, de limitation de souveraineté, la procédure de révision et de ratification... Si nous nous embarquons là-dedans, nous y serons encore demain... »

Tout en les écoutant d’une oreille distraite, la Princesse vint embrasser le soumis. Elle se demandait si la taille de son pénis était naturelle, ou si elle résultait de plantes, de drogues, ou de sorts, destinés à en faire progressivement une fille. Pour elle, il avait un pénis digne d’un enfant en bas-âge. C’était assez troublant. Mais qu’est-ce qui ne l’était pas ici ?

La belle dragonne noire acquiesça simplement aux paroles de la belle démone Nettila. Cette dernière avait parfaitement raison. Elles avaient fait le tour et maintenant c'était clair que l'empire et Inferis allait travailler de concert. Comme quoi, une cité comme Navgrad, au coeur d'un petit territoire comme Inferis, pouvait prospérer et grandir. Ses industries se répandraient plus librement et bientôt un pays plus conséquent verrait le jour. Aujourd'hui le drapeau d'Inferis voletait sur cette région. Ne restait plus qu'à faire de ce lieu un véritable exemple d'automatisation et de synergie. Fière de ce qu'avait donné l'avancée de son pays et surtout un droit inaliénable de liberté vis à vis d'Mijak, Ishtar embrassa de nouveau Nettila avant d'embrasser de nouveau la succube rouge. Cette dernière réalisait qu'elle avait tapé dans l'oeil de la dragonne ? Dur à dire. En tout cas, la dirigeante d'Inferis lécha ses seins avec gourmandise tout en la doigtant avec empressement, la main dans sa culotte rouge et scintillante. Trois doigts gantés de latex entraient dans l'antre chaude de la succube rouge, faisant couler sa mouille le long de ses cuisses.

"Vous avez tout à fait raison, chère Nettila. Rrrrr cette succube me plait franchement... J'ai très envie que tu reste avec moi, ma belle... Tu resterais à mon trône à lécher et pourlécher mon sexe sans arrêt... Cette mission te plait ma chérie ?"

Dit alors la dragonne en s'adressant à la succube. Pour rajouter au spectacle, elle retira ses doigts recouverts de mouilles de son sexe impie et vint les essuyer entre les seins de la petite démone. Ishtar souria et vint lécher entre ses deux orbes de chair la traînée humide, mélangée à la sueur de cette créature. Pendant ce temps, le protégé d'Ishtar continuait de frotter sa cage de chasteté sur le sexe exposé d'Alice. Même si elle ne l'avait pas remarqué tout de suite, elle put voir enfin la structure en plastique retenant son sexe en position basse et le petit cadena à son sommet le retenant attaché à un anneau faisant le tour de la base de son sexe et de ses testicules. Le côté lisse du plastique frottait de haut en bas la fente intime de l'humaine qui se faisait ainsi stimuler.

"Hmm je ne mérite pas de vous prendre et pourtant... J'en ai tellement envie..."

Dit-il enfin en poussant un gémissement de frustration... Sa peau imberbe, lisse, douce, se frottait contre l'humaine. Ses vêtements de latex avaient aussi quelque chose de fortement érotique. Doucement, l'humain esclave d'Ishtar enfonça son visage dans la poitrine exposée d'Alice en soupirant. Il en voulait tellement mais l'orgasme lui était interdit. Il couina de plus belle avant de gémir piteusement. Il tremblotait légèrement alors qu'un petit filet de liquide séminal s'échappait de l'extrémité de la cage de chasteté. Le favoris d'Ishtar était si excité qu'il échappait du présperme sans pour autant parvenir à avoir du plaisir. C'était sa seule excitation qui faisait ça. Une imposante tension sexuelle s'échappait de lui, une frustration extrême inassouvie, probablement héritée d'une excitation constante sans jamais parvenir au plaisir libérateur. L'humain lâcha un nouveau gémissement totalement pitoyable avant de regarder de façon un peu fuyant Alice.

"Complétez ma frustration... Repoussez-moi et allez vers ma Maîtresse..."

