The Multiversity

Mélinda et Vanillia venaient de faire une nouvelle acquisition ! Fort heureusement, elles n’eurent pas à attendre trop longtemps avant qu’Esther ne revienne. Se débarrassant de sa tenue de maid, elle avait enfilé des vêtements civils plus souples, un chandail noir avec une minijupe rouge et des collants. Mélinda ne pouvait pas contester que ça lui allait. Esther grimpa dans la calèche qui s’ébranla doucement, et fit route vers leur manoir. Celui-ci n’était pas très éloigné, mais rien ne pressait. À l’intérieur de la calèche, Esther se retrouva rapidement assise entre les deux vampires, qui la regardaient avec un mélange de tendresse et d’affection. Esther était impatiente de les rejoindre, et leur indiqua qu’elle avait démissionné sans difficulté.

Elle indiqua alors qu’elle souhaitait coucher avec des démones, voire des succubes, ce qui amena Mélinda à sourire doucement.

« Alors, on va te faire rencontrer Edessa… C’est une succube que j’ai adopté quand elle était encore toute petite, elle est ma fille adoptive, et une jeune succube très dévouée. »

Esther allait visiblement faire quantité de rencontres passionnantes ! Elle leur montra alors l’une de ses fonctionnalités spécifiques, qui lui permettait de rapetisser ses cheveux. Les deux femmes observèrent cela avec curiosité, voyant celle-ci adopter une coupe de cheveux courts, expliquant que ce serait plus simple pour lui mettre son collier. Visiblement, la jeune femme tenait beaucoup à ce collier ! Mélinda sourit doucement, tandis que Vanillia se pinça les lèvres, visiblement émoustillée par cette scène.

« Tu es fascinante, Esther… »

Jambes croisées, Mélinda la caressait doucement, tout comme Vanillia. Esther se trouvait après tout entre les deux femmes, ses deux Maîtresses.

« Parle-nous un peu de toi, Esther… Comment t’es-tu retrouvée en compagnie de cette Anna ? Et… Quelle est donc l’étendue de tes compétences ? Que peux-tu faire d’autre ? »

La curiosité des deux femmes était à son comble !

Quand on connait personnellement Esther, on ne peut que connaître sa forte attirance envers les succubes. Elle ne l'a jamais caché de sa vie, et de toute façon, rien de tabou là-dedans, vu que Mijak est un état d'humains et de démons. Alors Mélinda avait une réponse qu'Esther ne s'attendait pas à avoir, mais qui ne peut que lui faire plaisir. Elle en a même les étoiles dans les yeux. Ses Maîtresses ont une fille adoptive succube ? Ce n'était pas impensable, mais elle n'aurait jamais pensé à ça. Elle est tellement contente qu'elle ne peut absolument pas retenir sa joie, et elle a pris Mélinda et Vanillia en les embrassant, tour à tour.

"Oh je vous aime, Maîtresses ! Je sens déjà que je vais l'aimer !"

Une succube très dévouée qui a été adoptée par ses deux Maîtresses, que demander de plus pour Esther et Anna ? Peut-être que Mélinda et Vanillia ne s'attendent pas à une réaction aussi forte, mais elles vont très vite s'y habituer. Elle ne sait pas si elle va tomber amoureuse d'Edessa, mais en tout cas, elle sait que sa période où elle va être esclave va être super pour elle, surtout quand on sait que par nature, Esther est soumise.

Esther se laisse donc caresser par ses deux Maîtresses, et elle pose donc sa tête sur l'épaule de Vanillia, sa Maîtresse qu'elle tient le plus, bien que Mélinda ne soit pas non plus à jeter. De toute manière, comme ce sont deux vampires mariées, il n'y a pas l'une sans l'autre, et Esther apprécie tout de même Mélinda.

Esther n'est pas étonnée de ce que Maîtresse Mélinda lui demande. Surtout en sachant qu'elle est vraiment spéciale, comme femme.

"Eh bien, Maîtresses, pour ce qui est de comment j'ai rencontré Anna, c'est parce que j'ai fait la rencontre d'une succube qui s'appelle Kanan, et qui vient d'un clan spécifique. A l'époque, j'avais peur de l'exigence des succubes, mais elle avait fini par me rassurer. Elle m'avait même aidée à ne plus avoir peur, et c'est grâce au pouvoir de son clan : le don d'âme de luxure. Elle m'avait donc donné un baiser magique qui fait que j'ai une nouvelle âme de luxure, et c'est moi qui l'ai appelée Anna, en référence à mon propre nom de famille, Manna, mais aussi en référence à Kanan. Du coup, si Anna n'était pas là, on pourrait dire que je serais un peu plus timide."

Esther se met à rire légèrement. Elle ne regrette pas du tout de partager son corps avec Anna, elle l'aime énormément, même. Ce ne serait pas étonnant de voir que si Esther et Anna se séparaient pour que chacune ait son propre corps, ça leur manquerait énormément de partager un même corps, et en plus elles coucheraient ensemble assez souvent. Esther reprend la parole, car elle n'avait pas répondu à tout.

"Pour ce qui est des autres pouvoirs, c'est Anna qui les a. En fait, elle a le pouvoir de voir certaines choses qu'on ne peut pas forcément voir aux premiers abords. Orientation, ouverture au sexe, race, si vous êtes futanari ou non… les possibilités peuvent être assez nombreuses, en plus du fait qu'elle a plus de facilité à prendre le contrôle de mon corps si je suis frustrée sexuellement. Ca veut pas forcément dire que c'est systématique. Ha ha !"

