The Multiversity

« Le Royaume de Lust est alimenté et nourri par le désir sexuel des gens... Mais il existe aussi des désirs impurs, des pulsions néfastes. Ces pulsions inacceptables par notre Déesse fabriquent des monstres qui tentent d'envahir le Royaume. C'est là que les guerrières comme toi interviennent, pour protéger le Royaume. »

Tandis que Bianca embrassait avec appétit Helena, Nowen lui expliquait le déroulement des choses. Les deux fées étaient irrésistibles, et Helena était prête à son premier essai. Bianca l'embrassa pendant une bonne dizaine de minutes, et on avait le sentiment qu'elle aurait pu embrasser Helena sans relâche, pendant des heures, tant ses lèvres étaient magnifiques, savoureuses. Les deux fées étaient superbes, des égéries de beauté, des parangons de sexe et de désir. Elles mirent fin à ce délicieux baiser quand le monstre fut finalement réveillé.

Émergeant du sol, une épaisse masse apparut. C'était un monstre humanoïde, bipède, à la peau violette. Un corps musclé et glabre, mais avec un amas de tentacules violets à la place de la tête. La créature émit un léger mugissement en se redressant, et marcha lentement vers Helena. De leur côté, les deux fées rapetissèrent à nouveau, reprenant leur taille naturelle, tandis qu'Helena se dressait seule face au monstre.

Plusieurs yeux émanant des tentacules l'observèrent, et le monstre se rapprocha encore, ciblant toute son attention sur elle. Monstre de luxure, il émettait de solides aphrodisiaques avec son corps puissant, et bien bâti. Un frisson parcourut le corps d'Helena, et la main du monstre caressa le visage d'Helena. Les tentacules jaillirent ensuite. Il appuya sur elle, et enroula ses tentacules autour de ses bras et ses jambes, renversant la jeune femme, puis opta pour une solide double pénétration ensuite.

« Rrrrrr... »

Les deux épais tentacules s'enfoncèrent en elle, tandis qu'un autre se perdit rapidement dans sa bouche. Ce tentacule s'enroula autour de son cou, l'étranglant presque, avant de s'enfoncer rageusement dans sa bouche. Puis les tentacules commencèrent tous à remuer en harmonie, les gros seins d'Helena filant d'avant en arrière devant le monstre. Il continuait à la prendre, caressant son corps avec ses mains, accompagnant ses mouvements frénétiques et puissants...

Ligotée par le monstre de luxure, Helena se faisait baiser par ses tentacules, renversée sur le sol. La créature caressait son corps avec ses mains, accompagnant ses mouvements frénétiques et puissants. Il avait un comportement très dominateur, et malgré le manque d’oxygène induit par le tentacule qui l’étranglait, Helena se sentait très excité. Cette créature avait beau être dangereuse, c’était aussi un amant des plus vaillants. Il avait un corps puissant et bien bâti, émettait de puissants aphrodisiaques, et ses tentacules étaient aussi bons que des gros sexes durs et veineux. Le seins de la femme filaient d’avant en arrière sous ses assauts, sa chatte était un vrai torrent, et même la douleur de se faire dilater le fondement devenait agréable. Très vite, alors qu’elle pensait que tout son lait avait servi à réveiller la bête, de petites gouttes blanches se mirent à perler sur ses tétons.

« Hhhmmm ! »

Est-ce que ce cochon va venir pomper mes seins ?

Comme si le monstre l’avait entendu, Helena vit deux de ses tentacules s’ouvrir, dévoilant des bouches pleines de petites langues qui vinrent se poser sur ses mamelles. Elle sentit son lait être énergiquement pompé pour aller alimenter le monstre qui, en réponse, se mit à la baiser plus vite et plus profondément.

« Hhhmmm ! HHHMMM ! »

Pas de doute, cette chose se nourrit de mon lait. Ca le rend plus fort.

Mais Helena ne se sentait pas inquiète. Au contraire, la façon dont cette bête de sexe s’occupait d’elle la remplissait de joie. En bonne soumise, elle aimait se sentir complètement dominée et être baisée sans ménagement. Et jusqu’à présent, il n’avait rien fait pour mettre sa vie en danger, il lui faisait juste l’amour comme un amant très enthousiaste. Elle lui aurait volontiers crié son plaisir si elle n’avait pas eu la bouche pleine.

Cependant, au bout de quelques minutes, Helena commença à avoir la vue qui se troublait. Ce n’était pas la fatigue, elle se sentait en pleine forme et ses sens étaient tous en éveil. Pourtant, quelque chose n’allait pas. Le monde autour d’elle commençait à devenir plus flou, moins perceptible. Et tout à coup, le monstre passa un tentacule autour de ses yeux, l’aveuglant complètement.

« Hhhmmm ! »

Qu’est-ce qu’il fait ?

Elle sentait qu’elle allait vite avoir la réponse.

C’était un monstre de Luxure. Un amas de sexe et de vice. On pouvait le battre en l’attaquant, mais cela ne le tuerait pas. Pour vaincre ce type de monstre, il fallait l’épuiser sexuellement, en faire un familier. Si Helena l’avait tué avec une épée ou avec n’importe quelle arme, le monstre aurait fini par se réincarner, soit sous cette forme, soit sous une autre. Car l’enveloppe physique du monstre avait pour origine le désir pervers qui l’avait créé. Ce désir se devait d’être assouvi, et c’était ce que le monstre faisait avec Helena. La jeune justicière se tortillait sur place, sentant le désir exploser en elle. Les tentacules s’enfonçaient régulièrement en elle, la labourant avec appétit, la pénétrant énergiquement.