Tandis qu’Ishtar continuait à jouer avec la succube, lui proposant de vivre auprès d’elle, Alice, elle, remarqua alors le sexe de l’homme. Il avait probablement reçu des drogues, ou autre chose de ce genre, afin de le réduire, car, pour le coup, c’était bien le plus petit sexe qu’elle ait vu. Même à travers la ceinture de chasteté, qui grossissait légèrement l’ensemble, elle pouvait voir qu’il appartenait à la catégorie des poids plumes. Elle en aurait presque pouffé de rire, si elle n’était pas aussi excitée, et si elle ne ressentait pas toute la frustration du serviteur. Il se frottait contre elle, une lueur désespérée sur le regard, mais Alice n’avait pas la clef permettant de déverrouiller cette prison dans laquelle son sexe se trouvait. L’homme finit ainsi par lui demander, dans un élan masochiste, de continuer à le frustrer, en retournant auprès de sa Maîtresse. Surprise par une telle demande, la Princesse cligna des yeux.

« Je... Euh... »

Alice ne sut quoi dire, rougissant légèrement, puis s’écarta un peu du serviteur. Elle aurait bien aimé dire quelque chose, mais la vue de cet homme à la peau lisse, de son sexe ridicule, et de sa ceinture de chasteté, la troublait. Elle s’écarta donc prudemment, et revint vers la table, où Ishtar avec trois doigts, pénétrait la succube, qui poussait de longs soupirs de plaisir, embrassant Ishtar.

« In... Invoquez-moi, femme sombre, gémissait la succube, et je viendrais... »

C’était tout ce qu’elle pouvait promettre. La succube avait été invoquée par une Mijakienne, et avait accepté les termes du pacte la liant. L’honneur était une notion sacrée, qui lui interdisait d’agir seule, de se déroger à ses obligations. Le pacte était ainsi. Ce n’est que quand elle en serait libérée qu’on pourrait à nouveau l’invoquer. Or, à choisir entre les Enfers et Inferis, le choix de la succube était vite fait... Surtout qu’Ishtar était une femme très attirante. La succube mouillait de plaisir, et Alice, de son côté, retourna vers elles, un peu moins anxieuse, bien plus excitée. Visiblement, la rancune d’Ishtar avait disparu, au moins à l’égard de la Princesse. Dans la mesure où c’était la chose qu’elle craignait le plus, la Princesse était nettement rassurée de voir que ce n’était pas le cas. Ishtar Naviento jouait avec la succube, et Alice décida d’agir.

Elle se rapprocha, et posa ses mains sur les fesses de la femme. Cette dernière n’avait plus sa culotte, et elle put presser ses fesses, se blottissant dans son dos, embrassant la peau noire de la Tsarine. Même si elle n’était pas une dragonne dorée, elle restait quand même une femme-dragon assez puissante, dont la ténacité avait conduit les Mijakiens à devoir négocier, plutôt qu’à se lancer dans un affrontement fratricide et dilatoire. Alice embrassa ainsi la peau de la femme sombre, se collant contre elle.

« Tu es une femme pleine de surprises, Ishtar... » susurra-t-elle.

Alice fut légèrement surprise qu’Ishtar la repousse. Avait-elle touché quelque chose qu’il ne fallait pas ? Certes, elle savait que les Infernoises étaient racistes, surtout à l’égard des humains, mais, après tout, la Princesse lui avait léché l’intimité... A partir de là, elle ne pensait pas qu’elle serait repoussée. Elle en rougit un peu, se demandant si elle n’en faisait pas trop. Mine de rien, la relation entre Sylvandell et Infernis ne partait pas vraiment sur le bon pied. Ishtar se retourna, et entreprit de faire visiter Infernis à Alice. Un peu surprise, cette dernière ne sut quoi répondre, et regarda Nyla. Le Commandeur se devait de l’accompagner pour sa protection, et la Princesse haussa la tête de haut en bas, acquiesçant à la demande d’Ishtar. Elle voulait bien suivre, mais pas sans Nyla. Autrement, son père serait très mécontent, et elle n’avait pas envie de l’énerver à nouveau. Alice suivit donc Ishtar à travers les couloirs et les rues d’Infernis, à moitié nue, légèrement gênée... Mais elle constata rapidement qu’être légèrement vêtue semblait être de mise chez les Infernoises, qui étaient essentiellement des femmes. L’endroit était assez lourd, chargé, chaud. C’était dans un volcan, après tout, et elle, elle venait d’une région montagneuse.

