The Multiversity

Shiro sait que Mélinda a un côté fétichiste avec les belles tenues. Une séance d’essayage en tête à tête lui donnera sûrement envie de faire plus de choses coquines avec la belle infirmière. Shiro sait qu’elle devrait économiser ses forces pour Bran mais c’est plus fort qu’elle : cette vampire est un vrai fantasme ambulant. Quant elle est avec elle, c’est presque impossible de résister à l’envie de coucher avec elle.

« Aahh... aaahhh... Ooouuuiii ! »

L’orgasme de Shiro est accompagné par la jouissance de Mélinda. Après cette union dans le stupre, la vampire se retire et demande à son invitée quelle tenue elle veut essayer en premier.

« Hhmm... laisse-moi réfléchir. »

Shiro pourrait essayer tout de suite la robe que Mélinda lui propose pour sa soirée avec Bran, pour voir si ça lui va bien, mais elle ne voulait pas risquer qu’elle soit salie ou déchirée dans la fougue du moment. Les deux femmes n’étaient pas des amantes bien sages après tout.

Connaissant les goûts de Mélinda, Shiro sait qu’elle est très attirée par le cuir et le latex, c’est donc sans surprise qu’elle trouve de nombreuses tenues faites dans ces matières dans sa penderie. Commencer par essayer un de ces tenues serait un bon début. Elle se fait une petite sélection puis finit par porter son choix sur deux tenues. D’un côté, un ensemble deux pièces composé d’un haut à manches courtes avec un col et qui s’arrête juste en-dessous de la poitrine et une mini-jupe qui laisse deviner le début de la courbe de ses fesses. De l’autre côté, une robe en latex couvrant juste ce qu’il faut avec des lacets à l’avant et dans le dos. L’infirmière apprécie particulièrement cette belle couleur entre le violet et le rose.

« Alors Mélinda... dans quelle tenue tu veux me baiser en premier ? »

De toute façon elle la baisera dans les deux, puis dans d’autres tenues ensuite, mais Shiro veut lui laisser le choix de la première. Qu’elle prenne celle qui la fera bander le plus fort.

Quiconque connaissait un peu Mélinda savait la passion prononcée de celle-ci pour le fétichisme, pour le fait de porter des tenues sensuelles. Elle dépensait une petite fortune dans la conception de tenues et leur enchantement. Chaque tenue était enchantée ici, l’enchantement consistant à ce que la tenue s’adapte à la taille et à la corpulence de sa porteuse. Ainsi, Shiro pouvait enfiler les vêtements qu’elle voyait, car ils se modifieraient pour qu’elle puisse les enfiler. Tous les vêtements du manoir n’étaient pas forcément enchantés, mais ceux de Mélinda l’étaient. Il était donc fréquent que des filles viennent ici pour les essayer, ou lui demandent d’enchanter d’autres tenues. Mélinda pouvait compter sur l’aide de Décatis Cryptinna-Warren pour faire ça, car elle était une puissante enchanteresse. Elle se mit donc à jouir dans le corps de Shiro, soupirant doucement en s’abandonnant en elle. Aussi nue qu’elle, elle avait entendu Shiro dire qu’elle voulait essayer les tenues, sans doute pour coucher encore avec Mélinda. La vampire n’était pas contre l’idée, et ce d’autant plus qu’elle savait désormais que Shiro était troublée, et affectée par une relation amoureuse avec Tessia qui ne marchait pas aussi bien qu’elle le pensait. La vampire voulait que Shiro retrouve le moral, et qu’elle assimile le harem de Mélinda à un lieu de bien-être, un endroit sécurisé… Comme un foyer.

Le choix de Shiro se porta sur deux tenues très séduisantes : une vague tenue de religieuse noire en latex, très ouverte, composée deux pièces moulantes avec une cornette sur la tête, et une robe violette outrageusement moulante avec un décolleté plongeant. En voyant Shiro tenir ces deux tenues, la verge de Mélinda, légèrement apaisée, se redressa rapidement. C’était le signe que Shiro avait visé juste, et Mélinda, en se mordillant les lèvres, se rapprocha. Même si elle allait la prendre dans ces deux tenues, en choisir une était quand même difficile !

« Hum… Tu as vraiment bon goût, ma belle. Les deux tenues me tentent terriblement. »

Elle s’était rapprochée, et caressa les deux tenues doucement, avant de se pincer les lèvres, puis regarda Shiro

« Optons pour la robe… Je crois que tu la préfères davantage. »

Mélinda lui enfilerait ensuite la tenue de religieuse, mais, pour l’heure, la robe la tentait. Elle comptait toutefois, elle aussi, se changer, et, tandis que Shiro enfilait la robe, Mélinda enfila une autre tenue. Elle opta pour une tenue simple, un bustier noir en vinyl moulant, également très beau de dos. Elle paracheva sa tenue en enfilant une paire de longs gants noirs opéra. Elle se retourna alors, et aida Shiro à enfiler la robe, en la nouant dans son dos. Et, en tout en faisant ça, Shiro put sentir la verge solide de Mélinda caresser ses fesses, frottant sur sa peau. Son sexe se redressa pour heurter la robe, et fila dessous, se glissant dans la croupe de Shiro, titillant celle-ci.

« Je vais tellement te baiser… Tu ressembles vraiment à une catin dans cette tenue, alors, comporte-toi comme telle… Montre-moi à quel point notre belle infirmière peut se transformer en une salope nymphomane ! »

Shiro sait que Mélinda ne résistera pas à l’envie de la baiser avec de si belles tenues. La vampire choisit la robe en premier.

« Tu as vu juste, j’aime beaucoup cette robe. Surtout la couleur. »

Et tandis que l’infirmière se change, son hôte aussi change de tenue. Elle enfile un bustier noir en vinyle moulant et une paire de longs gants noirs. En revanche elle laisse le bas de son corps totalement nu. Une fois que Shiro a enfilé la robe, Mélinda vient la nouer dans son dos, et ce faisant colle sa verge contre ses fesses. Elle a clairement envie de la prendre, et elle veut que son invitée se comporte comme la catin dont elle a l’air avec cette nouvelle robe.

« Hhhmmm... tu veux que je sois ta catin ? »

Shiro se retourne brusquement et vient entourer Mélinda de ses bras, posant ses mains sur ses belles fesses nues et introduisant sa langue dans sa bouche. Tandis qu’elle embrasse goulument la vampire, sa langue vient titiller le bout de ses canines pointues et ses doigts s’enfoncent dans la chair moelleuse de son derrière.

Comment peut-on être aussi désirable ?