« Rrrrr… Rrrrr… »

Des grognements profonds s’échappaient du corps du monstre, tandis que les tentacules continuaient à bruisser sur elle. Le monstre se mit à absorber son lait, et recouvrait ensuite le visage d’Helena avec un autre tentacule. Il continua à la prendre, jusqu’à la faire jouir. La femme relâcha sa mouille, et sentit alors les tentacules jouir en elle. Les trois vinrent la remplir, jouissant furieusement en elle, ainsi que d’autres sur elle, éclaboussant son corps. Le monstre libéra une puissante verge entre ses cuisses, et se rapprocha d’Helena, puis la pénétra avec ce puissant mandrin, enfonçant son sperme en elle par l’intermédiaire de sa verge.

Avec la vision absente, Helena allait sentir un liquide aphrodisiaque dans son corps, l’enivrant davantage, au point de lui faire perdre la raison… Et, pendant ce temps, sur son ventre, la marque de Lust commençait à se former, s’étirant sur son ventre, un beau cœur violet et vibrant…

Aveuglée par le tentacule sur ses yeux, Helena ne pouvait plus compter que sur ses autres sens pour comprendre ce que le monstre lui faisait, en particulier son sens du toucher. Après qu’elle ait joui, elle sentit les tentacules jouir en elle, ainsi que d’autres sur elle, éclaboussant son corps et faisant déborder ses orifices.

« Hhhmmm... »

Mais ce n’était que le début. Elle sentit un appendice phallique se frotter entre ses jambes, et ce n’était pas un tentacule. C’était un vrai sexe masculin, long et dur, qu’il inséra en elle sans ménagement, enfonçant son sperme en elle.

« HHHMMM ! »

Un puissant liquide aphrodisiaque se déversait dans son corps, l’enivrant davantage, au point de venir peu à peu effacer ses autres pensées. Seul le sexe restait, éclipsant tout le reste. Elle se laissa aller à ses instincts primaires, se satisfaisant d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel par ce monstre.

Oui... oui monsieur le monstre. Baise-moi... défonce-moi la chatte et le cul... avec ta grosse trique... et tes tentacules. Traie-moi comme une vache... pour devenir plus fort... et plus vigoureux. Sois sans pitié... pour la sale pute que je suis.

Helena aurait voulu dire tout cela à haute voix, mais elle avait encore un tentacule dans la bouche, qu’elle suçait avec ardeur et plaisir. Elle sentit deux tentacules phalliques se glisser entre ses doigts, et elle se mit aussitôt à les astiquer. Pour peu qu’on lui en donne l’occasion, elle ferait n’importe quoi du moment que c’était sexuel. Son corps lui hurlait de chercher le plaisir à tout prix, tant pis si cela voulait dire forniquer avec des monstres de luxure et s’avilir en descendant à leur niveau.

Les fées veulent que j’épuise ce monstre, non ? Alors vas-y mon beau, envoie tout ce que tu as.

C’était son premier combat contre un monstre de Luxure. Helena ne craignait rien en cas d’échec, car elle était dans un endroit sécurisé. L’échec ne signifiait pas la mort, mais la corruption des femmes, qui devenaient alors des prêtresses renégates. Beaucoup de magical girls avaient déjà succombé aux influences de ces monstres, qui étaient le fruit des vices malsains. Mais, pour l’heure, Helena semblait sincèrement prendre son pied. Les deux fées observaient la scène avec grand intérêt. Si Karen était très forte, dans le domaine sexuel, ses capacités kryptoniennes ne servaient à rien, et c’était pour ça qu’elle avait perdu jadis. Maintenant, si elle revenait, elle gagnerait sûrement, mais c’était là qu’elle avait commencé à développer ses goûts sexuels.

« Rrrrr… »

Privée de la vue, Helena ne pouvait que subir, et cela amplifiait son sens du toucher. Elle pouvait néanmoins les flux très odorants du monstre. Celui-ci puait, sécrétant sur ses tentacules un liquide lubrifiant très odorant, qui lui permettait toutefois aussi de pénétrer plus simplement ses proies. Ce liquide lubrifiant était toutefois aussi exquis, dans le sens où il développait l’excitation sexuelle de ses partenaires. Le monstre remuait profondément en elle, sa verge tapant contre son col de l’utérus. Il s’enfonçait totalement dans son vagin, sans vouloir ressortir, et posa ses mains sur les hanches d’Helena, la baisant au-dessus du sol.

Celle-ci put sentir les premiers jets de sperme fuser en elle. Le monstre commençait à se soulager, mais était manifestement encore loin d’en avoir fini. De fait, un autre tentacule phallique se rapprocha du fondement d’Helena, et se glissa en elle. Le tentacule dans sa bouche continuait à remuer pour le coup, prenant Helena par tous les orifices, tortillant et tordant son corps, les tentacules s’enroulant autour de ses jambes, de ses bras, et de son torse. Elle était devenue sa poupée de chair, et le monstre était bien parti pour la besogner pendant une bonne heure, jusqu’à vider toute son énergie en elle…

Au début, Helena ne savait pas trop à quoi s’attendre. Ce monstre de luxure était un amant comme elle n’en avait jamais connu, un être qui ne ressentait pas la fatigue, l’ennui ou le dégoût, et qui la baisait comme si elle n’était qu’une poupée de chair entre ses mains et ses tentacules. Quand il jouissait en elle, c’était pour mieux repartir aussitôt, remplissant les orifices de la femme avec ses tentacules et la grosse trique qu’il avait entre les cuisses. Elle sentait sa trique dans sa chatte, un tentacule dans sa bouche et un dans son cul. Et pour ne rien arranger, il suintait ce drôle de liquide aphrodisiaque dont l’odeur et le goût rendaient Helena plus chaude qu’une bouilloire.

« Hhhmmm... HHHMMM ! »

Elle avait beau savoir qu’elle était prisonnier d’un monstre dangereux, même si ce n’était qu’un entraînement, et que ce qu’il lui faisait était dégradant au-delà de toute mesure, elle s’en fichait. Mieux encore, elle prenait son pied. Et elle ne voulait pas que ça s’arrête.