Entre Vanillia et Mélinda, Esther avait fait son choix, se lovant contre Vanillia. Cela ne dérangeait pas particulièrement Mélinda, car tout ce qui appartenait à l’une appartenait à l’autre. Elles s’étaient mariées vampiriquement, et, pour une race aussi solitaire, un mariage vampirique était très sérieux. Elles partageaient leurs pensées, leurs émotions, et n’avaient plus de secrets l’une pour l’autre. Si l’une venait à mourir, l’autre mourrait également, car elles partageaient le même sang. Ce mariage était donc très puissant, avec ses points forts et ses points faibles.

Esther se lova contre Vanillia, qui la caressa doucement, une main sur sa nuque, l’autre venant caresser ses cuisses, puis naturellement ses fesses. Savoir que les vampires avaient une succube semblait avoir beaucoup plu à Esther, dont le chemin avait justement croisé la route d’une succube, Kanan. Elle leur expliqua que c’était Kanan qui avait doté Esther de cette âme de Luxure en l’embrassant. Esther avait choisi de baptiser cette personnalité perverse Anna, et Anna se manifestait souvent quand Esther était sexuellement frustrée…

*Autant dire qu’il ne faudrait pas compter sur la frustration d’Esther au sein du harem pour qu’Anna se manifeste !*

Ceci étant dit, le harem étant aussi un temple de Lust, toute cette luxure ambiante allait peut-être permettre à Anna de se manifester plus facilement… Mélinda ne faisait qu’émettre des hypothèses, et Esther expliqua qu’Anna avait des pouvoirs magiques liés à la luxure. Elle pouvait faire une lecture sexuelle de ses partenaires, déterminant leurs goûts, leurs capacités magiques sexuelles spéciales, ce genre de choses. Mélinda notait tout cela, tout comme Vanillia, qui hocha doucement la tête, et embrassa ensuite doucement Esther sur les lèvres.

« Tu ne m’as pas l’air si timide que ça, pourtant… Je pense qu’Anna doit commencer à t’influencer, même quand elle n’est pas là… »

Vanillia se demandait d’ailleurs si la finalité du baiser de Kanan n’était pas de regrouper « Anna » et Esther en une seule personne. Car, au vu des explications d’Esther, « Anna » avait été créée par elle, qui avait choisi de l’appeler ainsi, de la séparer de sa propre psyché. Il était donc possible qu’elle ait inconsciemment créé Anna… Vanillia n’en savait trop rien à vrai dire, mais, ce dont elle était sûre, c’est que, en vivant au harem, Esther allait définitivement s’engager sur la voie d’Anna. Mélinda, elle, se disait de son côté qu’Esther pourrait sans doute devenir une prêtresse de Lust… En tout cas, une femme qu’elles pourraient initier à la magie rose. Et, après tout, Vanillia était davantage magicienne qu’elle, alors il était logique qu’Esther se rapproche instinctivement d’elle.

Sa femme l’embrassa donc, puis lui sourit encore.

« Et qu’attends-tu de nous, exactement ? Pourquoi être volontairement devenue une esclave ? »

Mélinda sourit alors, et se pencha vers le duo, caressant les cheveux d’Esther.

« Il est vrai que ce n’est pas banal, je n’ai même pas eu à te séduire comme j’ai l’habitude de le faire, c’est à croire que tu recherches une Maîtresse depuis longtemps… »

Et, pour le coup, elle avait attrapé deux Maîtresses, quelle veinarde !

Esther savait déjà qu'un mariage entre humains n'est pas la même qu'un mariage entre vampires. Deux humains peuvent se marier et divorcer, ce qui fait que le choix peut encore se faire après, mais pour les vampires, le symbole est infiniment plus fort. Il faut choisir le partenaire vraiment parfait pour lui, car une fois qu'ils se marient, le divorce est impossible car ils sont liés à jamais. Alors, Esther ne peut pas aimer Vanillia sans Mélinda, et ça ne lui pose absolument aucun problème. Elle aime sincèrement ses deux nouvelles maîtresses, de toute manière.

Esther se laisse donc embrasser par Vanillia avec beaucoup de plaisir et elle regarde la démone. Esther était un peu timide devant les succubes, elle n'osait pas s'approcher d'elles par peur des exigences. Vanillia a bien deviné, d'ailleurs. En fait, Anna et Esther se parlent en permanence dans la tête, et ça ne dérange absolument pas Esther de lui en parler. De toute façon, pourquoi cacher quelque chose qui fait intégralement partie d'elle à ses Maîtresses.

"Si tu savais, Maîtresse Vanillia ! En fait, ça fait 4 ans qu'on se parle tout le temps dans la tête. Je pense que si tu lisais dans mes pensées, tu nous entendrais toutes les deux, en permanence."

Autant dire que l'influence ne peut être que grande. Esther a fait comprendre que même quand c'est Esther qui parle, Anna est toujours là, éveillée, et Esther vit en parfaite harmonie avec Anna. Anna influence grandement Esther, et c'est avec plaisir qu'elle se laisse influencer. Anna plonge Esther dans la luxure, et elle ne bouge pas, se contentant de profiter du moment en fermant les yeux.

