The Multiversity

Ce petit moment de plaisir sous la douche était agréable, mais le seul défaut était sa vue de taupe. Il la sentait, il savait bien, mais s'il aurait pu la contempler, ça aurait été bien mieux. Enfin, ce n'était qu'une petite étape, bientôt, tout redeviendra comme avant, il pouvait bien faire des efforts, au moins pour elle. Hikari semblait voir mieux que lui, en tout cas, sans ses lunettes. Il ne savait pas à quel point, mais c'était toujours plus praticable que pour le professeur d'histoire. Une fois qu'il eut terminé, une nouvelle fois, ils profitaient un peu de ce petit moment agréable avant qu'elle ne coupe l'eau pour commencer à sortir. Il la suivait, la tenant par la main avant qu'elle ne lui redonne la vue. La vision d'Hikari, les cheveux mouillées, nue, légèrement chaude vue la douche et ce qui s'était passé, elle était toujours aussi belle. Collez l'un à l'autre, il profitait de ce petit câlin naturel, avant d'en faire de même pour elle, posant ses lunettes sur son nez. Là, elle était plus belle encore.

La jeune femme avait envie de la suite promise sous la douche et se baissa pour commencer à le motiver un peu. Comme ça, juste après la douche ? Non pas qu'il soit choqué, mais il était toujours un peu surpris, de son appétit et du fait qu'il tienne encore le coup. Il n'a pas beaucoup pratiqué dans sa vie, il faut dire donc, il était le premier surpris ! Les autres hommes se défendaient aussi bien ? Il n'avait pas matière de comparaison mais dès qu'il sentit sa bouche près de sa verge, ce genre de pensée s'échappaient pour laisser place à une seule chose, le désir de sa partenaire.

« Hikari... Je saurais pas expliqué pourquoi, mais... Le simple fait de te savoir près de moi... J'ai une irrésistible envie de te faire l'amour. »

Que ce soit ça qu'on appelle l'amour ou non, il ressentait ce genre de choses, ignorant si ce serait pour la soirée ou à vie, si c'était le cas, travailler au lycée sera bien plus compliqué à présent. La jeune femme commençait à s'occuper de lui, il posait machinalement ses mains sur sa tête, sans plus pour le moment. Il sentait ses cheveux mouillés sous ses paumes, mais étant lui aussi trempé, ça ne changeait rien. Il préférait la voir faire pour le moment, glissant parfois une de ses mains sur sa joue, sans la gêner. Il aimerait lui rendre la pareille, la lécher, mais disons qu'elle, elle faisait dans un but bien précis alors que s'il le faisait, ça serait juste pour leur plaisir. C'était un peu sans le vouloir, alors que sa main se glissait derrière sa tête qu'il commençait à accompagner le mouvement d'Hikari, lentement. Il ne comptait pas lui baiser la bouche, ce n'était que pour préparer la suite qui faisait tant de l'œil à la jeune femme, mais, lui-même ne se rendait pas compte qu'il en profitait plus qu'il ne l'aurait pensé. Bientôt, il allait pouvoir la prendre par-derrière et savourer ensemble ce petit plaisir. Est-ce que ça allait lui ouvrir les yeux sur leur situation ?

C’était une vague irrésistible et mutuelle. Hikari avait envie que cette nuit ne se termine pas, que cette bulle reste éternelle. Ils sortirent tous les deux la douche, et Hikari était à ce stade complètement délurée… Ou, pour reprendre une formule plus récente et moins perverse, libérée, délivrée.  Sa timidité s’était envolée, tout comme sa gêne à l’idée de coucher avec l’un de ses collègues, a fortiori quelqu’un qui ignorait le vrai visage du lycée Jinmu. Hikari ignorait alors à ce stade comment leur relation pourrait évoluer à terme, mais elle s’en moquait. Elle était sûre de vouloir être avec lui, et ils s’embrassèrent en étant encore nus, les corps humides et chauds. Leurs lunettes se heurtèrent quand ils s’embrassèrent. Hikari ne tint pas compte de la buée sur ses verres, car elle avait fermé les yeux, se hissant sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Ils étaient enroulés tous les deux dans la même serviette, et la jeune professeure gémit doucement.

