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Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:28
par Reine Alice Korvander
En sentant la verge de son amant s’enfoncer en elle, Alice ne tarda pas à crisper ses doigts sur le torse de Melendil. La jeune femme avait beau avoir acquis une certaine expérience en matière sexuelle, elle restait toujours une femme pleine de passion, pleine de fougue, remplie d’une envie débordante et furieuse de faire l’amour intensivement. Mais, là, elle remuait à un rythme apaisé, se contentant surtout de sentir cette belle queue en elle, ce membre veineux qui s’enfonçait dans sa chatte. Quelques minutes passèrent, tandis qu’elle se dandina doucement, remuant de gauche à droite, afin de mieux sentir les mains de son amant sur ses fesses, ses doigts venant lentement presser son petit cul. Alice s’en mordilla les lèvres, véritable nymphe toute de flammes. Melendil lui précisa qu’il comptait prendre son temps, et Alice sourit lentement. Quand il se redressa, elle se laissa aussi glisser, et attrapa sa nuque, avant de l’embrasser, leurs corps se serrant l’un contre l’autre, ses seins s’enfonçant contre son torse.

« Tu… Tu ignores la tradition autour de ce rituel, hein ? Cela n’a rien de surprenant, elle… Elle n’est écrite dans aucun livre, haaaa… »

Par les dragons, que cette queue lui faisait du bien ! Elle y avait goûté sous toutes les formes, mais elle n’arrivait pas à s’en lasser. Alice aurait pu craindre que la passion ne s’émousse avec le temps, mais Mélinda lui avait bien dit qu’elle continuait à faire chaudement l’amour, alors qu’elle avait plusieurs siècles d’existence. Des propos relativement rassurants pour la jeune femme, qui se frotta contre le visage de son époux, et poursuivit :

« Au… Au-dessus de cette tour, il y a une colonne de feu, perceptible depuis le Château. Elle… Hmmm… Elle signifie que nous… Haaaa… Que nous faisons l’amour, mon chéri, hmmm… Cette colonne de feu, comme ces flammes… Elles ne disparaîtront que quand tu auras mis un bébé en moi. »

Un nouveau soupir s’échappa de ses lèvres, et elle repoussa Melendil, le couchant au sol, et se redressa un peu. Si Melendil avait perfectionné ses techniques, il pourrait vite constater qu’Alice n’était pas en reste. Elle remua donc, et gémit en sentant la queue de Melendil coulisser contre ses parois intimes, et remonta encore, la libérant de plus en plus, jusqu’à ce que seule la pointe ne se retrouve encore nichée en elle. Sa mouille dégoulinait alors entièrement sur la queue de l’homme, tandis que ses longs cheveux blonds tombaient en cascade de part et d’autre de son visage, noyant son visage d’un halo de feu, comme une sorte de vision hypnotique, surréaliste, exquise à souhait.

Souriant à nouveau, Alice se pinça les lèvres, crispa ses ongles sur le torse de Melendil, et s’enfonça alors brusquement, jusqu’à la garde, faisant claquer ses hanches. Elle s’aidait de ses genoux, mais aussi de ses mains, se hissant en s’appuyant sur le torse de l’homme, et commença donc à remuer. C’était un magnifique mouvement en deux temps, où elle descendait avant de remonter, marquant l’entracte en se délectant de sentir cette verge en elle, accompagnant cela de longs soupirs. Plus pernicieuse, elle s’amusa même à rester immobile pendant un certain temps, griffant les épaules de Melendil, sentant la frustration et la douleur remonter en elle, son corps hurlant qu’elle remue, qu’elle ondule sur sa queue… Ce qui devait aussi être le cas pour Melendil. Il tenait bon, elle le sentait dans ses yeux, mais elle aussi, à sa manière, elle cherchait à le faire craquer, à lui rendre la monnaie de sa pièce.

Car, même si Alice se laissait facilement aller, elle aussi avait été formée par Mélinda, et avait rencontré dans son harem des prêtresses d’Aphrodite et de Lust, sans parler de ses rencontres ponctuelles avec des succubes. Elle pouvait donc lui donner le change, et, tout en jouant ainsi avec lui, elle n’hésita pas à se pencher vers lui, venant tendrement l’embrasser, collant sa bouche contre la sienne, enfonçant alors sa queue en elle, et remua doucement des hanches, tout en jouant avec sa langue, l’enfonçant sensuellement dans sa bouche.

« Rien ne presse, mon aimé, rien… Ici, avec toi, je voudrais y être pour l’éternité. Une éternité à te supplier de me faire jouir, une éternité à quérir ton sperme, une éternité à sentir ton corps, à lécher ta sueur, à sentir ta peau nue claquer contre moi, à t’entendre dans mon dos me besogner… Oh, Melendil, je n’aurai pas de toute une vie d’elfe pour me languir de toi ! »

C’était la fougue de la jeunesse, l’excès de la passion qui s’exprimait ici… Mais, à sa manière, Alice avait toujours été une femme passionnelle.

Et là, dans ce sanctuaire, au milieu du feu ardent nourri par leur passion mutuelle, celle-ci était en train d’exploser !

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:28
par Melendil Korvander
Melendil avait encore, même après tous ces mois passés en compagnie d'Alice, un peu du mal à y croire, dans un recoin de son esprit. Lui, l'elfe vagabond, voleur, le "vaurien" comme l'aimait à l'appeler la princesse, qui était parvenu à devenir un prince. Oh certes, il n'aurait jamais de réelle autorité sur Sylvandell, car au contraire d'autres royaumes ou la femme, même unique héritière, ne pouvait exercer le pouvoir, ici Alice aurait pleinement ses pouvoirs régaliens lorsqu'elle succèderait à son père sur le trône.
Mais malgré tout...même en l'absence de ça, quelle ascension. Alors qu'Alice dansait sur lui, s'empalait délicatement sur sa queue, Melendil revoyait quelques bribes de ses souvenirs la concernant. Cette fameuse fois où, par hasard, il avait fait partie de la foule au moment où Alice avait bien failli être assassinée, et où il l'avait secourue in extremis de ce poison. Il portait encore les cicatrices, dans le dos, des multiples coups de fouet qu'il avait reçu ensuite dans le donjon, car on l'avait pris pour l'un des assassins sur le moment. De là, à maintenant...quelle évolution. Mais Melendil n'avait pas non plus présentement trop l'occasion de laisser son esprit s'égarer, ni l'envie d'ailleurs. Redressé pour partager avec son épouse un baiser, alors que cette dernière l'aidait à maintenir sa position en l'attrapant par la nuque, il était parfaitement subjugué par la beauté qui le chevauchait. Et alors qu'elle restait ainsi sur lui, sans bouger pour le moment, la jeune femme lui fit un petit cours d'histoire, bien qu'assez bref...mais au contenu plus qu'intéressant. Le feu dans lequel ils baignaient formait une gigantesque colonne montant très haut dans le ciel, et qui signifiais que le jeune couple était en train de s'unir...et qui ne s'éteindrait que lorsque Melendil aurait enfanté Alice. Lorsque Melendil comprit très vite ce que cela impliquait, un sourire malin traversa son visage, et tout en maintenant une main dans le dos de son aimée, il ne pu alors résister à l'envie de subtilement glisser l'autre sur l'une des fesses d'Alice pour l'empoigner.

Alors raison de plus pour que je fasse durer notre union le plus longtemps possible mon amour. Après tout...hm...l'empereur en personne a fait le déplacement, et une partie non négligeable de la noblesse de Mijak. Et comme je suis certain que beaucoup d'entre eux auraient voulu de toi comme épouse, il ne faudrait pas qu'ils se fassent des idées, et qu'ils me prennent pour un maigrichon incapable de combler son épouse.

C'était une question d'honneur ! Mais l'idée semblait en tout cas beaucoup l'amuser, et Alice quand à elle acheva son petit cours en l'amenant à s'allonger de nouveau. C'était une position...qu'il adorait, vraiment, Alice au dessus de lui était majestueuse, belle et sensuelle. La princesse se redressa alors, sortant le sexe de Melendil presque en entier de son antre intime, seul son gland y restant niché...avant de s'abattre d'un coup vif à nouveau. Sa chair claqua contre la sienne, et Melendil en frissonna de tout le long de son corps. Encore une fois, si avec sa belle tête blonde et ses airs de princesse, Alice ne le paraissait pas au premier coup d'oeil, elle était terrible au lit, et il n'était pas donné à tout le monde de pouvoir suivre la cadence. La jeune femme se mit en effet à remuer, mais en prenant son temps, et faisait même des pauses en laissant juste son sexe complètement fourré en elle, dans son antre intime douce et chaude.

Hmmm...quelle princesse malicieuse tu fais ma belle...

Fort heureusement pour Melendil, il s'était longuement préparé pour ce rôle d'amant. Entre ses techniques de méditation elfiques, et ses...cours auprès de prêtresses dédiées à l'érotisme et à l'amour, l'elfe parvenait à maîtriser son corps. De plus, dans cette position passive, il pouvait pleinement se concentrer sur sa respiration, et le contrôle de ses muscles. Il aurait pu jouir dans l'immédiat, mais il se retenait avec efficacité, ce qui par ailleurs renforçait la dureté de son érection. Le bel elfe avait ses mains posées sur les cuisses de sa partenaire, et la regardait danser doucement sur lui sans en perdre une miette, jusqu'à ce qu'elle finisse par s'abaisser vers lui. Ils échangèrent alors un nouveau baiser, tendre et amoureux, avant qu'elle ne lui déclare à nouveau sa flamme bien à sa façon. Melendil lui caressait les joues, ôtant ça et là des mèches de cheveux rebelles qui tombaient sur le visage de sa princesse.

Qui aurait cru qu'un vaurien comme moi, finirait par épouser une magnifique plante comme toi Alice ? Chaque jour que je passe entre tes bras m'a l'air d'un rêve, et il, est des fois ou je me demande ou si effectivement, je ne rêve pas. On dirait vraiment une espèce de conte de fées non ? A ceci près que...je ne pense pas qu'un prince charmant serait capable de tenir la distance avec toi.

Malicieux comme toujours, il alla néanmoins frotter son nez contre celui d'Alice dans un doux geste d'affection...le tout en glissant ses mains le long des flancs de sa belle, sentant sa peau couverte de sueur contre le bout de ses doigts.

Je t'aime ma chérie, et nous allons prouver notre amour à l'ensemble de l'empire. Vas-y, laisse le feu du dragon s'exprimer. Je me suis préparé durant des mois pour ce moment.

Avant d'ajouter, dans le creux de son oreille, et juste avant d'en mordiller le lobe.

A ton tour de me baiser, mon amour...

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:29
par Reine Alice Korvander
Alice sourit doucement quand la main de son elfe glissa sur ses cheveux. Elle avait ralenti le rythme de sa pénétration, tout en conservant sa verge bien nichée en elle. Elle caressa sa main, et déposa un tendre baiser sur sa paume quand il chercha à la récupérer. L’homme commenta ensuite leur situation actuelle. Le « vaurien » avait l’impression de vivre un conte de fées, et elle sourit doucement, continuant à sentir son membre en elle. Elle posa ses deux mains sur son torse. Des flammèches filaient le long de ses doigts, et elle caressa sa peau, ce torse parfait. Combien de fois l’avait-elle embrassé, léché, mordillé ? Ensemble, ils avaient fait l’amour fréquemment, convulsivement, de manière passionné. Melendil avait effectivement compris que sa Princesse avait un appétit sexuel démesuré, comme une conséquence du feu du Dragon qui bouillonnait en elle. Il avait appris qu’avec Alice, l’amour serait toujours intense, et qu’il allait devoir juguler leur romantisme par un soupçon de perversité. Il apprenait d’ailleurs très bien, et Melendil, s’il ignorait ce qu’Alice avait prévu pour célébrer leur mariage, savait déjà que ce serait… Très pervers.