Ishtar conduisit Alice au palais central d’Infernis, le Temple du Feu. Un endroit assez grand, et Alice restait près de la jeune femme, toujours suivie par Nyla. Sa garde du corps avait jeté des regards suspicieux sur la foule, prête à intervenir si jamais un quelconque fanatique tentait de s’attaquer à la Princesse. Il ne fallait pas négliger que la ville avait été attaquée par les Mijakiens, notamment par les dragons sylvandins, et que certains habitants pouvaient en éprouver du ressentiment. Néanmoins, le sentiment majeur qui semblait dominer était une vive admiration de la part des Infernoises pour leur souveraine, la Tsarine. Un tel engouement faisait plaisir à voir, mais Nyla restait surtout concentrée sur sa mission. Si ce n’était qu’elle, elle n’aurait jamais accepté qu’Alice rentre dans cette ville risquée, mais elle savait très bien, par expérience, que la Princesse était du genre à n’en faire qu’à sa tête.

Les femmes avançaient ainsi dans des couloirs assez sombres, jusqu’à atteindre une autre pièce curieuse, typique des goûts sexuels assez particuliers de la propriétaire des lieux. C’était une grande salle, assez futuriste, avec des espèces de tubes de verre dans lesquels des esclaves végétaient. Tous semblaient être assignés à une fonction purement décorative, et Alice observait la surprise avec un mélange de fascination et d’attirance. Les préludes à la table de réunion l’avaient déjà bien échauffé, et, si cette scène était un brin surréaliste, elle n’en était pas moins excitante.

« Waaw... » s’exclama Alice en regardant autour d’elle.

L’attention d’Alice fut ensuite portée sur un individu qui était retenu contre un pilori, maintenu fermement. Il était nu. C’était un Terranide, visiblement. Il avait un bandeau autour des yeux, et, le plus étonnant, qui excita encore plus Alice, ce fut de voir l’appareillage autour de son bassin : son sexe était dans une espèce de pompe, et il avait surtout un gode dans les fesses. Des flammes brûlaient perpétuellement dans son dos.

« Ce joli prince vous plait ?... Je suis sûr qu'il vous ferais l'amour comme un dieu et il a la peau d'une douceur rare... Laissez-vous tenter, dites-moi quelle race vous plairait. »

Alice tourna sa tête vers la Tsarine, et lui sourit, avant de se rapprocher du jeune homme.

« Oh, ce beau conviendra tout à fait. Je dois bien admettre que vos goûts sont aussi... Étonnants qu’excitants. »

Un sourire sur les lèvres, elle se rapprocha du Prince, et l’observa un peu plus. Il était maintenu en hauteur, et elle lui caressa le ventre, sentant le ventre de ce dernier frissonner. Il n’avait aucun poil, plutôt une peau écailleuse rappelant les lézards, mais en plus doux. C’était une peau lisse et douce, chaude. Elle remonta ses mains le long du corps de l’homme, et s’approcha de lui, frottant ses seins contre son corps. Elle l’embrassa sur les lèvres, et sentit l’homme y répondre.

« Je vais te retirer cette pompe, et tu vas me baiser, petit Prince. Me baiser fort. »

Et, disant cela, elle ôta la pompe, voyant un beau sexe, qu’elle se mit à masturber, tout en se débrouillant pour détacher le prince.

« Mais tu garderas ton bandeau », annonça-t-elle.

Le prince réagissait fortement aux caresses d'Alice. Quand elle lui retira la pompe, cela permit à sa verge de se redresser complètement et à se coller contre son bas-ventre. Son gland humide déposa énormément de présperme sur sa peau douce alors que son gode anal vibrait toujours aussi fort dans son fondement. Il lâcha un couinement fort alors qu'Alice lui annonça la suite des évènements. Cela faisait longtemps que son sexe dur n'était pas entré dans une femme ou un mignon petit travestit. Ishtar caressa le corps du jeune terranide avant d'aider Alice à le détacher. Ouvrant le pilori, il put sortir la tête et les poignets de cet appareil barbare mais il garda des entraves aux poignets qu'Ishtar attacha dans son dos tout en poussant avec son genou le gode entre les fesses du prince qui couina désespérément.