Cependant, Esther aurait dû s'attendre à la question de ses deux Maîtresses. Qu'est-ce qu'Esther et Anna attendent de leurs Maîtresses ? Esther est légèrement surprise, mais elle s'est dit qu'elle aurait dû s'en douter, surtout que c'est Anna qui voulait qu'elles soient esclaves. Alors, Esther demande à Anna le pourquoi elle voulait qu'elles soient esclaves. Esther a laissé un peu de temps, le temps qu'Anna le lui réponde, et elle le transmet à ses Maîtresses.

"En fait, Anna le voulait par impulsion de soumise, et j'ai suivi avec plaisir. On est toutes les deux soumises, mais Anna est comme mon côté irréfléchie et sauvage, finalement. Du coup, c'est comme si je n'attendais rien de particulier de vous."

La réponse peut être décevante comme plaisante. Les vampires ont déjà compris qu'Anna est sauvage, peut-être même qu'elles se sont doutées du fait qu'elle est impulsive, mais voir qu'Esther avait suivi simplement une impulsion, en ayant la même envie et le même plaisir… le couple aurait peut-être du mal à s'y attendre.

Malgré ça, on sent qu'Esther ne ment pas. L'idée de devenir esclave est passée par la tête d'Anna, ça lui a plu, elle a appelé mentalement Vanillia Maîtresse, Esther l'a entendu, elle est surprise, mais ça lui a plu aussi. Lorsque l'acte est terminé, Anna ne voulait pas que ce soit le temps d'un seul acte, elle voulait vraiment être l'esclave de Mélinda et de Vanillia. Pourquoi ? Parce qu'elle en a envie, tout simplement, et qu'avec Esther, une fois qu'elle veut quelque chose, elle y tient et elle ne veut pas perdre sa volonté de vue. Chez Esther, une promesse est une promesse, et si elle veut offrir sa liberté à ses Maîtresses, c'est à vie, alors une fois qu'Anna a décidé, c'est signé et acté, et il est interdit, autant pour Esther que pour Anna, de vouloir fuir leurs Maîtresses ou d'aller voir chez d'autres dominantes. Même en suivant les impulsions d'Anna, Esther est réfléchie, et elle influence Anna en retour, pour éviter tout problème.

Aucun désir particulier, si ce n’est celui d’être une soumise. La réponse avait de quoi interpeller. Les deux vampires se regardèrent, et Vanillia pinça soudain le nez d’Esther.

« Si je dois être ta Maîtresse, le vouvoiement s’impose. »

Mélinda sourit doucement. Vanillia s’était très rapidement faite à son statut de dominatrice et de Maîtresse. La tâche ne semblait pourtant pas évidente au début, mais, comme elles avaient mélangé leurs sangs et leurs souvenirs, et que Vanillia maîtrisait plus facilement la magie que Mélinda, sa femme avait pu utiliser les souvenirs et les expériences de Mélinda en la matière pour agir comme elle. Elle employait donc à la perfection le style de Mélinda, qui visait à mélanger douceur, douleur, autorité et tendresse. Comme Mélinda le disait souvent, elle voulait soumettre ses esclaves par la force de soumission la plus puissante qui soit, la force qui vous amenait à vous aliéner volontairement et à lutter contre toute logique, et contre toute raison : l’amour.

Tandis que la diligence revenait vers le harem, Mélinda et Vanillia terminèrent leurs explications pour Esther.

« Je ne dirige plus un harem maintenant, Vanillia et moi dirigeons un clan. La gestion du harem a été confiée à Edessa, ma succube. C’est elle qui déterminera quoi faire de toi.
-  Tu auras droit à une chambre. Au sein du harem, tes prérogatives seront de satisfaire les clients, et de te plier à tous leurs désirs, sauf ceux qui sont interdits par notre règlement.
-  Ou alors, Edessa t’affectera ailleurs… Mais, vu ton profil et tes désirs, le harem me semble être la meilleure option. »

Dans un premier temps, Esther dormirait avec les autres esclaves dans les dortoirs communs. Le droit d’avoir une chambre individuelle ne s’acquérait pas immédiatement, il fallait d’abord faire ses preuves, et surtout sympathiser avec les autres. Mélinda ne voulait pas de querelles ou de rivalités entre ses esclaves.

« Tu fais désormais d’une grande famille de soumises et de soumis… Et j’ai hâte de voir jusqu’à quel point tu seras une belle soumise. »

Vanillia sourit lentement, et caressa les cheveux d’Esther, venant l’embrasser dans le creux du cou.

« Il va de soi que je m’occuperai personnellement de toi… Tu seras ma première véritable esclave, je vais veiller à faire de toi une vraie soumise… »

Mélinda sourit doucement. Parfois, Vanillia avait un comportement enfantin, et elle voyait Esther comme son nouveau jouet, une délicieuse poupée avec laquelle elle avait de toute évidence très envie de jouer.

Pendant ce temps, la diligence avait rejoint le harem, un grand bâtiment élégant situé le long d’un des boulevards centraux de la capitale, bénéficiant d’une entrée principale sur le devant, mais aussi d’une entrée secondaire à l’arrière, où on pouvait ranger les diligences du clan. C’était précisément là que la diligence allait.

« Avant de te présenter à Edessa, je crois que tu vas faire un tour dans ma chambre… Je me dois de punir la familiarité inacceptable dont tu as fait preuve tantôt… »

Dit sur un ton mielleux avec un regard pervers, cette « punition » promettait d’être très agréable !

Esther se met à rire bêtement. C'est vrai que désormais, puisqu'elle est désormais esclave des Warren, elle doit les vouvoyer, à vie. Pas de familiarité. Peut-être envers Edessa, mais pour ses deux Maîtresses, elles doivent être vouvoyées. Du coup, elle baisse légèrement la tête.