Elle sourit donc, et pinça doucement sa chair, enfonçant ses ongles contre sa peau, et se pinça les lèvres, se penchant en avant. La verge de Melendil disparut un peu plus en elle, et Alice soupira encore, doucement, ses joues venant rougir de plaisir. Là, comme ça, avec sa chevelure flamboyante, elle était magnifique, une véritable torche humaine de désir et de passion.

« Tu n’as jamais été un vaurien à mes yeux, Melendil… Tu es mon Prince, et tu seras bientôt mon Roi. Ceux qui s’en plaignent ne connaissent pas mon pays. Erwan… N’était qu’un vaurien, lui aussi, avant de fonder Sylvandell. Et toi, mon Melendil, tu seras mon Roi. »

Le Roi Melendil… Difficile de croire un jour que ce Bas-elfe, vivant dans les ghettos elfiques des quartiers humains, puisse atteindre l’ultime grade de l’ascension sociale. C’était pourtant bien cela qui allait arriver. Prince, il le serait à partir de ce soir. Sans doute y aurait-il ensuite une cérémonie spéciale pour l’officialiser en tant que Prince héritier de Sylvandell, destiné à devenir le Roi de Sylvandell. Ceux qui avaient critiqué ce choix étaient indifférents pour Alice, car Sylvandell avait toujours fonctionné ainsi. Et son père le savait. Il savait que sa fille aimait Melendil, qu’elle voyait en lui le futur Roi de Sylvandell. Et tous avaient vu en Melendil un elfe soucieux de bien faire, qui se cultivait, qui étudiait beaucoup, qui s’instruisait sur l’Histoire de Sylvandell, de Mijak… Qui faisait tout pour être un Prince digne de ce nom.

Alice était tombée amoureuse de lui par hasard, mais, à chaque jour qui passait, elle avait l’intime conviction que cet amour était sincère, qu’il croissait chaque jour. Alice le sentait exploser en elle, et, quand Melendil lui dit d’y aller, elle sourit donc. Son corps se redressa à nouveau… Et elle s’abaissa encore.

« Hnnn… Me-Melendil, haaaaa… »

Son corps se mit à remuer, et, à chaque mouvement ascendant, les flammes virevoltaient autour d’elle. Ses longs cheveux blonds se détachaient progressivement de son corps, comme si le vent les soulevait. Alice gémit à nouveau, sentant la virilité de l’homme se perdre en elle. Elle continua à remuer, fermant les yeux, les rouvrant ensuite pour regarder son amant, et se força à les ouvrir… Et, quand Melendil manqua les fermer, elle se pencha vers lui, et pinça son épaule.

Ses lèvres se collèrent aux siennes, et Alice l’embrassa pendant quelques secondes, tirant sur sa lèvre inférieure.

« Non, Melendil, je… Je veux que tu me regardes… Nous ne devons pas fermer les yeux, je veux te regarder, encore et encore, pendant que je te chevauche, et je veux que tu vois tout de moi… Que ce soit un moi belle ou vulgaire… »

Elle continua à remuer, et serra sa main dans la sienne, ses doigts se crispant dessus, ne rompant pas le lien. Autour d’eux, les flammes s’échappant de leurs corps mutuels se mélangeaient entre elles, ne formant qu’un seul et grand brasier.

« Nous formons désormais un lien unique, Melendil… Cimentés par notre amour, bénis par le feu du Dragon. Toi et moi, hmmm… Haaaaa… Un même feu nous anime, et… Je n’ai aucun secret pour toi, mon aimé… Hnnnn… »

Elle soupirait en se pinçant les lèvres, accélérant de plus en plus, la verge de Melendil devenant de plus en plus lisse, ce qui facilitait indéniablement la pénétration d’Alice. Poussant de longs soupirs, elle se laissait aller. Rien ne pressait, et elle voulait encore profiter de Melendil, les bruits de claquement de leur chair se mêlant à ses langoureux soupirs…

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:29
par Melendil Korvander
Melendil appréciait beaucoup de se retrouver dans cette position, allongé, avec Alice qui s'occupait de le chevaucher à la manière d'une amazone. Mine de rien, l'elfe avait ainsi une plutôt belle vue sur son magnifique corps nu, et n'était pas insensible à la légère sensation d'être "dominé" en quelque sorte par sa femme, qui imposait le rythme en étant ainsi sur lui. Et puis, comme il n'avait pour ainsi dire pas à se concentrer sur le fait de devoir remuer ses hanches, il pouvait dans cette position d'avantage se focaliser sur sa méditation, et retarder encore plus aisément le moment où il allait jouir en elle. Alice quand à elle lui parlait amoureusement, du fait qu'il n'était pas un vaurien pour elle, mais son prince...et bientôt son roi. Melendil sourit à cette perspective, et aurait même pu se permettre de plaisanter sur le sujet, mais la vérité était que maintenant il devait vraiment se concentrer pour ne pas juter trop vite. Cela faisait déjà un bon moment qu'ils faisaient l'amour, et plus Melendil se niait le plaisir de l'orgasme pour pouvoir continuer à faire l'amour à Alice, plus cela devenait physiquement douloureux, et demandait de la concentration. Ainsi, alors qu'elle commençait à remuer sur lui, et qu'il sentait sa verge coulisser dans la chatte chaude et humide de sa belle, Melendil avait eu le réflèxe de fermer les yeux pour se refocaliser, car mine de rien, la vision des seins d'Alice, et de cet espèce d'air qu'elle avait à prendre du plaisir, rendait plus...compliqué la tâche de se retenir.
Mais à peine l'elfe avait-il fermé les yeux qu'il sentit sa femme se pencher vers lui, et l'embrasser en lui pinçant la lèvre inférieure. Comme c'était aussi subit qu'innatendu, Melendil s'en trouva forcément un peu décontenancé, jusqu'à ce qu'Alice déclare qu'elle ne voulait pas qu'il ferme les yeux, et qu'elle voulait qu'il la regarde tout du long.

Oh...Hum et bien...tes désirs sont des ordres tu le sais...

Il soupira alors longuement, tâchant de travailler sur sa respiration, alors que ça y est, Alice entreprenait de le chevaucher, de plus en plus rapidement. Le verge de Melendil était fourrée dans l'intimité de la belle depuis quelques temps déjà, et Alice avait eu largement le temps de mouiller, ce qui faisait que le membre tendu de l'elfe coulissait avec aisance en elle.
Le temps passa sans que les deux amants ne s'en soucient, les invités avaient de toutes façons été prévenus que cette partie du mariage, ou les deux mariés partaient à la rencontre du Patriarche pour sa bénédiction, pouvait durer des heures. Melendil parvint à bien tenir le coup, même si c'était plus compliqué à force de sans cesse regarder Alice. Il l'aidait comme il le pouvait, notamment en posant ses mains sur ses délicieuses hanches, en la supportant lors de ses coups de bassin, même si ses mains étaient volontiers très exploratrices. Ses cuisses, ses hanches, ses flancs et ses seins, il allait et venait sur ces zones de l'anatomie d'Alice, tout en se retenant du mieux qu'il le pouvait. Mais même avec toute la volonté du monde, Melendil ne pouvait pas se retenir éternellement, et après un einième orgasme de la part de sa compagne, l'elfe se retourna tout en emmenant Alice avec lui, et s'allongea sur elle.

Ma chérie...je crois que je ne vais plus pouvoir me retenir très longtemps.

Melendil était en effet en sueur, il avait la respiration lourde, et même si il tentait de le cacher, son visage trahissait quelques spasmes de douleur, alors que sa queue lui semblait aussi lourde qu'une enclume. Mais il ne se plaignait pas, jamais, car l'orgasme quand il arrivait enfin n'en était à chaque fois que plus intense, proportionnellement au temps qu'il parvenait à tenir. Là...il s'était vraiment poussé dans ses derniers retranchements, galvanisé par l'idée que cet orgasme en elle serait celui qui ferait de lui un père. Melendil et Alice étaient désormais dans la position très classique du missionnaire, mais qui était pourtant une de leurs favorites sur la fin de leurs ébats, car ils pouvaient se voir et s'embrasser à loisir. Melendil avait une main posée sur l'autel, près de la tête d'Alice, tandis qu'il avait posée l'autre sur une des joues de sa femme. Il commençait doucement à remuer.

Cette fois c'est du sérieux...je vais te mettre enceinte...pas de regrets ?

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:29
par Reine Alice Korvander
Enlacés sensuellement l’un contre l’autre, au milieu des flammes qui tourbillonnaient entre eux, Alice et Melendil continuaient à faire l’amour. Il ne s’agissait pas d’apaiser une quelconque soif sexuelle, un désir insatiable, mais d’exprimer leur amour mutuel par ce biais. En ce moment, leurs deux âmes brûlaient à l’unisson, ne formant plus qu’un seul battement, un seul rythme cardiaque. Alice caressait les cheveux soyeux de son aimé, qui venait embrasser ses seins. Elle l’avait chevauché au début, avant de le laisser se relever. Elle voulait le sentir contre lui, au plus près d’elle, de son corps… Son amant, son parfait mari, l’homme qu’elle aimait, son Roi… Celui qui allait l’enfanter ! Là, ce soir, sur cet autel, sous la bénédiction du Patriarche, Melendil allait la féconder, il enfonçait sa verge dans ce terreau fertile, dans cette ouverture intime.

« Melendil… »

Le temps leur échappait, sa durée n’avait plus d’effet sur eux. Plus rien ne comptait, et, de l’extérieur, les flammes du Sanctuaire brûlaient furieusement. Elles étaient d’ailleurs perceptibles depuis le Palais de Sylvandell, formant une torche très vive, qui s’illuminait de plus en plus fortement. Un feu magique nourri, non pas par le souffle du Patriarche, mais par l’énergie de leur passion. Ce rituel purifiait leurs âmes, leurs corps, et les forgeait ensemble. Avec le feu, on pouvait lier des matériaux, et, avec ce feu magique, on liait des âmes. Jamais ils ne pourraient divorcer. Cette fois, Alice le sentait ; cet amour brûlerait de mille feux, il la nourrirait, il l’abreuverait, car Melendil la complétait. Ici, personne ne pouvait venir les déranger, tout corps étranger serait enflammé. Les flammes magiques tournoyaient sur place, étincelantes, surprenantes, étouffant leurs cris… Car cela, c’était leur moment. Pour eux, rien que pour eux.

Ils s’enlaçaient ensemble, et Melendil ne cherchait plus à retenir son orgasme. C’était inutile. Alice laissa le plaisir l’envahir, encore et encore. Elle repoussa Melendil, elle le coucha sur le sol, le dominant de sa hauteur, avant de l’embrasser, elle embrassa ensuite son cou, ses épaules, ses tétons, léchant, mordillant même. Puis elle revenait à l’assaut, l’empêchant pour l’heure de se relever. Difficile de dire combien de temps ils passèrent ainsi. Dehors, la nuit était noire, et la pleine lune brillait dans un ciel étoilé, sans nuages. Quand ils étaient venus ici, c’était le coucher de soleil. Mais tous les invités le savaient, et cela était l’occasion pour eux de converser, et de préparer la fête. Car Sylvandell avait son rituel, et, pendant que les amants faisaient l’amour, on installait dans le haut-plateau de Sylvandell de lanternes célestes. Ces lanternes flottaient dans les airs quand on utilisait des flammes dessous.

« Melendil… Ah, MELENDIL ! »

Il n’y avait rien de plus à dire, juste à savourer. Alice et Melendil jouirent encore une fois à l’unisson, et les deux le sentirent ensuite, dans leur chair, dans leur poitrine, au plus profond de leur âme.