L’infirmière ne nie pas que la vampire dispose d’un charme fou, mais elle est surprise d’y être aussi sensible. Il faut dire que Tessia a placé la barre très haut. Le simple fait de la voir en tenue légère suffisait pour que Shiro soit envoûtée par sa beauté. Quoi de plus normal pour une succube. Mais Mélinda, elle, ne dispose d’aucun pouvoir de ce genre. Elle est simplement très belle, et ça suffit pour que l’infirmière se laisse aller avec elle.

Shiro finit par rompre le baiser et met une bonne claque sur le cul de Mélinda.

« Alors arrête de parler et baise-moi. »

L’infirmière se met à quatre pattes sur la moquette du dressing et relève le bas de sa robe pour dévoiler ses fesses, agitant sa croupe sous les yeux de la vampire. Par la chatte ou par le cul, elle peut choisir, mais qu’elle vienne prendre cette belle salope avant de perdre son érection.

« Baisez-moi maîtresse... moi qui ne suis qu’une salope nymphomane... juste bonne à vous servir de vide-couilles. Aaahhh... remplissez-moi avec votre puissante verge... et votre semence crémeuse. »

La verge de Mélinda resta solide, bien durcie, tandis que Shiro avait enfilé la robe violette. Comme tous les vêtements de la garde-robes de Mélinda, ou presque, ils étaient enchantés. L’enchantement faisait juste que la taille des vêtements s’adaptait à leur porteur. Shiro put donc sentir la robe se serrer sur son corps, moulant ses fesses. Mélinda l’observa en se mordillant les lèvres. Cette couleur violette était exquise ! Elle se pencha vers l’infirmière, et l’embrassa avec appétit. Tandis qu’elles s’embrassaient, la verge de Mélinda se redressa à nouveau, heurtant la robe, et fila dessous. Mélinda caressa les hanches de Shiro, et répondit à ses palpations en pressant à son tour ses fesses.

« Hmmm… »

Elle aimait les lèvres de Shiro. Maintenant que cette belle infirmière était revenue, Mélinda comptait mettre tout en œuvre pour la détendre, et l’amener à oublier Tessia. Elle comptait lui offrir une nouvelle vie. On pouvait donc dire qu’elle profitait du malheur de Shiro, mais elle ne cherchait pas à l’humilier, à la perturber, ou à la corrompre. Oh non ! Elle comptait juste lui proposer de nouvelles perspectives. Mélinda l’embrassa donc, sa langue s’enfonçant dans sa bouche. Sa main remonta pour empoigner ses cheveux, son autre main glissant sur la robe satinée, serrant l’une de ses fesses à travers la robe. Shiro finit par rompre le baiser, et se mit à quatre pattes, laissant à sa Maîtresse le choix du trou. Mélinda sourit doucement, crispant et décrispant ses poings. Shiro savait de toute évidence comment la motiver !

Frémissant lentement, elle se rapprocha donc, et malaxa à nouveau les fesses de l’infirmière. Elle les remua de gauche à droite, les écartant l’une de l’autre, et sa verge fila contre la peau nue de Shiro. La robe se releva outrageusement, révélant ainsi les belles fesses de Shiro. L’infirmière était toute excitée, impatiente, une impatience que Mélinda ne pouvait que comprendre, car elle la partageait aussi.

« Tu sais, cette robe… Elle fait partie de ces ensembles que les esclaves du manoir utilisent pour se prostituer dans la rue ou au lycée. Cela fait donc véritablement de toi une traînée, une petite pute qui mérite de se faire prendre pour ce qu’elle est… Une chienne ! »

Sans perdre son temps, Mélinda orienta sa verge, et la glissa dans le creux des fesses de Shiro. Sa main se releva, et elle fessa ce postérieur, le claquant avec amour, avant de commencer une passionnelle sodomie…

Apparemment, la robe que Shiro a choisie fait partie des ensemble que les esclaves du manoir utilisent pour se prostituer. Cela faisait donc véritablement d’elle une pute qui méritait de se faire prendre comme une chienne.

« Aaahhh... alors pourquoi continuons-nous à parler... alors qu’on pourrait baiser ? »

Mélinda lui répond aussitôt en orientant sa verge entre ses fesses tout en donnant une bonne claque sur ce postérieur rebondi. Quand la sodomie commence, l’infirmière ne retient pas ses gémissements.

« Oouuhh... ooouuuiii... voilà ce dont j’ai besoin... »

Shiro veut bien être une chienne si c’est avec Mélinda. Cette femme a le don incroyable d’être fascinante et en même temps un peu inquiétante. Quand elle est avec elle, l’infirmière se sent d’humeur à faire des folies, à se vautrer dans le stupre et la luxure, à se remplir la panse avec de bons repas et des boissons raffinées avant d’aller batifoler dans une orgie qui durerait toute une nuit.

« Hhhmmm... maîtresse... votre bite est si bonne... dans moon cul... ooouuuiii ! »

La jeune femme se laisse joyeusement pilonner, savourant chaque pénétration, tout comme elle savoure les nombreuses claques sur son cul et les paroles crues de la vampire à son égard. Les mots pute et chienne reviennent souvent mais Mélinda ne tombe pas non plus dans la répétition. Shiro a droit à une longue et délicieuse sodomise accompagnée de tout un tas de petits compléments qui rendent la chose plus excitante, jusqu’à avoir un premier orgasme.

« Aaahhh ! »

Sa mouille jaillit de son entrejambe, venant maculer le sol et les jambes de son amante. Mais ce n’est que le début. Tant que la maîtresse n’a pas joui, la pute doit continuer à se faire bourrer. Non pas que ça lui déplaise dans ce cas précis.

« Ooohhh... est-ce que maîtresse est contente ? Est-ce que la pute... mmmhhh... est à son goût ? »

Pour surmonter une déception amoureuse, il existait plusieurs méthodes. L’une des plus efficaces n’était pas de se morfondre, mais de demander à Mélinda Warren de s’occuper de vous. On s’abrutissait d’autre chose jusqu’à oublier. Alcool, drogue… Mélinda offrait une autre forme de drogue, un abrutissement qui confinait à l’abâtardissement : le sexe. Le sexe débridé et sauvage, qui finissait par vous faire oublier jusqu’à votre propre nom. On pouvait lui faire confiance pour vous offrir un sacré rodéo ! L’inépuisable et infatigable Mélinda était en l’occurrence bien destinée à baiser furieusement Shiro, à lui défoncer tout simplement le cul. Joueuse, elle ne tarda pas à parachever son œuvre en attrapant un collier équipé d’une laisse, et, écartant les cheveux de Shiro d’une main, elle se pencha vers elle. Elle ralentit ainsi le rythme de sa sodomie, souriant doucement, se mordillant les lèvres en attachant le collier autour du cou de Shiro, puis se redressa en tirant sur la laisse, étouffant un peu Shiro au passage.