"Pitié maîtresse..."

Ishtar tenait solidement la chaîne reliant ses deux entraves avant de saisir de son autre main le gode, le retirant presque et le renfonçant au maximum. Elle continua ainsi longuement et intensément avant de lancer des regards coquins à Alice, lui faisant comprendre ce qui se passait ici, malgré les supplications de son esclave.

"Pitié quoi mon petit ?... Dit-le clairement pour notre hôte !"

Le prince lâcha un puissant couinement alors que son pénis se dressa au maximum. Son prince albert au bout pointait fièrement avec son sexe humide et tendu. Ses petits anneaux aux tétons frissonnaient avec lui alors qu'il poussa un gros soupire.

"Pitié pitié ... sodomisez-moi pendant que je prend cette femme, maîtresse !"

"Voila qui est honnête, huhuhu."

Et oui, voila la réalité de cet endroit. La plupart des soumis, même s'ils venaient rebelles et intraitables, finissaient en bons petits esclaves prêts à goûter la divine décadence que leur offrait leur belle tsarine. Guidant Alice tout en tenant la laisse en chaîne du prince, elles arrivèrent devant une grande couche confortable. Alice put prendre ses aises à quatre pattes alors qu'Ishtar guida le prince derrière elle, tenant fermement la base de son pénis.

"Là voila...Maintenant entre en elle petite salope !"

Lâcha la dragonne noire tout en poussant le gode dans l'anus du prince qui pénétra de concert l'humaine. Ishtar souria perversement avant de mettre un harnais qui permettait d'attacher le gode entre ses cuisses. Tenant les hanches de son esclave prince, elle commença à le sodomiser brutalement, imposant le rythme de la baise à Alice qui reçut les vingt centimètres de verge de ce soumis en elle. Ishtar lâcha un rire sadique et amusé alors qu'elle passa ses mains sur la poitrine de son soumis, lui tordant furieusement les tétons. Les anneaux dans ses mains, elle tira dessus, distendant ses tétons qui devinrent rapidement rouge, presque violacée... Une chose qui aurait certainement fait hurler de douleur n'importe qui... Mais son esclave masochiste en avait la langue sortie, couinant amoureusement alors qu'il se faisait sérieusement malmener ! Personne ne savait ce que faisait Ishtar pour rendre les gens comme ça, mais ça fonctionnait...

Alice aurait probablement eu honte de l’admettre, mais cette scène de soumission l’excitait furieusement. Sa culotte commençait à légèrement s’humidifier. Le beau Terranide était complètement soumis devant la redoutable Tsarine. En un sens, Ishtar était effrayante, aussi effrayante qu’attirante. Le cœur de la Princesse remuait dans sa poitrine, et elle libéra le prince, avec l’assistance d’Ishtar. Il avait encore des chaînes autour des poignets, des anneaux sur ses tétons, et, surtout, un gode entre ses fesses, que la Tsarine ne désirait nullement retirer, alors qu’elle le forçait à s’exprimer. Son sexe était dur, bien élancé, tapant contre sa peau, fièrement redressé, témoin parfait de l’excitation incontrôlable que le jeune homme ressentait. Alice allait se faire sévèrement tringlée, mais c’était ce qu’elle recherchait.

« Pitié pitié ... sodomisez-moi pendant que je prends cette femme, maîtresse ! » gémissait-il.

La Princesse se permit de sourire, excitée, et suivit Ishtar. Le trio se rendit dans une salle plus adaptée à ce qu’ils avaient prévu de faire. Alice alla se mettre à quatre pattes, offrant ses fesses à l’homme. Le prince posa ses mains douces sur ses fesses, et elle soupira, avant de le sentir écarter ses vêtements, pour avoir accès à son bassin. Serrant les poings, Alice se mordilla les lèvres, sans rien dire. Elle se contentait de ressentir, et ne tarda pas à sentir la queue du prince se glisser en elle.

