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Re: Une invitée inattendue [Ranni]

Posté : 04 août 2025 01:53
par Éléonore Elden
La calme Ranni laissait s’exprimer une Ranni beaucoup plus passionnée. Éléonore ne pouvait pas nier l’évidence, elle adorait ça ! C’était comme une eau calme qui aurait cédé à la marée. Elle était endiablée, énergique, utilisant ses quatre mains avec une habileté redoutable, la baisant comme jamais elle ne l’avait baisé. Cette force, cette fougue, Éléonore pouvait la sentir. Ranni serrait sa gorge, la plaquait au lit, son rergard s’illuminant d’un désir fiévreux, tandis que son sceptre de chair la labourait avec force. Elle palpait ses fesses, les pressait, et s’attaquait simultanément à ses seins. Les griffes d’Éléonore lacérèrent les draps, et Ranni lacéra sa robe, la déchire, l’arrachant strate par strate. Éléonore finti nue, corps magnifique offert à une femme envoûtante. Elles faisaient l’amour sous le clair de lune. Le plafond de la chambre avait disparu, libérant un ciel étoilé, une voûte céleste sur laquelle elles s’offraient tout es les deux, baisant bestialement.

« Ra-Ranni, haaaaa... »

Elle l’embrassa, et, quand Ranni lécha son creux du cou, elle serra son dos, et la griffa. Elle entailla la peau de Ranni, faisant perler un peu de son sang bleuâtre. Pas de quoi perturber Ranni, mais sans doute de l’exciter davantage. Sa verge baignait dans une chatte trempée, et elle continuait à la prendre. Ranni soufflait, grognait, parvenant à parler entre plusieurs coups de reins, la dépeignant comme « un autel ruisselant de luxure ».

« U-Un autel… À la gloire de ta queue, haaaaa… !! »

Cette puissante queue qui la labourait, qui la pourfendait, qui la besognait comme jamais. Oh, quelle force ! Ranni continuait à la prendre, encore et encore. Éléonore la sentit jouir en elmle, balançant des chapelets de foutre dans sa chatte. Mais elle n’en avait pas encore fini ! Éléonore soupira, et observa Ranni jouir. Si belle, elle était si belle ! Mais Éléonore n’était pas qu’une simple pucelle. Elle profita de cet orgasme pour serrer ses jambes autour de la taille de Ranni, et la retourna en bandant les muscles. Ranni se retrouva sous elle, et Éléonore sentit avec délectation la queue de Ranni coulisser en elle, s’enfonçant encore dans sa chatte trempée.

Un sourire orna les lèvres d’Éléonore, qui mordilla l’un de ses doigts.

« En-dessous ou au-dessus, Ranni, je vénère ta grosse queue… Et ce qu’elle me procure. »

La Comtesse soupira, et commença à s’empaler dessus.

« Vas-y, pale-moi, je veux sentir tes mains meurtrir mon corps… À ton tour de m’honorer, Ranni, à ton tour de me vénérer, haaaaa… »

Re: Une invitée inattendue [Ranni]

Posté : 28 août 2025 01:13
par Ranni
Ranni accueillit le renversement sans une résistance, comme si la vampire n’avait fait qu’accomplir un mouvement inscrit d’avance dans le cours des étoiles. Étendue sur les draps lacérés, la peau striée de griffures et perlant de ce sang d’azur qu’Éléonore avait arraché d’elle, elle sourit. Non pas un sourire tendre, mais celui, glacial et souverain, d’une reine qui contemple la hardiesse d’un sujet trop ardent.

Sa verge, toujours enfoncée dans la chair écarlate de la vampire, pulsa de nouveau, gonflée par la provocation. Elle contracta ses quatre bras autour du corps d’Éléonore, l’enserrant comme un piège cosmique, l’écrasant presque contre son torse. Ses doigts se crispèrent sur sa gorge, ses hanches, ses seins, sans distinction : tout devait être possédé, tout devait plier sous sa main.

