The Multiversity

Même s’il ne devait pas y avoir de lendemain à tout cela, Keqing n’en resterait pas moins la plus heureuse des femmes. Elle avait fait l’amour avec Ganyu, et Ganyu lui avait tenu des mots d’amour ! Certes, sous l’influence de l’aphrodisiaque… Mais ce n’était finalement qu’une aide, un supplétif ! Keqing était convaincue que, demain, quand les effets de l’élixir se seront dissipés, elle sera proche de Ganyu. Il était aussi possible que Ganyu lui en veuille de l’avoir drogué à son insu, mais… C’était pour la bonne cause ! Keqing ne voulait tout simplement pas envisager ces hypothèses !

Elle soupira en voyant les seins lourds de Ganyu, et constata même que ses tétons étaient… Humides. Ou peut-être avait-elle mal vu ? Keqing se pinça les lèvres en se rapprochant. Elles étaient toutes les deux nues, et Keqing commença par entrelacer ses doigts avec ceux de Ganyu, puis elle l’embrassa. Un baiser qui se voulait sincère, honnête, et empreint d’un désir intense.

Ganyu lui indiqua qu’elle était « incroyable », que sa peau était « douce ». Keqing fondait sur place, et renifla en sentant ses yeux s’embuer. Elle les essuya d’un revers de manche.

« Oh, Ganyu, tu es si gentille… »

La position des ciseaux n’était pas la position la plus simple à mettre en place. Elle était exquise, bien sûr, mais il fallait un peu de préparation, et d’agilité. Ganyu et Kzeqing se positionnèrent donc en plein milieu du lit, tout en s’embrassant ensuite. Quand elles furent prêtes, Ganyu lui demanda de rester un peu dans cette position, et Keqing sourit. Leurs jambes étaient entremêlées, et elles n’avaient plus qu’à s’allonger l’un face à l’autre pour pouvoir se faire mutuellement plaisir.

Mais rien ne pressait, après tout.

Elles s’embrassèrent encore, tendrement, et Keqing caressait les épaules de Ganyu, les remontant pour caresser ses joues.

« Toi aussi, tu as une peau si douce… Et tu es tellement belle, je n’ai jamais rencontré personne comme toi… »

Keqing rougit quand Ganyu évoqua l’idée qu’elle puisse être meilleure que ses propres mères. Elle sourit ensuite timidement, avec humilité, sans oser la contredire. Pour elle, cela semblait tout de même assez impossible !

« Tu.. Tu dis ça juste pour me faire rougir, Ganyu ! »

Ganyu parvenait à remuer son bassin pour que leurs lèvres intimes ne se heurtent. Ce n’était pas l’idéal, car elles étaient tout de même en position relevées. Elles s’embrassèrent donc à nouveau, et Keqing, les joues cramoisies, se laissa alors aller :

« Ganyu… Je t’aime, Ganyu !! »

Dans la salle que sa mère leur avait confier, cette dernière qui avait joué d'entremetteuse devait se douter des sentiments des deux filles ou au moins, l'envie de s'amuser. Il leur était déjà arrivé de se croiser, mais sans jamais vraiment s'adresser la parole, plus de simples politesses. Ganyu n'avait d'yeux que pour ses parents pour le moment, pouvoir faire l'amour avec elles, ce n'était peut-être pas le rêve de toute une vie, mais une forme plus adulte de son rêve de vivre entre ses parents. Dans son passé, elle n'a vécu qu'avec Sya et ses grandes sœurs, alors certes, elle en savait long sur sa mère Samara, mais que via les récits de ses dernières, et là, depuis qu'elle expérimentait les nuits à trois, c'était grandiose ! L'idéal serait à cinq, avec ses grandes sœurs, mais elles avaient à peine dépassé la première année de leur vie pour le moment... Alors ça restait possible de passé la nuit à cinq, mais de façon plus calme et réaliste d'une nuit en famille. Elle adorait pourtant être entre ses parents, baisés par elles, subissant la moindre de leurs envies, même si elle connaissait très bien le corps de sa mère Sya, c'était une nouvelle Sya pour elle, si heureuse, libérée et loin de l'éternelle maman triste qui parlait de sa mère avec tristesse. Il lui arrivait même qu'elle se joigne à elle pour servir Samara, qui avait du coup, deux belles nymphomanes à son service.