"Oh ! Désolée, Maîtresse Vanillia."

Pour Esther, ça ne se reproduira plus. Elle va la vouvoyer, point. Esther se soumet rapidement, et de toute façon, elle l'a prévenue qu'elle et Anna sont soumises. Elle relève donc la tête et voit donc le harem. Elle sourit donc en le voyant. Alors comme ça le harem est dirigé désormais par la fille adoptive de Mélinda et de Vanillia. Désormais, c'est le clan qu'elles dirigent. C'est Edessa qui va s'occuper d'elle dans le harem. Satisfaire les clients, se plier à tous les désirs… autant dire qu'Esther et Anna n'auraient pas de difficulté avec cette simple tâche. Elles se doutent qu'il peut y avoir assez peu de limites, mais Anna serait prête à découvrir de nouvelles sensations, à les apprécier et à faire apprécier à Esther.

"Oooh ! Alors qu'est-ce qui serait interdit ? A part le viol, je suppose."

Elle se doute que le BDSM serait tout à fait autorisé. Après tout, la douleur de manière sadique peut faire plaisir, alors pourquoi pas. Alors elle est sincèrement curieuse de savoir ce qui est interdit dans le harem. Après, elle est sûre qu'Edessa va prendre en compte le fait qu'elle n'est attirée que par les femmes.

Au moins, Esther et Anna seront dans une grande famille, sûrement en compagnie des Hybrides. Elles ne les détestent absolument pas, elles ne les considèrent pas comme des abominations. Esther se laisse donc caresser et frissonne en sentant le baiser au cou. Des frissons agréables qu'elle ne peut pas ignorer et qu'elle n'essaie pas d'ignorer.

La diligence finit par rejoindre le harem, et elle voit que la diligence entre par une entrée secondaire. Esther regarde ensuite Vanillia, Un petit tour dans la chambre pour avoir été familière avec Vanillia. Esther accepte donc sans broncher, prenant donc sa main.

"D'accord, Maîtresse Vanillia. J'accepterai toutes les sévices que vous me ferez pour me punir."

Toutes les sévices. Esther ne donnera pas son mot à dire. S'il faut souffrir, qui est-elle pour refuser ? Elle a donné sa liberté, elle ne peut plus la reprendre. Par ailleurs, Vanillia commence à voir les cheveux d'Esther repousser rapidement, jusqu'à arriver au bas du dos. C'est comme si elle lui donnait la possibilité de faire ce qu'elle veut de ses cheveux, tirer en fait donc partie. De toute façon, Esther est excitée à l'idée de passer du temps essentiellement avec sa Maîtresse Principale, celle à qui elle s'est très rapidement attachée.

Esther allait pouvoir constater que le harem Warren ressemblait à un petit palais huppé. Initialement, c’était un manoir aristocratique utilisé par l’ancien clan Warren, qui était utilisé comme pied-à-terre dans la capitale, pour participer aux sessions du Parlement ou avoir des ambassadeurs et des courtisans à destination du Palais Impérial. Quand l’ancien clan Warren avait été démantelé suite à la Guerre Civile, le manoir avait été la seule chose que Mélinda avait conservé, et qu’elle avait réaménagé en harem, s’en servant pour protéger l’ancien personnel, et éviter qu’ils ne soient vendus à d’autres.

« À l’époque, tout le monde s’attendait à ce qu’elle échoue. C’était le cas pour ma propre famille, mais Mélinda s’est avérée… Plus surprenante que ce que tout le monde pensait. »

Vanillia était désormais seule avec Esther. Mélinda avait estimé préférable de les laisser toutes les deux ensemble. Les deux vampires s’étaient séparées sur un tendre baiser, et Vanillia avançait ensuite. Le duo avançait à travers les agréables couloirs luxueux aux couleurs chaudes et vives du harem.  Mélinda avait, elle, finalement fondé un nouveau clan à l’aide du harem… Et à l’aide de Vanillia. En l’épousant, elle avait pu retrouver un titre de noblesse, que les deux femmes avaient utilisé pour fonder un clan vampirique. C’était suite à ça que Mélinda avait délégué l’administration du harem à sa succube, Edessa. Quand on dirigeait un clan, il fallait savoir déléguer. Elle était la Matriarche du clan, son instance supérieure était un Conseil regroupant les vampires du clan.

N’ayant pas oublié les questions d’Esther, Vanillia y répondit ensuite.

« Il y a un règlement intérieur applicable au personnel. Tu le liras en temps voulu, mais, en gros, l’idée est d’harmoniser les relations ici. Bien des esclavagistes dirigent en opprimant leurs esclaves, mais, comme tu peux le voir, ma femme n’a jamais cherché à gouverner par la peur. Elle aime l’idée qu’on l’aime et qu’on la chérisse… Un peu comme une sauveuse. »

Cela avait toujours surpris Vanillia, mais c’était aussi pour ça qu’elle était tombée amoureuse de Mélinda.