Elle laissa échapper un souffle saccadé, puis sa voix, grave, glacée, fendit l’air :

« Tu parles de vénération, Éléonore ? Soit. Mais souviens-toi… dans ce temple, c’est moi la déesse. »

Elle accompagna ses mots d’un coup de reins si brutal que la vampire arqua le dos, ses cuisses battant contre les flancs de la sorcière. Ranni remua en elle avec une lenteur calculée, tirant sa verge presque entièrement hors de sa chair avant de la replonger d’un seul coup, profond, violent, jusqu’à ce qu’un cri jaillisse des lèvres de son amante.

Ses quatre bras la malmenaient à l’unisson : l’un serrait sa nuque, lui imposant le joug de sa domination ; l’autre tirait sur ses mèches flamboyantes, exposant sa gorge blanche à ses lèvres ; deux autres malaxaient sa poitrine offerte, roulant ses tétons entre des doigts impitoyables.

Elle la mordit à son tour, au creux de l’épaule, laissant une marque bleue sur sa peau de marbre. Son sang métallique effleura sa langue, un goût d’étoile morte et de fer. Ranni en soupira d’extase, puis, dans un râle, siffla :

« Autel de luxure… oui… mais autel voué à ma gloire seule. Chaque cri, chaque spasme que tu donnes, Elden, m’appartient. »

Elle la fit basculer à nouveau, renversant d’un mouvement souverain la situation. Éléonore fut plaquée sur le dos, les cuisses écartées par la force implacable des bras surnuméraires. Sans un mot de plus, Ranni s’ancra en elle, pilonnant sa chair trempée avec une vigueur croissante. Le lit grinça, le ciel étoilé s’effaça dans une brume d’extase.

La vampire hurlait, griffait, se cambrait — mais Ranni restait implacable, son corps fin et froid animé d’une fougue presque inhumaine. Ses yeux étincelaient d’une clarté glacée, miroir d’un plaisir abyssal. Elle haletait, ses lèvres bleues entrouvertes, mais sa voix gardait ce timbre souverain, coupant, comme si elle dictait une sentence.

« Je te vénère, dis-tu ? Alors endure. Endure ma queue jusqu’à ce que ton corps s’écroule, jusqu’à ce que ton âme tremble. »

Ses coups de reins se firent plus durs, martelant le ventre de la vampire, faisant jaillir de sa gorge des gémissements rauques. Chaque pénétration était une frappe de marteau céleste, chaque va-et-vient une proclamation de puissance. Ranni, la glaciale, la détachée, brûlait de désir, et son sang bleu maculait désormais leurs peaux, leurs draps, leurs baisers.

Quand l’orgasme monta à nouveau, elle ne chercha pas à le retenir. Elle s’enfonça jusqu’à la garde, les doigts crispés sur les hanches d’Éléonore, et jouit en elle dans un râle guttural, souverain, la remplissant d’un flot épais qui déborda aussitôt, dégoulinant sur ses cuisses.

Mais, haletante, elle ne relâcha rien. Ses bras la tenaient encore, ses reins continuaient de bouger. Elle plongea ses yeux glacés dans ceux de la vampire, et murmura, d’une voix brisée par le plaisir mais encore tranchante comme l’acier :

« Je ne t’honore pas, Éléonore. Je te brise. Et tu m’adores pour cela. »

Re: Une invitée inattendue [Ranni]

Posté : 08 sept. 2025 01:43
par Éléonore Elden
Elle le sentit dans le regard de Ranni. Sa partenaire était prête à passer aux choses sérieuses, et à vraiment la baiser. Plus de faux-semblants, plus de lyrisme ni de poésie lunaire, Ranni passait au message du corps, au langage de la chair qui claque, des morsures et des griffures. Elle mordilla le creux du cou d’Éléonore, laissant une marque bleuâtre sur la peau mate d’Éléonore, et la fit basculer en arrière. Sa verge impérieuse s’enfonçait dans le con de la vampire comme on plante un drapeau pour marquer son territoire. Ranni la faisait sienne, déployant ses quatre bras. Elle se mit à étrangler Éléonore, qui gémit et bava sur place, remuant nerveusement ses jambes, les autres bras de Ranni retenant ses membres, palpant ses seins, pinçant et tirant sur les tétons. En ce moment, Ranni déployait tout son talent, tout cet art du sexe sauvage et débridé. Que pouvait donc faire Éléonore contre cela ? Elle était certes une Elden, elle était certes une vampire, mais, entre les bras musculeux et doucereux de Ranni, elle se sentait chose avant tout.