« Hu ! »

Soupirant, Alice ferma les yeux, et sentit le sexe de l’homme remuer rapidement et profondément en elle. Son objectif n’était clairement pas de la ménager, et la Princesse se mit à remuer d’avant en arrière, savourant cette sensation dans son corps, ce sentiment de plénitude, d’être complète. C’était si bon ! Elle se sentit comme électrisée, alors que la queue de l’homme s’enfonçait rapidement, ce dernier gémissant faiblement et soupirant. La Princesse ne pouvait pas le voir, mais elle devinait qu’Ishtar s’amusait avec le prince, avec son esclave, cherchant à le faire souffrir, et à rythmer leurs ébats. Tout ce qui intéressait Alice, à vrai dire, c’était cette queue en elle. Quand elle s’arrêtait, elle soupirait en grognant, impatiente, remuant ses fesses, avant de sentir le sexe de l’homme recommencer ses mouvements.

Rouvrant les yeux, la Princesse serrait les poings sur le sol, se faisant magnifiquement prendre. Ce que ça pouvait être bon ! Elle soupirait longuement, haletant, mouillant de plus en plus, alors que les mains du prince serraient ses fesses, ses griffes s’enfonçant dans sa peau, la faisant souffrir, une sorte de délicieuse valeur ajoutée. Elle continuait à remuer ses petites fesses, comme pour le tâter à venir, comme pour l’inciter à la prendre plus.

« Allez, allez, baise-moi, aaaahh ! Défonce-moi comme une pute !! »

Difficile de croire que de tels mots émanaient de la bouche d’une Princesse dont le peuple vantait la pureté. Comme quoi, entre la personne publique et la personne privée, il y avait une nette différence. Mais, après tout, conserver sa chasteté sexuelle à Ishtar relevait du défi olympien. Ce ne serait sûrement pas Alice qui y arriverait, vu la manière dont elle mouillait, se rapprochant rapidement de l’orgasme.

La dragonne souriait de plus belle en écoutant les désirs de l'humaine. Elle voulait prendre cher, être baisée comme une pute. Peut être qu'elle aussi aurait désiré finir ici, dans cette voûte de la décadence sexuelle. Alice aurait été un trophée de choix, gardé dans un perpétuel orgasme. La tsarine en salivait rien qu'en y pensant alors qu'elle poussa furieusement d'un coup de rein le gode dans le corps du soumis qui baisait à son tour Alice. Ishtar accéléra de plus belle, lâcha quasiment des cris à son prince capturé qui bougeait de plus belle. Puis ce fut la douce mélodie de gémissements de la princesse de Sylvandell qui amena aux oreilles une divine chanson harmonique. Aaah... divines jérémiades de plaisir assouvis. La jeune fille avait reçut son lot. Ishtar aussi eut une sorte d'orgasme cérébral, ayant les dents qui claquèrent un instant et l'oeil gauche qui se fermait à moitié. Un puissant grognement de plaisir alors qu'elle serra avec vigueur la base du sexe de son prince salamandre.

"Tatata... Toi tu n'es pas dignes de répandre ta semence en elle ! Si je te vois jouir dans son corps je te la coupe !"

Le prince couina, mais... on entendit son acceptation tacite et ces dires l'excitaient. Son membre tressaillit quand elle parla de l'émasculer et Ishtar savait y faire ! Sa technique avait porté ses fruits plus d'une fois. Ce ne serait pas le premier homme qu'elle émasculait sans une once de pitié, mais plutôt avec un plaisir sans borne. Des rumeurs racontaient qu'Ishtar avait un jour castré tout un village humain... Et même tout les prisonniers de guerre dans les rangs sylvandiens, au retour d'Ishtar, avaient été mit en ligne et castrés à la suite sans aucune pitié. Des histoires plus folles racontaient qu'elle avait une collections de pénis vierges coupés et qu'elle en avait festoyé plus d'une fois... Mais Ishtar n'aimait pas la chair humaine et la simple idée de mettre un sexe masculin dans sa bouche la dégoûtait. Reculant le prince, elle retira son sexe humide de la chatte d'Alice. Ishtar serra un peu plus fort les lanières du bandeau du prince avant de retirer son gode ceinture du derrière du prince, parfaitement propre dût à une hygiène parfaite de son soumis.