« Bref, l’idée est d’éviter qu’il y ait trop de rivalités ici, et également de vous protéger des clients. Certains peuvent avoir des fantasmes trop osés, trop extrêmes… Mais je ne tiens pas à t’embêter avec ça lors de ton premier jour, tu auras tout le temps d’en savoir davantage par la suite. »

Tout en marchant, elles rencontrèrent régulièrement d’autres personnes. Il y avait beaucoup de femmes, mais les hommes n’étaient pas en reste. Le harem disposait d’une grande majorité d’humains, même si on pouvait voir des furrys, ou quelques elfes. Les Warren tâchaient d’en offrir pour tous les goûts. À chaque fois, on saluait respectueusement Vanillia, qui en profitait pour présenter Esther… Ce qui donnait lieu à des baisers. Comme Vanillia l’avait expliqué à Esther, le harem était une grande famille, ressemblant parfois davantage à une espèce de grande colonie de vacances qu’à un centre d’esclavagiste. C’était un « esclavagisme doux » que Mélinda pratiquait. Elle se refusait à torturer ses esclaves. Elle avait eu l’occasion d’expliquer à Vanillia sa vision de la chose : l’esclave offrait sa liberté au maître, qui lui offrait en retour sa protection. C’était pour elle la base d’une relation de travail.

Le duo finit par rejoindre un quartier spécial, abritant une vaste penderie. Les vêtements étaient importants au sein d’un harem de luxe, et Mélinda dépensait une petite fortune auprès de tisserands pour confectionner une grande variété de tenues.

« Bon… On va commencer par te choisir une belle tenue de soumise. Comme tu le verras vite, il y a deux grandes écoles qui s’opposent… Certains préfèrent le latex, d’autres la lingerie fine. Je me demande dans quelle catégorie tu te situes… »

Esther et Anna sentent bien que ce harem va leur plaire. Esther se laisse donc guider par Vanillia, gardant toujours sa main. Elle voit donc les couleurs vives et l'aspect luxueuse de ce couloir. De toute manière, au vu de Mélinda et de Vanillia, ce serait franchement étonnant que les couleurs soient froides et tristes, donc Esther est impressionnée, mais pas étonnée.

Esther écoute donc les paroles de sa Maîtresse. De ce qu'elle comprend, il faut que les esclaves s'entendent bien, qu'il n'y ait pas de dispute. Heureusement, ni Esther, ni Anna ne cherchent des embrouilles. Juste qu'Anna est un peu bizarre, parfois. Esther a de la chance de tomber sur des esclavagistes qui ne veulent pas brutaliser leurs esclaves. Esther comprend donc qu'il faut se comporter comme une véritable admiratrice, ce qui ne la dérange pas.

Du coup, les esclaves doivent également être protégés des clients qui peuvent avoir des fantasmes un peu trop osés. Il faut de tout pour faire un monde, après tout, mais Esther n'est pas encore au stade où on peut lui pénétrer l'œil.

"D'accord, Maîtresse. Je prendrai le temps de lire."

Esther fait donc connaissance avec ses nouveaux congénères. Il y a beaucoup de femmes, mais on a pour tous les goûts, après tout. Les esclaves embrassent Esther pour les saluer, et si Esther retourne avec plaisir ceux des femmes, pour les hommes, bien qu'elle n'ait absolument rien contre eux, on sent que ça lui fait un peu bizarre. Esther et Anna ont toujours eu une attirance pour les femmes et pas pour les hommes, et elles ne l'ont jamais nié.

Elles finissent par rejoindre un quartier spécial qui abrite une vaste penderie comportant énormément de vêtements. Esther est toujours impressionnée par ce nombre de vêtements. Une belle tenue de soumise ? Du coup, elle doit porter des vêtements plus légers que sa robe et son débardeur pour son harem. En même temps, sans être nécessaire, c'est vrai que ça aide beaucoup à exciter. L'esclave a déjà d'ailleurs testé le latex avant. Bon, c'est agréable, elle comprend pourquoi c'est excitant, mais ça lui fait un peu bizarre sur la peau. Elle n'y est clairement pas allergique, juste que pour le latex, c'est l'autre qui va le porter, et pas elle. Alors, sans hésitation, elle va répondre.

"Je suis plutôt dans la lingerie fine. Tiens, est-ce que je peux essayer cette tenue, s'il vous plaît, Maîtresse ?"

Elle a vu une lingerie fine noire, qui couvre à peine les tétons et à peine l'intimité. Vanillia lui autorise. Elle se déshabille donc et met la tenue. Esther devrait être honnête avec elle-même, elle trouve que cela lui va bien.

"On l'aime bien. Qu'est-ce que vous en pensez ?"

Tenue de Vanillia :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

Tenue d’Esther :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

À la surprise de Vanillia, le choix d’Esther se porta sur un simple bikini, très court. Elle n’était pas surprise de voir que celle-ci préférait la lingerie fine au latex, mais, pour elle, un bikini, ce n’était pas de la lingerie ! Vanillia se pinça doucement les lèvres en l’observant, et sourit ensuite.

« Soyons sérieuse, ma chérie… Tu es dans un harem de luxe, pas dans un tripot de bas-étage. Ici, nous portons les bikinis pour nous détendre, mais nous avons bien mieux pour toi ici. »

Vanillia aimait bien les vêtements sophistiqués, élégants, et sensuels. C’était un peu ce qu’elle rapprochait au latex, la vulgarité de ces tenues, le manque de sophistication. Certes, l’idée était de faire l’amour, mais, pour Vanillia, cela n’empêchait pas une certaine élégance dans l’acte. Elle se déshabilla donc, après avoir mis un bandeau autour des yeux d’Esther, et se changea, puis la changea. Cela bien prit plusieurs dizaines de minutes, le temps de chercher les différents éléments de la tenue d’Esther.