« Hmmm… »

Un baiser d’amour, voilà ce que c’était. Hikari soupira encore, puis se laissa ensuite tomber à genoux. Elle finit devant la verge redressée de Hirotaka, et donna quelques coups de langue, se montrant mutine, provocante, sensuelle. Elle sentit la main de Hirotaka sur ses cheveux, tandis qu’elle déposait une série de baisers et de coups de langue sur son sexe. Sa verge ramollie ne tarda pas à durcir, et Hikari lécha aussi ses testicules, ne négligeant rien, reniflant son odeur. Elle adorait ça, et se sentait frémir, chaudement excitée, comme un moteur qui revenait sans arrêt.

Hikari le prépara donc, et, quand elle estima la verge de son amant suffisamment durci, elle s’apprêta à le prendre en bouche, mais avait avant tout une ultime demande à faire :

« Je veux que tu me regardes, Hirotaka-chan… Je veux que tu me regardes te sucer, et que tu me dises que tu m’aimes, et que tu aimes avoir ta queue dans ma bouche… »

Difficile de mettre des mots sur tout cela, lui qui n'avait pas spécialement remarqué Hikari depuis son arrivée, même avec l'organisation de ce voyage, il a fallu d'un accident et de se retrouver très proche pour enfin voir combien cette femme était charmante. Et de là, il pensait de plus en plus à elle, sentant naître en lui, le désir. Il restait un homme, ça lui était arrivé de ressentir ça, mais, comme il avait bien des choses à gérer dans sa vie privée, ce n'est pas le genre de chose qu'il remarquait beaucoup. Et depuis ce soir, tout s'était accellerer, son envie, ses désirs en tant qu'homme ressortait, rattrapant ce retard accumulé et il partageait avec elle tout ce qu'il n'avait jamais fait avant. Il n'était pas vierge, loin de là, mais disons que malgré son âge, ses relations sexuelles ne dépassaient pas le nombre de ses doigts... peut-être même pas ceux d'une seule main. Sérieux avant tout, il risquait de pouvoir vite dépasser ça avec elle. Il n'était pas du genre à supposer avoir « un coup d'un soir » comme diraient les gens. Même si ça n'avait jamais duré, ses précédentes fois, c'était avec des petites amies... Hikari était en chemin pour en devenir une ? En tout cas, c'était la première fois qu'il couchait avec une femme sans que ce statut ne soit évoqué.

Son corps chaud et encore humide se pressait contre le sien, il la soulevait un peu avec ses bras, sans vraiment la porter, mais en la gardant contre lui. Sa bouche était délicieuse, comme son odeur, elle était simplement belle, inutile de chercher trop loin. Quand elle se glissait hors de ses bras, telle une anguille, elle se mit à genoux, titillant sa verge, jusqu'à demander quelque chose qui, cette fois, lui fit remarqué la demande très ambiguë... Lui dire qu'il l'aimait... C'était un « jeu » ou elle demandait une chose comme si elle était sûre de ce que lui, pouvait ressentir à son égard ? Elle n'attendait pas son accord pour commencer et de nouveau, il tressaillait de plaisir, comment une chose si simple pouvait lui faire si plaisir ? Il obéissait, observant la belle professeur qui suçait son mandrin, elle le prenait à pleine bouche, le tenant à la base. Sa main glissait sur son visage, ne voulant pas la gêner, mais juste lui faire plaisir et faire preuve de douceur, allant vers son oreille, vers ses cheveux encore humide.

« Haaa... Hikari, ha... je... je t'aime... haaa ! Je t'aime voir me... me sucer... »

C'était un peu délicat, maintenant qu'il savait – et que certainement que l'effet de la potion s'estompait un petit peu – ces sentiments ou qu'elle s'amusait de ça avec lui, mais il ne voulait pas que ça s'arrête, quitte à aller au-delà de ce sentiment perdu, ou plutôt de cet effet presque invincible qui l'avait animé pendant un petit temps ce soir. Sa seconde main se posait sur son visage, plus ou moins à la même position que sa première main, sans la forcer, ni l'aider, juste à sentir sa douce peau entre ses paumes, il prenait son courage à deux mains, que ce soit pris à sa juste valeur ou « pour un jeu ».