« Haaaa… Haaaaa… Ra-Ranni, haaaa… »

La Comtesse soupirait son nom, le murmurait entre plusieurs soupirs. Imperturbable, Ranni continuait à la baiser, encore et encore, pilonnant sa chatte, s’abattant sur elle avec force et fracas. Éléonore passa des gémissements aux hurlements. Ranni n’hésitait pas à ponctuer la séance de claques, des gifles sonores qui résonnaient sur les joues de sa partenaire, les faisant siffler. Ah, que c’était bon ! Étant une vampire, Éléonore appréciait la douleur, elle appréciait le sang à vif, les griffures… Et elle-même n’était pas en reste ! Dès qu’elle retrouvait l’usage de ses mains, la Comtesse venait gifler le magnifique cul de Ranni, le pinçant, elle griffait aussi son dos, et faisait ressortir ses canines en soupirant, excitée à la vue du sang, en percevant la puissance et la force.

Ranni finit ainsi par jouir. Son corps se contracta, et elle cracha des filaments de foutre en elle. Éléonore soupira, s’abandonnant elle aussi à la joie de l’orgasme. Le corps en sueur, les cheveux défaits avec des mèches qui barraient son visage, Éléonore sourit ensuite.

« Oooh, tu es forte, Ranni, ma Ranni… Mais la nuit est longue, et je suis une créature de la nuit. Penses-tu vraiment pouvoir me mater ? Moi, je crois que tu confonds les étoiles dans le ciel avec leur reflet miroitant dans mes yeux… »

Provocatrice, elle lui sourit encore, la respiration lourde, ses griffes imbibées du sang de Ranni, qu’elle avait fait couler en se crispant à elle…

Re: Une invitée inattendue [Ranni]

Posté : 23 sept. 2025 12:07
par Ranni
Ranni resta un instant immobile, figée au-dessus de la vampire, son souffle court, son sang bleuâtre perlant encore de ses entailles, maculant leurs peaux comme une constellation souillée. Ses yeux de glace fixaient Éléonore, impassibles en apparence, mais traversés par une lueur ardente, une braise cosmique qui trahissait le tumulte intérieur. Elle venait de jouir, mais son désir n’avait pas été apaisé. Au contraire : la provocation d’Éléonore n’avait fait qu’attiser davantage la flamme qui couvait dans son ventre.

Ses lèvres bleues s’entrouvrirent dans un souffle glacé.

« Tu crois pouvoir me défier, Éléonore… me confondre avec mon propre reflet ? »

Sa voix vibrait d’un mélange de mépris souverain et de fièvre contenue. Ranni n’attendit pas la réplique : ses quatre bras saisirent la vampire avec une brutalité calculée. Deux mains se refermèrent sur ses poignets, les clouant au lit comme des chaînes invisibles, tandis qu’une troisième s’enroula à nouveau autour de sa gorge, resserrant sa prise, la forçant à lever le menton. La quatrième parcourut son corps ruisselant, griffant la peau mate, pinçant, meurtrissant, marquant à chaque passage cette chair offerte.

Puis Ranni s’enfonça à nouveau en elle, sans douceur, sans répit, comme une sentence rendue. Sa verge s’abattait en elle avec la régularité implacable d’un marteau céleste, chaque coup de reins résonnant comme un glas, faisant vibrer le corps de la vampire jusqu’au plus profond. Les draps s’imbibaient de sueur et de sang, les gémissements d’Éléonore emplissaient la chambre, mais la sorcière restait implacable, glaciale dans son acharnement.

