Toki se tenait immobile à l’entrée du magasin de boissons, ses yeux bleus scrutant le chaos déclenché par Jeannie avec une froideur analytique. Le Kool-Aid Man, une aberration rouge et anthropomorphique, dominait le centre du commerce, son pichet brandi avec une assurance comique, tandis qu’une demi-douzaine de mascottes – Pepsiman scintillant, un sprite de Seven Up pétillant, et autres entités publicitaires absurdes – renversaient des étagères de sodas artisanaux dans un vacarme de verre brisé et de liquide sucré. Les clients fuyaient, hurlant, tandis que Jeannie, chapeau haut de forme de travers et masque décalé, balbutiait des excuses, son énergie chaotique palpable. Toki, dans sa tenue décontractée – jupe marine, chemise blanche, ruban cyan et veste assortie – restait impassible, ses mèches blondes dansant sous la lumière, son halo holographique clignotant en analysant la situation.
« Chaos… non planifié. Menace : basse. Perturbation : élevée, » murmura-t-elle, sa voix monocorde tranchant l’air saturé d’odeurs sucrées. Ses lèvres, marquées par le goût résiduel de la sucette, s’étirèrent en une ligne fine. Elle n’avait pas anticipé de combattre des mascottes animées, mais son entraînement au Lys la rendait prête. Sans un mot, elle activa un mécanisme magique dans son sac noir, un éclat bleuté jaillissant de ses poignets. Des gants de boxe démesurés et bleus, se matérialisèrent, luisant d’une énergie non létale, pulsant d’une aura bleutée qui vibrait dans l’air.
« Neutralisation… en cours, » déclara-t-elle, ses yeux fixant le Kool-Aid Man. Elle bondit, seschassures en cuir glissant sur le sol collant de soda renversé, et décocha un uppercut monumental avec son gant droit. Le coup frappa le torse liquide, l’envoyant s’écraser contre un mur dans un éclaboussement rouge, son « Oh yeah ! » devenant un gargouillement pathétique. Les gants, amplifiés par la technologie du Lys, transformaient la force en douleur incapacitante sans dommages permanents. Elle pivota, sa jupe marine virevoltant, et visa Pepsiman, qui sprintait vers la sortie. Un direct du gauche l’atteignit à la poitrine, le projetant contre une étagère de thés sucrés dans un gémissement métallique. « Menace : neutralisée, » murmura-t-elle, enchaînant les coups. Un crochet envoya le sprite Seven Up dans un frigo, et un uppercut fit voler une mascotte de cola dans un présentoir de bonbons, dispersant des friandises.
Elle se tourna vers Jeannie, ses gants géants scintillant. « Contrôle… ton chaos, » ordonna-t-elle, sa voix basse et tranchante, une lueur d’agacement perçant sa façade stoïque. « Stabilisation… nécessaire. Maintenant. » Elle désigna les mascottes neutralisées, gémissantes ou immobiles, incapables de bouger sous l’effet des gants. « Touche-les. Dissipe. Vite. » Son halo clignota, enregistrant l’incident pour le Lys, tandis qu’elle ajustait son ruban cyan, ses yeux bleus fixant Jeannie avec une intensité froide. « Énergie chaotique… problématique. Solution : discipline. »
Toki resta en position, ses gants prêts, surveillant les environs. La panique s’estompait, mais elle anticipait une possible intervention policière. « Boissons… après, » murmura-t-elle, une promesse pragmatique teintée d’une patience rare. « Résous ça. Puis… sucré. » Sous sa froideur, une curiosité discrète persistait – non pour le chaos, mais pour la capacité de Jeannie à le maîtriser. Elle ajusta sa chemise, ses mèches blondes frôlant ses épaules, et calcula mentalement le temps nécessaire pour stabiliser la situation, son regard toujours alerte, prête à frapper si une nouvelle menace surgissait.
« Chaos… non planifié. Menace : basse. Perturbation : élevée, » murmura-t-elle, sa voix monocorde tranchant l’air saturé d’odeurs sucrées. Ses lèvres, marquées par le goût résiduel de la sucette, s’étirèrent en une ligne fine. Elle n’avait pas anticipé de combattre des mascottes animées, mais son entraînement au Lys la rendait prête. Sans un mot, elle activa un mécanisme magique dans son sac noir, un éclat bleuté jaillissant de ses poignets. Des gants de boxe démesurés et bleus, se matérialisèrent, luisant d’une énergie non létale, pulsant d’une aura bleutée qui vibrait dans l’air.
« Neutralisation… en cours, » déclara-t-elle, ses yeux fixant le Kool-Aid Man. Elle bondit, seschassures en cuir glissant sur le sol collant de soda renversé, et décocha un uppercut monumental avec son gant droit. Le coup frappa le torse liquide, l’envoyant s’écraser contre un mur dans un éclaboussement rouge, son « Oh yeah ! » devenant un gargouillement pathétique. Les gants, amplifiés par la technologie du Lys, transformaient la force en douleur incapacitante sans dommages permanents. Elle pivota, sa jupe marine virevoltant, et visa Pepsiman, qui sprintait vers la sortie. Un direct du gauche l’atteignit à la poitrine, le projetant contre une étagère de thés sucrés dans un gémissement métallique. « Menace : neutralisée, » murmura-t-elle, enchaînant les coups. Un crochet envoya le sprite Seven Up dans un frigo, et un uppercut fit voler une mascotte de cola dans un présentoir de bonbons, dispersant des friandises.
Elle se tourna vers Jeannie, ses gants géants scintillant. « Contrôle… ton chaos, » ordonna-t-elle, sa voix basse et tranchante, une lueur d’agacement perçant sa façade stoïque. « Stabilisation… nécessaire. Maintenant. » Elle désigna les mascottes neutralisées, gémissantes ou immobiles, incapables de bouger sous l’effet des gants. « Touche-les. Dissipe. Vite. » Son halo clignota, enregistrant l’incident pour le Lys, tandis qu’elle ajustait son ruban cyan, ses yeux bleus fixant Jeannie avec une intensité froide. « Énergie chaotique… problématique. Solution : discipline. »
Toki resta en position, ses gants prêts, surveillant les environs. La panique s’estompait, mais elle anticipait une possible intervention policière. « Boissons… après, » murmura-t-elle, une promesse pragmatique teintée d’une patience rare. « Résous ça. Puis… sucré. » Sous sa froideur, une curiosité discrète persistait – non pour le chaos, mais pour la capacité de Jeannie à le maîtriser. Elle ajusta sa chemise, ses mèches blondes frôlant ses épaules, et calcula mentalement le temps nécessaire pour stabiliser la situation, son regard toujours alerte, prête à frapper si une nouvelle menace surgissait.