« V-Voilà… Comme ça, tu es une parfaite chienne, hihi ! » gloussa-t-elle.

Amusée par la situation, Mélinda reprit le rythme, giflant d’une main le postérieur de Shiro, et tirant avec l’autre sur la laisse. Elle s’amusait ainsi à la redresser quand Shiro faisait mine de s’affaisser, la besognant sans relâche. Ce rythme soutenu et intensif allait mettre à rude épreuve les nerfs de Shiro, éprouver sa résistance, son endurance… Mais Mélinda était après tout bien placée pour savoir combien Shiro pouvait se montrer endurante ! Elle avait couché avec une puissante succube, après tout. Mélinda continuait à prendre sa belle infirmière, se délectant de ses hurlements, de ses gémissements, la sentant mouiller frénétiquement… Et finir par avoir un orgasme.

Elle s’abandonna avec délice au milieu de la pièce, mais Shiro savait que ce n’était pas terminé. Mélinda la fessa encore, et poussa alors. Shiro s’étala sur le sol, et Mélinda la suivit, se couchant dans son dos. Elle s’allongea contre elle, relâchant sa laisse, et attrapa ses cheveux. Elle la prenait encore, remuant d’avant en arrière, posant son autre main en appui sur le sol, tout en léchant Shiro dans le creux du cou.

« Je-J’aime toujours autant baiser ma petite chienne… »

Mélinda se redressa, et retourna Shiro, puis changea de trou. Sa verge turgescente s’enfonça dans la chatte de Shiro, et elle la prit en missionnaire, la robe violette en satin remuant de haut en bas, tandis que les longs cheveux de Shiro remuaient dans tous les sens. Mélinda l’embrassa encore, longuement, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Tu es… Ma petite traînée adorée… Une belle petite pute que j’aime fourrer… Ta chatte est tellement humide, ma salope, hmmm… Tu aimes ça, h-hein… Qu-Quand on te baise comme si tu étais la dernière des putes, haaaa… »

Elle l’embrassa encore, mordillant sa lèvre inférieure, tirant dessus.

« T-Toi… Tu sais que certaines de mes filles s’amusent exprès à faire le trottoir en portant des tenues comme ça. La catin que tu es… Serait parfaite dans leurs soirées. Elles font des concours entre elles… Celles qui amassent le plus d’argent, ou de clients… Ou celles qui tombent sur un puceau… Eux, haaaa… Ils finissent tout droit ici, ce sont mes cadeaux… Toi, quand je t’enverrai faire le trottoir… Tu m’offriras des cadeaux, hum ? »

Vivre chez Mélinda, c’était indéniablement s’enfoncer dans un magnifique cercle vicieux !

Avec Mélinda, on ne sait jamais à quoi s’attendre. Ça ne lui suffit pas d’habiller Shiro comme une traînée, elle décide aussi de lui mettre un collier avec une laisse sur laquelle elle peut tirer pour l’étrangler. Rien de dangereux, c’est juste un jeu érotique. Et l’infirmière s’en accommode bien.

« Oui… je suis ta chienne. Aahh… tu veux m’entendre aboyer ? Waf. Waf waf. »

Après que Mélinda ait joui une première fois, Shiro se retrouve allongée sur le ventre, la vampire couchée sur elle et continuant à la prendre en la tenant par les cheveux.

« Waaaf… waf waf ! »

L’infirmière se fait ensuite retourner et elle sent sa maîtresse s’enfoncer dans sa chatte, la prenant en missionnaire tout en fourrant sa langue dans sa bouche. L’entendre la traiter de pute, dire comme sa chatte est humide, ça a de quoi bien l’exciter.

« Ooohhh… oui maîtresse… j’aime être votre pute. »

Mélinda lui raconte que parfois, ses filles s’amusent à faire le trottoir en portant des tenues comme celle qu’elle a sur le dos en ce moment. Elles font des concours pour voir qui amassent le plus d’argent ou de clients. Parfois elles tombent sur des puceaux qu’elles offrent en cadeau à leur maîtresse. Et cette dernière s’imagine déjà les cadeaux que sa nouvelle résidente lui ramènera quand elle la mettra sur le trottoir.

« Hhhmmm… quitte à coucher pour toi… j’aimerais autant le faire ici… que dans la rue. »

Accueillir des femmes dans une chambre luxueuse avec de la lingerie raffinée sur le dos, c’est plus agréable que de leur faire l’amour au coin d’une ruelle ou à l’arrière d’une voiture avec une robe qui dévoile tout. L’idée de jouer les prostituées excite bien Shiro, surtout si elle doit se mettre en compétition avec les autres filles du harem, mais elle préférerait être une fille de joie dans un cadre sensuel et raffiné qu’une putain de ruelle.

« Mais si je tombe sur un puceau en travaillant… je te l’amènerai… pour qu’on se le partage. »

Si sa soirée avec Bran se passe bien, elle commencera peut-être à coucher avec des hommes, mais les femmes resteront sa préférence. De beaux seins bien ronds et des fesses bien rebondies seront toujours plus séduisants pour elle que des épaules larges et une verge épaisse.

Shiro entoure le bassin de Mélinda avec ses jambes, la ceinturant pour la garder près d’elle et profondément enfoncée dans sa chatte, tandis que ses mains vont palper ses fesses.

« Aaahhh… vous avez un si beau cul, maîtresse. Hhhmmm… tout est parfait chez vous. »

Et elle peut profiter de cette perfection pour passer un délicieux moment.

Parler à Shiro de faire le tapin ne servait qu’à créer une atmosphère, mais aussi à lui montrer que, ici, chez Mélinda, la perversion était sans limite. Personne n’acceptait spontanément de se prostituer dans la rue, alors le refus de Shiro ne surprit guère Mélinda. De fait, c’était plutôt l’inverse qui l’aurait étonné. Mais, si Shiro restait ici, qui sait pendant combien de temps elle resterait sur cette position ? Chez Mélinda, on avait tendance à oublier progressivement toute retenue, toute bienséance… Et à faire des choses inconcevables avant ! Qui sait jusqu’où Shiro serait capable d’aller ? Mélinda était en tout cas bien curieuse de le voir ! Mais, pour l’heure, elle se contentait de la pénétrer, s’enfonçant lourdement et puissamment en elle.