Pourtant, au bout d’un moment, cela s’arrêta. Aveuglée et baisée de toutes parts, Helena perdit rapidement la notion du temps et se laissa porter par le flot de plaisir qui la gagnait, savourant cette sensation indescriptible d’extase lubrique. Et puis finalement, le monstre commença à se calmer. Il libéra la jeune femme de ses tentacules, se délogea de sa chatte, et lui pompa les seins une dernière fois avant de repartir sous terre en grognant.

Helena eut besoin de quelques secondes pour retrouver une vision claire. Après avoir été aveuglée, la lumière lui semblait plus agressive, mais elle s’y fit vite. Au-dessus d’elle volait Nowen et Bianca, les deux petites fées chargées de surveiller son entraînement.

« Aaahhh... combien... de temps... il m’a... baisée.
Est-ce que... ooohhh... j’ai réussi... l’entraînement ? »

Elle ne savait pas si le monstre était parti parce qu’il était rassasié ou parce que les fées le lui avaient demandé.

Sous l’effet du désir sexuel, le temps s’écoulait différemment. Prisonnière dans une bulle de désir, Helena se laissa porter par le monstre, qui la prit pendant trois heures d’affilée. Trois longues d’orgasme en tout genre, où elle se fit prendre, prendre et prendre encore. Le monstre avait une bonne dizaine de tentacules qui se vidèrent tous en elle, les uns après les autres, à plusieurs reprises, sans parler de son monstrueux bracquemart, une queue épaisse et solide, un vit turgescent et noirâtre. Il jouit longuement en elle, tant et si bien que le ventre d’Helena se mit à grossir, à durcir, et qu’Helena sentait en elle des pulsions fortes la saisir. Elle finit par se retirer ensuite, revenant à elle quand le monstre sembla enfin rassasié.

L’observant avec admiration, les deux fées avaient repris taille humaine, et la main chaude et douce de Bianca vint caresser tendrement son visage gluant.

« Cela doit bien faire trois bonnes heures…
-  La marque de Lust permet à ton corps de ne pas sentir les effets de la fatigue… Tu ne t’effondres que quand ton mental lâche.
-  Tu es vraiment une incroyable perverse, Helena… Je crois que tu t’es trouvée une nouvelle corde à ton arc. »

L’une des deux fées l’embrassa tendrement sur les lèvres, lui promettant mille plaisirs à venir. Mais, pour l’heure, Helena était épuisée, et puante.

« Il y a une source d’eau à proximité, va te laver, ma belle… Quand tu pourras te relever ! »

La source d’eau était une grosse plante avec de l’eau à l’intérieur… Mais une femme s’y trouvait déjà, une femme très particulière… Helena n’était pas encore au bout de ses surprises, car la femme qui se prélassait dans cette source d’eau chaude, bouillonnant parfois comme un jacuzzi, était une femme-calamar répondant au doux nom de Zuna…

Accueille au réveil par les visages chaleureux de Nowen et Bianca, Helena apprit avec plaisir qu’elle avait réussi son entraînement. Après 3 heures de baise ininterrompue, le monstre avait été rassasié et était retourné sous terre. Les deux fées saluèrent sa résistance et sa perversion, elle eut même droit à un baiser de l’une des deux, qui lui promit que d’autres plaisirs étaient à venir.

« Hhhmmm... merci les filles. »

Mais pour l’heure, Helena était épuisée. Aidée de Bianca, elle se dirigea vers une source d’eau proche, sous la forme d’une grosse plante avec de l’eau à l’intérieur. Mais elle n’était pas seule, puisqu’une femme-calamar était déjà en train de se prélasser dans la source.

« Bonjour. »

« Hhhmmm... bonjour. »

La femme-calamar s’approcha, posant son bras sur les épaules de l’humaine.

« Tu es nouvelle ? Je ne crois pas t’avoir déjà croisée dans le jardin. »

« Non, je... je viens d’arriver. Je m’appelle Helena. »

« Enchantée, Helena. Moi c’est Zuna. »

Très fatiguée, Helena ne fit rien pour empêcher Zuna de faire ce qu’elle voulait. La femme-calamar se mit à la renifler, visiblement intriguée par l’odeur qu’elle dégageait, et ses tentacules se mirent à lui caresser le visage.

« Oouuhh... tu sens drôlement bon, dis-moi. C’est quoi ce parfum ? »

« Juste de la sueur. J’ai... aaahhh... j’ai fait l’amour pendant 3 heures... avec un monstre de luxure ? »

« Quoi ? Tu es une guerrière de Lust ? »

« Pas encore. Je dois être formée. Là... ooohhh... c’était juste un entraînement. »

« Ma pauvre, tu dois être épuisée. Attends, j’ai ce qu’il te faut. »

Zuna ferma les yeux, et l’eau de la plante se mit à bouillir, comme dans un jacuzzi.

« Voilà. Détends-toi et laisse l’eau chaude soigner ton joli corps. Tu en as bien besoin. »

« Aaahhh... merci... Zuna. »

« Pas de quoi. »

Helena ferma les yeux, et elle sentit la chaleur de l’eau détendre ses muscles endoloris. Pendant ce temps, Zuna attrapa un savon fait à partir des fleurs du jardin et elle commença à nettoyer le corps de l’humaine.