Mais pour le coup, c'était du sexe, sans l'ombre – visible en tout cas – de Samara. Keqing était une fille simple, mais elle aimait ce qu'elle vivait avec elle. Elle n'a jamais pensé à trouver l'amour, elle était venue à cette époque pour une très bonne raison, mais là, sentir l'orgasme avec elle, ça devenait aussi bon qu'avec ses parents. Pourtant, elle ne la connaissait pas spécialement, elle ne la dominait pas, ou inversement, elles restaient sur un pied d'égalité et sans être aussi experte que ses parents, la façon de faire de la demoiselle ne déplaisait en rien à Ganyu, elle aimait sentir l'approche de Keqing.

« Je ne dis pas cela pour être gentille, mais je dis simplement la vérité. »

Et c'est vrai, elle n'avait pas de raison de mentir, tout ce qu'elle lui avait dit était vrai, elle trouvait tout chez elle parfait, sa douce peau, sa douce odeur, bref, c'est simple, elle sentait que cette fille avait la possibilité de faire mieux que ses parents. Et quand on sait de qui il s'agissait, c'était plus qu'un compliment ! Tandis que commençait enfin leur petit jeu, en position des ciseaux, Ganyu fit en sorte de rester la plus droite possible, pour mieux embrasser Keqing, tout en sentant leurs lèvres se frotter. Même si, volontairement ou non, sa partenaire lui ouvrait son cœur, pour l'instant, consciente ou non, Ganyu ne voyait pas plus loin que le résultat de cette forte chaleur, mais, peut-être ressentait-elle autant d'amour pour elle ? Si sa mère avait décidé qu'elle aide Keqing, c'était forcément pour une raison ? Les rapprocher, qu'elle croyait en ses capacités pour la faire progresser, ou toute autre raison ? Mais, la nephalem venait à en faire autant, tandis que son baiser avec elle ressemblait plus à quelques coups de langue sur ses lèvres en guise de baiser.

« Huuuum, moi aussi, je t'aiiiiime, Keqing~ »

Oh, sentir ses lèvres humides contre les siennes, c'était tellement bon, peut-être sera-t-elle aussi une excellente partenaire en futanari ? Mais Maman Sya disait qu'avant de prendre cette voie, il fallait qu'une femme soit aussi forte sans pénis, pour donner un bon orgasme. Si elle était aussi douée pour la faire jouir avec son attribut féminin, que reproducteur, alors elle pouvait faire une bonne épouse. Son clitoris était tout gonflé, impatiente de faire bien plus, mais elles commençaient tout juste que Keqing la rendait déjà si folle. Elle serrait doucement ses mains dans les siennes, le plaisir faisant bander la plupart de ses muscles, elle aimait sentir leurs peaux se frotter, même sentir son souffle sur ses lèvres humides, y a pas à dire, elle faisait tout si bien, alors que la jeune femme avait sûrement moins d'expérience qu'elle.

« Huuuum Keqing... Ha-aaaaa... j'adore... sentir tes lèvres... se frotter aux miennes... Jouis-moi dessus... quand tu seras prêtes~ »

Sur son intimité, sur sa poitrine, au visage, sur son corps, elle aimait sentir ses mères lui jouirent dessus, au fur et à mesure de leur soirée, ça commençait sagement pour être de plus en plus hard, ou parfois, c'était l'inverse, ça commençait fort et à force de se fatiguer, ça devenait plus doux. Même sa poitrine s'écrasait doucement sur la sienne, ayant cette zone plutôt sensible, elle couinait souvent quand elle se pressait contre elle, laissant un peu de lait s'échapper, coulant sur la poitrine de sa bien-aimée.

À ce stade, la présence de Samara aurait été plus intrusive qu’autre chose. Non, il fallait tout de même veiller à construire une relation durable entre ces deux-là ! Samara savait d’où venait Ganyu, elle savait de quel futur atroce elle venait, alors il était de son devoir de mère aimante de s’assurer qu’elle puisse bénéficier ici d’une nouvelle chance. Difficile de dire si cela allait marcher avec Keqing, mais Samara savait depuis un certain temps que la jeune femme était amoureuse de Ganyu. Alors, autant tenter le coup… Samara avait tout simplement tout fait pour que les deux femmes se retrouvent ensemble, comme en ce moment.