« Han, ma puce, tu sais comment parler à ta Maîtresse, toi ! »

Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute… Mais, en l’occurrence, Mélinda ne restait jamais de marbre face à la flatterie ! Shiro lui avouait sa flamme, sa passion, son énergie. Mélinda ne pouvait faire l’indifférente face à un tel amour ! Devant elle, Shiro avouait toute sa concupiscence, sa robe violette craquant et frissonnant sous les multiples coups de reins de la vampire. Le lit craquait avec force, tandis que les deux femmes s’étaient élancées dans une danse frénétique et endiablée. Mélinda faisait preuve de toute sa passion, de toute son énergie, offrant dans la foulée son corps aux mains baladeuses de Shiro. L’infirmière pouvait à loisir palper ses fesses, les presser avec amour, les malaxer fermement. Elle était venue ici pour coucher avec son frère, mais Shiro devait bien s’attendre à ce que Mélinda, en femme gourmande qu’elle était, vienne réclamer son dû !

Elle pouvait sentir toute l’endurance de l’infirmière, toute son appétence pour le sexe. Mélinda l’embrassa encore, puis fila dans le creux de son cou, l’embrassant, et la mordillant même, sans pour autant pomper son sang. Elle la stimulait, tout simplement, soucieuse de la sentir jouir, s’abandonner contre elle. Sa petite Shiro…

« Tu es à la maison, ici… Peu importe ce qui t’arrive, Shiro… Ta Maîtresse sera toujours là pour toi ! »

Mélinda l’embrassa à nouveau, et sentit la vague l’emporter. Tout son corps frémit, et elle se mit à jouir, donnant d’ultimes coups de reins, avant que sa puissante verge ne crache sa semence.

« Haaaaa… !! »

La vampire jouit avec plaisir, s’abandonnant de toutes ses forces à ce plaisir suprême. Elle frissonna ensuite, et, respira lourdement, les cheveux en bataille, le visage en sueur… Son regard croisa celui de Shiro, et elle lui sourit doucement. La main de Mélinda écarta une mèche de cheveux rebelle qui barrait le front de Shiro, et l’embrassa alors sur le front.

« Heureuse, ma belle ? »

Shiro a passé assez de temps avec Mélinda pour savoir une ou deux choses sur ses goûts en matière de sexe. Elle aime les matières qui moulent la peau comme le cuir ou le latex, et elle aime qu’on lui fasse des compliments, qu’on lui dise à quel point elle est belle et puissante. Ca lui donne toujours un bon coup de boost pour baiser celui ou celle qui la flatte. L’infirmière entend les crissements de sa robe sous elle tandis qu’elle se fait joyeusement bourrer, malaxant avec délice les belles fesses de la vampire. Quand elle la sent embrasser et mordiller son cou, elle tremble dans l’anticipation d’un coup de canines qui viendrait perforer sa chair pour que sa maîtresse boive son sang, mais elle ne va pas jusqu’au bout. Dommage, car Shiro jouit toujours en rafale quand elle se fait mordre.

« Ah... aahh... aaahhh ! »

Quand elle sent Mélinda s’abandonner en elle, Shiro atteint l’orgasme à son tour. Un mélange de mouille et de sperme jaillit de son entrejambe quand son amante se déloge d’elle. La vampire caresse son visage et embrasse son front en lui demandant si elle est heureuse.

« Aahh... je suis toujours heureuse... quand je viens ici. »

Il n’y pas mieux que le manoir de Mélinda pour passer un bon moment. Même si on ne peut pas avoir un moment d’intimité avec la maîtresse des lieux, on peut profiter des hommes et des femmes travaillant pour elle, des mets délicats et des boissons raffinées offertes. Shiro ne peut pas s’imaginer passer une mauvaise soirée dans ce manoir.

L’infirmière a besoin d’une minute pour reprendre son souffle avant de repartir de plus belle.

« Est-ce que maîtresse veut me rebaiser tout de suite... ou elle veut s’amuser un peu ? Mes seins et ma bouche... ooohhh... n’ont pas encore eu droit... à votre semence. »

Elle veut peut-être aussi la voir changer de tenue.

Jouir était un acte toujours aussi agréable. Mélinda avait été à un cheveu de boire le sang de sa Shiro, mais elle s’était retenue… Le sang mettait toujours un peu de temps à se reconstituer, et, ce soir, l’infirmière avait rendez-vous avec deux vampires. Il ne fallait donc pas gaspiller inutilement son sang, d’autant que Shiro avait un sang très précieux, très bon. Mélinda l’avait donc doucement mordu, comme une signature, ou une promesse pour la suite… La promesse qu’elle n’oubliait pas ce que Shiro aimait. Mélinda se redressa doucement après cet orgasme, et commença par nettoyer un peu le visage de Shiro, écartant quelques mèches de cheveux rebelles. Sonnée, heureuse, mais toujours demanderesse, Shiro ne tarda pas à la motiver. Elle savait comment lui parler, et Mélinda, quand on la connaissait, avait à vrai dire des schémas assez simples. La flatterie était quelque chose qu’elle appréciait, mais elle aimait aussi chez Shiro cet esprit d’initiative.

« Te rebaiser ? Quelle énergie, ma belle… Mais tu dois en conserver pour ce soir, Bran n’est pas un homme qui se décharge vite. Et puis, tes gros seins me font envie… »

La vampire commença par les embrasser. Sa main en pressa un tout doucement, et elle le malaxa ensuite, pinçant le téton, et lécha celui-ci, le mordillant avec appétit. Elle continua sur l’autre sein, jusqu’à les sentir durcir. Elle se redressa ensuite, et s’assit à califourchon sur le corps de Shiro. Mélinda délaissa ses seins, et approcha sa verge.

« Il est vrai que tu as une poitrine parfaite pour recevoir ma queue, Shiro… Et j’adore te voir maculée de mon sperme, ma belle, alors… »

Son membre se posa entre les seins moelleux et doux de l’infirmière.

« Allez, remue-les, tes beaux seins, ma belle… Montre-moi comme tu es une chienne qui aime te frotter à ma queue… »

Shiro est prête à se faire de nouveau prendre par Mélinda, mais cette dernière lui rappelle qu’elle doit garder des forces pour Bran, qui n’est pas homme à se vider rapidement. De plus, ses seins lui font envie.

« Faites-vous plaisir... maîtresse. »

L’infirmière soupire doucement tandis que la vampire s’amuse avec ses seins, jouant de ses mains et de sa langue sur cette chair moelleuse. C’est seulement quand elle les sent durcir qu’elle décide de mettre sa verge entre eux. Mais elle ne bouge pas, elle veut que ce soit son amante qui remue ses seins pour lui montrer comme elle est heureuse d’être une chienne qui se frotte à sa queue.

