Re: Les bases de son culte [avec Shayne]
Posté : 17 août 2024 16:54
Six minutes d’efforts. Même si c’est un jeu de danse, ça reste un sacré défi. Endurance. Coordination. Lecture de l’écran. Anticipation du rythme. Adrénaline de la compétition. Stress des attentes du public. Un sacré cocktail dont Alma parvient à contrôler les conséquences. Elle parvient au bout de la longue chanson en sueurs et sous les applaudissements du public. Et, une nouvelle fois, l’infaillible cyborg sort victorieuse. Et pourtant, pourtant, les faveurs du public vont davantage à Alma qu’à Giana. Ca la perturbe. Est-ce qu’elle se contenter de ces acclamations malgré le fait qu’elle ne puisse pas poser son prénom tout en haut de la liste des meilleurs scores ? Elle ne sait pas. Elle n’a pas vraiment le temps de sérieusement y réfléchir. Giana lui fait une proposition l’air de rien. C’est que la cyborg en fait des efforts pour placer Alma sous le feu des projecteurs !
« Va pour Dream a dream ! »
Alma abdique face au choix de la foule. Et celle qui prenait ce jeu pour une sorte d’exercice physique commence à voir la console et d’autres sujets sous un autre angle. D’abord, la musique en elle-même. Le style d’eurodance allemand (nom qu’elle découvrira plus tard lors d’une recherche) ne la touche pas. Alors quel est son style ? Marischka venant d’un monde sombre, elle tend à se chercher dans les sous-genre du métal. Les rythmes endiablés de la batterie. Les cris des chanteurs. C’est quelque chose qui commence à l’intéresser. Pour découvrir l’univers ? Pour découvrir un instrument ? Elle ne sait pas. Mais elle déplore que la setlist de DDR ne comporte pas ce genre de musique.
La cinquième chanson se termine.
« Je te paie un verre d’huile de vidange ? »
Une pause s’impose. La provocation qui n’en est pas vraiment une demande à la cyborg de faire cette pause et de lui offrir une consommation. D’abord parce qu’Alma a besoin de boire. Ensuite parce qu’il est de bon ton de donner une bonne d’image d’elle au public en s’associant avec la superstar des scores de la salle d’arcade.
« Je vous propose de vous organiser ensemble pour que vous disputiez des duels de DDR ! Celui ou celle qui vaincra m’affrontera moi à mon retour. »
Et enfin, créer un manque auprès de ces futurs cultistes. Combattre pour une obtenir une faveur de leur Elue.
Un bisou collé sur les lèvres de sa magnifique petite amie et Alma ajoute :
« Bois ce que tu veux. C’est ma tournée. »
« Va pour Dream a dream ! »
Alma abdique face au choix de la foule. Et celle qui prenait ce jeu pour une sorte d’exercice physique commence à voir la console et d’autres sujets sous un autre angle. D’abord, la musique en elle-même. Le style d’eurodance allemand (nom qu’elle découvrira plus tard lors d’une recherche) ne la touche pas. Alors quel est son style ? Marischka venant d’un monde sombre, elle tend à se chercher dans les sous-genre du métal. Les rythmes endiablés de la batterie. Les cris des chanteurs. C’est quelque chose qui commence à l’intéresser. Pour découvrir l’univers ? Pour découvrir un instrument ? Elle ne sait pas. Mais elle déplore que la setlist de DDR ne comporte pas ce genre de musique.
La cinquième chanson se termine.
« Je te paie un verre d’huile de vidange ? »
Une pause s’impose. La provocation qui n’en est pas vraiment une demande à la cyborg de faire cette pause et de lui offrir une consommation. D’abord parce qu’Alma a besoin de boire. Ensuite parce qu’il est de bon ton de donner une bonne d’image d’elle au public en s’associant avec la superstar des scores de la salle d’arcade.
« Je vous propose de vous organiser ensemble pour que vous disputiez des duels de DDR ! Celui ou celle qui vaincra m’affrontera moi à mon retour. »
Et enfin, créer un manque auprès de ces futurs cultistes. Combattre pour une obtenir une faveur de leur Elue.
Un bisou collé sur les lèvres de sa magnifique petite amie et Alma ajoute :
« Bois ce que tu veux. C’est ma tournée. »