« Hum, je t'aime, Hikari... Je veux sentir ça... ha, aussi souvent que possible... »

Il eut comme un flash, de ces mots qui prenaient forme, elle et lui, chez elle/lui, à faire l'amour, d'un moment improbable au lycée à déchirer ses collants pour la prendre, encore dans son tailleurs, ou d'elle, caché dans les toilettes, lui faisant ce qu'elle lui faisait déjà ici, d'un moment plus romantique ou d'un autre plus sauvage chez eux, bref, à l'honorer comme il se devait. C'était peut-être l'effet de la fellation qui parle, mais elle semblait tellement magnifique, son regard surtout, outre le sexe, cela lui donnait envie de tout apprendre d'elle, comme une divinité, un fait historique nouveau et si important, il la désirait plus que tout.

« Oh, Hikari... tu... tu aimes me sucer ? »

Question idiote... mais elle faisait peut-être ça pour lui faire plaisir ? Il voulait que son plaisir soit réciproque au sien.

Hikari était si heureuse avec lui… Pour elle aussi, quelque chose était en train de se rompre. Elle en était à ce moment convaincue. Hikari soupirait doucement, et son visage se retrouva donc à nouveau à hauteur de la verge de Hirotaka. Elle le prit en bouche, relevant ses yeux pour croiser son regard pendant quelques instants, puis commença son office. Ils venaient de se laver, ils étaient propres, humides, et la verge tendue de son collègue glissait d’autant plus facilement dans sa bouche. Il l’observait, et indiqua qu’il l’aimait, tandis que son membre durcissait en elle, gonflant entre ses lèvres. Oui, de toute évidence, Hikari prenait goût à cette chose. Jusqu’à quel point étaient-ils influencés par la mixture d’Alice ? Hikari n’aurait su le dire, c’était comme si des années de frustration sexuelle avaient éclaté, libérant quelque chose en elle. Elle se laissait aller, et sa soif semblait inextinguible. À chaque fois qu’ils faisaient l’amour, elle avait envie de le sentir à nouveau en elle. Spontanément, sa main venait aussi caresser son propre ventre, comme si Hikari avait le pressentiment que quelque chose était en train de pousser ici.

« Mmmhmm… »

Il lui demanda si elle aimait le sucer. Difficile de répondre ! Elle se contenta d’un gloussement étouffé, et caressa avec sa main les testicules de son amant, puis déplaça ensuite ses mains. Elle en posa chacune sur les fesses de son chéri, et crispa ses mains sur ses belles fesses. Hikari bénéficia ainsi d’un appui supplémentaire qui lui permit d’enfoncer cette épaisse trique dans sa bouche, et de commencer à le sucer avec plus de vigueur et d’intensité, d’avant en arrière. Hikari aimait ça, en effet ; c’était clair ! Cependant, elle n’avait pas encore dit son dernier mot. Elle pressait ses mains sur les fesses de Hirotaka, les écartant l’une de l’autre en les malaxant, libérant ainsi progressivement l’accès à sa croupe.

Hikari glissa ensuite un doigt à l’intérieur de Hirotaka, l’enfonçant dans son fondement. Elle l’entendit soupirer, mais elle savait que le contact serait loin d’être désagréable. Elle glissa même un deuxième doigt, maintenant avec son autre main une pression sur le postérieur de son amant, pour lui faciliter l’accès à sa porte arrière.

*Laisse-moi te faire du bien, mon amour…*

C’est ce qu’elle aurait voulu lui dire, mais elle préférait plutôt se focaliser sur l’action, et sur le fait de continuer à lui faire l’amour, et à l’amener à jouir dans sa bouche…

Il ne se savait pas drogué, non pas par une quelconque drogue connue, mais une sorte d'aphrodisiaque qui avait grandement changé les choses. Ce n'est pas au bout d'un premier rendez-vous que Hirotaka aurait agi de la sorte. Même après plusieurs ! Espérer un baiser de lui, voir même un dixième de tout ça ? Fallait plus que croiser les doigts ! Il fallait prier l'intégralité des dieux ! Après cette douche, de voir et sentir Hikari entre ses jambes, lui offrant une nouvelle fellation, il en profitait doucement, caressant sa tête, sans trop insister pour ne pas la gêner... puis ce n'était pas un chien non plus. Doucement, il parlait, évoquant des choses pour briser le silence, peut-être la drogue faisait encore effet, ou non, il n'en avait pas conscience, c'était comme se réveiller au milieu d'un film, on le continuait sans savoir vraiment le début. La jeune femme continuait, parlant plus avec un gémissement, ça ne faisait rien, il « comprenait ». Même si par la suite, elle se montrait plus audacieuse. Les mains sur les fesses, bon, elle avait le droit de s'accrocher à lui. Sentir son doigt s'approcher de son trou... se glisser en lui ?!