Ce serait la prochaine fois… Quand Melendil jouirait encore en elle, il l’enfanterait. Son spermatozoïde se glisserait dans l’ovule d’Alice, et leurs deux âmes en fabriqueraient une nouvelle. Melendil se releva alors, et ils ne dirent rien pendant quelques secondes, chacune serrant la main de l’autre. Alice savait ce qui allait se passer, et ils n’avaient pas besoin de parler pour le savoir. Ils se déplacèrent doucement, et l’elfe la poussa doucement, la couchant sur le dos devant l’autel. Le feu les entourait totalement, comme s’ils étaient au cœur d’une étoile. Dehors, des ailes se déployaient autour du Sanctuaire, et même l’eau du lac brillait fortement.

Alice se coucha donc, et sourit en sentant Melendil venir contre elle. Il posa une main sur l’autel, l’autre sur sa joue, et elle caressa les siennes, puis son torse, et sourit alors, écartant les jambes.

« Il est temps, Melendil… Je crois que j’ai attendu ça toute ma vie. Prends-moi, mon amour, féconde-moi. »

Elle soupira quand il s’enfonça en elle. Elle remua avec lui, serra ses cheveux, et l’embrassa. Un baiser long et intense, tandis qu’elle se serrait sur lui, enroulant ses jambes autour de son bassin, avant de les écarter. Elle glissait sur le sol. Sa bouche était magique, sa langue joua avec la sienne, déclenchant une série de frissons électriques. Elle aurait pu jouir, mais sentit la puissance du Dragon les en empêcher, les retenant. Le feu brûlait encore, dehors, toujours plus fort.

Il s’enfonçait en elle, elle gémissait. Le Patriarche les ferait jouir ensemble, simultanément, mais quand le moment serait venu. Les deux amants n’en faisaient plus qu’un, disparaissant au milieu des flammes… Ils s’embrassaient énergiquement, passionnément, et la queue de Melendil tapa contre son col de l’utérus, remuant très profondément en elle. Elle gémit encore, le baiser se rompit, et reprit ensuite, encore et encore. Ils n’étaient plus qu’un. À ce stade, ce qu’Alice ressentait était indescriptible. Ce n’était pas juste du plaisir, ou ce mélange de plaisir et de douleur formant le plaisir sexuel… C’était un sentiment de félicité, de béatitude absolue. Elle flottait dans le firmament avec son aimé, et souhaitait que ce moment de bonheur dure éternellement…

…Mais Melendil finit par jouir.

Le feu explosa autour d’eux, et le Sanctuaire s’illumina furieusement, une colonne de feu s’élevant dans les airs, visible dans tout le royaume. Un feu qui brûla aussi dans le corps d’Alice. Elle sentit le sperme de Melendil la féconder, et jouit furieusement à son tour, hurlant en lui griffant le dos. Melendil jouit violemment, longuement, puissamment, et, quand la vague passa, les flammes disparurent également, les laissant tous les deux l’un en l’autre, leurs corps en sueur doucement et chaudement serrés.

Alice respirait longuement, planant en reprenant peu à peu ses esprits.

« Ton bébé… Je porte ton bébé, Melendil… »

C’est en clignant les yeux qu’elle réalisa qu’elle était en train de pleurer. Des larmes de joie, de bonheur. Car elle le savait, maintenant. Aussi indéniablement que le soleil se levait le matin, elle savait qu’elle était enceinte… Et que ce jour sonnait un nouveau départ pour Sylvandell et pour les Korvander. Elle l’avait vu au moment de jouir, comme si le Patriarche le lui avait dit.

Car deux spermatozoïdes avaient rejoint son ovule. Alice allait donner naissance à des enfants extrêmement rares, bénis par le Destin… Dans son ventre, des jumeaux sesquizygotes allaient venir au monde.

Mais, pour l’heure, elle voyait le ciel étoilé depuis le sol du Sanctuaire, la verge de son mari toujours en elle. Le feu s’était éteint, mais les flammes étaient encore en eux, bouillonnant chaudement.

« Embrasse-moi, Melendil… Je veux encore te sentir, je veux que ton corps m’écrase, je voudrais pouvoir rester ici jusqu’à la fin des temps, avec toi me faisant l’amour sans relâche… »

Elle ne rêverait pas dans les prochains jours… Car aucun des rêves qu’elle pouvait faire ne pouvait être à la hauteur de ce moment. Elle vivait pour le coup un véritable rêve éveillé.

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:30
par Melendil Korvander
Melendil sentit un frisson le parcourir lorsqu'il enfonça à nouveau sa verge dans l'antre intime de sa femme, une vague de plaisir intense remontant tout le long de son corps depuis son sexe, car s'ouvrait désormais au plaisir de coucher avec elle, et de jouir sous peu. Les différentes techniques qu'il avait appris pour retarder son éjaculation et contrôler son plaisir "anesthésiaient" en quelque sorte sa capacité à ressentir le plaisir de la friction contre son sexe, et ce afin de ne pas générer un orgasme trop rapidement, mais le corps en était tout de même conscient et cela générait une frustration et une douleur qui grandissaient progressivement, mais que Melendil avait appris à gérer pour tenir de plus en plus longtemps. Le fait était que lorsqu'il se concentrait ainsi, Melendil ressentait bien moins de plaisir par l'acte lui même de faire l'amour, ce qui le poussait à le faire était bel et bien l'envie de faire plaisir à sa partenaire, et la satisfaction personnelle de faire jouir Alice bien plus de fois que lui même ne pouvait jouir. Mais là, non seulement Melendil était arrivé au bout de ses limites, mais il était également...temps pour eux. Alice confirma qu'elle voulait bien ça, qu'il vienne en elle, et qu'il lui donne un enfant, leur enfant, et alors qu'il faisait céder les barrières mentales qu'il s'était lui même mis en place pour ne pas jouir, il soupira de plaisir en s'abandonnant dans son corps.

Hmmm...oh Alice...

L'elfe se mit assez rapidement à remuer dans l'intimité chaude et humide de sa femme, il la prit en missionnaire en s'allongeant largement sur elle, venant l'écraser délicatement avec son corps musclé en sueur, pour la sentir contre lui. Il répondit bien évidemment à son baiser, et de fait ne cesserait pas de l'embrasser tout du long, tant il avait envie de pleinement s'unir à elle en cet instant. Melendil pouvait sentir son coeur battre dans sa poitrine fort, tant ce cumul d'amour, de désir et d'anticipation était fort. Il ne saurait pas trop comment l'expliquer mais...le fait de savoir que jouir allait cette fois porter les fruits de leur union l'excitait au plus haut point, et au vu de comment Alice l'embrassait et le plaquait contre elle, c'était réciproque. Melendil accéléra progressivement les rythmes de ses va et viens dans l'antre intime de sa femme, à mesure qu'une sorte de "vague" semblait remonter le long de sa queue, il grognait même doucement tout en embrassant sa belle, signe qu'il ne tarderait plus tellement à jouir, ce qu'elle pourrait aussi sentir avec le côté de plus en plus anxieux des coups de rein qu'il lui donnait. Il essaya de se retenir juste encore un petit peu, mais c'était peine perdue à ce stade, Melendil se sentit arriver au point de non retour, et bourra alors sa belle épouse avec quelques derniers mouvements rapides et amples avant de...complètement s'enfoncer en elle, et d'y rester alors que son sexe se mit à tressauter, dur comme de l'acier, et à cracher ses premiers filaments de sperme.
Melendil cessa alors d'embrasser Alice pour pouvoir pleinement s'allonger sur elle, et fourrer l'intégralité de son sexe dans son intimité pour être sûr de jouir au plus profond d'elle. L'péhèbe soupirait et grognait contre l'une des oreilles de sa belle, qu'il serrait fort tout en la fécondant bien comme il le fallait, et c'était une sorte d'effet secondaire de s'être autant retenu, il éjacula beaucoup, et longtemps, durant une bonne minute durant laquelle il sentit aussi sa femme jouir avec lui. A l'issue de cet orgasme intense, pour tous les deux, Melendil respirait comme si il sortait d'un Marathon, mais aussi comme si il était soulagé d'un gros poids. Se retenir ainsi finissait par être douloureux à force, et son sexe lui avait fait l'effet d'être une enclume, jusqu'à maintenant. Il se redressa légèrement pour pouvoir observer le visage d'Alice, et il constata qu'elle pleurait de joie en annonçant que oui, elle portait son bébé. L'effet que cela fit à Melendil était difficile à décrire, tant ce fut un tourbillon d'émotions pour lui. Il était ému de voir ainsi sa femme heureuse de porter son enfant, et si il le ressentait déjà auparavant, son désir de la protéger elle et le fruit de leur union sembla grandir d'avantage.

Alice...

Pour le moment Melendil avait du mal à enchaîner plus de deux mots, alors il fit ce qu'il pouvait faire de mieux, il vint l'embrasser. Cette fois ce n'était pas un baiser passionné et animal comme ils pouvaient en faire en plein ébat, il fut doux, et Melendil déposa une série de baisers délicats sur les lèvres de sa femme avant de glisser sa langue dans sa bouche, tout en douceur et en sensualité. Allongé tout contre elle, Melendil avait une mains posée sur une de ses joues, et l'autre caressait l'un de ses flancs, sentant sa peau délicate, chaude, et mouillée par sa propre transpiration, jusqu'à ce qu'il cesse le baiser au bout d'un long moment.

J'ai fait ce serment devant le prêtre, mais je le fais maintenant à toi et toi seule...je suis là pour toi mon amour, à jamais. Pour toi, et pour notre enfant...

Il était rare de voir Melendil aussi sérieux, lui qui avait pour habitude de prendre la grosse majorité des situations avec sa désinvolte naturelle mais...il était là évident qu'il voulait être sérieux. L'elfe n'avait que trop conscience de ce que tout ça devait signifier pour Alice depuis son divorce avec son ancienne femme, qui avait disparue dans des circonstances...que Melendil n'avait jamais vraiment cherché à savoir, par respect pour cette blessure évidente que ça avait été pour Alice. Par ces mots toutefois, il était évident qu'il faisait la promesse à sa femme de ne pas faire de même, et d'être là pour elle jusqu'au bout. Il laissa à Alice le temps de digérer ces mots, puis tout en glissant son pouce sur ses lèvres, lui sourit alors en déposant un baiser sur son nez.

Maintenant...je crois que nos invités doivent nous attendre, vu que le feu du patriarche s'est éteint. Non pas que l'idée de continuer de te faire l'amour me déplaise, mais je suis quasiment sûr que tous ces nobles me rejetteront le faute dessus si nous sommes "trop" en retard...déjà que j'ai du les faire douter de leur virilité maintenant...

Le soleil était en effet haut dans le ciel lorsqu'ils étaient arrivés au sanctuaire, et ce dernier était désormais presque couché, après tout...et bien évidemment, cela ne pouvait qu'amuser ce taquin d'elfe, qui ne cesserait jamais complètement d'être un vaurien.

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:30
par Reine Alice Korvander
Ensemble, ils venaient de s’unir. Sous les yeux du Draogn, ils n’avaient fait plus qu’un, et, même si Alice n’avait pas la certitude d’être enceinte, elle le savait. En son for intérieur, elle savait que la semence de Melendil venait de la féconder. Il l’avait labouré avec une énergie dévorante, passionnante, au milieu du feu tumultueux déclenché par le souffle du Patriarche. Et il aurait pu continuer à la prendre, encore et encore. Alice avait les joues rougies, les cheveux défaits, et son corps était fatigué… Mais elle aurait pu continuer ça inlassablement. L’amour qu’elle ressentait envers son époux, désormais son Prince, dépassait toute fatigue physique qu’elle aurait pu potentiellement ressentir. Le désir dominait tout le reste, noyait toute forme de fatigue, il s’imposait à tout ce qu’Alice était susceptible d’éprouver.