Fort heureusement, Vanillia pouvait compter sur un large choix de tenues. Le clan disposait de ses propres stylistes, et l’une de leurs esclaves, Ai Aihara, était chargée de superviser tous les vêtements, de concevoir les tenues pour ses Maîtresses. Vanillia enfila donc pour Esther une superbe tenue, très mignonne et en même temps très nue. Pas de latex, mais des cordages, des ceintures qui reliaient le bas au haut. Elle les enfila lentement, la faisant tournoyer sur place, toute concentrée. Elle fit ensuite passer le string, et le remonta contre les fesses d’Esther.

Vanillia, de son côté, enfila une tenue moins sophistiquée, mais tout aussi belle, une longue robe fendue sur la droite, semi-transparente avec des motifs floraux. Elle termina ensuite par la pose de longs gants ne velours sur ses mains, descendant jusqu’à ses avant-bras. Un héritage des talents de sa femme en la matière.

Ainsi prête, Vannillia finit par attraper la main d’Esther, et la guida dans la chambre. Elle lui défit ensuite son bandeau en se positionnant devant elle, et, tout en faisant ça, la vampire se rapprocha d’Esther, et l’embrassa chaudement sur les lèvres. Elle attrapa ensuite ses mains, et s’écarta un peu d’elle, un sourire sur les lèvres.

« Tu pourras porter ton bikini, mais n’est-ce pas mieux ainsi ? J’ai toujours aimé ça, ce paradoxe… Le goût des plaisirs sophistiqués et bestiaux… C’est ce que j’aime avec Mélinda, c’est ce qu’elle me fait ressentir. Tu comprends ? »

Anna a influé sur le choix étonnant d'Esther. L'impulsivité d'Anna n'est pas à prouver, et Esther en fait les frais. Esther écoute malgré tout avant de rire un peu bêtement. Elle n'a pas vraiment le goût du luxe, mais avec ses Maîtresses, elle l'apprend.

"Pardon, Maîtresse ! Je n'ai jamais eu le goût du luxe et je veux l'apprendre avec vous."

Esther se laisse bander les yeux, laissant complètement sa Maîtresse vampirique la déshabiller complètement pour l'habiller de quelque chose qu'elle ne voit pas. Elle est curieuse, mais elle se refuse de retirer le bandeau. Elle ne sait pas du tout ce qui l'attend, mais a hâte de savoir ce qu'il en est. Une fois qu'elle est complètement habillée, elle est tentée de se débander les yeux, mais elle se refuse de le faire. Anna voudrait le faire, mais Esther la raisonne. Le temps lui parait long, et la frustration commence doucement à s'emparer de son corps, mais Anna ne veut pas encore prendre le contrôle du corps.

Esther se fait à la fin emmener par sa Maîtresse, et celle-ci lui débande les yeux. Elle voit donc la tenue de sa Maîtresse avant la sienne, et elle aime cette tenue. Une jolie robe transparente et fendue sur le côté, avec des motifs floraux. Elle se laisse prendre les mains et serre même les siens. Elle a la force d'une humaine normale, donc ce n'est pas ça qui causerait la moindre douleur à Vanillia de toute façon, qu'elle le veuille ou non.

A la fin du baiser, elle regarde sa tenue. Une tenue qu'elle trouve belle. Alors c'est ça une tenue plus sophistiquée ? Peut-être que ça va être sa tenue dans le harem d'Edessa. Elle regarde ensuite sa Maîtresse avec un petit sourire.

"Je comprends. Peut-être qu'on incarnera ce paradoxe pour vous, entre le côté sophistiqué d'Esther et le côté bestial d'Anna."

Esther vient de parler d'elle à la troisième personne, comme le ferait Anna, mais c'est surtout pour le côté séduction. Elle est prête à se plier aux désirs de sa Maîtresse, à se dévouer pour elle. Elle a quitté son nouveau travail ainsi que sa liberté pour elle. Elle ne veut pas retourner en arrière, et elle veut le montrer.

Tenue de Vanillia :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

Tenue d’Esther :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

La dentelle, c’était quand même très joli ! Mélinda avait pu insuffler à sa femme beaucoup de fantasmes et de plaisir, et, si le latex en faisait partie, Vanillia avait toujours une nette préférence pour la dentelle. En habillant ainsi Esther, elle l’habillait comme on le ferait avec une poupée… Une délicieuse poupée sexuelle. Loin du simple bikini, Esther se retrouva donc proprement habillée, avec une tenue très érotico-sanglée, se composant d’un élégant porte-jarretelles avec des ceintures formant une espèce de harnais, et des espèces de fanfreluches en guise d’épaulettes et autour du bassin. Vanillia l’observa donc avec une lueur de désir évident, qui rebondissait chez Esther, prête à offrir à sa nouvelle Maîtresse tout ce qu’elle voulait.

Sourire conquis de l’intéressée, qui se mordilla ensuite les lèvres. Vanillia caressa d’une main le délicat et beau visage d’Esther, et pressa de l’autre l’un de ses seins. Ses tétons étaient dissimulés par un petit cache en forme de cœur noir, qu’elle se mit à presser, juste pour le plaisir d’entendre Esther gémir, de sentir ses tétons se durcir, et de lire le plaisir se former sur son corps. Un plaisir qui s’exprimait aussi à travers le rythme sanguin d’Esther, qui s’amplifia, qui accéléra, pour le plus grand plaisir de Vanillia. Son pouce effleura les lèvres de la jeune femme, et Vanillia se rapprocha encore.