« Waf ! »

Shiro entoure sa poitrine avec ses mains et presse ses obus de chair l’un contre l’autre, enfermant la queue de Mélinda dans une prison de chair chaude et moelleuse. Elle commence à remuer ses seins de haut en bas pour lustrer ce chibre veineux et appétissant. Tellement appétissant qu’elle ne résiste pas au plaisir de mettre de petits coups de langue sur le gland quand elle le voit dépasser hors de sa poitrine.

« Wif wif ! »

Elle est comme ça Shiro... généreuse et joueuse.

Au fur et à mesure, l’infirmière trouve un rythme de croisière et décide de faire durer le plaisir pour pouvoir discuter un peu avec son hôte.

« Maîtresse... vous qui avez l’habitude de coucher avec... toutes sortes de personnes... est-ce que ça fait vraiment une différence quand on couche avec un homme plutôt qu’avec une futa ? »

Au vu de cette nouvelle figure qu’elles faisaient, Mélinda sourit lentement, en remuant. Couchée sur le sol, Shiro était limitée dans ses mouvements, et il appartenait donc à sa Maîtresse d’agir au mieux. Fort heureusement, cela rentrait aisément dans les compétences de la vampire, qui dansait sur le corps moelleux de sa partenaire. Le doux et épais contact de ses seins qui venaient comprimer son vit ne manquait pas d’exciter la vampire, qui se pinçait tendrement les lèvres devant ce spectacle.

« Oh, quelle motivation, ma belle… Tu es magnifique ! »

Mélinda sourit encore, enthousiasmée par toute cette énergie, par l’engouement de cette infirmière. Elle était exceptionnelle, et on ne pouvait qu’être enthousiasmée par elle. Mélinda pouvait comprendre pourquoi une puissante succube était tombée amoureuse d’elle, elle avait un charme incroyable ! Et cela ne tenait pas qu’à sa plantureuse beauté. Sa luxure personnelle était un pur régal pour la vampire.

Shiro la sortit alors de ses songes en l’interrogeant sur les différences sexuelles entre les hommes et les femmes. Mélinda l’observa brièvement, cessant de remuer son corps le temps d’ordonner ses pensées, son chibre tapotant les lèvres de sa partenaire.

« Et bien… Hmmm… Ce n’est pas une question facile, ça, car il n’y a pas de réponse évidente ou simple… »

Se doutant bien qu'une telle réponse ne pourrait pas la satisfaire, Mélinda réfléchit un peu. Elle devait choisir la meilleure approche possible, la meilleure façon d'expliquer cela.

« En fait... Je dirais que le sexe est même assez secondaire. Il y a des femmes très musclées, comme les F-Girls... Et il y a aussi des hommes musclés, ou des hommes... Hmmm... Bien plus efféminés. Alors, tout dépend de sur qui tu tombes... Mais, l'un dans l'autre, haaaa... Il y a chez l'homme une sorte de sauvagerie, de bestialité instinctive et primaire... C'est ce qu'on retrouve, généralement... Et c'est ce que tu auras chez Bran... Un homme passionné, qui va te faire l'amour avec force, en conquérant. Il va ravager ton délicieux corps, te baiser de partout, t'amener à bout de souffle... Hmmm... »

Tandis qu'elle parlait, on pouvait sentir que Mélinda partageait son expérience personnelle, car sa verge venait à durcir, s'élançant fièrement contre la peau douce et soyeuse de Shiro.

« Se faire démonter par un homme, c'est très agréable, hmmm... Et le sentir ensuite s'affaler sur soi, vous étreindre sous son poids... Les humains aiment les petites tailles, mais, pour les hommes, plus ils sont forts et lourds, et mieux c'est... La beauté, c'est l'apanage des femmes. Les hommes, ils se doivent d'être brutaux, et de vous faire perdre la raison quand ils vous font l'amour... »

Elle sourit alors, reprenant ses esprits :

« Mais, avec les traps, c'est différent. Autant j'aime quand mon Bran me défonce, autant j'adore sodomiser des hommes... Toi, je suis curieuse de voir ce que tu préféreras... Ma belle Shiro, haaa... »

Shiro avait une longue expérience sexuelle derrière elle, poser ce genre de questions pouvait sembler étonnant de sa part. Mais elle n’a encore jamais rien fait avec un homme, elle ne sait pas à quoi s’attendre et elle veut en savoir un peu plus. Heureusement elle a Mélinda sous la main, dont l’expérience pourra lui apporter les réponses qu’elle cherche. Et elle continue à masser sa queue entre ses seins pendant qu’elle parle.

Selon la vampire, il n’y a pas de façon simple de définir la sexualité entre un homme et une femme. Bien que la plupart des hommes aient en eux une sorte de sauvagerie instinctive et primaire, d’autres hommes sont plus soumis et préfèrent les femmes qui les dominent. Dans le cas de Bran, sa sœur le décrit comme un homme passionné qui va agir avec elle en conquérant, ravageant son délicieux corps et la baisant jusqu’à lui retourner complètement la tête.

« Hhhmmm... ç’a l’air prometteur. »

Mélinda est curieuse de découvrir ce que Shiro va préférer... et Shiro est également curieuse de voir ce qu’elle va découvrir.

« Si ça se passe bien avec Bran... peut-être que je me laisserai tenter... par d’autres expériences. »

Elle a déjà eu l’occasion de coucher avec un garçon très efféminé en tant qu’infirmière du lycée mais ce n’est pas une expérience qui l’a beaucoup marquée. En confiant ses envies de découverte à Mélinda, elle aura sans aucun doute l’occasion de vivre des expériences plus intenses et plus amusantes.

« J’espère qu’il me baisera bien. Pour mon plaisir... et pour le spectacle. »

Car bien sûr, Mélinda sera dans la pièce. Shiro ne peut pas s’imaginer baiser avec Bran sans la surveillance de la vampire. Même s’il y a peu de chances que quelque chose se passe mal, elle sera plus rassurée de la savoir présente. En plus ce sera amusant de la voir réagir en direct à la première fois où son invitée va goûter au plaisir donné par un homme.

« En attendant, on peut finir tranquillement. »

Sa maîtresse et elle vont toutes les deux avoir besoin d’énergie pour ce soir. Shiro maintient le rythme pour masser sa queue entre ses seins et embrasser son gland dès qu’elle en a l’occasion. A voir ce qu’elles voudront faire une fois que la vampire aura joui.