Lové contre elle, Melendil lui caressa doucement les cheveux, et elle le regarda ensuite. Sa main glissa sur son torse, caressant sa peau. Si beau, il était si beau ! Oh, son magnifique Prince ! Les yeux d’Alice luisaient doucement, et elle sentit même ceux-ci s’embuer quand il lui assura qu’il ne vivait que pour elle, uniquement pour elle, et pour leur enfant. Elle secoua brièvement la tête, et caressa sa joue, puis l’embrassa.

« Oh, mon amour… Je t’aime, mon Prince. »

C’était moins recherché que lui, mais, honnêtement, que pouvait-elle dire après une telle déclaration ? Le froid commença alors à s’insinuer. La magie du Patriarche s’était envolée, et Alice se rappela qu’elle n’était pas couchée sur un lit, mais sur un sol froid et dur. Melendil lui rappela alors, à juste titre, qu’ils étaient attendus. Elle acquiesça, et ils se relevèrent alors. Melendil l’aida à se relever en attrapant sa main, et, quand Alice se releva, elle se blottit alors contre lui, et sentit sa belle verge caresser son bassin. Elle rougit alors, s’empourprant doucement en posant ses deux mains sur son torse, ressentant soudain l’envie de…

« Hrrrm-hrrrm !! »

Alice sursauta en voyant une silhouette à l’entrée du Sanctuaire. Une silhouette bien connue qui se rapprocha doucement.

« Mélinda ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?!
Notez que vous voir vous faire l’amour ne me dérange pas personnellement, mais le Roi souhaite impérativement que sa fille revienne avant l’aube pour commencer les festivités.
Il est si tard que ça ?
Disons que je poireaute dehors depuis une demi-heure que les flammes s’éteignent !
Oh… »

La jeune Princesse rougit doucement en regardant la femme, puis se retourna vers Melendil.

« Mon chéri, je te présente Mélinda Warren, c’est… Enfin, tu l’as déjà vu, c’est notre témoin de mariage.
C’était un très beau mariage, et j’ai très envie de voir la suite… Et puis, je t’ai fait une robe ! »

Mélinda lui fit signe d’approcher. Elle avait ramené un coffre, et l’ouvrit, venant en sortir une magnifique robe dorée et sombre.

« Elle a été brodée et tissée sur mesure, je connais tes mensurations par cœur. J’ai aussi ramené un costume pour ton époux, même si, à mon humble avis, il faudrait le laisser nu… Il est vraiment trop craquant !
Oui, mais ce serait un peu inconvenant pour un Prince… »

Mélinda ne pouvait qu’acquiescer.

« Puisque tu as l’air doué de tes doigts, Melendil, viens m’aider ! »

La vampire ne savait pas trop comment s’y prendre, et commença par donner à Alice un string doré. Celle-ci était toujours nerveuse, mais enfila celui-ci, ainsi que les gants, puis laissa le reste de la robe se mettre. C’était une robe chinoise qui était en réalité noire avec des motifs dorés. Mélinda termina en coiffant les longs cheveux d’Alice, les nouant par un nœud papillon, et glissa une fleur noire dans ses cheveux, évoquant les motifs floraux de sa robe.

Le résultat final était admirable !

« Tu en penses quoi, Melendil ? »

Alice s’observa lentement, sans avoir noté l’une des subtilités de la robe : une possibilité d’ouverture de la doublure sur l’arrière, à une position très sensible !

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:30
par Melendil Korvander
Melendil était dans un état comparable à celui d'Alice, il avait beau avoir besogné sa magnifique femme pendant ce qui avait du être des heures entières, il aurait dans l'absolu volontiers pu continuer ainsi. Si il avait travaillé son endurance au fil des mois, Melendil aurait quand même du se sentir fatigué après pareille partie de jambes en l'air, et c'était tout de même partiellement le cas mais...il était absolument assez en forme pour continuer.
A vrai dire, seule la réalisation qu'ils étaient là depuis un moment et que leurs invités devaient commencer à trouver le temps long, avait fini par faire prendre conscience au couple qu'ils devaient peut-être songer à revenir au banquet. C'était toutefois bien compliqué, Melendil aurait encore eu envie de faire l'amour à Alice, surtout après que cette dernière aie encore déclarée qu'elle l'aimait, tout en l'appelant "mon prince", ce qui ne manqua pas de lui arracher un léger sourire, mais qui n'était nullement moqueur juste...il était touché, tout en essayant quand même de ne pas le montrer de trop afin de garder un peu sa contenance.

Prends garde mon amour, je pourrais m'habituer à ce que tu m'appelle ainsi. C'est techniquement vrai mais...je suis déjà insupportable comme ça tu sais...

Une petite pointe d'humour, avant qu'il ne se redresse de l'autel, puis tende sa main à Alice afin qu'elle puisse la prendre, et ainsi l'aider à se relever. Mais à ce moment, une fois Alice debout, cette dernière se trouva blottie contre lui. Rien de vraiment étrange à proprement parler, mais c'est sans doute à cet instant que Melendil allait se rendre compte d'à quel point, véritablement, la bénédiction du dragon d'or venait de donner un coup de boost à leur libido déjà pourtant bien développée. Melendil sentit un frisson le parcourir lorsque sa verge entra en contact avec la chair chaude du bas ventre d'Alice, qui en prime...posa alors sensuellement ses deux mains sur son torse. A l'unisson avec Alice, Melendil ressentit alors une forte poussée de désir à l'encontre de sa femme, et aussi étrange que cela puisse paraître, avait la certitude que c'était réciproque car il...le sentait.
Melendil regarda alors Alice avec une lueur de désir presque sauvage dans les yeux, et s'apprêtait à poser ses deux mains sur les fesses de sa femme pour la porter à nouveau sur l'autel...quand il entendit une femme se râcler la gorge derrière eux.
Surpris, l'elfe réagit au quart de tour en se retournant subitement, et Alice parla avec elle...Mélinda. Le prince se détendit alors après cette brève surprise, car Mélinda était une amie de longue date d'Alice, et une confidente, qui ne manqua d'ailleurs pas de noter qu'ils avaient vraiment passé un long moment ici, à faire l'amour dans les flammes, et que bien des heures étaient déjà passées.

Par tous les Dieux, je n'ose imaginer la mine déconfite de tous tes anciens prétendants en voyant qu'on a tenu aussi longtemps toi et moi, ma belle.

Melendil s'amusait un peu à cette idée c'était...plus fort que lui, il trouvait extrêmement ironique qu'il soit parvenu à clouer le bec à autant d'aristocrates qui auraient pris leur mariage avec Alice pour acquis au vu de leur richesse, mais là de plus, certains d'entre eux venaient peut-être même d'en prendre un coup quand à leur masculinité...
Alice lui fit alors officiellement les présentations. Melendil avait beaucoup entendu parler de Mélinda Warren de par sa femme, mais c'était la première fois qu'il la voyait vraiment au cours d'une discussion, elle était même leur témoin de mariage, c'était donc dire à quel point Alice et elle étaient proches. Melendil hocha doucement la tête en signe d'approbation, mais des échanges plus concrets devraient attendre, car Mélinda était venue avec des tenues de rechange pour eux deux, ce qui était plutôt bienvenu car leurs tenues avaient été carbonisées par la chaleur du feu de dragon. Mélinda fit une remarque sur le fait qu'il était tellement "craquant" qu'il faudrait le laisser nu.

L'idée est intéressante, mais j'en conviens que ça ferait sans doute beaucoup à accepter. Ajouta-t-il avec un sourire.

Puis, il aida Mélinda à habiller Alice de sa nouvelle robe qui était...absolument magnifique et qui la rendait encore plus sexy, si telle chose était possible. Melendil à ce stade ne chercha même pas à se retenir de bander, car ça aurait été purement impossible, la femme de sa vie dans une tenue pareille...
Il leva les sourcils quand Alice lui demanda ce qu'il en pensait, et soupira un coup avant de répondre.

J'en pense...que ce banquet va être un enfer car tu es proprement irrésistible. Je vais non seulement faire des jaloux, mais en plus de ça il va être difficile de me retenir de vouloir te faire l'amour. Mais...est-ce que ça n'en vaut pas la peine pour te voir aussi radieuse ?

L'elfe s'approcha alors de sa femme pour rapidement l'embrasser, puis enfila à son tour son costume dont il eut un peu de mal à enfiler le pantalon, et il se força à comprimer un peu sa queue tendue pour pouvoir fermer correctement son vêtement. Le couple et Mélinda sortirent alors du sanctuaire, à l'extérieur duquel un beau carrosse les attendait, et dans lequel les trois montèrent, avant que le cocher ne se mette en route pour les ramener au palais. Melendil et Alice étaient côte à côte, lui tenant la main de sa femme, tandis que Mélinda était assise sur l'autre banquette en face.

Alors Mélinda...si j'ai bien compris ce que Alice m'a dit, toi et ton frère serez nos...assistants de nuit de noces c'est bien ça ?

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:31
par Reine Alice Korvander
Melendil était tout simplement somptueux. Comme toujours, Mélinda avait très bien choisi, et l’érection de son époux n’échappa guère à Alice quand elle eut terminé de mettre la robe. Il était extrêmement tentant de le laisser agir, mais ce ne serait assurément pas raisonnable ! Le jeune couple avait déjà du retard, et Mélinda ne resterait sûrement pas de marbre non plus si elle voyait le couple se livrer à un quickie. Cependant, allaient-ils tenir tous les deux toute la soirée ? Vu comment Alice bouillonnait sur place, elle ne le pensait sincèrement pas ! Mais elle resta stoïque, et aida Melendil à enfiler son costume. Quand elle posa sa veste en la boutonnant, elle se pinça les lèvres. Ses seins frottèrent son torse, et elle rougit, frémissant sur place. Son regard croisa celui de Melendil, et elle ne fut qu’à un doigt de l’embrasser, et de le laisser la pénétrer… Mais Mélinda se racla la gorge, en les invitant à grimper.

« Oh, je crois que je vais avoir du mal à te résister ce soir… Mon Prince. »

Il allait falloir qu’il s’y habitue, Melendil n’était plus ce petit vaurien des bas-fonds qui avait secouru une Princesse, mais un Prince, beau et fort. Il avait travaillé dur pour être digne de porter ce titre, et Alice savait qu’il se montrerait à la hauteur. Il était tout à fait indiqué pour ça, et le duo rejoignit la calèche, main dans la main. La calèche s’ébranla ensuite, et démarra doucement, filant vers le Palais royal.

Melendil interrogea alors Mélinda, qui sourit doucement.

« Entre autres, oui… Alice est pour ainsi dire ma meilleure amie. Je l’ai connu quand elle était toute petite, et j’ai depuis lors toujours veillé sur elle. Alors, quand elle m’a parlé de vous, Melendil, et que j’ai compris qu’elle vous aimait, je l’ai encouragé dans son choix. Comme vous, je suis de basse extraction. Enfin, mon père était un noble, mais il a perdu toute son influence par la suite. J’ai fini esclave avant de récupérer le manoir de mon père, et, si je suis toujours une esclavagiste, sachez bien que je ne cautionne nullement la plupart des pratiques esclavagistes en cours dans l’Empire. Mais ça, je suppose qu’Alice a déjà dû vous parler… Ou t’en parler ? »

Alice sourit doucement. Elle serra lentement sa main gantée dans celle de son mari, et hocha la tête.  Melendil n’aimait guère l’esclavage, mais Alice lui avait expliqué que Mélinda ne torturait pas ses esclaves.

