Re: Le Mariage [Melendil Korvander]
Posté : 17 août 2024 02:28
En sentant la verge de son amant s’enfoncer en elle, Alice ne tarda pas à crisper ses doigts sur le torse de Melendil. La jeune femme avait beau avoir acquis une certaine expérience en matière sexuelle, elle restait toujours une femme pleine de passion, pleine de fougue, remplie d’une envie débordante et furieuse de faire l’amour intensivement. Mais, là, elle remuait à un rythme apaisé, se contentant surtout de sentir cette belle queue en elle, ce membre veineux qui s’enfonçait dans sa chatte. Quelques minutes passèrent, tandis qu’elle se dandina doucement, remuant de gauche à droite, afin de mieux sentir les mains de son amant sur ses fesses, ses doigts venant lentement presser son petit cul. Alice s’en mordilla les lèvres, véritable nymphe toute de flammes. Melendil lui précisa qu’il comptait prendre son temps, et Alice sourit lentement. Quand il se redressa, elle se laissa aussi glisser, et attrapa sa nuque, avant de l’embrasser, leurs corps se serrant l’un contre l’autre, ses seins s’enfonçant contre son torse.
« Tu… Tu ignores la tradition autour de ce rituel, hein ? Cela n’a rien de surprenant, elle… Elle n’est écrite dans aucun livre, haaaa… »
Par les dragons, que cette queue lui faisait du bien ! Elle y avait goûté sous toutes les formes, mais elle n’arrivait pas à s’en lasser. Alice aurait pu craindre que la passion ne s’émousse avec le temps, mais Mélinda lui avait bien dit qu’elle continuait à faire chaudement l’amour, alors qu’elle avait plusieurs siècles d’existence. Des propos relativement rassurants pour la jeune femme, qui se frotta contre le visage de son époux, et poursuivit :
« Au… Au-dessus de cette tour, il y a une colonne de feu, perceptible depuis le Château. Elle… Hmmm… Elle signifie que nous… Haaaa… Que nous faisons l’amour, mon chéri, hmmm… Cette colonne de feu, comme ces flammes… Elles ne disparaîtront que quand tu auras mis un bébé en moi. »
Un nouveau soupir s’échappa de ses lèvres, et elle repoussa Melendil, le couchant au sol, et se redressa un peu. Si Melendil avait perfectionné ses techniques, il pourrait vite constater qu’Alice n’était pas en reste. Elle remua donc, et gémit en sentant la queue de Melendil coulisser contre ses parois intimes, et remonta encore, la libérant de plus en plus, jusqu’à ce que seule la pointe ne se retrouve encore nichée en elle. Sa mouille dégoulinait alors entièrement sur la queue de l’homme, tandis que ses longs cheveux blonds tombaient en cascade de part et d’autre de son visage, noyant son visage d’un halo de feu, comme une sorte de vision hypnotique, surréaliste, exquise à souhait.
Souriant à nouveau, Alice se pinça les lèvres, crispa ses ongles sur le torse de Melendil, et s’enfonça alors brusquement, jusqu’à la garde, faisant claquer ses hanches. Elle s’aidait de ses genoux, mais aussi de ses mains, se hissant en s’appuyant sur le torse de l’homme, et commença donc à remuer. C’était un magnifique mouvement en deux temps, où elle descendait avant de remonter, marquant l’entracte en se délectant de sentir cette verge en elle, accompagnant cela de longs soupirs. Plus pernicieuse, elle s’amusa même à rester immobile pendant un certain temps, griffant les épaules de Melendil, sentant la frustration et la douleur remonter en elle, son corps hurlant qu’elle remue, qu’elle ondule sur sa queue… Ce qui devait aussi être le cas pour Melendil. Il tenait bon, elle le sentait dans ses yeux, mais elle aussi, à sa manière, elle cherchait à le faire craquer, à lui rendre la monnaie de sa pièce.
Car, même si Alice se laissait facilement aller, elle aussi avait été formée par Mélinda, et avait rencontré dans son harem des prêtresses d’Aphrodite et de Lust, sans parler de ses rencontres ponctuelles avec des succubes. Elle pouvait donc lui donner le change, et, tout en jouant ainsi avec lui, elle n’hésita pas à se pencher vers lui, venant tendrement l’embrasser, collant sa bouche contre la sienne, enfonçant alors sa queue en elle, et remua doucement des hanches, tout en jouant avec sa langue, l’enfonçant sensuellement dans sa bouche.