« Oouuhh... quelle belle femme. Je comprends pourquoi le monstre t’a gardé pendant 3 heures. »

« Hhhmmm... »

« Chuuut... détends-toi Helena, je m’occupe de tout. »

La belle Zuna venait des profondeurs océaniques de Volony. Elle était une créature très particulière, qui avait rejoint les ordres de Lust, et qui avait décidé de se reposer au Jardin de Numai, l’un des domaines du Monde Érotique de Lust, un pont entre les dimensions normales et celle de Lust. Zuna n’était toutefois pas une guerrière, ni même une prêtresse, il fallait plutôt la voir comme une résidente, une usagère. Belle et parfaite, elle avait renoncé à sa destinée normale sur Volony pour servir la Luxure et Lust, un choix qu’elle n’avait, à vrai dire, jamais regretté. Et là, face à Helena, Zuna souriait doucement, avant de venir s’occuper d’elle.

Elle percevait en elle une forte Luxure, une énergie qui l’émoustillait. Les calmars avaient la réputation d’avoir des membres aphrodisiaques grâce à leurs spermatophores, de petites capsules de sperme que le calmar stockait dans l’un de ses membres. Zuna avait donc une appétence naturelle pour le sexe, qui l’avait amené à coucher régulièrement avec des Voloniens de la surface, jusqu’à rejoindre un sanctuaire dédié à Lust. Elle était maintenant ici, et, quand Helena lui expliqua être une guerrière de Lust en formation, le cœur de Zuna bondit doucement dans sa poitrine.

La femme-calmar se glissa dans le dos d’Helena, et commença à masser ses épaules, sentant les muscles tendus de cette dernière. Elle releva l’un de ses tentacules, et l’enroula autour du ventre d’Helena, sentant contre son abdomen un point de Luxure, la marque de Lust… Elle était encore active, mais de façon très apaisée.

« C’est un grand honneur d’être avec une apprentie-guerrière, Helena… Les femmes ou les hommes toi sont des amants d’exception, vous utilisez votre corps pour défendre ce paradis et maintenir la stabilité au sein du royaume de la Luxure. »

Zuna frotta ses seins dans le dos d’Helena, tandis que les ventouses continuaient à caresser son corps, répandant une substance visqueuse qui aidait la décontraction et la relaxation des muscles.

« Sodome, Gomorrhe… Quand les énergies de luxure ne sont plus contrôlées, les hommes se transforment en animaux sauvages, et ne répondent plus de rien. La luxure est inhérente à chaque individu, mais c’est une force qui doit se réguler. Vous, les guerrières, vous servez à ça… »

Soupirant doucement, la femme l’embrassa dans le creux du cou. La marque de Lust se réveillait sur le corps d’Helena, et celle-ci pouvait sentir sa fatigue physique s’évanouir.

« Le désir est une force qui purifie votre corps de sa fatigue… Seule votre soif de sexe continue à vous animer. »

Visiblement, Zuna n’était pas une profane au sein du domaine de Lust, et ses tentacules commençaient à doucement vibrer en s’enlaçant tendrement autour du corps d’Helena…

Après avoir tenu face au monstre de luxure pendant trois heures, Helena avait grand besoin de se détendre. Installée dans une grosse plante avec de l’eau chaude au milieu, elle partageait son bain avec une femme-calamar nommée Zuna, qui semblait tenir les guerrières de Lust en haut estime, même quand celles-ci n’étaient qu’apprenties. La jeune femme pouvait sentir ses seins se frotter dans son dos et les ventouses de ses tentacules caresser son corps. Et partout où ces ventouses passaient, ses muscles semblaient se relâcher.

« Ooohhh... »

Peu à peu, les caresses et les baisers de la femme-calamar firent réapparaître la marque de Lust sur le ventre de l’humaine, qui sentit sa fatigue physique disparaître petit à petit. Elle frémissait de plaisir en sentant les tentacules s’enlacer autour de son corps en vibrant doucement.

« Hhhmmm... c’est vrai... je me sens déjà... plus en forme. »

Mais ce n’était que le début. Entre la magie de Lust et la substance visqueuse qui coulait des tentacules, Helena se sentit de nouveau d’attaque après quelques minutes, même si elle n’était clairement pas au sommet de sa forme.

« Aaahhh... tes ventouses sont agréables... mais je connais un endroit où elles seraient... plus utiles. »

L’humaine prit l’un des tentacules de la femme-calamar et le guida jusqu’à sa poitrine, encourageant sa propriétaire à venir lui ventouser les seins.

« Et sinon, Zuna... dis-moi... qui es-tu au juste ? Hhhmmm... une adepte de Lust qui visite le jardin ? Une prêtresse ? »

En tout cas, une chose était presque sûre : elle allait être sa prochaine amante.

Un doux sourire caressa les lèvres de Zuna quand Helena lui demanda de poser son tentacule un peu plus haut. Son tentacule se décolla alors. Il adhérait à la peau d’Helena, s’y collant doucement, comme une sorte de bel adhésif. Des petits sons de claquement se faisaient entendre quand le tentacule se retira, ventouse après ventouse, puis remonta, et glissa sur ses seins, une ventouse sur chacun. Les ventouses se pressèrent autour de ses tétons, et Zona frémit doucement. Elle déplaça contre ses ventouses ses propres spermatophores, de délicieuses poches de sperme, mais, alors qu’Helena se tortillait sur place, elle lui demanda qui était Zona.

Celle-ci l’embrassa alors dans le creux du cou, mordillant sa chair, et glissa sa main entre les cuisses d’Helena, venant tendrement la masturber. Rien n’était forcé, Zona se montrait très agréable, très tendre, d’une beauté redoutable et fascinante. On sentait bien, en la voyant, qu’il était impossible de lui refuser quoi que ce soit, elle était bien trop belle !

« Je viens de Volony, ma belle… Une planète très spéciale, parallèle à la tienne, où humains et animaux ont fusionné. Une planète remplie d’hybrides, de furrys, et de créatures comme moi, qui vivent dans les profondeurs aquatiques. Mais ma réserve m’a toujours lassé, alors, j’ai trouvé un sanctuaire de Lust, d’anciennes sirènes qui couchaient jadis avec des marins, et qui ont conservé ce lien… »

Zona se pressait dans son dos, continuant à la masturber tendrement. La mouille d’Helena commençait à suinter dans l’eau de l’immense fleur.