« Il y a quelque chose que tu peux incarner dans l’immédiat, ma petite poupée… »

Là où Vanillia l’avait conduite, il y avait un lit. La vampire la poussa, et les genoux d’Esther heurtèrent le rebord du lit, puis elle tomba sur ce dernier. Vanillai se rapprocha encore, une lueur malicieuse dans les yeux. Sa robe s’ouvrit un peu plus, jusqu’à laisser pointer une belle verge qui se dressa tout aussi rapidement, un appareil phallique complet, avec deux testicules.

« Je suis bonne joueuse, je te laisse choisir dans quelle position je vais te baiser, ma chérie… Et par quel trou je vais passer. »

Il était peu probable que cette séance finisse par ramener sa femme, qui avait dû, elle aussi, profiter de ce moment pour se changer… Une perspective qui ne manquait pas d’exciter Vanillia davantage !

Esther penche légèrement sa tête sur la main qui est en train de la caresser, pour mieux sentir le contact de sa Maîtresse sur son visage, et gémit doucement en sentant l'autre main masser le sein dont le téton est couvert par le cache en forme de cœur. Vanillia sent bien le rythme cardiaque augmenter et apporter plus de sang. Elle sent le pouce de sa Maîtresse effleurer ses lèvres, et doucement, sa langue commence à en sortir, voulant tout d'abord lécher le pouce.

Esther et Anna sont les petites poupées de Vanillia. Elles l'acceptent avec un grand plaisir. Elles sont surprises de se faire pousser sur le lit, mais elles ne sont pas refroidies. En fait, elles sont contentes de voir leur Maîtresse s'approcher d'elles, et Esther la fixe dans les yeux avec un sourire qui montre leur envie pour elle. Elles baissent un peu les yeux pour voir leur Maîtresse sortir leur verge qui les plait depuis ce moment au sein du restaurant.

A elles de décider comment elles veulent se faire prendre, et Anna n'a aucune préférence. Elle veut juste se faire prendre, et elle adorera ça. Esther n'a aucune préférence en soi, mais elle se rappelle toujours du moment qui s'était déroulé il y a quelques heures, donc c'est encore difficile d'oublier. Elle regarde à nouveau sa Maîtresse dans les yeux.

"Votre petite poupée veut que vous lui preniez la chatte, s'il vous plaît, Maîtresse. Votre femme le lui a pris, c'est à votre tour, si vous le souhaitez."

Elle écarte les cuisses et embrasse sa Maîtresse avec passion, et une de ses mains se glisse sur sa culotte pour la décaler, la laissant libre de se faire insérer sans que Vanillia fasse un petit effort supplémentaire. Elle lui prend ensuite la base de la queue pour la caresser en attendant qu'elle la prenne, pour la retirer une fois qu'elle se fait pénétrer.

Tenue de Vanillia :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

Tenue d’Esther :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

Un léger sourire orna les lèvres de la délicieuse Vanillia quand Esther l’embrassa, et proposa de se faire prendre par le devant. Vanillia était sur ce point similaire à sa femme. Elle s’amusait donc, et sentait effectivement sur Esther l’odeur de sa femme, sa délicieuse odeur sensuelle qui la faisait toujours frémir. Sa verge se redressa, mais Esther put aussi sentir sa queue caudale s’enrouler autour de l’une de ses chevilles. Vanillia sourit donc, et coucha Esther sur le dos, puis caressa ses belles cuisses. Elle glissa sur ses collants, et remonta l’une des jambes d’Esther. Vanillia lécha alors son pied, glissant sur le nylon, tandis que sa queue caudale se déplaçait encore.

« Mauvaise réponse, ma chérie… Je compte te remplir le cul… Et la chatte ! »

Telle femme, telle femme ! Vanillia était aussi perverse que sa femme, et elle se pencha en avant, repliant les jambes d’Esther. Sa jeune soumise avait intérêt à être souple. Vanillia grimpa à genoux sur le rebord du lit dans la foulée de ce mouvement. Elle releva les jambes d’Esther, soulevant ainsi légèrement son bassin, ce qui permit à sa queue caudale de se rapprocher de ses fesses. Vanillia approcha sa main, et déchira la culotte d’un coup sec. Elle en avait d’autres, de toute façon, et elle disposait ainsi d’un accès direct aux parties intimes d’Esther. Vanillia se mordilla les lèvres. Elle avait un style plus aristocratique que sa Mélinda, mais Vanillia n’en restait pas moins une femme pleine de passion quand il le fallait. Et, entre elle et sa femme, il était fréquent qu’elles couchent avec les mêmes esclaves. Il fallait bien les former, après tout, et leur apprendre qu’il y avait bien deux Maîtresses !

Optant pour une position de l’enclume, Vanillia soupira, et enfonça sa verge dans la délicieuse chatte trempée d’Esther. Elle soupira lentement en se mordillant les lèvres, son beau visage aux cheveux verts se contractant sqous l’effort, puis commença à se détendre tandis quer sa queue croissait dans le corps d’Esther. Son autre queue, la queue caudale, titilla alors le fondement de la jeune femme, et s’y enfonça à son tour. Vanillia soupira encore, plus longuement, sentant ce double effort, mais qui procurait aussi deux fois plus d’excitation.

« Tu… Tu aimes ça, h-hein ? Hmmm… Ce que tu es bonne, toi…. Haaaa, ma petite chatte, je vais te baiser bien fort ! » soupira-t-elle.