« Vous êtes d’ailleurs cordialement invités tous les deux à mon harem. Comme ça, Prince Melendil, vous pourrez réaliser à quel point mon harem est un refuge agréable pour les personnes qui y résident. Mais, en ce qui concerne la présente soirée, votre ‘‘nuit’’ de noces risque de durer longtemps. Le feu qui bouillonne en vous deux est loin de s’être consumé, et il semble particulièrement vivace. Ce serait pour moi un honneur que de vous accompagner ce soir… Ou pour les autres jours. »

Le regard de Mélinda croisa celui d’Alice, qui se pinça les lèvres, et regarda alors Melendil, une lueur un peu plus malicieuse dans les yeux.

« En fait… Nous risquons d’avoir une nuit de noces qui durera plusieurs jours d’affilée. Alors, j’ai organisé avec Mélinda plusieurs sessions avec divers invités. Je souhaite que tu rencontres tous ceux avec qui j’ai eu… Des relations assez intimes. Tu partages tout de moi, maintenant, Melendil. Mais, effectivement, le feu qui nous consume ne risque pas de s’éteindre avant plusieurs jours, le Patriarche nous a insufflé d’une énergie divine. »

Mélinda acquiesça silencieusement, tout en constatant que l’érection de Melendil peinait visiblement à partir.

« Lorsque nous arriverons au Château, je vous annoncerai. Le temps que tous les convives se regroupent dans la salle principale pour vous féliciter, vous aurez quelques minutes de tranquillité, ce qui sera suffisant pour vous permettre de… Enfin, si la robe a une ouverture par l’arrière, ce n’est pas pour rien, j’ai pensé à tout. »

Alice rougit furieusement devant ce que cela impliquait.

« Je crois que nous allons devoir beaucoup nous absenter pendant le repas, Melendil… »

Elle rajouta ensuite, à voix basse, en se penchant vers lui :

« …Car je compte bien que tu me baises comme on ne m’a jamais baisé jusqu’ici… »

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:31
par Melendil Korvander
La luxueuse calèche dans laquelle lui, Alice et Mélinda se trouvaient s'était mise en branle pour les raccompagner jusqu'au château, où le banquet de ce soir allait avoir lieu avec moultes invités, sans compter les festivités qui se dérouleraient aussi à l'intérieur. Melendil était quand à lui...heureux, tout simplement, mais il sentait aussi comme une sorte de feu brûler en lui depuis que le patriarche avait béni son mariage avec Alice, c'était difficile à décrire, mais il se sentait comme excité en quasi permanence. Certes, là en l'état, il parvenait à faire bonne figure, mais il avait des difficultés à contrôler son érection, surtout en la présence de sa désormais épouse juste à ses côtés dans une tenue aussi magnifique que sexy. Mélinda lui répondit alors, elle était effectivement l'une des meilleures amies d'Alice, ainsi qu'une amante régulière de ce qu'il avait compris également. Le nom des Warren était aussi assez connu au sein de l'empire pour ses activités, actuelles comme passées, et le moins qu'on puisse dire, c'était que Mélinda avait une sacrée histoire derrière elle. Bien sûr, la question de l'esclavage était chez lui une corde sensible, considérant le fait qu'il en avait été plus ou moins un durant une bonne partie de sa jeunesse...mais il faisait confiance à Alice pour ne pas se lier d'amitié avec des personnes du même genre que ceux qui avaient abusé de lui par le passé, alors il voulait bien donner sa chance à Mélinda de lui prouver ses propres dires. Il allait le dire par ailleurs mais le sujet de leur nuit de noces fut abordé.

Oh...et bien tu me rassure, j'étais en train de me demander si ce "feu" dont tu parles allait durer pour le restant de nos jours. Diriger un royaume comme ça serait...compliqué.


Alice lui étala d'ailleurs leur programme, une nuit de noces qui durerait de fait plusieurs jours consécutifs, avec beaucoup d'invités, pour les aider à épancher leur soif qui promettait d'être gigantesque, car pour l'instant en effet, Melendil ne voyait juste pas de fin à ce désir qu'il ressentait, brûlant, de faire l'amour à son épouse, pas plus qu'il ne semblait fatigué après ce long rituel. De fait, tout ce programme ne contribuait pas vraiment à le "calmer" au contraire, son érection semblait plutôt repartir et ce sans avoir jamais vraiment complètement dégonflée...et puis, les deux belles femmes avec lui dans cet espace confiné n'aidaient pas non plus à parler aussi ouvertement de sexe. D'ailleurs, quand Alice déclara que lui et elle devraient s'absenter à plusieurs reprises même au cours du repas, et qu'elle voulait qu'il la baise comme jamais....c'en fut de "trop" pour lui. Le bel éphèbe lui répondit, en allant l'embrasser, assez subitement d'ailleurs, ce qui trahissait le fait qu'il était bel et bien, dores et déjà, à sa limite.

Par tous les Dieux Alice...même le simple fait d'entendre ta voix...je ne vais même pas pouvoir tenir le temps qu'il nous reste de trajet jusqu'au Château mais...

Son sourire malicieux se dessina alors sur ses lèvres, tandis qu'il détourna légèrement le regard en direction de Mélinda qui les observait depuis tout à l'heure, progressivement se rapprocher l'un de l'autre.

Est-ce que notre invitée va vouloir se contenter de nous regarder, ou bien se joindre à nous ?

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:31
par Reine Alice Korvander
Alice avait déjà eu l’occasion de parler à son époux de sa meilleure amie. Savoir que la meilleure amie d’Alice était une esclavagiste avait inquiété Melendil, qui était un ancien esclave, mais Alice lui avait assuré que Mélinda n’était pas comme les autres. Tous ses esclaves avaient fait le choix, conscient, de rester auprès d’elle. Même ceux qui naissaient esclaves pouvaient, à leur majorité, choisir de rester esclaves ou d’être émancipés. Alice aurait volontiers pu être son esclave, et il lui arrivait parfois de jouer à ça avec elle. Il semblait donc naturel qu’elle soit là, avec elle. Mélinda était sa meilleure amie, mais aussi celle qui avait substitué la figure maternelle dans l’enfance d’Alice. Une femme forte et indépendante, qui lui apportait des livres, qui la conseillait… Et qui avait fini par lui faire l’amour.

Melendil était nerveux, peinant à se retenir, surtout quand Alice retourna le motiver. Sa verge se durcit joyeusement, il lui vola un baiser sensuel et énergique.

« Hmmm… !! »

Rompant le baiser, Melendil se retourna vers Mélinda, et lui demanda si celle-ci comptait agir, ou juste rester passive. Mélinda sourit alors, une lueur amusée dans les yeux.

« Vous croyez vraiment que je vais rester inactive en vous voyant ainsi, tous les deux ? Et puis, comme j’ai déjà couché avec notre chère Princesse, il semble naturel que le beau Prince charmant me fasse l’amour, non ? »

Alice sourit à son tour, se frottant contre le torse de Melendil, son visage glissant sur son épaule. Elle l’embrassa à nouveau, elle aussi bien excitée. Se pinçant ensuite les lèvres, elle vit Mélinda se déplacer. Celle-ci finit à genoux devant Melenndil, et libéra l’accès à sa verge. Elle tira sur son pantalon, et sa belle verge ne tarda pas à se déployer. Mélinda posa sa main sur sa hampe de chair, et la caressa avec appétit. Ce beau membre la stimulait furieusement, et elle lécha ensuite, donnant plusieurs baisers dessus.

« Hmmm… Alice a eu raison de te mettre les doigts dessus… Si je t’avais trouvé avant… Mais, d’un autre côté, coucher avec un Prince… J’ai toujours aimé les hommes de pouvoir, surtout quand ils sont beaux comme toi… Et bien montés ! »

La main d’Alice se serra sur ses cheveux.

« Arrête de le faire languir, c’est un Prince, il ne faut pas le faire attendre ! »

Voir une Alice plus directive, ce n’était pas pour déplaire à Mélinda, qui se pinça les lèvres, et commença à avaler ce membre. Alice, elle, retourna embrasser son époux, se déplaçant ensuite un peu pour s’asseoir contre lui, ses jambes à droite et à gauche de lui, évitant tout de même de gêner Mélinda pendant son onctueuse et intense fellation…

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:31
par Melendil Korvander
Cela pouvait sembler étonnant venant de lui mais...ça allait être la première fois de sa vie que Melendil allait, de toute évidence, faire l'amour avec deux femmes en même temps. Non pas que cela le dérange bien au contraire, surtout vu la beauté des deux femmes en question, mais il ne se serait jamais cru avoir l'audace de se trouver dans pareille situation. Le feu du dragon était vraiment en train de lui donner bien plus d'assurance, et surtout enflammait ses sens et son désir. Ainsi, tandis qu'il embrassait Alice qui se trouvait juste à côté de lui, sur la banquette de ce carrosse, Mélinda vint les rejoindre, et se mit à genoux devant lui avant de tirer sur son pantalon pour libérer sa verge. Il soupira longuement tout en continuant d'embrasser sa femme, jusqu'à ce que les deux cessent pour observer les actions de Mélinda. Cette dernière ne manqua pas de le complimenter, le tout en se saisissant de sa queue d'une main et en allant déposer de multiples baisers dessus. Melendil allait lui répondre, mais Alice, notant qu'elle était en train de jouer avec lui et de le frustrer, posa sa main sur les cheveux de la vampire pour brièvement les saisir, tout en lui...ordonnant de passer à la vitesse supérieure.
L'elfe tourna son visage un peu surpris vers sa belle, mais ce n'était clairement pas pour lui une mauvaise surprise au contraire...il aimait plutôt lorsque Alice parvenait à faire ressortir ce côté noble et un peu autoritaire chez elle, et à fortiori pour ordonner à Mélinda de vraiment le sucer. Ce fut ce que la vampire entreprit de faire, gobant son beau membre dans sa bouche pour commencer à le sucer, tandis qu'Alice vint se mettre à califourchon sur lui, en se pressant bien pour laisser la place à Mélinda de le sucer. Melendil posa alors une main sur la nuque de sa femme pour approcher son visage du sien.

J'adore quand tu fais preuve d'autorité comme ça...

Il lui sourit malicieusement, avant d'aller l'embrasser encore, et d'en profiter pour glisser sa deuxième main dans son dos jusqu'à aller fermement empoigner son cul. Il donnait aussi de légers coups de bassin de temps à autre pour accompagner les mouvements de Mélinda sur sa queue, mais il était vrai qu'il était bien plus focalisé sur sa femme. Après un bon baiser, il glissa sa main qui était posée sur la nuque d'Alice jusqu'à ses seins, et d'un coup bien senti fit descendre la petite partie toute dorée de sa robe qui lui servait de soutien gorge, pour libérer ses seins. Dans la position qui était la leur, Melendil se trouvait à la hauteur parfaite pour aller fourrer son visage contre la généreuse poitrine de sa femme, et c'est exactement ce qu'il fit en allant flatter l'un des seins d'Alice avec sa langue et sa bouche, tandis qu'il malaxa l'autre avec sa main...le tout en continuant de presser son cul avec l'autre.
Il se délectait des soupirs et des gémissements qu'Alice poussait, et lui même se surprenait à parfois pousser des petits râles, car il devait se retenir de jouir, vu que Mélinda était en train de le sucer et que...et bien diable, sa longue longévité en tant que vampire propriétaire d'un harem se sentait dans la fellation qu'elle lui donnait.

Ma belle...que dirais-tu d'aller rejoindre Mélinda ? Elle doit se sentir un peu seule...

Les deux en même temps en train de s'occuper de son sexe tendu...comment lui en vouloir d'avoir ce désir en ce moment même ?