Parler de Bran ne manquait pas de stimuler Mélinda. C’était son grand-frère adoré, après tout, et, même si elle était mariée à Vanillia, c’était un mariage récent. Bran restait son principal amant en terme d’expériences. Il avait été son premier vrai esclave. Au début, c’était un jeune homme rebelle, qui détestait sa sœur, l’accusant d’être responsable de la mort de leur mère. Elle aurait pu le tuer, mais elle avait choisi de le guérir, de le rééduquer. Elle en avait fait un vampire pour qu’il survive, et elle s’était aussi défoulée sur lui. Mélinda l’avait cruellement torturé, jusqu’à casser en lui sa haine, et à le reconstruire. Maintenant, son frère était son esclave le plus dévoué, son garde du corps, et un amant incroyable. Pour elle, il était prêt à tout, mais n’avait pas le comportement éteint d’un automate. S’il avait un naturel plutôt discret et passible, le sexe avait tendance à le stimuler. Mélinda était très fière de son frère, il était sa plus belle création, et elle sentait bien que vanter ses exploits excitait l’infirmière. Cela l’excitait aussi, et sa verge se durcissait, défiant les lois de la gravité, devenant plus douloureuse, plus épaisse et élancée.

« Hmmm… Ma queue se sent si bien entre tes gros seins moelleux, ma Shiro… Essaie de penser à ce que Bran te fera, haaaa… Quand il me baise, c’est incroyable. Je le griffe, je hurle, je pleure, même ! Ooohh, tu vas aimer, oh oui… Haaa… »

Elle soupira encore, rêvant doucement en se rappelant de ce merveilleux souvenir.

« Il fait l’amour à des femmes depuis des siècles… Je lui ai interdit… D’en laisser une seule insatisfaite. Donc… Hmmm… Il te fera jouir, il est… Obligé. Je le regarderai te baiser, ma chérie, je le regarderai te faire hurler, puis je vous rejoindra, et on te baisera… Tous les deux ! »

Ce fut là le coup de grâce, le coup final ! Mélinda soupira doucement, et sa queue se relâcha. Le sperme afflua, et éclata dans le renflement des seins de Shiro, remontant jusqu’à son cou. Le corps de Mélinda se crispa sur place, et elle se mit à jouir avec appétit, s’abandonnant à ce plaisir intense. Les seins de Shiro se mirent à émettre un bruit spongieux au fur et à mesure qu’elle les frottait et qu’ils se recouvraient de son sperme, formant un agréable bruit spongieux.

« Ooohh… Vas-y,  enfile ta tenue de nonne, mais garde le sperme sur tes seins… Tu sais que j’aime le bruit que ça fait, et, sur tes gros seins, ça te va si bien, ma chérie… »

Avec une Warren, il fallait avoir de l’endurance, car Mélinda était plutôt tenace !

Mélinda ne tarit pas d’éloges sur les performances de son frère. Apparemment, même elle ne peut pas s’empêcher de hurler quand elle fait l’amour avec lui. Elle l’aurait même entraîné jusqu’à lui interdire de laisser une femme insatisfaite. Et bien sûr, une fois que Shiro aura bien hurlé, elle les rejoindra et ils baiseront tous les trois.

« Je m’en réjouis d’avance... maîtresse. »

L’infirmière voit bien que Mélinda est émoustillée par le fait de parler de son frère. Elle ne connaît pas leur histoire commune mais il est claire que la vampire est très fière de son frère et de ses performances en tant qu’amant. D’ailleurs c’est en parlant de lui qu’elle finit par jouir, le sperme affluant de sa queue et éclatant dans le renflement des seins de Shiro, remontant jusqu’à son cou. Après ça la poitrine de l’infirmière se met à faire des bruits spongieux à mesure que ses orbes se recouvrent de la semence de sa maîtresse. Cette dernière, justement, ne semble pas vouloir économiser ses forces puisqu’elle demande à son amante d’enfiler l’autre tenue qu’elle avait choisi en plus de la robe. Elle aime entendre le bruit du latex crissant contre le sperme sur la peau nue.

« Hhhmmm... avec joie maîtresse. »

Shiro retire la robe qu’elle porte mais cela ne la déshabille pas vraiment plus. Elle était déjà à moitié nue même avec la robe sur le dos. Elle va ensuite prendre l’autre tenue, s’amusant à onduler du bassin quand elle tourne le dos à Mélinda, et l’enfile aussitôt. La jupe est si courte qu’on peut voir la courbure de ses fesses et le haut, comme prévu, produit des bruits spongieux chaque fois qu’elle bouge à cause du sperme qu’il touche directement. Quant au bonnet, il ajoute une petite touche qui lui donne vraiment l’air d’une religieuse. Ca doit être ce qui excite la vampire. Enfin, ça et le latex bien sûr.

« Vous aimez cette tenue maîtresse ? »

Shiro se caresse la poitrine pour produire plus de bruits humides avec le contact du latex sur le sperme.

« Aahh... je sens votre semence... sur ma peau. Vous m’avez marquée de votre empreinte... hhhmmm... et ça m’excite. »

L’infirmière se rapproche de Mélinda, passe ses bras autour de son cou et vient lui faire sentir son souffle chaud dans son oreille.

« J’ai peut-être l’air d’une nonne dans cette tenue... mais si je me mets à genoux devant vous... ce ne sera pas pour prier. »

Comment sa maîtresse va-t-elle réagir devant cette provocation évidente ?

L’irrésistible Shiro enfila donc sa tenue de nonne. De fait, avoir ainsi mentionné les performances de son frère avait quelque peu excité Mélinda. Ceci étant dit, celle-ci était déjà, de base, très excitée. Mais, après avoir joui sur Shiro, le souvenir de Bran ramena son excitation. Conservant son sperme sur ses seins, comme une sorte de curieuse et perverse signature, Shiro enfila la tenue de nonne. Elle défit lentement la robe violette, enfila la coiffe, puis le corset, et le minishort noir, le tout étant en latex noir moulant. Mélinda sentit sa verge durcir devant ce spectacle, et crispa nerveusement ses mains. Elle entendit le bruit spongieux du latex se frotter à son sperme sur les gros seins de Shiro. L’infirmière coquine se rapprocha de Mélinda, qui constata qu’elle avait une puissante érection. Une verge bien douloureuse qui remontait en l’air, et qui s’apposa contre le minishort de Shiro. Mélinda soupira, et l’embrassa tendrement, plaquant sa bouche à la sienne.

« Hmmm… ! »

Shiro avait enlacé Mélinda, et lui indiqua que, si elle avait l’air d’une nonne, ce n’était qu’en apparence. Mélinda sourit doucement, et caressa les hanches de Shiro, avançant ses mains pour presser les fesses de l’infirmière. Elle les palpa sensuellement, les malaxant avec appétit, frottant son nez contre le sien.

« Tu pourrais être une nonne, tu sais… Bien des choses ont changé depuis la dernière fois, et, désormais, ce manoir est sous la protection d’une Déesse qui m’accorde ses faveurs… Tu en as sûrement entendu parler, c’est la Déesse Aphrodite… »

Mélinda lui sourit, et l’embrassa une nouvelle fois.