« Rien ne presse, mon aimé, rien… Ici, avec toi, je voudrais y être pour l’éternité. Une éternité à te supplier de me faire jouir, une éternité à quérir ton sperme, une éternité à sentir ton corps, à lécher ta sueur, à sentir ta peau nue claquer contre moi, à t’entendre dans mon dos me besogner… Oh, Melendil, je n’aurai pas de toute une vie d’elfe pour me languir de toi ! »
C’était la fougue de la jeunesse, l’excès de la passion qui s’exprimait ici… Mais, à sa manière, Alice avait toujours été une femme passionnelle.
Et là, dans ce sanctuaire, au milieu du feu ardent nourri par leur passion mutuelle, celle-ci était en train d’exploser !
« Tu… Tu ignores la tradition autour de ce rituel, hein ? Cela n’a rien de surprenant, elle… Elle n’est écrite dans aucun livre, haaaa… »
Par les dragons, que cette queue lui faisait du bien ! Elle y avait goûté sous toutes les formes, mais elle n’arrivait pas à s’en lasser. Alice aurait pu craindre que la passion ne s’émousse avec le temps, mais Mélinda lui avait bien dit qu’elle continuait à faire chaudement l’amour, alors qu’elle avait plusieurs siècles d’existence. Des propos relativement rassurants pour la jeune femme, qui se frotta contre le visage de son époux, et poursuivit :
« Au… Au-dessus de cette tour, il y a une colonne de feu, perceptible depuis le Château. Elle… Hmmm… Elle signifie que nous… Haaaa… Que nous faisons l’amour, mon chéri, hmmm… Cette colonne de feu, comme ces flammes… Elles ne disparaîtront que quand tu auras mis un bébé en moi. »
Un nouveau soupir s’échappa de ses lèvres, et elle repoussa Melendil, le couchant au sol, et se redressa un peu. Si Melendil avait perfectionné ses techniques, il pourrait vite constater qu’Alice n’était pas en reste. Elle remua donc, et gémit en sentant la queue de Melendil coulisser contre ses parois intimes, et remonta encore, la libérant de plus en plus, jusqu’à ce que seule la pointe ne se retrouve encore nichée en elle. Sa mouille dégoulinait alors entièrement sur la queue de l’homme, tandis que ses longs cheveux blonds tombaient en cascade de part et d’autre de son visage, noyant son visage d’un halo de feu, comme une sorte de vision hypnotique, surréaliste, exquise à souhait.
Souriant à nouveau, Alice se pinça les lèvres, crispa ses ongles sur le torse de Melendil, et s’enfonça alors brusquement, jusqu’à la garde, faisant claquer ses hanches. Elle s’aidait de ses genoux, mais aussi de ses mains, se hissant en s’appuyant sur le torse de l’homme, et commença donc à remuer. C’était un magnifique mouvement en deux temps, où elle descendait avant de remonter, marquant l’entracte en se délectant de sentir cette verge en elle, accompagnant cela de longs soupirs. Plus pernicieuse, elle s’amusa même à rester immobile pendant un certain temps, griffant les épaules de Melendil, sentant la frustration et la douleur remonter en elle, son corps hurlant qu’elle remue, qu’elle ondule sur sa queue… Ce qui devait aussi être le cas pour Melendil. Il tenait bon, elle le sentait dans ses yeux, mais elle aussi, à sa manière, elle cherchait à le faire craquer, à lui rendre la monnaie de sa pièce.
Car, même si Alice se laissait facilement aller, elle aussi avait été formée par Mélinda, et avait rencontré dans son harem des prêtresses d’Aphrodite et de Lust, sans parler de ses rencontres ponctuelles avec des succubes. Elle pouvait donc lui donner le change, et, tout en jouant ainsi avec lui, elle n’hésita pas à se pencher vers lui, venant tendrement l’embrasser, collant sa bouche contre la sienne, enfonçant alors sa queue en elle, et remua doucement des hanches, tout en jouant avec sa langue, l’enfonçant sensuellement dans sa bouche.
« Rien ne presse, mon aimé, rien… Ici, avec toi, je voudrais y être pour l’éternité. Une éternité à te supplier de me faire jouir, une éternité à quérir ton sperme, une éternité à sentir ton corps, à lécher ta sueur, à sentir ta peau nue claquer contre moi, à t’entendre dans mon dos me besogner… Oh, Melendil, je n’aurai pas de toute une vie d’elfe pour me languir de toi ! »
C’était la fougue de la jeunesse, l’excès de la passion qui s’exprimait ici… Mais, à sa manière, Alice avait toujours été une femme passionnelle.
Et là, dans ce sanctuaire, au milieu du feu ardent nourri par leur passion mutuelle, celle-ci était en train d’exploser !