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:32
par Reine Alice Korvander
Ainsi positionnée, Melendil était dans une position qui avait de quoi laisser rêveur. Deux magnifiques femmes s’occupaient de son corps, son épouse, et la meilleure amie de son épouse, celle qui l’avait sexuellement formé. Voir ainsi Alice ordonner à Mélinda de sucer Melendil surprit agréablement ce dernier, mais aussi Mélinda. Habituellement, Alice avait plutôt tendance, face à elle, à s’incliner, à être la soumise… Quoi de plus naturel, dans la mesure où Mélinda était une femme autoritaire, qu’Alice connaissait depuis sa plus tendre enfance, et qui l’avait sexuellement formé ? Mais, justement, Mélinda l’avait bien formé ! Alice sourit donc quand Melendil commenta cette autorité soudaine chez sa femme.

« Tu sais, maintenant que nous sommes mariés, je vais devenir une Reine… Une Reine se doit d’être autoritaire, surtout devant son Roi bien-aimé… »

Elle frémit en sentant les mains de l’elfe se poser sur ses fesses. Il la souleva un peu, la redressant afin qu’elle ne gêne pas Mélinda. La vampire sentit la main d’Alice s’écarter lentement de sa tête. Elle n’avait plus besoin de la retenir, maintenant que Mélinda avait la verge de Melendil dans la bouche. Elle soupira doucement, sentant l’épaisse queue durcir et grossir entre ses lèvres. Elle poussa en avant, comprimant ses lèvres pour aspirer l’air autour de ce chibre. Elle pompa cette queue jusqu’à la garde, optant pour une première gorge profonde. Si proche du couple, elle pouvait sentir les battements cardiaques des deux amants s’emballer frénétiquement, ce qui était très excitant pour elle. Mélinda ne tarda pas à se caresser intimement, très excitée. Elle avait enfin l’occasion de goûter à ce bel elfe, et elle pouvait comprendre pourquoi Alice l’adorait tant ! Si Mélinda avait posé ses griffes sur lui avant, elle en aurait assurément fait l’un de ses amants !

Alice, de son côté, embrassa longuement Melendil, jouant de sa langue avec la sienne, avant qu’il ne l’amène à se redresser, en pressant son cul. Et, tout en la soulevant, il tira sur la robe d’Alice, dégrafant son haut, libérant l’accès à ses seins. Elle était relevée, ce qui permit à Melendil de s’attaquer à ses lourds seins. La jeune Princesse gémit en sentant la langue de son amant glisser sur ses tétons durcis, avant de les mordiller. Sa main se serra sur ses cheveux, et elle se déplaça doucement, se calant sur la tête de Mélinda. Elle s’appuyait dessus, sans trop insister, afin de ne pas la gêner. Melendil, après avoir joué avec les seins d’Alice, lui demanda de rejoindre Mélinda.

« Oh… Tu nous veux toutes les deux à tes pieds ? »

Elle sourit alors, et l’embrassa sur les lèvres, avant de mordiller sa lèvre inférieure.

« À vos ordres… Maître. »

Une lueur espiègle dans les yeux, Alice descendit au sol, entre les cuisses de Melendil, se frottant à Mélinda. Celle-ci retira sa bouche de la verge de Melendil, et Alice alla la remplacer, suçant sa belle queue, pompant son dard tandis que Mélinda se penchait pour lécher les testicules.

« Hmmm…
Haaaa… Vous avez une queue si dure, mon Roi… »

Alice le pompa pendant quelques instants, puis les deux femmes s’amusèrent à lécher sa queue, chacune d’un côté, leurs langues se touchant au passage, s’effleurant. Melendil pouvait constater la grande complicité entre elles, car les deux femmes agissaient avec talent, se coordonnant et se synchronisant pour éviter de se gêner mutuellement. Elles léchèrent sa belle queue, l’embrassant dans la foulée, et s’embrassant même en ayant un bout de la verge de l’elfe dans leur bouche. Puis Mélinda retourna pomper sa verge, et Alice, se lovant contre elle, l’embrassa dans le creux du cou, tout en la caressant intimement.

« Notre chère invitée a la chatte en feu en vous suçant, Maître… Je crois qu’elle a très envie que vous la baisiez fort ce soir… »

Elle s’amusait à le vouvoyer, curieuse de voir s’il saisirait cette perche pour jouer à l’amant dominateur…

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:32
par Melendil Korvander
Melendil avait effectivement très envie de les avoir "toutes les deux à ses pieds" comme venait de le dire sa femme, ce serait une première pour lui qui avait jusque là fait dans le plutôt traditionnel, en ne couchant qu'avec une partenaire à la fois. Maintenant qu'il était marié à Alice, les choses étaient déjà en train de changer, et ce n'était clairement pas pour lui déplaire.

Pour ma défense, n'importe quel homme dans ma position y songerait. Répondit-il en souriant.

Il était étonnant comme le feu du dragon lui donnait nettement plus d'assurance, et cela venait en bonne partie du fait qu'il était désormais instinctivement plus en harmonie avec les désirs d'Alice et inversement. Cette dernière vint brièvement l'embrasser sur les lèvres, et lui mordiller les lèvres juste avant de l'appeler "Maître". Oh Melendil frémit à ce mot, le temps pour Alice de redescendre et de se mettre à genoux en face de lui, et aux côtés de Mélinda, qui arrêta alors de le sucer pour permettre à Alice de le prendre en bouche à son tour, même si la vampire ne resta pas inactive en allant fourrer son visage plus en bas pour s'occuper de ses testicules. L'homme ne pouvait alors guère faire mieux que de bien écarter ses jambes pour laisser à ces deux femmes la place d'honorer sa verge tendue, et poser chacune de ses mains sur leurs têtes respectives pour carresser leurs cheveux...un peu comme pour féliciter de bonnes chiennes obéissantes. Ce fût surtout le cas lorsque Alice, après lui avoir pompée la queue pendant un temps, se retira pour la lécher et que Mélinda la rejoignit pour en faire de même. Elles étaient toutes les deux à parcourir avec leurs langues et leurs lèvres son sexe bien dur, comme si elles s'attaquaient de concert à une délicieuse glace, répandant leur salive dessus tout en le regardant.

Huuum...elle est dure car vous êtes de bonnes chiennes, continuez...

Jouer le rôle de "Maître" avait toujours été un peu délicat pour Melendil, peu habitué à ce rôle et aussi car il craignait d'aller trop loin. Mais le feu du dragon lui donnait l'assurance nécessaire, ainsi que la certitude instinctive qu'Alice...en avait vraiment envie. Il le ressentit pleinement lorsqu'elle lui reparla ainsi, alors qu'elle laissait à nouveau à Mélinda le plein soin de le sucer, et qu'elle était lovée contre son amie, en ayant glissée sa main entre les cuisses de la vampire pour la masturber. Ce petit commentaire sur la chatte en feu de leur invitée, et le fait qu'elle continue de l'appeler Maître acheva de lui faire comprendre qu'il fallait complètement de saisir de cette perche. Les doigts de Melendil se serrèrent un peu plus fortement dans les cheveux de Mélinda, et il poussa à l'arrière de sa tête pour la "forcer" à prendre tout son sexe en bouche dans une intense gorge profonde qu'il maintint pour la faire s'étouffer dessus pendant de longues secondes, avant de la faire se retirer.

Je serais un bien mauvais hôte si je ne satisfaisais pas les besoin de mes invités...mais d'abord, vous allez goûter à mon sperme bande de petites traînées.

Et ce faisant, il ammena alors la tête d'Alice vers sa verge pour  faire la même chose, enfoncer son sexe profondément dans sa bouche et sa gorge pendant une bonne poignée de secondes, afin de la sentir s'étouffer dessus et ainsi "malaxer" son sexe tout du long. Il alterna ainsi, une fois l'une et une fois l'autre, pour leur laisser à chaque fois que l'une le prenait en gorge profonde l'occasion pour l'autre de bien reprendre son souffle. Puis finalement, sentant enfin l'ogasme venir, Melendil se redressa subitement, et se mit à se masturber face à elles.

Approchez vous...je vais tapisser vos belles petites gueules de mon foutre...Aaaaah...

Il laissa tout juste le temps à Mélinda et Alice de rapprocheur leurs visages ensemble avant qu'il ne se mette à jouir. A l'aide de sa main, il orienta sa verge de façon à éjaculer bien en direction de leurs beaux petits visages angéliques, qu'il allait tapisser de son foutre chaud et royal désormais. Il se mit à jouir généreusement, le tout en s'assurant de ne pas léser l'une au profit de l'autre, toutes les deux auraient droit à une belle faciale qui couvrirait bien leurs visages, et il éjaculerait même quelques filaments dans leurs bouches ouvertes, directement sur leurs langues si l'occasion devait se présenter.
Oh qu'il était bon d'être "Roi".

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:32
par Reine Alice Korvander
Alice était heureuse de partager son époux. Elle savait que sa vision de l’amour était assez incongrue, mais c’était la sienne… Et celle de l’Empire, surtout. Dans un pays composé de démons en grande partie, il ne fallait pas s’attendre à ce que le mariage ait le caractère sacré et inviolable qu’on pouvait lui donner à Lumen. Enfin, non pas qu’Alice n’était pas amoureuse de Melendil, loin de là, mais elle ne partageait pas cette vision d’une relation sclérosée et fermée. Si l’amour était une relation intime à deux, son intérêt était aussi de partager cet amour avec d’autres. Elle était donc heureuse de voir Melendil se laisser aller à ce plaisir. Aucun ne trompait vraiment l’autre, alors il n’y avait pour elle aucun problème. Et Mélinda était une femme à qui on pouvait vite s’attacher, sa beauté se couplant à ses performances sexuelles remarquables. C’était elle qui avait tout appris à Alice sur ce point de vue. Alice était donc heureuse de montrer qu’elle arrivait à tenir la cadence. Enfin, savoir que Mélinda semblait perdre ses moyens face à Melendil déclenchait chez la petite Princesse (et future Reine) une sorte de satisfaction jubilatoire difficile à saisir.

Melendil commença à dicter son tempo, imposant son rythme en empoignant les cheveux des deux femmes jouant devant lui. Sa verge était comme une belle et bonne grosse glace qu’elles léchaient toutes les deux, soupirant volontiers, s’embrassant parfois en essayant d’avoir cette verge entre leurs lèvres, autant que possible. Mélinda sentait le sang de Melendil s’enflammer. Avec l’énergie du Patriarche en eux, ce sang était particulièrement intense, de quoi la rendre folle ! Elle maintenait donc le contact, et l’elfe s’amusa à imposer à chacune une gorge profonde soutenue, grognant et soupirant, approchant petit à petit du point de rupture.

« Haaa…
Hmmm… »

Chacune venait le pomper sans aucune hésitation, sans aucune gêne, y trouvant toutes les deux un plaisir féroce. Mais, plus le temps passait, et plus Melendil approchait du point de rupture. À ce stade, la calèche était désormais très proche du Palais Royal, et l’elfe finit par jouir, se masturbant pour éjaculer sur leur visage. Les deux femmes s’agenouillèrent devant lui, ouvrant la bouche en tirant la langue, récoltant leur dû comme les deux sympathiques et perverses dames qu’elles étaient.

« Haaaa… !
Haaaa… !! »

Le jet fusa ensuite. Melendil se mit à jouir intensivement, crachant sa semence avec énergie, éclaboussant leurs visages, leurs langues, leurs bouches… Le sperme fusa avec force, les blanchissant toutes les deux, et son mari retomba ensuite sur la banquette de la calèche, la respiration lourde et profonde. Alice et Mélinda, qui avaient fermé les yeux, les rouvrirent, Alice frissonnant en sentant ce jet chaud sur elle, ce sperme poisseux et collant… C’était le sperme de son mari ! Elle sourit joyeusement, avalant ce dernier, et allait sortir sa langue pour nettoyer ses lèvres… Quand Mélinda attrapa ses cheveux.