« Commençons ton initiation… Mets-toi à genoux, et viens réclamer mon eau bénite, sœur Shiro. »

Un sourire pervers éclaira les lèvres de Mélinda. Elle s’amusait de la situation, et sa verge continuait à durement l’élancer. Qu’est-ce qu’elle l’excitait ! Oh, Shiro était vraiment une femme incroyable ! Plus que jamais, Mélinda avait envie de la conserver près d’elle. Avec elle, Tessia avait loupé sa chance, et Mélinda comptait bien la saisir ! Qui sait jusqu’où leur relation irait ? Shiro se plaisait à l’appeler Maîtresse, et, si Mélinda aimait aussi se faire appeler ainsi, elle sentait bien que Shiro pourrait être davantage… Oui, qui sait comment cette soirée allait finir ?

Shiro et Mélinda s’embrassent, chacune palpant les fesses de l’autre. L’infirmière s’était comparée à une nonne pour rire, parce que son costume lui en donnait un peu l’allure, mais la vampire semble vouloir pousser cette idée plus loin. Elle lui explique que le manoir est désormais sous la protection de la déesse Aphrodite et, comme toutes les divinités, elle a des cultes qui la vénèrent. Elle ordonne à sa soumise de se mettre à genoux devant elle et de venir réclamer son « eau bénite » en l’appelant « sœur ».

« Huhu... bien maîtresse. »

Shiro ne s’attendait pas à ce que Mélinda la prenne au mot comme ça, mais pourquoi s’en priver maintenant que l’idée est lancée ? Elle vient se mettre à genoux devant la vampire et attrape sa verge tendue dans sa main. Tout en commençant à la masturber elle lèche le bout de son gland, se régalant à la fois du goût de son pré-sperme sur sa langue et de l’odeur puissante de ce vit puissant.

« Hhhmmm... quel plaisir de prier un autel... si bien érigé. »

L’infirmière utilise sa main libre pour presser sa poitrine, provoquant plus de bruits spongieux avec le latex glissant sur la semence qu’elle a encore sur les seins. Il faut en profiter tant que c’est possible, ces bruits excitent encore plus sa maîtresse et font durcir son érection, si tant est qu’elle puisse être plus dure encore.

« Je sens la douce caresse du divin... sur mon corps. Ooohhh... c’est vraiment agréable... »

Shiro joue les nonnes de son mieux, ne sachant pas trop comment concilier ce rôle avec l’envie irrépressible de sexe que lui inspire Mélinda, jusqu’à ce que cette dernière atteigne l’orgasme. A ce moment-là l’infirmière dirige son sexe tendu vers sa poitrine et se reçoit les jets blanchâtres de semence dessus.

« Amen. »

Elle a de nouveau du sperme pour faire crisser son latex et elle ne s’en prive pas, malaxant sa poitrine à deux mains sans quitter sa maîtresse des yeux.

« Qu’en pensez-vous maîtresse ? Est-ce que je ferais une bonne sœur pour la déesse Aphrodite ? Je peux encore prier si vous voulez. »

Elle peut même donner de sa personne si nécessaire. On lui a toujours dit que ses courbes avaient quelque chose de divin.

Shiro était d’une perversité sexuelle qui était absolument délicieuse pour Mélinda. Elle sentit le désir revenir en elle, sa verge se redressant tandis que « sœur » Shiro s’agenouillait devant elle, en agréable position de dévote. Mélinda baissa la tête pour la voir, et vit sa verge qui se redressait entre ses seins, une dureté qui trahissait son envie. Le pire était que Shiro n’était qu’une humaine… Une humaine à l’endurance exceptionnelle, une nymphomane qu’il plaisait à Mélinda d’avoir. Elle soupira doucement quand la bouche de Shiro s’attaqua à son membre. La vampire lui avait avoué qu’elle servait désormais une Déesse, mais cela n’avait pas ému davantage Shiro que cela. Sans doute poserait-elle des questions ensuite. Après tout, elle n’était qu’une humaine, mais, après avoir vu une vampire et avoir eu une relation avec une succube, elle avait dû se faire à l’idée du paranormal. Shiro complimenta l’érection de « l’autel » face à elle, et Mélinda sourit doucement. Sa main se déplaça, et caressa les cheveux de Shiro, à travers sa coiffe. Elle entendit Shiro presser ses seins, provoquant d’agréables crissements spongieux. Elle s’attaquait à sa verge à la fois avec sa bouche et sa main, suçant et masturbant sa queue.

« Oh, Shiro… Quelle dévotion, ma belle ! Ta ferveur est très… Hmmm… Appréciable ! »

Mélinda commençait à remuer d’avant en arrière, doucement, accompagnant les mouvements buccaux et digitaux de Shiro. L’excitation de l’infirmière était palpable, et elle portait chez Mélinda, l’influençant également, la stimulant, la galvanisant… Jusqu’à l’éruption finale ! Dans un soupir, Mélinda se mit à jouir entre les doigts de Shiro, qui orienta sa verge vers son bustier. Le sperme jaillit, et éclaboussa cette tenue, rebondissant aussi sur sa peau. Un bel orgasme qui amena Mélinda à soupirer, puis à chanceler ensuite. Elle cligna des yeux, et soupira lentement, un sourire enjoué sur les lèvres.

« Je pense que tu serais une excellente dévote pour la Déesse, ma chère Shiro… »

La vampire sourit encore, et caressa sa joue, puis la repoussa alors.

« Mets-toi à quatre pattes, petite chienne, c’est la meilleure façon de prier Aphrodite… »

Elle laissa Shiro se mettre en place, puis se glissa dans son dos, et palpa ses fesses. Elle les caressa à travers son minishort, qui s’était relevé pour permettre d’accéder à sa croupe. Mélinda sourit lentement, et approcha sa verge. Son membre se glissa  contre sa croupe, et elle sourit ensuite.

« Qui sait ? Peut-être que je pourrais te la présenter ensuite… Mais, pour l’heure… Ma chère sœur… »

Mélinda orienta sa verge, et donna une nouvelle claque sur le cul de Shiro, avant de la pénétrer. Elle soupira doucement en remuant, sentant sa verge s’enfoncer sur plusieurs centimètres, dilatant et écartant rapidement les parois anales de sa partenaire.

« Han, ce que j’aime ton cul, ma belle petite salope ! » s’exclama-t-elle avec délectation.

