Re: Le Paladin et la Reine [Ashka Velaryon]
Posté : 11 août 2025 01:40
Eh bien, visiblement, en public, Ashka se montrait très pervers ! Il se mit à parler de la Terre des Dragons, mais aussi du fait qu’il était destiné à un mariage politique. Cela, Alice l’ignorait. Elle espérait du coup n’avoir aucun ennui par la suite avec ce fameux territoire. En tout cas, il ne semblait pas être le Prince, car il indiqua émaner de l’une des maisons de nobles de ce territoire. Un royaume qui semblait visiblement assez vaste, et peuplé de dragons. Alice se rappela sa visite diplomatique avec Shykarka, une femme-dragon originaire d’un continent draconique, Rosteria, qui se situait de l’autre côté de l’océan. Silencieuse, elle se demanda s’il ne venait pas de ce continent, car la Terre des Dragons semblait de toute évidence être un territoire puissant.
*Il faudra sans doute que je me renseigne à ce sujet…*
Elle allait sans doute aussi devoir davantage creuser la question des origines d’Ashka, et de son exil. Pour ce qu’elle en savait, on ne quittait pas si facilement un mariage politique. Elle trouvait cela injuste, et elle était personnellement opposée à ce type de négociations, mais c’était très fréquent. C’était un moyen d’instaurer la paix. Comme son père le lui disait, l’idée était aussi pour un noble de comprendre qu’il devait penser à sa maison et au peuple. Les mariages politiques évitaient les guerres seigneuriales, et, dans une guerre, c’était toujours le peuple qui souffrait en premier. Mais, d’un autre côté, un mariage politique était quand même sinistre, artificiel, et Alice préférait de véritables alliances politiques à des mariages politiques, lesquels pouvaient d’ailleurs engendrer eux aussi des conflits.
Restant proche d’eux, Alice les laissa parler. Ashka semblait avoir plu aux convives, qui s’éloignèrent ensuite. Alice croisa son regard, et esquissa un léger sourire.
« Dis-moi, tu m’avais caché que tu avais une promise… Je… Je n’ai rien à craindre de tes parents, n’est-ce pas ? Et… Je te présente mes condoléances pour la mort de ta grand-mère, elle avait l’air d’être une très bonne personne… »
*Il faudra sans doute que je me renseigne à ce sujet…*
Elle allait sans doute aussi devoir davantage creuser la question des origines d’Ashka, et de son exil. Pour ce qu’elle en savait, on ne quittait pas si facilement un mariage politique. Elle trouvait cela injuste, et elle était personnellement opposée à ce type de négociations, mais c’était très fréquent. C’était un moyen d’instaurer la paix. Comme son père le lui disait, l’idée était aussi pour un noble de comprendre qu’il devait penser à sa maison et au peuple. Les mariages politiques évitaient les guerres seigneuriales, et, dans une guerre, c’était toujours le peuple qui souffrait en premier. Mais, d’un autre côté, un mariage politique était quand même sinistre, artificiel, et Alice préférait de véritables alliances politiques à des mariages politiques, lesquels pouvaient d’ailleurs engendrer eux aussi des conflits.
Restant proche d’eux, Alice les laissa parler. Ashka semblait avoir plu aux convives, qui s’éloignèrent ensuite. Alice croisa son regard, et esquissa un léger sourire.
« Dis-moi, tu m’avais caché que tu avais une promise… Je… Je n’ai rien à craindre de tes parents, n’est-ce pas ? Et… Je te présente mes condoléances pour la mort de ta grand-mère, elle avait l’air d’être une très bonne personne… »