"Couches-toi sur le lit !"

Ordre sec, réponse claire et immédiate. Il se coucha sur le lit au matelas recouvert de vinyle noir. Ishtar attacha les poignets du soumis aux coins supérieurs du lit et ses jambes subirent le même sort. La posture finale du prince fut une sorte de chandelle alors qu'il avait les jambes repliées. Son sexe pendait juste au dessus de son visage, vu qu'il avait le dos un peu fléchis. Ishtar s'amusait des fois à le faire lécher son propre pénis dans cette position. Mais au lieu de ça, Ishtar attrapa son pénis et le ramena vers le haut, tordant sa queue pour la ramener parfaitement entre ses cuisses et pointant vers le ciel.

"Chevauche-le comme ça, Alice. Tu vas voir... Et je serais là pour te sodomiser comme une bête pour t'imposer le rythme et te soutenir !"

-HJ- Pour donner une idée de la position, c'est le carré du bas -HJ-

« Tatata... Toi tu n'es pas dignes de répandre ta semence en elle ! Si je te vois jouir dans son corps je te la coupe ! »

La cruauté de cette femme était, en l’occurrence, un véritable régal pour la Princesse de Sylvandell. Elle se délectait de l’entendre, de ce supplice qu’elle infligeait à son esclave. Le pauvre se voyait privé du droit de jouir. Indéniablement, cette femme était redoutable. Tremblant sur place, Alice continuait à se faire défoncer, tout en sentant le prince terranide ralentir ses pénétrations. Visiblement, la perspective de perdre son sexe semblait l’inquiéter, et la Princesse était convaincue qu’Ishtar ne plaisantait pas, et était très sérieuse. Sa cruauté n’était pas à établir, surtout envers les hommes et les humains. C’était bien pour ça qu’il n’avait jamais été question que Tywill, son père, prenne part aux négociations. En se préparant, Alice avait imaginé quantité de scénarios catastrophiques, de situations horribles, de pièges rocambolesques où elle finirait dans les geôles infernoises, torturée, Ishtar se vengeant de l’humiliation qu’elle avait subie en faisant souffrir cruellement la Princesse. Au lieu de ça, elle découvrait que les rumeurs courant sur la perversion d’Ishtar n’étaient pas infondées. Cette créature était terrifiante. Magnifique, mais terrifiante.

Elle sentit le sexe de l’homme se retirer de sa chatte dégoulinante de mouille. Alice se retourna, et vit qu’Ishtar s’était dotée d’une espèce de gode-ceinture, qu’elle retira des fesses de l’homme, avant de l’allonger sur le lit, dans une position assez spéciale. Se redressant, Alice vit ses bras être immobilisé, tandis qu’Ishtar relevait et pliait ses jambes, plaçant l’homme de telle manière à ce que son sexe pointe fièrement en l’air, ses jambes formant comme une espèce d’appui sur lequel elle pourrait s’appuyer.

« Chevauche-le comme ça, Alice. Tu vas voir... Et je serais là pour te sodomiser comme une bête pour t'imposer le rythme et te soutenir ! »

Cette idée la fit mouiller, et elle grimpa sur le lit, sans rien dire, offrant à Ishtar la vue de sa croupe. Elle tourna alors sa tête vers cette dernière, afin de lui faire une petite précision. L’une de ses mains touchait ses propres fesses, les écartant pour révéler son anus.

« Défoncez-moi comme une pute, Tsarine, comme si j’étais la pire de vos esclaves, une salope que vous auriez envie de défoncer pour l’entendre hurler de vous supplier. »

Oui, Alice pouvait parfois être très déterminée. Elle était donc sur le lit, et glissa sur l’homme, contorsionné dans une position d’équilibriste, et sentit sa queue s’enfoncer en elle, ce qui la fit longuement soupirer de plaisir. Elle se sentait si bien ainsi, si sereine ! Quel bonheur ! Oui, la Princesse de Sylvandell était bel et bien comblée ! Il ne manquait plus que le gode d’Ishtar dans ses fesses pour qu’elle s’envole dans les cieux.