Prier une déesse en faisant l’amour... si Shiro avait su elle serait déjà une disciple plus que dévote envers cette déesse. Après avoir fait jouir Mélinda avec sa main, elle va pouvoir la faire jouir avec son corps. La vampire lui ordonne de se mettre à quatre pattes pour prier, ce qu’elle fait avec joie, et elle tourne la tête vers son amante pour la voir relever son mini-short, dévoilant son beau petit cul, et appuyer sa verge tendue contre son bassin.

« J’espère qu’Aphrodite nous regarde... qu’elle voit à quel point nous sommes toutes les deux dévouées à elle. »

Après une bonne claque sur sa croupe Shiro sent la trique de Mélinda s’enfoncer dans son anus, se frayant rapidement un passage.

« Ooohhh ooouuuiii ! Je sens ta foi... elle est si puissante. »

L’infirmière joue son rôle de bonne sœur à fond, se délectant du plaisir qu’elle prend en se faisant baiser par la vampire. Et grâce à son pouvoir d’Esper, chacune de ses paroles de dévotion est remplie d’un charme magique qui rend son amante toujours plus excitée et passionnée.

« Déesse Aphrodite... bénissez-nous ! »

Shiro sent bien que Mélinda est plus énergique. Déjà parce que son pouvoir est à l’œuvre mais aussi parce que la vampire est une sodomite passionnée. Quand vous lui laissez le choix du trou dans lequel elle veut enfoncer son vit, elle choisira toujours le cul plutôt que la chatte. Pour sa part l’infirmière n’a rien contre la sodomie, elle préfère juste commencer par une bonne vieille fellation ou une baise vaginale avant de passer par là.

Après de multiples coups de reins, fessées et commentaires graveleux, Shiro atteint l’orgasme la première. Mélinda, quant à elle, continue pendant plusieurs minutes avant de jouir et de décharger sa crème dans le fondement de son amante.

« Aaahhh... ooouuuiii... je sens ton eau bénite... qui entre en moi. »

L’infirmière profite de cette rapide accalmie avant que sa maîtresse ne reparte de plus belle pour l’interroger un peu plus sur le culte d’Aphrodite.

« Dis-moi Mélinda... si Aphrodite est une déesse qu’on prie par le sexe... est-ce que les orgies sont des messes ? Est-ce qu’on peut prier toute nue ? Est-ce que les sextoys sont des objets sacrés ? »

Je me demande à quoi ressemble une école religieuse vouée à cette déesse.

Shiro n’est au manoir que depuis quelques heures et elle se voit déjà prostituée ou bonne sœur. Définitivement il n’y a pas meilleur endroit que chez Mélinda pour les nouvelles expériences.

Pouvait-on trouver meilleure sensation que celle de s'enfoncer ainsi dans un fondement serré ? Oh, bien sûr, mais, en ce moment, Mélinda ne le pensait pas ! Enivrée par un plaisir féroce, sauvage, et même totalitaire, elle se perdait dans cette vague de stupre, dans cette luxure qui l'envahissait, ce sentiment de jouissance perpétuelle et d'allégresse. Shiro flottait elle aussi, et Mélinda soupirait longuement, continuant à la prendre avec force. Son corps remuait d’avant en arrière, continuant à la prendre avec force. Mélinda y allait franchement, son membre s’enfonçant avec appétit dans sa porte arrière, dilatant sans vergogne ses parois anales. La belle infirmière recevait dans la foulée moult fessées pour accompagner ce membre épais, ce vit assoiffé, qui se gorgeait de chair et de désir.

« Hmmm, petite salope… Haaaa… Tu es vraiment une chienne… Une traînée ! Petite pute ! »

Tout en l’insultant, Mélinda continuait à la fesser. Les jurons l’élançaient, galvanisant son adrénaline. Elle continuait ainsi à la prendre, remuant plus fortement en elle, laissant les minutes passer. Elle entendit Shiro louer Aphrodite, et commença à se dire que sa partenaire l’avait vraiment pris au mot ! Mélinda avait parlé de la Déesse, certes, mais ce n’était pas foncièrement dans le but de la convertir, plutôt de se donner de l’importance en montrant à Shiro que la vampire avait de puissantes relations. Mais, après tout, l’idée était de sortir Shiro d’une déception amoureuse, alors elle décida d’y aller sérieusement. Continuant à la sodomiser, Mélinda sentait ses joues s’empourprer sous l’effort, et elle poursuivait son office, multipliant les coups de reins.

« Tu veux que la Déesse te bénisse, hein ? La Déesse aime bien les catins, les putes dépravées dans ton genre ! Est-ce que tu es une belle pute, Shiro ? Une salope qui bouffe des bites pour sa Déesse ? Tu crois être suffisamment salope pour ça, hein ? Hmmm… !! »

Et Mélinda y allait joyeusement, continuant à la besogner puissamment, giflant le cul de Shiro, claquant celui-ci. Elle avait beau avoir un petit gabarit, la femme avait une rude endurance sexuelle, offrant à Shiro une aventure incroyable. Le corps de Mélinda continuait à remuer, les minutes défilant avec délice. Sa partenaire finit par succomber, et se mit à jouir, sous l’effet d’une ultime gifle. Mélinda grogna ensuite, et, dans un soupir, s’abandonna à son tour, inondant de sa semence le fondement de Shiro. Elle se répandit dans le corps de l’infirmière, et soupira ensuite, reprenant peu à peu son souffle.

Comme toujours, faire l’amour avec Shiro était très incroyable. L’infirmière émergeait alors, et l’interrogea sur Aphrodite.

« Tu as de sacrées questions, toi… Je vois que ce que j’ai dit concernant cette Déesse n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde, hein ? »

Elle sourit doucement, et se retira du fondement de Shiro, puis la poussa en avant. Shiro se retrouva couchée sur le lit, et Mélinda la retourna ensuite, la couchant sur le dos. Elle s’allongea ensuite contre elle, et l’embrassa tendrement.

« Toute forme de sexe est sacré pour notre Déesse, tant qu’il s’agit d’une relation voulue et consentie. Alors, oui, tu peux voir mes orgies comme une forme de messe… Toi, tu ferais une magnifique prêtresse. Enfin, à ta manière, tu l’es déjà un peu, ma belle chérie… »

Mélinda l’embrassa à nouveau, et, plus elle l’embrassait, et plus sa verge durcissait, si tant est qu’elle se mit à remuer lentement sur le corps de Shiro, frottant sa verge contre elle, puis la pénétra ensuite, lentement, doucement, pour le plaisir de s’unir à elle.

« Il y a longtemps qu’on s’était vues… Hmmm… Les choses ont un peu évolué pour moi. Servir Aphrodite m’était tout à fait normal, je la servais déjà… À ma manière. Hmmm… Mais… Qui sait quelle nouvelle expérience tu pourras faire ce soir… Ohh… »