« ... »

Il aurait pu se plaindre, la repousser, mais, outre la surprise qui rendait ça, bizarre, il ne détestait pas... étonnamment. Même en y glissant un second doigt qui l'étonnait encore, il ne la repoussait pas. Instinctivement, il se cambrait un peu, enfonçant un peu plus son membre dans la bouche de Hikari. Quand il s'en rendait compte, il reculait doucement, soufflant de brefs excuses avant de sentir le désir toujours grandi en lui, cette femme s'imposait de plus en plus comme l'unique chose qu'il désirait vraiment, sa libido endormis, ses doutes, ses remords, tout ça disparaissait pour n'avoir qu'elle en ligne de mire. Lui qui était si sérieux, lui ne voyait que son job d'important, une autre chose grimpait les échelons pour se hisser rapidement au pic de ses priorités. Il le sentait, son cœur s'affolait, peut-être ses émotions, peut-être l'effet de sa bouche et ses doigts en lui, il ne tardait pas jouir, un peu au dernier moment, n'ayant pas le temps de prévenir sa douce. Il se déchargeait dans sa bouche.

« Arrrrgh ! »

Crisper, ses mains l'empêchait d'avoir que d'autre choix d'avaler ce qui en sortait, ou laisser la semence déborder de sa bouche. Ce ne fut qu'une fois l'orage passé qu'il se recula doucement, baissant les yeux vers Hikari, retrouvant un semblant de lui-même.

« Dé-désolé... j'ai pas eu le temps de te prévenir... »

L'effet de la potion faisait encore effet ou non ? Difficile à dire, même si sa verge était de nouveau plus détendue, il était loin d'agiter le drapeau blanc. La vision d'Hikari à genoux, devant lui, ça lui faisait quand même de l'effet.

« Laisse-moi te rendre la pareille, ma chérie. »

Il se mit à son niveau, repoussant la belle, pour qu'elle s'allonge avant que sa tête se glisse entre ses cuisses et n'aille sans aucune hésitation, l'embrasser, même si aucune langue ne répondait à son baiser intime, il l'embrassait avec amour, bien décider à ce qu'elle lui donne l'amour qu'il attendait, sous forme liquide. Il avait beau ne pas avoir une grande expérience dans les femmes, il la savait spéciale, c'était elle... S'il devait un jour se marier ou au moins être en couple, ce serait elle.

Elle le surprit en s’attaquant à sa porte arrière. Hikari le vit dans son regard, elle le sentit aussi dans le durcissement de sa verge, ou dans son soupir ténu. Elle sentit aussi le corps de Hirotaka se cambrée doucement, et, pendant un moment, Hikari frémit en s’imaginant le prendre par l’arrière, claquant ses fesses tout en le besognant. Ce fantasme inattendu la fit trembler, et elle alla glisser sa main entre ses cuisses, se masturbant tendrement, tout en continuant à me pomper avec passion.

« Hmmm… »

Dans son cas, parler était inutile, elle préférait agir, elle préférait sucer ce joli membre, cette belle queue tendue, tout en remuant ses doigts dans son fondement. Elle savait qu’il y prenait goût, elle le sentait, et cela ne pouvait que la stimuler.

Finalement, Hirotaka se mit à jouir plus rapidement que prévu. Relevant régulièrement les yeux, Hikari frémit en voyant son visage rougir, en le sentant approcher de l’orgasme… Puis, le foutre fusa.

« Hnnnn… »

Hikari accueillit tout ce foutre avec envie, et avala ce dernier, pompant la queue de son amant jusqu’à la dernière goutte. Ce qu’elle ressentait en sa compagnie était intense, tellement intense… Elle n’avait jamais ressenti une telle chose, une telle envie, et une telle énergie. Elle conserva les lèvres closes, et prit le temps de tout avaler, avec des bruits de déglutition très sonores, qui ne mentaient pas sur le plaisir qu’elle prenait. La verge d’Hirotaka avait naturellement réduit, mais aucun des deux n’avait envie de s’arrêter. Pas maintenant, pas si vite ! Hikari sourit donc, et caressa ses lèvres avec ses doigts, puis frotta son ventre. Sensuelle, vulgaire… Elle se sentait si libre, si heureuse !