La Princesse aimait prendre des risques. C’était particulièrement stimulant, car, à l’origine, elle était après tout une Princesse surprotégée. Son corps fébrile avait suscité les pires inquiétudes, et elle avait toujours du être une fille sage et obéissante, avec de nombreux gardes du corps autour d’elle. Il en avait résulté un certain penchant pour la « rébellion », qui se justifiait en ce moment. Chevauchant le Prince terranide, elle était heureuse, mais elle voulait qu’on s’attaque à ses fesses, qu’on lui déchire le fondement avec rage. Elle voulait se sentir pleine et entière. Elle avait découvert le bonheur de la sodomie avec Cirillia, et l’avait complété avec Sakura. Alice était une grande sodomite, et ceci se confirma. Ishtar se glissa dans son dos, le gode ceinture glissant contre les fesses d’Alice.

« La pire des esclaves que j'aurais envie de défoncer pour l'entendre hurler de me supplier ? Je vous prend au mot, chère Alice. Ne craquez pas tout de suite, huhuhu. »

La Princesse haletait et soupirait, sentant le gode se glisser lentement entre ses fesses... Avant de s’enfoncer d’un coup dans son cul. La douleur explosa en elle, et elle poussa un hurlement strident de douleur en se cambrant, sentant une vague de douleur, une jouissive douleur, l’envahir, alors que ses parois internes se dilataient et s’écartaient.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAA OUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »

Méconnaissable, la Princesse se mit à danser frénétiquement sur le lit, la sueur coulant frénétiquement le long de son corps. Elle poussa de nouveaux hurlements, yeux clos, pleurant presque, à la fois de souffrance et de bonheur. La douleur, oui, la douleur était terrible, insoutenable, mais elle avait quelque chose d’exquis et de délicieux, de totalitaire et d’inoubliable. Elle l’aveuglait, l’envoyant dans les cieux. La Princesse tremblait de plaisir sur le lit, sentant le gode d’Ishtar remuer en elle, s’enfonçant, repartant, revenant à la charge, lui écartelant son derrière. Ses mains se mirent à se crisper, alors que, d’un coup sec, la femme-dragon l’envoyait à quatre pattes sur le lit, bombant ses fesses en arrière, afin de mieux apprécier ce contact. Elle n’y restait guère longtemps, car la poigne d’Ishtar était solide, la ramenant toujours sur place. Yeux clos, elle haletait, tremblant de désir, ses deux trous remplis. Quelle sensation incroyable ! C’est dans ce genre de moment qu’on se rendait compte à quel point le sexe, cette chose banale et répétitive, prenait tout son intérêt ! Alice se faisait sévèrement tringlée, et le lit tremblait. Quand elle rouvrait les yeux, c’était pour voir le Prince, qui haletait également de plaisir, entre les cuisses de la Princesse.

« Supplie-moi sale truie ! Cochonne ! ordonnait Ishtar d’une voix vibrante d’autorité. Je peux continuer cette tourmente des heures, des jours, sans marquer de pause ! Tu ferais bien de m'abandonner ton corps dès maintenant ou de m'implorer d'arrêter ! Stimuler les cochons roses dans ton genre n'a absolument pas de secret pour moi... »

La Princesse voulait bien la croire. Le sang de dragon dans ses veines renforçait sensiblement ses performances sexuelles, alors ce devait être encore plus vrai pour une femme-dragon. Elle sentit quelque chose vibrer de son vagin, et soupira.

« Ooooooooooooooh... Maîtresse, haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannnnn... Je... Haaaahaaaaaaaaaa... En... Encooore... ENCORE, HAAAAANNNN, ENCORE, HAAAAANNNNN ! DÉFONCE-MOI, ALLEZ ! Je veux le sentir, JE VEUX LE SENTIR ! BAISE-MOOIIII !! »

La voix d’Alice, si douce, devenait rauque, et elle finit par avoir un orgasme, poussant un inaudible soupir en sentant une vague de bonheur l’envahir. Elle atteignit le point culminant, et se sentit comme avalée dans un torrent de plaisir. C’était terrible.