« Tût-tût ! Laisse-moi te nettoyer, ma belle… Il ne faudrait pas salir ta belle robe, quand même…
Ah, mais… Cela vaut pour toi aussi, tu es la demoiselle d’honneur de mon mariage ! »

Visiblement, les deux filles étaient encore loin d’en avoir fini, et Melendil allait assister à un dernier petit spectacle.  Elles se rapprochèrent l’une de l’autre, et commencèrent à se lécher mutuellement. La langue de Mélinda glissa sur les lèvres d’Alice, et remonta, avalant une lampée de sperme, puis elle continua ensuite sur ses joues, attardant sa langue. Alice se pencha alors, faisant de même, léchant le menton, empêchant quelques gouttes de tomber. Il y avait beaucoup de sperme, alors elles devaient souvent y retourner, avalant et léchant, s’embrassant aussi à tour de rôle. L’emphase certaine qui régnait entre elles était délicieuse à voir…

…Nul doute que Melendil allait de nouveau se retrouver très excité !

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:33
par Melendil Korvander
C'était la première fois que Melendil participait ainsi à un trio intime, alors cette extase de la première fois était couplée à l'énergie magique qui pulsait en lui, du fait de la bénédiction de son mariage avec Alice par le patriarche dragon. De ce fait, l'elfe avait copieusement joui sous les fellations que lui avaient prodiguées sa femme et Mélinda, et avait couvert de son foutre leurs magnifiques visages dans une faciale qui était plus que respectable. Cet orgasme intense fit qu'il du prendre un petit temps avant de vraiment récupérer ses esprits, et quand il le fit, ce fut pour voir, agenouillées devant lui, Mélinda et Alice entreprendre de ses nettoyer mutuellement, à coups de langues et de baisers sur leurs visages respectifs, pour avaler son sperme. Cela ne manqua bien entendu pas de le faire sourire.

Mesdames, je dois dire que vous offrez un spectacle des plus saisissants...

Si il avait quelque peu commencé à débander, Melendil se retrouva rapidement avec une nouvelle érection à les regarder ainsi s'embrasser, et récupérer jusqu'à la moindre goutte de sperme mâculant leurs visages. Il y avait quelque chose de particulièrement excitant et satisfaisant à les voir ainsi se régaler de son foutre, et honnêtement, Melendil semblait bien parti pour la suite des évennements...mais à ce moment précis où les deux femmes semblaient avoir fini et où il s'apprêtait à proposer quelque chose, une série de coups résonna sur la paroi de la calèche, qui venait du conducteur.

Oh...

Cette série de trois coups signifiait qu'ils arrivaient à destination du palais royal pour le banquet de mariage, et que le moment où ils devraient descendre était proche, beaucoup trop proche pour qu'ils puissent sérieusement songer à continuer. Melendil soupira alors, visiblement frustré, mais remonta néanmoins son pantalon et le referma, il n'aurait après tout pas été très convenant pour le couple princier de se faire ainsi surprendre publiquement...sans doute.

Nous aurions du donner des instructions au cocher pour faire quelques détours sur le chemin, mais j'imagine que nous pourrons reprendre ce soir.

L'attente allait toutefois être très longue il le sentait, déjà se sentait-il gêné par son érection qui ne voulait pas décroître dans son costume assez serré de marié. Le trio eut donc tout juste le temps d'achever de se remettre en bon ordre avant que la calèche ne s'arrête, et qu'on vienne leur ouvrir la porte pour les faire descendre. Ils étaient arrivés dans les écuries royales, depuis lesquelles il était possible par la suite de prendre un chemin discret à travers le palais jusqu'au banquet, ce qui leur éviterait de devoir trop passer par la foule d'invités qu'ils avaient déjà eu l'occasion de côtoyer lors de la cérémonie elle même. Mélinda partit de son côté, tandis que le couple princier s'engagea en direction du banquet...ce qui allait déjà être en soit une aventure. A peine quelques dizaines de mètres parcourus, et Melendil sentit déjà une vague de désir semblable à un vrai brasier le parcourir, tant et si bien qu'il était certain qu'il aurait les plus grandes difficultés du monde à se contrôler si il allait au banquet dans cet état. L'elfe jeta alors un œil autour de lui pour se rendre compte que personne n'était actuellement dans les environs, puis il empoigna la main de sa partenaire pour la tirer avec lui dans un box vide destiné à acceuillir l'un des nombreux destriers du palais. Il y avait de la paille et du foin par terre, et une fois le couple à l'intérieur du box Melendil plaqua son épouse contre l'une des parois en bois pour aller l'embrasser férocement en se collant tout contre elle et son corps absolument parfait.

Alice...quand est-ce que ça va se dissiper ? Je dois t'avouer qu'avoir une telle libido n'est pas complètement pour me déplaire...mais si ça reviens aussi régulièrement, je ne tiendrais jamais tout le long du banquet.

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:34
par Reine Alice Korvander
Alice ressentit la même frustration que Melendil quand ils arrivèrent au château. Elle était presque tentée de leur dire de partir, car elle lisait dans le regard de Melendil un désir qui correspondait au sien. Elle sentait sa verge se redresser, elle sentait cet appel. Ce fut Mélinda qui la convainquit de se relever en l’embrassant sur la joue.

« On poursuivra ça plus tard, alors ?
Je… Oui…

Elle avait ce sentiment curieux, brutal, d’avoir été arraché d’un rêve. Alice avait déjà été excitée, sexuellement en manque, mais elle n’avait jamais fait face à un tel feu. La vague brûlait fortement en elle, comme un feu qui avait encore besoin de se consumer. Mélinda l’avait proprement nettoyé, et la vampire aida Melendil à refermer sa ceinture, avant de l’embrasser à son tour. Avec son sens vampirique, elle devait sentir le flux sanguin des deux amants, qui continuait à circuler furieusement en eux. Mélinda les laissa donc, et Alice se racla la gorge, puis sortit à son tour, attrapant la main de Melendil. Un majordome les accueillit, et leur expliqua que le banquet n’attendait plus qu’eux.

« Oh, euh… Oui, oui, nous… Nous allons venir, allez le leur dire. »

Le majordome acquiesça, et s’éloigna. Ils étaient encore dans la grange, et Alice s’efforçait de ne pas regarder Melendil. Elle était encore fébrile, et au contact, elle avait peur de… Mais, soudain, Melendil raffermit sa prise sur son bras, et, constatant qu’ils étaient seuls, il la poussa dans un box. Alice sursauta et heurta un mur en bois, puis l’homme l’embrassa. Elle gémit doucement, sentant ses tétons lui faire mal, pointant sous l’effet d’une vague de désir incontrôlée. Elle se pressa contre lui, remontant sa main sur la chemise de Melendil, serrant ses doigts dessus. Il lui avoua qu’il avait encore envie d’elle, et elle frémit, rougissante.

« Oh, Melendil… Moi non plus, je… »

Elle sentait sa verge caresser sa robe, et se retourna alors, s’appuyant contre le portail en bois permettant d’ouvrir et de fermer le box.

« La robe s’ouvre par l’arrière, Mélinda l’a conçu pour… »

Alice savait que Mélinda avait déjà assisté à un précédent banquet, lors du couronnement de son père. Pour l’heure, Alice n’était pas en état d’y réfléchir, mais elle devrait très bientôt comprendre que le choix de Mélinda n’était pas anodin. En effet, pour le moment, elle ne pensait qu’au membre de Melendil, et soupira doucement, tremblant nerveusement.

« Je veux sentir ta queue en moi… Baise-moi, allez ! »

Fébrile, impatiente, Alice était surtout en manque !

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:34
par Melendil Korvander
Ils allaient encore faire attendre l'ensemble de leurs invités à ce rythme. Ce n'était bien entendu pas raisonnable, et si Alice l'aurait sermonnée à ce moment à ce propos, peut-être bien que Melendil aurait été capable pour elle de se retenir...mais ce ne fut pas le cas. Comme il le pensait, comme il l'avait..."senti", Alice avait au moins autant que lui envie de continuer. Tout juste Melendil avait-il eu droit à une fellation dans le carrosse, et Alice, si elle avait pu goûter à la verge de l'elfe, n'avait eu droit elle aussi à rien d'autre, soit encore moins que son mari au final. Il le sentit quand elle répondit instinctivement à son baiser, quand elle remonta l'une de ses mains sur sa chemise pour caresser avec envie son torse. Elle était fébrile, chaude comme la braise, et sans doute elle aussi avait essayée de se retenir...mais il était maintenant trop tard.
Melendil se décolla légèrement d'elle pour lui donner l'occasion de se retourner, elle posa alors ses mains sur le portail du box qu'ils avaient emprunté pour rentrer dedans, et se courba alors pour bomber ses fesses dans sa direction, tout en mentionnant le fait qu'il y avait une ouverture à l'arrière de la robe. Melendil esquissa un sourire tout en se rapprochant de sa belle, venant se lover contre elle, plaquer la bosse de son érection qui déformait son pantalon contre son merveilleux cul qu'elle lui tendait, tout en glissant une main au niveau de son cou pour approcher son visage du sien, et lui susurrer à l'oreille.

Je dois t'avouer quelque chose, cette ouverture est l'une des premières choses que j'ai noté sur cette robe, outre le fait que tu est d'une beauté divine dedans mais bon ça...ça s'applique un peu à toutes tes tenues en même temps.

Melendil lui déposa alors un baiser dans le creux du cou, avant de se décoller d'elle et de s'agenouiller. Il avait le visage juste en face de son fessier, et avec ses mains, se saisit de la fermeture qui glissait tout le long de cette partie basse pour la faire délicatement glisser. C'était un petit peu pour jouer avec elle, qu'il y allait un peu lentement, mais aussi car il n'avait pas envie de prendre le risque de tirer trop fort ou trop vite, et ainsi ruiner cette œuvre d'art d'habillement. Il l'ouvrit donc, et eut une belle vision sur le fessier de sa belle, encore couvert par sa belle culotte dorée, juste avant qu'elle ne lui enjoigne l'ordre de venir la baiser car elle voulait sentir sa queue en elle.

Je vois ça, tu es toute mouillée ma chérie…

Mais Melendil, si il était moquer comme à son accoutumée, ne se sentait pas l'envie de faire attendre son épouse plus longtemps. Il se saisit alors des lanières de la culotte pour la faire descendre jusqu'à hauteur des genoux d'Alice, laissant au passage échapper un filet de cyprine qui coula au sol, avant qu'il ne se redresse dans son dos. Il entreprit alors de rapidement défaire son pantalon, et l'abaissa à ses chevilles sans prendre la peine de le retirer complètement. Une main sur le cul de sa belle, il utilisa l'autre pour guider le bout de sa verge vers l'entrée chaude et accueillante de sa chatte...et s'enfonça en elle d'un coup sec. Peut-être un peu surprise, mais surtout très excitée, Alice s'apprêtait à pousser un cri à ce moment, que Melendil par réflexe s'empressa d'étouffer en plaquant la paume de sa main sur la bouche de sa femme.

Shhhhhhht Alice...je sais, je sais...mais rappelle toi qu'il y a de pauvres palefreniers dans les environs, je risque d'avoir du mal à te baiser si l'un d'entre eux venait nous déranger alors...essayons d'être un peu discrets ?