« Je ne suis pas vraiment une prêtresse, disons plutôt une concubine occasionnelle… Mais j’espère bien grandir au sein de la hiérarchie. Je devrais normalement bientôt rencontrer notre Déesse, la grande Lust… Tu sais, il y a peu de femmes-calmars comme moi, alors cette spécificité va sûrement attirer l’attention de notre Déesse. Toi, en tout cas, tu me plais beaucoup, ma beauté. »

La femme-calmar tourna la tête d’Helena, et lui offrit un long baiser, tout en approchant son tentacule de son intimité…

Helena écouta Zuna lui parler de son histoire. Elle venait de Volony, une planète parallèle où humains et animaux avaient fusionné pour donner des hybrides comme elle. Mais elle en avait assez de vivre dans sa réserve, alors elle a trouvé un sanctuaire de Lust, d’anciennes sirènes qui couchaient jadis avec des marins, et elle est devenue une concubine occasionnelle des fidèles. Mais elle voyait plus grand, et s’apprêtait d’ailleurs à rencontrer la déesse en personne, et elle espérait qu’être l’une des rares femmes-calamars attirerait son attention. En tout cas, elle ne cachait pas son intérêt pour l’humaine, qu’elle assaillait avec ses mains et ses tentacules. Elle la masturbait déjà avec ses doigts, mais un tentacule était en train de glisser peu à peu vers son entrejambe tandis qu’elle l’embrassait. La jeune femme ne se sentait pas capable de lui refuser quoi que ce soit, elle faisait preuve d’un talent redoutable.

« Hhhmmm... comment quelqu’un d’aussi douée... oouuhh... peut ne pas être prêtresse ? »

Helena gémissait avec plaisir tandis qu’elle se faisait assaillir par Zuna. L’humaine avait beau sortir d’une baise intense avec un monstre qui l’avait complètement épuisée, le fait d’être à nouveau excitée semblait l’aider à regagner des forces plus vite. Ou alors c’était grâce au bain. Mais en tout cas, elle se sentait d’humeur à s’amuser à nouveau. Elle prit le bout du tentacule encore libre de son amante et elle l’approcha de sa bouche pour pouvoir le lécher.

« Le fait que tu aies des tentacules te donne un avantage certain. Mais dis-moi... aaahhh... à quel point sont-ils... sensibles ? »

Pour en faire l’expérience, Helena continua de lécher le bout du tentacule qu’elle tenait en main, pendant que son autre main venait appuyer sur le tentacule glissant entre ses jambes, l’encourageant à aller la caresser avec intensité. C’est à ce moment-là qu’elle remarqua la marque de Lust qui réapparaissait sur son corps.

Le pouvoir de la déesse me soutient...

Mise en appétit, la jeune femme ouvrit la bouche et mit le bout du tentacule qu’elle tenait en main dans sa bouche, le suçant comme elle l’avait fait avec le tentacule phallique du monstre. Et elle était curieuse de voir comment Zuna allait réagir à cette initiative.

Zuna frémit quand Helena commença à sucer la pointe de son tentacule. La jeune femme aurait bientôt elle-même la réponse à sa question. La sensibilité de ce tentacule ? La réponse était simple, c’était un tentacule très sensible, érogène ! C’était presque un organe sexuel, à ce stade, et Zuna gémit quand Helena le suça. Son autre tentacule se mit à vibrer chaudement à hauteur des alvéoles, diffusant un liquide lubrifiant, tandis que la pointe s’enfonça entre les lèvres intimes d’Helena. Elle put sentir le tentacule s’enfoncer en elle, tandis que les alvéoles libéraient de petits tentacules, des langues qui venaient caresser le corps d’Helena, stimulant sa peau.

« On ne devient pas simplement une prêtresse de Lust, Helena… Il faut maîtriser cette marque que tu vois. La marque a plusieurs niveaux, et, à chaque fois qu’on maîtrise un niveau, le tatouage prend une autre forme. Le simple éveil de la marque fait de toi une apprentie, mais il faut véritablement compléter la première forme pour pouvoir être une Prêtresse. »

Mine de rien, le culte avait sa hiérarchie, son ascension. La main de Zuna glissa justement sur la marque d’Helena, et, quand elle toucha le cœur, celui-ci se mit à briller plus intensivement, amenant un accroissement du désir d’Helena.

« Toi, tu te destines à une voie différente, celle des guerrières… Mais, comme moi, tu es encore en formation. Les guerriers doivent aussi maîtriser la Première Marque. »

Tout en lui expliquant les bases du culte, Zuna continua à la pénétrer.

« Numia, l’Alraune qui dirige le Jardin, est au stade supérieur à celui d’une Prêtresse… Une Princesse de Luxure. Ensuite, on trouve encore au-dessus les Enfants de Lust, les Dieux de la Luxure, son propre panthéon personnalisé… »

Une telle hiérarchie au sein d’une pratique aussi simple que le sexe pouvait surprendre, mais était l’illustration de la complexité du sexe, de toutes ses multiples variantes. C’était une pratique ancestrale, universelle, sans doute l’une des valeurs les plus communes du monde, la plus universelle. Des plantes aux humains et aux Dieux, le sexe était toujours présent, c’était une composante essentielle de la vie. Ceci suffisait à comprendre l’importance du culte de Lust.

Zuna continuait de son côté à pénétrer sa partenaire, frémissant, tout en palpant les seins d’Helena avec appétit. Elle tira sur les tétons, soupirant lentement contre elle, toute excitée.

« Hmmm… Tu es tellement chaude, ma chérie… Si excitée, c’est un vrai régal pour moi ! »

Zuna se régalait avec sa partenaire, Helena était une pure merveille !

