Re: [TERRA - MIJAK] L'Olympomachie - Le siège de Mijak [Bellone - Cirillia]
Posté : 12 avr. 2025 16:20
Les Mijakiens se battaient depuis plusieurs jours. Cirillia put constater l’intensité des combats en voyant des fosses communes. Des chariots remplis de cadavres s’entassaient à l’abandon près d’autres piles de cadavres. Les Olympiens avaient mené une attaque massive, et Mijak faisait également face à une attaque interne. Cirillia et les Mijakiens tenaient leur plan tactique, une stratégie visant à prendre l’adversaire par surprise, et à attaquer les forts mijakiens tombés entre les mains d’Arès. Fort heureusement, Arès n’avait jamais été aussi stratégique que sa sœur, Athéna. C’était un guerrier redoutable, et les soldats spartiates étaient légendaires. Les sections spartiates, les énomoties, se déployaient étroitement, chaque hoplite s’écartant pour mieux revenir.
L’armée d’Arès était subdivisée de façon classique pour une armée spartiate, similaire aux formations militaires mijakiennes :
En contrebas, Cirillia s’abrita derrière un chariot renversé criblé de flèches, évitant ainsi une volée. Une flèche traversa néanmoins le bois, et se logea à côté de sa tête, ressortant dangereusement. L’ancienne sorceleuse en formation sortit ensuite, et dévia une flèche. Un chariot se déplaçait rapidement, avec plusieurs archers. L’armée principale d’Arès continuait à s’avancer, à affronter les forces mijakiennes centrales. Cirillia vit ensuite un énorme bloc de pierre jaillir depuis l’un des mangonneaux défendant la ville, et s’écrasa violemment sur le chariot, soulevant des mottes de poussière tout autour.
*La vache !*
Au milieu du chaos, Cirillia se mit à courir. Les renforts s’étaient découpés en deux, une partie venant soutenir les ailes défensives mijakiennes fragilisées, une autre s’attaquant aux forts. C’était Bellone qui menait cette seconde aile, et, après plusieurs heures, les Mijakiens parvinrent à s’emparer d’un premier fort. La Déesse trancha elle-même la tête du commandant du fort sur le toit du donjon, et le repoussa du pied, sa carcasse tombant dans le vide, se fracassant sur les rochers en contrebas.
C’est à cet instant qu’Arès pivota vers ce donjon. Une onde de choc jaillit, et frappa le toit du donjon, le faisant brusquement exploser.
Au sol, Cirillia entendit l’explosion, et vit le toit du donjon s’envoler en l’air, formant un épais nuage de poussière, tandis que des blocs de granit et de marbre tombaient tout autour de la zone, rebondissant sur le sol. Au milieu des gravats, Arès s’élança vers Bellone, et l’intercepta en plein vol. Le choc repoussa la Déesse romaine, qui tomba ensuite en contrebas, et s’écrasa sur l’une des cours du fort. Arès se posa ensuite devant elle, repliant ses ailes divines.
« Tu me voulais, Enyo, me voilà. »
Le terrible Arès se dressait devant elle.
« Ce n’est plus l’un de nos jeux habituels, Enyo. Je t’implore à retrouver la raison. Tu n’as tout de même pas oublié nos batailles. Quand nous marchions ensemble, Sparte était invincible ! Nous avons mis à genoux Troie ! Tu étais la Destructrice des Villes ! »
Le Dieu de la Guerre était là, tout en puissance, et visiblement prêt à en découdre ! Espérait-il vraiment faire changer Bellone d’avis ? Ou cherchait-il juste à l’énerver, pour que le combat à venir n’en soit que plus excitant ?
L’armée d’Arès était subdivisée de façon classique pour une armée spartiate, similaire aux formations militaires mijakiennes :
- L’armée se composait de six mores, chaque more étant commandé par un polémarque,
- Chaque more comprenait quatre loches,
- Chaque loche comprenait deux pentécostyes,
- Chaque pentécostye comprenait deux énomoties.
En contrebas, Cirillia s’abrita derrière un chariot renversé criblé de flèches, évitant ainsi une volée. Une flèche traversa néanmoins le bois, et se logea à côté de sa tête, ressortant dangereusement. L’ancienne sorceleuse en formation sortit ensuite, et dévia une flèche. Un chariot se déplaçait rapidement, avec plusieurs archers. L’armée principale d’Arès continuait à s’avancer, à affronter les forces mijakiennes centrales. Cirillia vit ensuite un énorme bloc de pierre jaillir depuis l’un des mangonneaux défendant la ville, et s’écrasa violemment sur le chariot, soulevant des mottes de poussière tout autour.
*La vache !*
Au milieu du chaos, Cirillia se mit à courir. Les renforts s’étaient découpés en deux, une partie venant soutenir les ailes défensives mijakiennes fragilisées, une autre s’attaquant aux forts. C’était Bellone qui menait cette seconde aile, et, après plusieurs heures, les Mijakiens parvinrent à s’emparer d’un premier fort. La Déesse trancha elle-même la tête du commandant du fort sur le toit du donjon, et le repoussa du pied, sa carcasse tombant dans le vide, se fracassant sur les rochers en contrebas.
C’est à cet instant qu’Arès pivota vers ce donjon. Une onde de choc jaillit, et frappa le toit du donjon, le faisant brusquement exploser.
Au sol, Cirillia entendit l’explosion, et vit le toit du donjon s’envoler en l’air, formant un épais nuage de poussière, tandis que des blocs de granit et de marbre tombaient tout autour de la zone, rebondissant sur le sol. Au milieu des gravats, Arès s’élança vers Bellone, et l’intercepta en plein vol. Le choc repoussa la Déesse romaine, qui tomba ensuite en contrebas, et s’écrasa sur l’une des cours du fort. Arès se posa ensuite devant elle, repliant ses ailes divines.
« Tu me voulais, Enyo, me voilà. »
Le terrible Arès se dressait devant elle.
« Ce n’est plus l’un de nos jeux habituels, Enyo. Je t’implore à retrouver la raison. Tu n’as tout de même pas oublié nos batailles. Quand nous marchions ensemble, Sparte était invincible ! Nous avons mis à genoux Troie ! Tu étais la Destructrice des Villes ! »
Le Dieu de la Guerre était là, tout en puissance, et visiblement prêt à en découdre ! Espérait-il vraiment faire changer Bellone d’avis ? Ou cherchait-il juste à l’énerver, pour que le combat à venir n’en soit que plus excitant ?