Face à elle, Hirotaka passa à la suite, et coucha Hikari sur le lit. Elle écarta les cuisses, et il put voir que sa chatte était humide, trahissant sa vive excitation.

« Oh, mon chéri, tu me chauffes tellement… Viens me soulager, j’ai si chaud là… »

Méconnaissable, la timide professeure se masturbait devant Hirotaka, malaxant l’un de ses seins. Hirotaka se rapprocha ensuite, et glissa sa tête entre ses cuisses. Elle gémit en empoignant ses cheveux, et se tortilla sur place, savourant cette langue insidieuse, la soif de son amant qui répondait à la sienne.

« Haaaa…. Haaaaannn, encore… Vas-y, mon chéri, broute-moi le minou ! »

Hikari succombait totalement au désir, à la soif de sexe, prête à offrir à son homme sa récompense : son orgasme !

Cette femme était bien plus que ça, lui qui n'avait jamais vraiment couru derrière l'amour et le sexe – il y a goûté, mais il avait d'autres priorités – voyait à présent ça différemment. Sachant que la drogue de la petite Alice se dissipait doucement, bien qu'ils l'ignoraient, c'était dire à quel point Hikari prenait de plus en plus de place dans son esprit. Simple collègue à petit béguin pour elle, la voir en kimono avait fait pousser la graine d'un désir pour elle, assez soft, mais présent, et coucher avec elle, ça avait enfoncé le clou. Il n'avait plus de doute à son sujet, il aimait cette femme. Même en étant provocatrice, elle était tellement belle et son désir pour elle devenait une priorité absolue ! Si une divinité les regardait, il priait psychiquement que rien ni personne ne vienne les déranger de la nuit.

Plongeant entre ses cuisses, sa langue glissa dessus, puis dedans, ce goût lui semblait ô combien bien meilleur que tout ce qu'il a pu goûter à ce jour. Hikari devenait sa priorité sur tout. La plus douce, la plus belle, la plus mignonne, la plus délicieuse, bientôt, elle remplacera son oxygène. Il lapait sa petite chatte, il broutait son minou, en quête de la récompense ultime, de sentir cette femme lui jouir dessus, ou dans la bouche, les deux choix lui convenait. Plus sa langue récoltait sa mouille, plus sa queue se relevait une énième fois, comme un héros de manga qui refuse de perdre et/ou de mourir, se redressant inlassablement, il allait finir par s'écrouler, mais uniquement quand son corps lui dira stop, pas avant. Il sentait les doigts de la belle Hikari sur sa tête, ça faisait du bien, pas autant que ce qu'il avait sur la langue, mais il n'allait pas donner d'ordre d'importance dans le moindre de ses faits et gestes. Même l'odeur, il avait le nez en plein dedans, et pourtant, il aimait cette odeur... Tout chez cette femme lui semblait merveilleux ! Serait-ce ça, l'amour, avec un grand A ? La moindre chose lui semblait évidente de sa part ? Même une bêtise évidente du genre, deux plus deux égale cinq, pourrait avoir l'air vrai ou, quitte à garder la raison, trouver son étourderie adorable ? Il semblerait. Quitte à parler d'amour avec un grand A, il avait eu le combo. L'amour avec un grand A et un joli petit cul.

« Huuuuum~ »

Il n'attendait que son orgasme pour enchaîner et une fois sa petite chatte vidée, il comptait la remplir de nouveau, elle n'avait pas de vision dessus, mais sa queue était de nouveau devenue une barre en métal, inflexible ! Il avait hâte de lui faire l'amour, encore une fois. Combien de fois déjà ce soir ? Et de fois où il a joui ? Franchement, il n'en sait rien, mais sûrement bien plus que ses dernières années réunies. Lorsque enfin, il la sentait jouir, il savait que ça allait être son tour, pour que cette fois, ce soit ensemble que l'orgasme puisse leur tendre la main. Terminant son office, se léchant les babines, il retournait l'embrasser, un court baiser pour annoncer la suite, sa verge caressant déjà son corps.

« Hikari, je veux te faire l'amour, je veux que cette fois, ce soit ensemble. »

Un très court instant, il hésitait même sur le choix... Pas la bouche, il venait de jouir ici, mais devait-il lui faire l'amour, ou la sodomiser ? Mais non, il voulait encore goûter à sa petite chatte, que leur orgasme soit réunie au même endroit.