Elle se pencha, léchant l’arête du cou de sa proie, goûtant au sel de la sueur, au fer mêlé du sang, et murmura contre sa peau :

« Tu es forte, oui. Mais ta force ne t’appartient plus. Elle me revient. Tu n’es pas la nuit, Éléonore… tu es l’astre que je consume pour éclairer ma propre obscurité. »

Ses coups de reins se firent plus rapides, plus violents, chaque pénétration arrachant à la vampire un cri plus rauque, plus désespéré, jusqu’à ce que sa voix se brise dans un râle de plaisir. Ranni, imperturbable, continuait, la dominait, la possédait avec une fougue qui confinait à l’obsession. Ses yeux étincelaient comme deux étoiles froides, ses cheveux collaient à son front, et chaque muscle de son corps frémissait sous l’effort.

Éléonore griffait, mordait, saignait — mais tout cela n’était que tribut versé. Ranni s’en repaissait avec une jouissance glaciale, comme si chaque morsure, chaque goutte de sang arrachée renforçait son empire sur la vampire.

Lorsqu’elle sentit l’orgasme revenir, elle ne chercha pas à le contenir. Elle se cambra, la gorge nouée par un gémissement guttural, et déversa en elle une nouvelle vague brûlante, un flot d’étoiles liquides qui inonda l’autel qu’était le corps d’Éléonore.

Mais même alors, elle ne la relâcha pas. Sa main sur sa gorge maintenait l’étau, ses hanches continuaient d’avancer, d’exiger, d’écraser. Et dans un souffle rauque, glacé, elle scella ses mots comme une sentence divine :

« Tu dis être une créature de la nuit… Alors souviens-toi : je suis la Reine des étoiles. Et la nuit elle-même plie devant moi. »

Re: Une invitée inattendue [Ranni]

Posté : 06 oct. 2025 01:27
par Éléonore Elden
Provoquer Ranni pouvait être perçu comme un exercice subtil, et assurément risqué ! Elle était douce, sa Ranni, mais elle était faussement douce. Elle était calme comme de l’eau prête à bouillir, et pouvait faire preuve d’une passion très énergique. La Comtesse savait ce qui marchait le mieux avec Ranni, jouer sur sa fierté, la provoquer… Ça marchait après tout très bien sur Éléonore ! Elle était une Elden, elle était prête à endurer tout ce que Ranni pouvait lui faire. Éléonore la sentit rapidement agir. Elle serra ses poignets contre ses mains, les plaqua sur le lit, et posa sa troisième main sur sa gorge. Elle appuya fort, tandis que leurs seins se pressaient ensemble, et que les deux verges de Ranni repartirent à l’assaut. Éléonore poussa un cri silencieux, son corps se crispant sur place. Imperturbable, Ranni venait la labourer avec force, s’enfonçant avec passion dans son corps.

« Haaaaa… Ooooh, Ranni, ma Ranni, hummm… !! »

Les mains de Ranni retenant ses poignets se détendaient parfois, ce qui permit à Éléonore d’agir. L’une de ses mains griffa ainsi le dos de Ranni, glissant sur sa peau parfaite pour finir sa course sur son postérieur. Elle attrapa l’une de ses fesses, et donna une bonne gifle dessus, une claque qui résonna dans la chambre. Ranni la prenait vigoureusement, il y avait de quoi la rendre folle ! Éléonore sifflait et soupirait, révélant régulièrement ses canines quand elle sentait les deux verges de Ranni s’enfoncer le plus profond possible en elle, dilatant ses parois internes. Douleur, douleur exquise ! Un mélange inouï de douleur et de plaisir l’envahissait, vague électrique qui faisait frémir tout son corps. La Comtesse se tortillait sur place, et allait embrasser Ranni quand elle le pouvait.

« En-Encore, haaannn… B-Baise-moi p-plus fort… » gémit-elle.

Parler devenait difficile, Éléonore savourait donc les coups de reins de son amante. Elle enchaînait les orgasmes, et sentit sa magicienne s’abandonner à son tour. En la voyant jouir, Éléonore frémit. Elle était si belle ! Voir ainsi son beau visage se figer sous une intense expression de plaisir, puis sentir ses verges tressauter en elle, crachant des chapelets de foutre… Oh, quel régal ! Éléonore la laissa venir en souriant doucement, puis Ranni reprit ensuite ses coups de reins.

« Hmmm… Co-Continue, haaaa… J-Je suis à toi, Ranni, hmmm… Re-Remplis-moi encore… »