Helena venait de trouver une autre créature insolite dans le jardin de Numia. Zuna lui expliqua que, pour devenir une prêtresse ou une guerrière de Lust, il ne fallait pas juste porter la marque sur sa peau, il fallait maîtriser son pouvoir. La marque possédait plusieurs niveaux, et, à chaque fois qu’on maîtrisait un niveau, le tatouage prenait une autre forme. Ce n’était qu’en maîtrisant la Première Marque qu’on passait du statut d’aspirant à celui de guerrière ou de prêtresse. Et au-delà des prêtresses, il y avait les Princesses de luxure, comme Numia, et les Enfants de Lust, le panthéon de la déesse.

« Hhhmmm... je comprends mieux. »

Tout comme elle, Zuna voulait gravir les échelons. Mais au vu de ses talents en tant qu’amante, et avec ses particularités de femme-calamar, elle ne devrait pas avoir trop de mal à le faire.

Helena suçait le bout d’un des tentacules tandis que l’autre la pénétrait. Le liquide sécrété par ce dernier rendait la chose encore meilleure, stimulant son plaisir et la circulation de magie rose dans son corps par la même occasion. Et l’excitation ne faisait que la rendre plus énergique. Sa bouche s’amusait avec le tentacule qu’elle suçait, le léchant et l’aspirant avec délice, et souriant quand Zuna frémissait près de son oreille.

« Ooouuuhhh... en effet... il est très sensible.  »

Helena passa à la vitesse supérieure et fit entrer le tentacule dans sa bouche au maximum de ce qu’elle pouvait supporter avant de commencer à le pomper comme elle le ferait avec un chibre. Une magnifique fellation tentaculaire qui, elle l’espérait, stimulerait Zuna pour l’encourager à aller plus loin avec elle. Entre l’eau dans laquelle elle baignait et la magie rose qui parcourait son corps, elle était vraiment aux anges. Elle n’avait plus qu’à rester dans ce bain le temps de reprendre des forces, puis elle se remettrait en route pour aller trouver Numia et compléter son initiation

Le degré de luxure chez cette héroïne était assez élevé, pour le plus grand bonheur de Zuna. La femme-calmar était très heureuse de pouvoir lui faire l’amour, sincèrement. Elle sentait la Marque de Lust croître sur le corps d’Helena, témoignant de l’excitation fébrile de la jeune femme. Son initiation connaissait ici une petite pause. Zuna n’était pas prévue sur la voie de Numia, mais elle était une digression tout à fait acceptable. Femme charmante et voluptueuse, Zuna continuait à se presser dans le dos d’Helena, qui pompa son tentacule avec passion, posant une main dessus pour pouvoir mieux remuer sa tête.

« Oh… » gémit Zuna quand Helena opta pour une longue fellation.

Sa partenaire enfonça son tentacule dans sa bouche, et celui contre son sexe s’enfonça également, tapant son col de l’utérus, avant de redescendre, puis de remonter, croissant en elle, laissant des bruits de frottement spongieux. C’était le bruit d’un tentacule heureux, heureux comme Zuna. Zuna gémissait dans le dos d’Helena, venant l’embrasser et la mordiller dans le creux du cou. Ses deux mains malaxèrent ensuite ses généreux seins, pinçant et tirant sur les tétons. Zuna n’avait pour l’heure que deux tentacules, mais, quand elle commencerait à croître, son corps pourrait générer davantage de tentacules. Ses doigts diffusèrent de légers courants électriques, de faible intensité, mais destinés à durcir les tétons d’Helena.

Elle soupira contre elle, mouillant contre ses fesses, et laissa Helena remuer sur place.

« Oui, mes tentacules sont aussi sensibles que des verges dans cet état-là… »

Zuna appréciait le contact avec Helena, sa chaleur, ce mélange de douceur et de perversion… Oh oui, c’était fabuleux ! Elle allait être une recrue de choix pour Numia.

« Numia va être très heureuse de te revoir, je ne vais pas pouvoir te retenir trop longtemps… Mais je souhaite au moins… Hmmm… De procurer un orgasme ! »

C’était tout de même le minimum qu’elle puisse faire avec elle !

Un tentacule dans la gorge, le second dans la chatte, Helena profitait à fond de Zuna. Elle entendait son amante gémir près de son oreille, visiblement ravie du traitement qu’elle lui offrait, et elle aurait gémi aussi si elle n’avait pas eu la bouche pleine. Elle sentait le tentacule entre ses jambes aller et venir profondément en elle, les mains de la femme-calamar pincer ses tétons en y envoyant de petites décharges électriques, faisant durcir ses pointes pour qu’elles soient plus sensibles.

« Hhhmmm... »

Zuna lui expliqua qu’elle n’allait pas pouvoir la retenir très longtemps, mais elle voulait au moins lui procurer un orgasme avant qu’elle ne reparte.

Vu comme tu t’y prends... tu n’auras pas de mal.

Helena savait qu’elle ne tiendrait pas éternellement face à une amante avec un tel talent, mais elle voulait au moins en profiter un maximum. Comme pour répondre à ce désir, la marque sur son ventre se mit à briller, renforçant son endurance et son excitation pour qu’elle savoure pleinement et longuement les tentacules qui la pénétraient. La jeune femme, galvanisée par ce soudain élan d’énergie, enfonça le tentacule dans sa bouche plus profondément dans sa gorge et se mit à frotter ses fesses contre le bassin de Zuna, remuant en rythme avec le tentacule qui la pénétrait.

« Hhmm... HHHMMM ! »

Ça te plaît, hein ? Tu aimes quand ma bouche te pompe le tentacule et que ma croupe tu masse le minou ?