Keqing venait d’avouer sa flamme à Ganyu. Ce n’était pas un moment aléatoire, quelque chose qu’elle disait à l’emporte-pièces. C’était quelque chose qu’elle pensait sincèrement. Elle se frottait donc contre l’intimité de son amante, remuant avec elle C’était la position des ciseaux, un classique du plaisir lesbien, et Keqing se devait d’être à la hauteur ! Elle devait impressionner Ganyu, la séduire ! La jeune femme ne comptait pas utiliser à nouveau un philtre d’amour sur elle, elle voulait vraiment la séduire !

« Ga-Ganyu, haaaa… !! »

Elle était prête, oh oui ! Oh que oui ! Keqing continuait à remuer, provoquant une série de claquements entre leurs lèvres intimes. Elles entretenaient mutuellement leur désir mutuel, se rapprochant ainsi toutes les deux de l’orgasme…

« Haaaa… !! »

Keqing sentit la vague l’envahir, et se mit à jouir, inondant la chatte de Ganyu. Elle soupira longuement en s’abandonnant à ce plaisir suprême, névralgique. Han, que c’était bon ! Elle se relâcha totalement, et conserva ensuite un sourire épanoui sur les lèvres.

La jeune femme était heureuse, mais il suffisait de voir dans son regard pour comprendre qu’elle en voulait davantage !

Ganyu avait déjà croisé Keqing de nombreuses fois, en allant chercher sa mère pour diverses raisons, dire que c'était le coup de foudre, c'était aller un peu vite. Elle était encore dans cette optique où pouvoir coucher avec ses deux parents à la fois, ça avait quelque chose de magique, un rêve qui devenait réalité. Mais parmi toutes celles qu'elle a croisé chez sa mère, Keqing était effectivement celle vers qui elle aurait aimé partager plus que quelques mots. Et c'est ce qui se passait. La belle jeune femme était avec elle, se frottant contre sa petite chatte, elle mouillait contre elle, remuant en savourant chaque petit mouvement, même faible. Elle gémissait en observant le visage de sa belle partenaire qui savourait tout autant qu'elle ce plaisir intense. Tout comme elle, l'orgasme progressait doucement et elle se synchronisait à elle, même si ce n'était pas si utile que ça, Aphrodite faisait en sorte qu'elles restent sur la même longueur d'onde, naturellement.

« Ke-Keqing, je vais... HAAAAAAAA !!!! »

L'orgasme était puissant, libérateur, elle sentait la cyprine de sa belle éclabousser contre elle et, à peine retrouvait-elle sa partenaire en vue, qu'elle voyait dans son regard. Elle voyait son amour pour elle, son désir qui en voulait plus encore. Elle connaissait que trop bien ce regard. Le temps de démêler leurs jambes qu'elle se jetait à ses lèvres, l'embrassant avec passion en laissant sa poitrine écraser la sienne.

« Hum, oui, ma Keqing... Je sais ce que tu veux... »

Embrassant sa belle passionnément, sa main s'agitait d'abord au-dessus de ses lèvres intimes, formant les gestes magiques, avant qu'elle ne vienne la doigter tout en jouant avec son clitoris, non pas pour la faire déjà jouir de nouveau, mais lui offrir ce qu'elle voulait au fond d'elle. Stimulant son plaisir, elle termina en enfonçant deux doigts en elle, avant de les sortir pour laisser la magie lui faire pousser ce qu'elle voulait. En quelques instants, une belle et longue queue était tendue entre ses cuisses, avec ce qu'il fallait pour être sûre de pouvoir rendre Ganyu toute crémeuse.

« Je ne suis peut-être plus vierge, mais tu seras la première en dehors de mes parents et de mes sœurs, à pouvoir me faire l'amour, ma Keqing... Laisse parler tes envies... je... suis... tout... à... toi~ »