Melendil s'était à nouveau lové contre elle pour pouvoir lui chuchoter ça à l'oreille, puis, quand il fut assuré qu'Alice allait...au moins essayer de ne pas faire trop de bruit, il déplaça alors ses mains au niveau des seins de sa belle, pour abaisser la partie de sa robe qui les couvrait et faisait office de soutien-gorge, et ainsi avoir sa belle poitrine à l'air libre. Sans la moindre vergogne, il entreprit alors de lui malaxer les seins, pressant ses tétons entre ses doigts, tout en commençant à donner des coups de reins. Conscient qu'à ce stade sa femme avait envie qu'il la prenne fort, c'était exactement ce qu'il faisait, il ne se retirait que pour ensuite donner un coup puissant, enfonçant sa verge au plus profond de son intimité humide, assez puissant en tout cas pour faire claquer la chair des fesses d'Alice contre le bas ventre de Melendil, et que cela nécessite pour la princesse de bien s'agripper au portail afin de se maintenir. Ainsi proche d'elle, Melendil avait le visage lové dans le creux du cou de sa belle, et lui déposait de multiples baisers et suçons, et allait lui mordiller aussi l'oreille à l'occasion, la gratifiant au passage de sa respiration plus lourde et chaude, alors qu'il était en train de fermement la prendre, et qu'il se perdait dans son corps.

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:34
par Reine Alice Korvander
Alice était aussi en manque que Melendil, ce qui se voyait sans doute moins que lui… Sauf pour Mélinda. Elle sentait l’excitation sanguine des deux, et, si elle en était pour l’heure réduite à tenir la chandelle, elle comptait bien avoir un rôle plus actif par la suite. Et puis, Mélinda pouvait volontiers se montrer voyeuriste. Elle restait à proximité, et Alice, de son côté, oublia vite tout le reste, que ce soit Mélinda, les chevaux à proximité, ou même les quelques rares palefreniers qui traînaient encore ici. Mélinda lui avait offert une robe magnifique, et, quand elle sentit les mains de Melendil tirer sur sa robe, elle frémit. Ses mains nerveuses ne tardèrent pas à tirer sur le lacet qui retenait la couture au niveau de ses fesses, écartant ainsi les deux pans de la robe, formant un losange ouvert sur ses fesses. Elle portait encore sa courte culotte dorée, et elle sentit les mains de Melendil glisser par là, tirant sur la culotte, tandis qu’il la provoquait doucement, jouant avec son excitation, avec cette nervosité palpable qui remontait en elle.

« Et toi… Tu bandes fort ! »

Elle défendait sa vertu ! Mais, en même temps, n’était-ce pas ce qu’on attendait de jeunes époux ? Qu’ils s’aiment mutuellement l’un et l’autre avec une passion dévorante, énergique, voilà qui était normal ! Elle sentit avec plaisir la verge de son amant taper contre ses fesses, et il tira dans le même temps sur sa culotte dorée, la faisant descendre de quelques centimètres. Alice s’appuyait contre le portail, et pensa à le fermer, de manière à éviter qu’il ne bouge trop. Elle écarta ensuite les jambes, et commença à remuer de gauche à droite.

« Tu n’as pas besoin de me titiller cette fois, prends-moi, Melendil ! »

Un ordre princier restait un ordre, et Melendil s’exécuta. Sa grosse verge tapa contre ses lèvres intimes, se gorgeant du délicat nectar de la tête blonde,  et il donna un coup de reins.

« Haaa… »

Un soupir s’échappa des lèvres d’Alice, et, comme pour la provoquer encore, Melendil posa sa main devant sa bouche, lui rappelant qu’elle ne devait pas crier. La tête blonde gémit, recouvrant la paume de Melendil de sa salive, et, quand il écarta sa main, elle gémit en se pinçant les lèvres, crispant ses mains sur le rebord du portail. Celui-ci vacilla légèrement d’avant en arrière, fort heureusement retenu par la serrure du portail. Dans son dos, elle pouvait entendre Melendil soupirer, son amant filant d’avant en arrière, posant ses mains sur les hanches de sa femme, jusqu’à avoir une bonne position, et un bon rythme. Alice se mit à gémir, s’abaissant contre le portail, avant de serrer ses mains. Elle bandait ses muscles, et relevait ses épaules, essayant de se redresser, sa longue chevelure blonde remuant dans le vent tandis que, imperturbable, Melendil continuait à la besogner avec force. Il amplifiait le rythme, et n’hésita pas à remonter ses mains, palpant les généreux seins d’Alice.

Elle eut de fait assez rapidement un premier orgasme, et soupira longuement, ses yeux rêveurs semblant fixer un point invisible. Elle se redressa ensuite, gémissant à nouveau. Melendil était très endurant, et elle, elle semblait qu’elle l’était moins, dans le sens où elle jouissait vite ! Fallait-il y avoir une influence supplémentaire du feu du Dragon ? Elle subissait le rythme de Melendil, qui continuait à la prendre, grognant et soupirant. Il se lova contre son dos, et mordilla son lobe de l’oreille, la faisant gémir.

« Me-Melendil, haaa… »

Même avec lui, un « quickie » durait quand même plusieurs minutes. Il coulissait dans sa chatte trempée, sa grosse verge assoiffée, ralentissant le rythme pour plus de profondeur, pour le plaisir de sentir son corps contre le sien. Et, quand il se pencha à nouveau, la main d’Alice partit en arrière, et s’agrippa à sa nuque. Elle s’en servit pour se redresser, pivota la tête, et partagea avec lui un baiser intense et humide, tout en le sentant jouir en elle. Elle-même eut un second orgasme, sentant son orgasme heurter le sien, ses ovules ensemencés par son sperme. Elle se savait déjà enceinte, mais cette scène l’excita furieusement.

« Hmmm… !! »

Les deux s’abandonnèrent dans ce plaisir ultime, et Alice soupira ensuite, chancelant un peu. Elle avait les joues rouges, mais la robe, fort heureusement, ne semblait pas trop froissée, ni trop imprimer les marques de sueur. Alice se retourna en souriant… Puis se remit alors à genoux.

« Ton pantalon… Je ne voudrais pas que tu le tâches… »

Elle suça donc sa queue pendant quelques instants, et la lécha avec sa langue, la nettoyant ainsi, tout en avalant sous les yeux de Melendil. Elle se redressa ensuite, et, en souriant joyeusement, l’enlaça, puis l’embrassa avec amour.

« Je t’aime, mon chéri… Et j’adore quand tu me baises comme ça… »

Elle l’observa encore, les yeux mielleux, fiévreux… Jusqu’à ce que Mélinda se racle la gorge.

« Je ne voudrais pas vous interrompre, mais, si vous continuez à sauter comme ça, je vais devoir me soulager sur vos palefreniers, moi ! Je crois que vous êtes attendus, mes Seigneurs… »

Re: Le Mariage [Melendil Korvander]

Posté : 17 août 2024 02:35
par Melendil Korvander
Alice était absolument magnifique dans sa robe qui était ouverte à plusieurs endroits, sa culotte dorée légèrement abaissée juste pour dégager l'accès à ses parties intimes, et la partie "soutien-gorge" tout autant abaissée pour libérer l'accès à ses délicieux seins, que Melendil palpait volontiers tout en la prenant par derrière. Les deux jeunes amoureux, fraîchement mariés, étaient en train de s'envoyer en l'air pour un petit quickie dans une des nombreuses étables du palais. Ce n'était absolument pas raisonnable, car on les attendait pour le banquet, et de nombreux invités importants étaient présents et attendaient sur leur présence à eux, mais l'un comme l'autre n'avaient absolument pas pu se retenir.

Oh Alice...

Melendil soupirait en prenant garde de ne pas hausser trop la voix, voulant éviter d'attirer l'attention sur eux. Ses mains alternaient entre les hanches de sa dulcinée, pour aider sescoups de bassin alors qu'il faisait coulisser sa verge, dans la chatte chaude et humide d'Alice, et ses seins à l'air libre qui étaient si tendus. La vue était tout bonnement exceptionnelle, avec Alice qui était ainsi penchée, se retenant à la porte de cette stabulation, ses longs cheveux blonds descendant en cascade le long de son dos, et ses magnifiques petites fesses contre lesquelles son bassin rebondissait alors qu'il la baisait.
Oh par tous les Dieux...

Hmmm...

Il n'avait qu'une envie modérée d'assister à ce banquet, surtout avec ce désir flamboyant qui brûlait à l'unisson dans son corps et celui d'Alice. Cela ne changeait dans l'absolu rien à ce qu'il ressentait déjà de base, mais la nouveauté due à cette bénédiction du patriarche, qui faisait encore pleinement effet, était le côté impérieux et irrésistible de se désir charnel. Melendil pouvait en temps normal prendre son mal en patience, mais ici c'était impossible, il ne se sentait réellement bien que lorsqu'il avait la sensation d'avoir son sexe dans le corps de son épouse, de s'unir à elle, et de la faire jouir. Il la sentit d'ailleurs avoir un orgasme assez rapidement après qu'il aie commencé à la pénétrer, ce qui le prompta à accélérer ses coups de bassin. Son sexe coulissait bien dans sa chatte, et cela provoquait des bruits spongieux, humides, qui étaient parfaitement audibles dans les environs tant Alice était chaude pour lui. Lui même arriva "rapidement" proche de sa jouissance, et Alice en le sentant, se redressa en prenant appui avec un de ses bras autour de la nuque de l'elfe, et en profita alors pour partager avec lui un doux baiser. Dans pareille position, Melendil avait alors relevé ses deux mains pour les poser sur les seins de sa belle, autant pour le plaisir de les sentir dans ses mains que pour ainsi l'aider à se retenir, et dans un dernier coup de bassin, il éjacula en elle.
Enfoncé aussi profond qu'il le pouvait, sa verge tressauta contre les parois du vagin de sa belle, qu'il tapissa à nouveau de foutre chaud, et ce dans un concert de soupirs étouffés par leur baiser. Les deux, de fait, eurent un orgasme mutuel, qui les laissa à reprendre leur souffle pendant quelques instants, avant qu'Alice ne se retire. Elle se retourna vers Melendil, puis se mit à genoux devant lui avec son sourire irrésistible, affirmant qu'elle ne voulait pas qu'il tâche son pantalon. Il posa délicatement une main sur ses cheveux, lui répondant avec ce même sourire de "vaurien" qui le caractérisait.

Oh ma belle, qu'est-ce que je ferai sans toi ?

Cette fellation ne dura pas plus d'une dizaine de secondes...mais elle fut suffisante pour propulser à nouveau l'envie de lui faire l'amour à des niveaux stratosphériques. Ainsi, quand elle se redressa en lui disant qu'elle l'aimait, et qu'elle adorait qu'il se montre vigoureux comme en lui faisant l'amour, il fut à deux doigts de la saisir par les hanches pour la soulever, la plaquer contre une des parois, et la prendre à nouveau. Et au vu du regard que lui lançait Alice, il avait l'intime conviction que ce désir était partagé.
De fait, seule la voix de Mélinda, qui les surprit les deux, les rappella à la réalité qu'ils avaient un devoir royal dont ils devaient s'acquitter, et pas des moindres.

Hum...elle n'a pas tort Alice. J'ai à peu près autant envie que toi d'assister à ce banquet, mais nous nous devons d'être des hôtes convenables...et ça viens de la bouche d'un prince vaurien !

Il se tourna brièvement vers Mélinda, tandis qu'il redressait son pantalon à sa hauteur normale, pour l'enfiler.

Même si je doute que nos palefreniers diraient non à l'honneur de te soulager, Mélinda, tu dois d'ailleurs avoir un peu plus de temps que nous.

Il rajusta son costume, toujours "moqueur" comme à son habitude, et laissa à Alice le temps de faire de même avant de lui tendre la main pour qu'ils puissent marcher main dans la main.

Allons...on nous attends, enfin, surtout toi mon amour, moi je crois que je vais juste faire des jaloux.

Il attendit qu'ils se soient mis en marche, assez éloignés de quiconque, pour pencher sa tête vers l'oreille de sa belle.

Je me dois de te demander quelque chose. Ces...effets vont durer longtemps ? Le simple fait de te tenir la main est à la limite du supportable, et à ce rythme je ne suis pas certain de pouvoir tenir tout au long du banquet.