Une demi-heure plus tard, après avoir pleinement savouré la puissance et le talent de Zuna, Helena sentit l’orgasme arriver. Sa mouille jaillit entre ses jambes, se mélangeant à l’eau de la fleur, tandis que le tentacule qui était dans sa gorge en sortait, lui laissant le plaisir de couiner.

« Ooouuuiii ! Ooohhh... »

Après son orgasme, Helena se tourna pour faire face à Zuna et l’embrassa, allant chercher sa langue pour un baiser passionné et gourmand, l’encourageant à peloter son cul pendant qu’elle lui roulait une pelle. Quand elle se sépara d’elle, elle lui sourit.

« Merci pour ce moment de détente. Je sens que j’ai retrouvé la pèche. Maintenant excuse-moi, je dois aller retrouver Numia. »

La jeune femme sortit de la fleur et jeta un dernier regard à Zuna en se claquant le cul.

« Deviens vite prêtresse... et tu auras l’occasion de revoir ce joli petit cul. »

Elle se remit ensuite en route. Après quelques minutes à arpenter la forêt et à zigzaguer entre les arbres, elle aperçut un sanctuaire devant elle. Mais était-ce le centre du jardin où l’attendait Numia, ou une nouvelle surprise ?

Zuna et Helena se terminèrent joyeusement avec appétit, et, tandis qu’Helena jouissait, Zuna en fit de même, recrachant son sperme par ses deux tentacules. Les tentacules s’étaient crispés sur le corps d’Helena quand Zuna avait joui en elle, et la guerrière lustienne était maintenant pleinement détendue.

« Haaaa… Quel pied, tu as vraiment un corps magnifique, Helena… »

Les deux femmes s’embrassèrent tendrement, et Helena lui demanda de rapidement devenir une prêtresse, de manière à ce qu’elle puisse encore profiter de son « joli cul ». La remarque ne put que faire sourire Zuna, qui donna un dernier petit coup de tentacule sur ledit fessier, et acquiesça.

« Oh, avec plaisir, ma chère Helena… Après tout, honorer nos gardiennes est l’une de nos fonctions ici ! »

Helena n’eut ensuite plus qu’à marcher. Les arbres tentaculaires étaient toujours là, et, alors même qu’elle n’avait aucune carte, elle trouva son chemin vers le cœur de la forêt. Un pont en bois lui fit face, surplombant un fossé. En contrebas, il y avait une lueur rosâtre, comme une sorte d’eau aphrodisiaque. Et, au centre, sur l’île, un énorme cocon se dressait. Une sorte de grande fleur se dressait au milieu des arbres, et, quand elle approcha du pont, une silhouette familière descendit devant elle.

C’était son amante, Karen. Power Girl lui sourit et alla l’embrasser énergiquement en l’enlaçant. Elle serra ses bras contre le corps de sa partenaire, sincèrement ravie de la revoir.

« Tu as fait un sacré chemin, ma chérie… Numia a vu tout ce que tu as fait. Je viens t’accompagner à l’intérieur… Et te remettre ton costume. »

Son costume d’Huntress. Helena put donc l’enfiler, Karen venant l’aider le cas échéant. Une fois Helena prête, Karen l’embrassa à nouveau, une main allant naturellement se poser sur ses belles fesses. Helena était toujours aussi envieuse, et Karen sentait qu’elle aurait pu la pénétrer ici, à même le sol…  Mais elle se retint avec sagesse, et attrapa la main d’Helena.

« Tu es prête ? Ça se passe à l’intérieur… »

Elle marcha la première, et, quand elles se rapprochèrent de la paroi du cocon, celle-ci s’ouvrit en deux, comme si les pétales de la fleur s’écartaient. Elles purent rentrer, et rejoignirent un sanctuaire sombre, éclairé par de multiples lucioles et par des cristaux phosphorescents. Une grande fleur se trouvait au milieu, dégageant une vive lueur verdâtre. De multiples tentacules et racines en sortaient. C’était bel et bien le cœur du sanctuaire, et, tandis qu’elles approchaient, la fleur centrale s’ouvrit alors.

Les pétales s’écartèrent, et la silhouette magnifique de Numia émergea alors. Karen s’arrêta alors, et s’agenouilla respectueusement. Helena fit de même, et l’Alraune sourit. Helena savait maintenant que Numia était une Princesse de Luxure, soit une femme avec un rang très élevé au sein de la Horde.

« Alors, Helena, qu’as-tu pensé de ton séjour ici ? Cet avant-goût du Royaume de Lust te donne-t-il envie de le protéger, comme ta chère femme le fait déjà ? Si tu acceptes, Power Girl te formera également à devenir une guerrière de Lust pleinement accomplie… Et tu pourras coucher avec moi, accessoirement. »

Accessoirement… C’était un bel euphémisme ! Le simple fait de voir le corps magnifique de Numia, ses formes onctueuses et généreuses… Tout ça ne pouvait que stimuler le désir ! Coucher avec une Princesse de Luxure était aussi quelque chose de très tentant par nature. Numia avait quelque chose d’hypnotisant et de très envoûtant. Juste à la regarder, on avait pour ainsi dire de s’envoyer en l’air avec elle !

Helena avança à l’instinct à travers la forêt d’arbres tentaculaires, mais parvint quand même à trouver son chemin. Elle se retrouva devant un pont en bois qui passait au-dessus d’un fossé remplie d’une eau rosâtre, probablement aphrodisiaque. Au-delà de ce pont se trouvait une petite île, au centre de laquelle se trouvait un imposant cocon. Elle s’apprêtait à traverser lorsqu’une silhouette familière descendit du ciel pour atterrir devant elle.