Disant cela, elle retourna l'embrasser en l'entourant ses bras, la câlinant en l'écrasant contre la couverture au sol, elle était libre d'enfoncer son chibre dans l'orifice de son choix, dans la posture de son choix. C'était peut-être la première fois pour Keqing de pouvoir bander, mais Ganyu n'allait pas la juger sur ses performances, elle allait juste subir ses envies. Surtout si c'est vraiment sa première fois, l'effet de sentir un pénis en érection entre ses cuisses... on devient plus proche d'une bête sauvage que d'une femme, même amoureuse. Pendant leur embrassade, sa main masturbait doucement Keqing, stimulant son plaisir, lui montrant combien si peu était déjà si bon, lui laissant deviner comment sera son plaisir selon le trou qu'elle voudrait visiter ? Après, si elle avait envie de juste lui jouir dessus pour commencer, elle n'avait rien contre. Keqing n'était pas limité à un orgasme avant de redevenir une femme. La fille de Sya et de Samara avait tant à offrir pour permettre à sa belle de continuer à se dépenser avec elles. Ses parents seront fière d'elle quand elle racontera tout ce qu'elle a vécu avec elle.

Keqing vivait un rêve éveillé. Elle aurait envie que cela ne se termine à jamais, de pouvoir faire l’amour avec Ganyu, de porter son enfant, qu’elle porte le sien… Oh, voilà qu’elle se mettait à délirer ! Keqing venait tout juste d’utiliser son élixir sur Ganyu, elles n’étaient même pas officiellement en couple ! Et voilà que, tandis qu’elle approchait de l’orgasme, que leurs lèvres intimes se frottaient sensuellement ensemble, Keqing se mettait à divaguer, à délirer, à fantasmer sur ce futur hypothétique où elle et Ganyu vivraient ensemble, et où son petit ventre s’arrondirait en portant la descendance de Ganyu… Keqing était de plus loin de se douter que Ganyu venait du futur, un futur qui n’avait déjà plus lieu. Keqing se mit à jouir, et gémit longuement, sentant le désir exploser en elle. Elle s’affala sur la couverture, et, le temps de reprendre ses esprits, Ganyu se redressa, et s’allongea contre elle.

« Ga-Ganyu, tu es si belle… »

La main de Keqing caressa la joue de Ganyu, et elles s’embrassèrent, tandis que Ganyu se mit à la masturber. Keqing soupira lentement. La Yuheng se tortillait sur place, tellement heureuse. Encore une fois, elle avait cette envie que rien ne se termine, que cette bulle temporelle reste sans fin, que personne ne les rappelle à la réalité. Elle avait déjà croisé Ganyu, mais Keqing n’avait jamais osé l’approcher de trop près. Pour surmonter sa timidité, il lui avait fallu bien des efforts, et, maintenant qu’elles étaient ensemble, qu’elles avaient enfin fait l’amour, toute la nervosité de Keqing s’était envolée. Elle sentait les doigts de Ganyu farfouiller en elle, et elle sentait la magie rose de son amante s’emballer. Ses pupilles prirent une teinte rose, tandis qu’elle masturbait Keqing.

Celle-ci gémit, tout en étant très excitée. Le sortilège d’hermaphrodisme était un sortilège que Keqing connaissait, mais qu’elle n’avait jamais utilisé. C’était un classique que la plupart des étudiantes à l’Académie utilisaient, et on l’enseignait d’ailleurs lors des cours de magie rose, cours qui attiraient toujours quantité de curieux. Keqing gémit en sentant son clitoris frémir.

« Haaa, Ga-Ganyyyuuuu… !! »

La jeune femme se mordilla les lèvres, et sentit son clitoris se déformer sous les doigts de Ganyu. Joueuse, celle-ci matérialisa une belle verge qui remonta, et tapa contre le ventre de Ganyu. Keqing soupira lentement en se mordillant les lèvres. Elle sentait la main de Ganyu caresser sa verge. Le rouge monta aux joues de Keqing, qui sentit une vague énorme remuer en elle. Keqing gémit encore, et posa ses deux mains sur les épaules de Ganyu.

« Ganyu, je… Je t’aime ! »

Elle repoussa alors Ganyu, et la renversa. Les rôles s’inversèrent. Keqing se retrouva sur elle, et posa sa main sur son sexe palpitant. Elle frémit, et se mordilla les lèvres. C’était si intense, tellement fort ! La jeune femme avait du mal à se retenir. Elle frémit encore, et orienta sa verge.

« Je… Je vais te pénétrer, ma chérie, d’a-D’accord… ? » soupira-t-elle.

Keqing croisa son regard, et, sans vraiment attendre son approbation, elle pénétra Ganyu en soupirant de plaisir… Et contracta très rapidement un premier orgasme !