« Je veux te faire l'amour, jusqu'à l'écroulement... et... à jamais. »

Cela sonnait comme une pseudo-déclaration. Il avait beau ne pas être futer en amour, au moins si elle n'était pas d'accord, il pouvait accuser qu'il avait dit ça sur le feu de l'action et si elle était sur la même longueur d'onde, il avait sûrement posé les premières briques. À moins que cela n'ai déjà été fait plus tôt dans la soirée ? En tout cas, disant cela, il la pénétra, sentant le frisson du plaisir le traverser, ça allait encore être grandiose !

Hikari soupirait doucement en sentant les lèvres de Hirotaka s’activer sur son sexe. Elle n’aurait jamais cru que cet élixir puisse être aussi efficace. Lui qui paraissait si froid, si dur… Hikari commençait à se faire à l’idée que, dans le fond, Hirotaka avait toujours ressenti quelque chose pour elle, quelque chose qui avait été révélé au grand jour avec la potion d’Alice. Sans doute devrait-elle remercier sa petite Cupidon… Oui, tout cela était inattendu, et Hikari avait encore du mal à le réaliser, mais elle était sûre d’une chose, c’est qu’elle prenait son pied. Elle aimait ça, elle adorait ça, même ! Elle se tortillait sur place, sa main caressant et serrant les cheveux d’Hirotaka. Il s’appliquait avec passion, remuant ses lèvres, enfonçant sa langue dans sa bouche. Hikari gémit encore, et soupira à nouveau, sentant l’homme continuer son offensive sur sa chatte. Elle mouillait, et, tout comme lui, elle n’avait aucune envie que les choses finissent si vite. Oh non, ce serait un sacré gâchis !

« Haaaa… Hi… Hirotaka-chaann… »

Elle se mordilla les lèvres, et offrit finalement à Hirotaka un nouvel orgasme. Son corps se contracta, et elle se relâcha donc, soupirant longuement. Hikari se mit à jouir longuement, et sourit joyeusement ensuite. Hirotaka se redressa, et elle sentit alors contre ses cuisses son sexe en érection, durci. Sa main se posa sur son épaule, et son autre main glissa dans le bas du dos de Hirotaka. Il avait encore envie d’elle, et elle aussi.

« Alors, viens, Hirotaka… Fais-moi l’amour, prends-moi, remplis-moi de tout ton amour, mon chéri !! »

La jeune femme descendit sa main, et la posa à nouveau sur les fesses de Hirotaka. Elle sentait qu’il avait aimé sentir son doigt en lui. Dans la foulée, Hikari écarta les jambes, et soupira quand son membre s’enfonça en elle. Elle se mordilla les lèvres, et enfonça alors deux doigts dans le fondement de Hirotaka, tout en posant son autre main sur sa nuque.

« Hmmm… D-Dis-moi que tu m’aimes, haaaannn… E-Embrasse-moi, haaaa… E-Et… B-Baise-moi !! »

Dur de dire ce qu'il aurait pu vraiment ressentir pour elle avant ce soir. Ce matin, il venait tout juste de prendre en compte la beauté de sa collègue et maintenant, elle apparaissait comme la seule femme capable d'égayer un tant soit peu sa vie. Il ne savait pas combien de fois, il avait déjà joui avec elle, mais pour sûr, c'était bien plus que depuis un certain moment ! Il n'a jamais été très porté sur la chose, mais avec elle, il rattrapait son retard. Tout chez cette femme était incroyable à ses yeux, le moindre détail était supérieur à n'importe quelle femme qu'on irait lui mettre sous les yeux. Après, le fait que ce soit, de base, son genre de femme, ça jouait en la faveur d'Hikari aussi. Aussi belle qu'intelligente, ce n'était pas rien. Il préférait de loin, non pas que ce soit le cas de sa collègue, une femme avec un cerveau bien en forme et du genre planche à pain, qu'une bimbo américaine qui est refaite de partout et qui croit dur comme fer que la terre est plate. À ses yeux, une telle forme d'intelligence, c'était repoussant. Les gens ont le droit de ne pas sortir de grandes écoles, mais il y a des évidences qu'il faut accepter, si les gens régressent en intelligence, bientôt, ils vont craindre la nuit en croyant le soleil mort.

