Re: [TERRA - MIJAK] L'Olympomachie - La Retraite des Dieux [Bellone - Sophitia Alexandra - Cirillia]
Posté : 09 févr. 2025 14:23
Elle était une petite naine face à ces colosses. Cirillia vit Moros s’envoler, disparaissant, laissant le village ravagé. Reprenant lentement ses esprits, elle tourna la tête vers Bellone, qui sembla ravie de la voir en vie, et lui annonça qu’il fallait retrouver Athéna.
« Hein ? Athéna ? »
Cirillia s’était relevée. Elle avait survécu par miracle à ce choc. Moros, en utilisant cette terrible attaque, avait sans doute dû s’épuiser, ce qui expliquait sa fuite précipitée. Mais rejoindre Athéna ? Cirillia n’y comprenait rien. Athéna était du côté des Olympiens, et, même si elle était réputée être une divinité sage et pesée, les évènements actuels l’incitaient plutôt à se méfier d’elle.
« Je ne suis pas sûre que ce soit très prudent… Déesse Bellona. Les Olympiens sont devenus fous, et je ne vois aucune raison qui amènerait Athéna à fonctionner différemment. Sans compter qu’il n’y a pas de sanctuaire grec dans la région. »
La priorité semblait plutôt être de rejoindre les Mijakiens, et d’organiser la riposte. Cirillia avait des contacts à Sylvandell, et, même si elle n’était pas une mercenaire, ni une soldate, elle ne pouvait pas non plus laisser les Olympiens ravager le pays. Alors que le duo s’aventurait hors des ruines fumantes du village, des cors de guerre résonnèrent alors. Cirillia se saisit de la garde de son épée, tandis que des bruits furieux se firent entendre… Puis une troupe de cavaliers noirs firent irruption. Ils portaient de puissants chevaux, des destriers noirs en armure, portant fièrement les écussons mijakiens.
Des cors supplémentaires résonnèrent encore, tandis que les cavaliers se mirent à encercler les deux femmes, formant plusieurs couches, obstruant totalement la vue. Cirillia regarda nerveusement autour d’elle, cherchant une faille quelconque, avant qu’un cri ne résonne. Les cavaliers s’arrêtèrent alors brusquement, dans une discipline impeccable, et abaissèrent leurs lances, venant encercler les deux femmes, ne leur laissant que quelques centimètres pour respirer.
« Halte !
- En formation ! »
Ils étaient plutôt intimidants, mais Cirillia venait de survivre à un choc contre un Dieu. Ces cavaliers venaient de la forteresse de Kirksway, et avaient évidemment vu le combat entre Bellone et Moros, à savoir cette immense explosion de feu, cette langue de feu qui s’était élevée furieusement dans le ciel, éclairant toute la région.
« Je suis le capitaine Davis Lionheart. Qui êtes-vous ? Que s’est-il passé ici ?! »
Finalement, à force de chercher les Mijakiens, c’était eux qui étaient venus à elles…
« Hein ? Athéna ? »
Cirillia s’était relevée. Elle avait survécu par miracle à ce choc. Moros, en utilisant cette terrible attaque, avait sans doute dû s’épuiser, ce qui expliquait sa fuite précipitée. Mais rejoindre Athéna ? Cirillia n’y comprenait rien. Athéna était du côté des Olympiens, et, même si elle était réputée être une divinité sage et pesée, les évènements actuels l’incitaient plutôt à se méfier d’elle.
« Je ne suis pas sûre que ce soit très prudent… Déesse Bellona. Les Olympiens sont devenus fous, et je ne vois aucune raison qui amènerait Athéna à fonctionner différemment. Sans compter qu’il n’y a pas de sanctuaire grec dans la région. »
La priorité semblait plutôt être de rejoindre les Mijakiens, et d’organiser la riposte. Cirillia avait des contacts à Sylvandell, et, même si elle n’était pas une mercenaire, ni une soldate, elle ne pouvait pas non plus laisser les Olympiens ravager le pays. Alors que le duo s’aventurait hors des ruines fumantes du village, des cors de guerre résonnèrent alors. Cirillia se saisit de la garde de son épée, tandis que des bruits furieux se firent entendre… Puis une troupe de cavaliers noirs firent irruption. Ils portaient de puissants chevaux, des destriers noirs en armure, portant fièrement les écussons mijakiens.
Des cors supplémentaires résonnèrent encore, tandis que les cavaliers se mirent à encercler les deux femmes, formant plusieurs couches, obstruant totalement la vue. Cirillia regarda nerveusement autour d’elle, cherchant une faille quelconque, avant qu’un cri ne résonne. Les cavaliers s’arrêtèrent alors brusquement, dans une discipline impeccable, et abaissèrent leurs lances, venant encercler les deux femmes, ne leur laissant que quelques centimètres pour respirer.
« Halte !
- En formation ! »
Ils étaient plutôt intimidants, mais Cirillia venait de survivre à un choc contre un Dieu. Ces cavaliers venaient de la forteresse de Kirksway, et avaient évidemment vu le combat entre Bellone et Moros, à savoir cette immense explosion de feu, cette langue de feu qui s’était élevée furieusement dans le ciel, éclairant toute la région.
« Je suis le capitaine Davis Lionheart. Qui êtes-vous ? Que s’est-il passé ici ?! »
Finalement, à force de chercher les Mijakiens, c’était eux qui étaient venus à elles…