Il était temps de passer à l'étape au-dessus, Ganyu voyait comment Keqing l'observait, comment cet orgasme fut ô combien délicieux, mais maintenant, il fallait grandir. Ses mères seraient sûrement d'accord avec ça, peut-être même qu'elles observaient magiquement ce qui se passait ici ? La nephalem avait rendu Keqing hermaphrodite. Elle a déjà eu ce rôle, en jouant avec ses parents, mais avant d'essayer ça avec elle aussi, elle voulait d'abord lui donner cette chance. Quelque chose lui faisait dire que cette demoiselle était totalement pure pour le moment, jamais elle n'avait bandé, jamais elle n'avait touché de pénis de sa vie. Elle se trompait peut-être, mais son instinct lui dictait cette vérité et si elle ne se trompait pas, ce serait grandiose ! Keqing bandait fort, sa verge était tendue et dictait la voie à suivre à la jeune femme, avouant sans mal ses sentiments, et ce, même si la cornue n'en pensait pas moins, elle se focalisait pour le moment sur le désir.

« Alors, baise-moi et remplis moi. »

Elle l'aimait alors elle le pouvait, même si Keqing n'attendait aucun signal pour commencer, arrachant un gémissement de plaisir de Ganyu.

« Han ! Que tu es impatiente, ma chérie... Allez... vides tes couilles en moi~ remplis moi d'amour. »

Leurs visages si proches, elle lui caressait la joue en lui volant un délicat baiser pendant que Keqing allait laisser parler ses plus bas instincts. Elle n'allait pas mal le prendre, elle savait que lors de la première fois que l'on devenait une futa, penser sereinement était impossible, tout le sang était dans la verge et cette dernière la contrôlait. Peut-être après son premier jet, elle pourra réussir à penser plus normalement, mais pour le moment, Ganyu la guidait vers la marche à suivre, serrant la jeune femme contre elle en savourant ses gestes aussi maladroit pourraient-ils être, Ganyu la laissait faire, elle ne pouvait pas être une pro dès le début puis, ça avait son charme. Elle se sentait baisée par elle, déposant quelques baisers avec elles pour rendre cela meilleur et plus mignon. Elle sentait son cœur battre à travers sa poitrine, l'observait dans l'effort, la chargeant avec autant de force que d'amour, son utérus supportait l'assaut, ses parents pouvaient se montrer plus forts que ça.

« Han, Keqing, je vais jouir ! S'il te plaît... jouis avec mOIIIIIIIIII HAAAAAAAAAAAAAA !!!! »

Le cri était sincère, en toute logique, elles n'ont pas été discrètes, mais cette rencontre venait de Samara elle-même donc, pas de réelle surprise pour la démone. Ganyu s'était calibré sur le désir de sa chérie, reprenant sa respiration en gardant cette dernière contre elle, l'utérus tout chaud, la chatte bien remplis, elle la caressant en savourant.

« Hum, ma Keqing, tu es parfaite... Désormais... tu n'auras qu'à me trouver... si tu veux qu'on recommence, d'accord ? »

Elle caressait ses cheveux avec tendresse en la gardant contre elle, elles n'étaient pas dans un lit, mais ce n'était qu'un détail, elles étaient si bien, elle ne voulait rien changer.

« Tu es la première à me faire l'amour, si je ne compte pas mes parents ni mes sœurs... Et c'était merveilleux... Mais dis-moi... tu... tu étais sincères tout à l'heure ? Sur... tes sentiments à mon égard ? »

La concernant, elle l'aimait, mais elle ne savait pas trop ce qu'était l'amour. Elle a lu des livres, des contes, mais toute sa vie, sa mère l'a protéger et elle était ici pour changer le futur. Mais justement, sa mère, ici, était différente de celle qu'elle a connue, lui souhaitant toujours de trouver l'amour et de fonder une famille avec quand elle aura trouvé la bonne personne. En écoutant Keqing, elle pourra sûrement se rendre compte qu'elle vivait la même chose ? Elle n'a pas été envoûtée par le charme de Keqing au premier regard, mais vu que le philtre d'amour fonctionnait comme un simple aphrodisiaque sur elle, c'est qu'elle aimait déjà celle dont elle a croisé le regard une fois le contenue avaler.