Quand Vanillia commençait à devenir vulgaire, c’est qu’elle était très excitée !

Tenue de Vanillia :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

Tenue d’Esther :

• Vue de devant,
• Vue de derrière.

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Vanillia était bien décidée à baiser avec force cette esclave perverse, à la baiser jusqu’à satiété. Elle sentait l’énergie vorace de cette femme, cette femme qui abritait en elle son âme et celle d’une autre personne. De ses études en la matière, Vanillia savait que les érudits eldois évoquaient l’âme d’une personne sous le terme de « Lumière-Vive ». Normalement, une personne ne disposait que d’une seule Lumière-Vive. Vanillia était donc naturellement intriguée par Esther. Elle la pénétrait donc avec force, ce qui trahissait son excitation. Elle qui était si timide autrefois, voire introvertie, sous l’emprise de son père cruel et violent… Oh, très clairement, Mélinda avait déteint sur elle ! Vanillia soupirait donc, enfonçant tant sa verge que sa queue caudale dans le corps d’Esther, qu’elle prenait en enclume. Elle avait relevé les jambes de sa partenaire pour ça, avant de les plier, et continuait ses coups de reins. Esther miaula sous elle, et Vanillia sqourit malicieusement, sentant la sueur sur son corps. Elle qui était d’un naturel altier, de descendance aristocratique, elle s’enfonçait avec joie dans le plaisir débridé et nihiliste du sexe. Han, que c’était bon !

« Hmmm… Oh, ma belle, tu es tellement exquise, ma Esther… »

La verge de Vanillia durcissait dans sa chatte, et, tandis qu’elle continuait à la prendre, un signe de luxure se matérialisa sur le pubis d’Esther, luisant chaudement et sensuellement. En forme de délicieux cœur violet, c’était un magnifique inmon, qui se mit à orner sa peau avec délice. Un spectacle des plus savoureux, qui fit frémir Vanillia. Elle se mordilla les lèvres, et embrassa sa belle, faisant plier davantage ses jambes.

« Han, ma chérie… »

Vanillia se pinça les lèvres, et commença à user instinctivement de sa magie. Esther put ainsi sentir des brassards de bondage se redresser sur les barreaux du lit pour s’agripper à ses chevilles, tandis que d’autres venaient restreindre ses poignets. Vanillia se releva ensuite, libérant provisoirement les parties intimes d’Esther. Elle se concentra ensuite, et sa verge grossit, enflant. La vampire s’en mordilla les lèvres, et dédoubla ainsi sa propre verge, formant deux beaux membres dressés et assoiffés. Elle se posa ensuite contre les cuisses d’Esther, et sourit, tout en posant un doigt sur le nez d’Esther.

Celle-ci était alors dans une pose très exquise, et Vanillia n’avait plus qu’à se redresser pour la bourrer.

« Miaule bien fort, mon chaton, car ta Maîtresse va te ravager bien comme il faut ♥ ! »

Et, tout en disant cela, Vanillia frémit en retournant s’enfoncer en elle, sa queue caudale se déplaçant ensuite pour venir fouetter les hanches d’Esther, remontant sur le rebord de ses fesses…

Vanillia était une magicienne d’exception, mais c’était auprès de sa chère et tendre épouse qu’elle apprenait à dominer sexuellement. Cela rendait les deux femmes complémentaires. Anna était pour cela un magnifique cobaye. Très perverse, cette jeune femme était pour Vanillia un pur régal, un plaisir constant pour elle. Vanillia observa donc sa belle proie se tortiller sur les liens, prise en enclume, tout en sentant avec délectation ses deux verges pulser l’une contre l’autre.

« Oui, ma petite Anna, tu es vraiment une incroyable et incorrigible catin ! »

La vampire se rapprocha encore de son jouet, caressa les jambes d’Anna, avant de donner une gifle sur ses fesses. Son cul était généreusement offert à l’appétit de la vampire, qui sentit avec cette soif de sexe sa soif de sang se réveiller. Si sa femme aimait le cuir et le latex, Vanillia préférait plutôt la lingerie fine, même si elle commençait à comprendre le fétichisme lié à ces tenues moulantes. Mais, face à Anna, Vanillia préféra se déshabiller totalement.

Intégralement nue, la vampire promena sur le sol sa queue caudale, puis la releva, et s’en servit pour fouetter le cul d’Anna. Sa queue caudale frappa légèrement au début, puis un peu plus fort, afin d’arracher à Anna des cris entièrement satisfaisants. Vanillia la pénétra ensuite, glissant d’abord une verge dans le fondement d’Anna, plus étroit, puis l’autre dans sa chatte.

« Haaaa… !! »

Vanillia se pinça les lèvres, sentant naturellement l’étroitesse du cul d’Anna, et pinça les cuisses d’Anna sur lesquelles elle s’appuyait, avant d’entendre celle-ci feuler, puis miauler.

« Hmmm… N-Non, tu n’es pas ma petite chatte, là, haaaa… T-Tu… Tu es ma grosse chienne… A-Alors… Hmmm… A-Aboie ! »

C’était tout ce qu’on pouvait attendre d’une chienne ! Comme pour la motiver, la queue caudale de Vanillia continua à fouetter les fesses d’Anna, et Vanillia n’hésitait pas à se pencher en avant, venant empoigner les seins d’Anna pour les pincer, et les malaxer. Elle prenait clairement son pied, en attendant que Mélinda revienne en compagnie d’Edessa.

Anna avait intérêt à être endurante, car la séance allait être longue !