« Karen ! »

La jeune femme alla serrer sa compagne dans ses bras tout en l’embrassant énergiquement, heureuse comme tout de la revoir. La kryptonienne lui annonça que Numia l’attendait à l’intérieur du cocon, mais avant d’y aller, elle l’aida à remettre son costume d’Huntress. Avec l’aide de sa chérie, cela ne prit que quelques secondes. Une fois Helena prête, Karen l’embrassa à nouveau, une main allant naturellement se poser sur ses belles fesses. Elles auraient pu faire l’amour ici et maintenant, mais elles étaient attendues.

« Je te suis, ma chérie. »

Une fois devant le cocon, ce dernier s’ouvrit en deux pour les laisser entrer. Elles rejoignirent un sanctuaire sombre, éclairé par de multiples lucioles et par des cristaux phosphorescents. A mesure qu’elle approchait, Helena finit par voir une grosse fleur au milieu du sanctuaire, de laquelle sortaient de multiples tentacules et racines. La fleur s’ouvrit, et Numia en sortit alors. Karen s’agenouilla respectueusement devant elle, alors Helena en fit de même. L’alraune lui demanda ce qu’elle avait pensé de son séjour dans son jardin, et si cet avant-goût lui avait donné envie de s’engager auprès du culte de Lust.

« Oui, chère princesse. Je souhaite devenir une guerrière de Lust et défendre le royaume de la déesse. J’affronterai toutes les épreuves nécessaires. »

Helena savait qu’elle venait de se lancer dans une entreprise encore plus grande que sa mission de justicière en tant qu’Huntress, mais elle était déterminée à aller jusqu’au bout. Maintenant qu’elle avait découvert le monde de Lust, elle ne s’imaginait plus vivre sans en faire partie. Elle se tourna vers Karen.

« Du coup, je suppose qu’on commence la formation tout de suite ? »

La jeune femme vint poser une main sur la poitrine de la kryptonienne, malaxant doucement son sein tout en l’embrassant.

« Alors c’est toi qui va m’apprendre à être une bonne guerrière de Lust ? Je suis sûre que tu seras un excellent professeur. »

L’autre main d’Helena alla se poser sur les fesses de Karen, pressant son derrière rebondi. Elle n’attendait qu’une chose, que sa chère et tendre commence à la former.

Karen hocha la tête quand Helena expliqua être impatiente de commencer sa formation. Elle avait beau avoir fait l’amour depuis plusieurs heures, Karen la sentait encore en manque, frétillante, pleine de désir et d’envie. Elle palpait les fesses de Karen, qui l’embrassa tendrement sur les lèvres.

« Nous formons déjà un duo de super-héroïnes, non ? Cela ne sera qu’une corde de plus à notre arc… »

Power Girl lui sourit donc, caressant son visage, et l’embrassa chaudement sur les lèvres. L’excitation des deux femmes était palpable, et les mains de Karen caressèrent les hanches d’Helena, glissant sur sa combinaison, la faisant doucement crisser. Elle sentait toute l’excitation de sa femme. Ses mains glissaient de haut en bas, et descendirent ensuite, chacune venant se poser sur les fesses d’Helena. Sa partenaire avait elle aussi un très beau cul, que Karen se mit à palper amoureusement.

Elles étaient sur le point de faire l’amour quand des tentacules vinrent les titiller, glissant sur leurs membres.

« Hum… Au cas où vous l’auriez oublié, une Princesse de Luxure se tient à côté de vous, et vous osez l’ignorer ? »

Karen sentit le tentacule s’enrouler sur son cou, tandis qu’Helena sentit l’autre tentacule s’enrouler sur le sien. Sortant de sa plante, Numia posa ses pieds sur le sol, avant qu’un trône végétal ne se forme dans son dos. Numia s’installa patiemment, et tira sur les tentacules, renversant les deux femmes au sol.

« Je crois que nous avons énervé une Alraune…
-  Et vous allez devoir vous pardonner pour ça ! »

Karen sourit doucement.

Dit comme ça, ce n’était pas vraiment une punition…

L’excitation montait très vite entre Helena et Karen. Maintenant qu’elles étaient toutes les deux engagées auprès du culte de Lust, il y avait fort à parier que leur relation allait devenir encore plus intense sur le plan physique. Mais alors qu’elles s’apprêtaient à faire l’amour, des tentacules vinrent les titiller, glissant sur leurs membres. Numia n’apprécia guère que le couple fasse comme si elle n’était pas là. Elle sortit de sa plante, qui se transforma en trône végétal, et s’installa tandis qu’un tentacule venait se serrer autour de leur cou. Elle exigeait désormais d’elles qu’elles se fassent pardonner.

« Dans ce cas... je crois que nous n’avons pas le choix. »

Pas besoin de réfléchir longuement pour comprendre quel genre d’excuses il fallait présenter à une princesse de luxure. Helena se mit à quatre pattes et s’approcha de Numia, le sourire aux lèvres. Une fois devant le trône, elle vint embrasser le pied de l’alraune en signe de respect.

« Je vous demande pardon, princesse. C’était très indélicat de ma part de vous ignorer alors que vous nous faites l’honneur de votre présence. Laissez-moi me rattraper. »

La jeune femme passa très vite des baisers aux coups de langue, léchant la peau verte de l’alraune avec plaisir. Cette peau avait un goût délicieux, et chaque coup de langue excitait un peu plus l’humaine. Après les pieds, elle commença peu à peu à remonter le long des jambes de sa maîtresse, toujours en léchant. C’était aussi un bon entraînement pour une future soumise de Lust comme elle.

« Hhhmmm... maîtresse... je tiens à vous dire que votre jardin... est une pure merveille. J’ai rencontré tellement de créatures incroyables... et j’ai tant appris sur la puissance de la luxure. J’ai hâte... aaahhh... d’en découvrir plus. »

A force de remonter, Helena se rapprochait de plus en plus de l’entrejambe de Numia. Bien sûr, elle se ferait un plaisir de venir lécher cet endroit, à condition que sa maîtresse l’y autorise.