Mais pour en revenir à sa belle Hikari, il lui faisait l'amour, toujours en jonglant entre amour et ferveur, la demoiselle était si belle, ses couinements si adorables, non, Hirotaka voyait mal comment une autre fille pourrait faire mieux ? D'une rapide pensée envers leurs collègues féminins dans l'établissement, personne ne lui arrivait à la cheville. Ce nouvel orgasme qu'il croyait être le dernier était toujours repoussé, en voyant sa collègue qui en voulait encore plus, il se remettait en forme plus facilement qu'il ne le pensait. À la rencontre de son corps de rêve, il allait l'embrasser pendant que ses petites mains allaient sur son corps, glissant sans hésitation derrière pour le titiller. Il aurait cru ça... gênant mais sans dire qu'il irait tendre ses fesses pour ça, ce n'était pas déplaisant. De la voir réclamer plus d'amour, ça lui faisait tout drôle.

« Je t'aime, Hikari-chan... Et rien ni personne, à mes yeux, ne saurait-être plus belle. »

La seule fille qui pourrait lui faire hésiter sur « qui est la plus belle » serait une potentielle mini-Hikari, qui serait leur enfant. Mais il était trop tôt pour envisager une telle chose. Même s'il en doutait, car cet état second s'était dilué, peut-être demain tout redeviendrait comme ce matin ? Mais pour l'instant, il se serrait contre elle, caressant son corps en la pénétrant, la baisant, comme elle le désirait. Hirotaka ne pensait qu'au bien de cette charmante créature, peu importe dans combien de temps il allait abandonner ou, peut-être ensemble, qui sait, mais Hikari semblait avoir un tant soit peu d'expérience en plus que lui, cela lui donnait un petit avantage. Allongé contre elle, il embrassait son cou, le silence laissant place à des gémissements, des grognements tandis qu'il en profitait pour se montrer plus dominateur. Non pas en la fessant ou en l’insultant, mais en se montrant plus fort dans ses coups de reins, plus présent que jamais tandis que sa douce compagne continuait d'avoir les mains baladeuses. Le tout était de ne pas bouger au mauvais moment.

Aucun doute, aucune erreur pour elle ! Hikari laissait Hirotaka lui faire l’amour, et elle l’accompagnait. Sa main se posait sur sa nuque, son autre main sur son épaule, et elle soupirait longuement, gémissant contre lui. Rien ne semblait devoir les arrêter, et c’était tant mieux, c’était tout ce que Hikari voulait ! Elle gémissait doucement, elle soupirait longuement. La jeune femme se mordillait les lèvres, laissant la vague l’envahir. Le désir croissait en elle, remontant tandis que Hirotaka lui glissa qu’il l’aimait, et qu’elle était belle sous tous les angles. Hikari rougit doucement, et descendit sa main pour caresser les fesses de Hirotaka. Elle ne l’avait encore jamais remarqué jusqu’à ce jour, mais son collègue et amant avait un joli petit cul. Elle soupira en crispant ses doigts dessus, et le laissa remuer encore en elle. Elle n’avait à vrai dire aucune raison de le stopper, bien au contraire !

« Oh, Hirotaka-chan… Il va falloir… Vérifier ton diagnostic , hummm… Que tu me prennes sous tous les angles, haaaa… »

Hikari l’embrassa une nouvelle fois, et continua à presser son corps contre le sien. Leurs peaux se frottaient ensemble, et elle lui sourit, mouillant. Leur passion ne semblait jamais devoir s’éroder, tandis que le corps de Hikari remuait encore, et que la verge de son amant s’enfonçait en elle jusqu’à la garde. Hikari allait de toute évidence devoir remercier par la suite sa bonne étoile, Alice, qui avait fait naître leur romance. Hikari et Hirotaka… Maintenant qu’elle y pensait, ils étaient faits pour être ensemble. Les deux étaient des professeurs plutôt sérieux, qui ne couchaient pas avec leurs élèves comme Myumi Ichtora ou Pamela Isley. Ils avaient donc fini par se trouver, leurs sentiments enfouis jaillissant à la surface.

En soupirant lentement, Hikari reprit, en croisant le regard de son amant. Elle avait retiré ses lunettes, ainsi que les siennes, car elles étaient couvertes de buée, et cela leur permettait de mieux s’embrasser.

« Je veux que tu me prennes… À quatre pattes, haaaa… Tu pourras remettre tes lunettes, et me dire… Si tu me trouves toujours aussi belle de dos, haaaa… Mon chéri… »

Ce mot l’excitait, elle frissonnait sur place… Proche d’un nouvel orgasme !