The Multiversity

Au début, Wanda ne pensait pas que coucher avec Fatalis pourrait lui apporter du plaisir. Elle ne s’offrait à lui que parce qu’elle était persuadée que c’était un bon moyen de renforcer ses pouvoirs en vue du combat qui l’attendait contre Méphisto pour récupérer ses enfants. Mais plus se prêtait au jeu, plus elle commençait à le trouver amusant. Le docteur était plutôt un bon amant, et il semblait très heureux de pouvoir à nouveau sentir et toucher le corps d’une femme.

« Aaahhh... docteur... »

Son amant lui massait les seins, caressant agréablement ses globes et pinçant ses tétons entre ses doigts. Ses mains étaient douces mais sa prise était assez ferme pour donner du plaisir à la jeune femme, qui soupirait doucement en se faisant masser la poitrine. Il sourit à son commentaire comme quoi elle voulait lui sucer quelque chose, puis il se mit à aspirer ses tétons entre ses lèvres.

« Ooohhh... ooouuuiii... »

Wanda balança la tête en arrière et couina de plaisir en sentant la bouche de Fatalis contre sa poitrine, suçant ses petites pointes roses érigées par le plaisir. Il s’y prenait bien, il se servait de sa bouche et de sa langue avec brio, et la jeune femme l’encourageait à continuer dans cette voie en posant ses deux mains sur sa tête et en caressant ses cheveux.

« C’est très bien docteur... continuez... hhhmmm... »

Fatalis était sous le charme de Wanda, et s’il continuait comme ça, la chose pourrait bientôt être réciproque. La sorcière savoura longuement le plaisir offert par son amant pendant de longues minutes, puis elle sentit qu’il était temps de passer à l’étape suivante. Ces préliminaires l’avaient bien excité, et sa mouille coulait entre ses cuisses, maintenant elle voulait que son amant ressente la même chose. Elle écarta son visage de sa poitrine et l’embrassa tendrement, glissant sa langue dans sa bouche pour rendre ce baiser aussi savoureux que possible.

« Aaahhh... vous m’avez bien excitée docteur. Maintenant... c’est à mon tour. »

La sorcière, qui se sentait plus audacieuse maintenant qu’elle était excitée, fit s’allonger son amant sur le lit et lui retira le bas de sa tenue. En voyant la friandise qui s’offrait à elle, elle ne put retenir un sourire.

« Eh bien docteur... si je peux me permettre... vous êtes très bien monté. »

Wanda savait déjà qu’elle allait se régaler. Elle prit ce mandrin en main et le caressa tandis que son autre main alla soupeser les testicules de l’homme. Ce dernier soupirait et gémissait d’aise tandis qu’elle s’occupait de son chibre, un bon signe pour la suite.

Bon appétit à moi.

La sorcière finit par mettre son visage près de la verge de Fatalis pour pouvoir la lécher comme une grosse glace. Elle savoura l’odeur forte de sexe qui s’en échappait, ainsi que la sensation de la chair tendue et des veines palpitantes sur sa langue, avant de le prendre en bouche et de commencer à le pomper.

Vu tout ce que Fatalis lui avait déjà raconté, Wanda supposait qu’il n’avait pas eu droit à une fellation depuis longtemps. Elle comptait donc bien mettre en œuvre tout le talent qu’elle avait acquis depuis son arrivée en Latvérie pour lui offrir une pipe dont il allait se souvenir longtemps.

Fatalis était en train d’explorer le corps de cette femme, et, même s’il avait fortement apprécié qu’elle palpe ainsi son visage, ou qu’il puisse sucer ses doigts, ses seins étaient également magnifiques. C’était là aussi un plaisir difficile à avoir avec son masque de fer. Mais, maintenant que son corps avait été reconstruit, que son visage était soigné, et que ses lèvres étaient désormais très bien faites, il pouvait embrasser et sucer ses tétons sans aucune difficulté. Wanda pouvait sentir en lui une passion incroyable, renversante, une énergie assez fraîche. Fatalis était assez paradoxal, car il semblait expérimenté, grand connaisseur de l’anatomie féminine, et pour autant… Il faisait preuve de l’envie débordante d’un jeune homme qui verrait pour la première fois le corps nu de sa petite-amie. Il se frottait sur elle, léchant et mordillant ses seins, et déplaça l’une de ses mains pour palper le cul de Wanda. La Sorcière-Rouge se frottait contre lui, sentant une érection remuer contre elle.

« Hmmm… »

Le Latvérien aimait tellement ça ! Cette peau douce, moelleuse, les formes anguleuses et magnifiques de son corps… Fatalis aurait pu passer des heures avec elle, mais Wanda finit par le repousser. La Sorcière-Rouge était très excitée, et l’homme se retrouva couchée sur le lit, et sourit en la regardant le chevaucher.

« Tu peux m’appeler Victor, si tu veux, Wan-Wanda… »

Elle défit son bas, et put voir un épais membre qui se dressait. Difficile de croire que Victor n’utilisait pas sa magie. Son corps n’était pas habitué aux élans sexuels. Difficile de faire l’amour avec un individu dont une partie du corps était dissimulé sous des protections en acier renforcé. Maintenant qu’il avait retrouvé l’usage de son corps, Victor semblait sincèrement ravi de l’utiliser avec Wanda. La femme découvrit donc son vit, et commença à la prendre en bouche. Cette sensation était superbe, et l’amena à soupirer longuement en fermant les yeux. Fatalis se crispa sur place, et posa sa main sur sa tête, caressant les longs cheveux soyeux de Wanda.

La Sorcière-Rouge commença à le sucer de plus en plus énergiquement, remuant sur son membre, filant de haut en bas. Une sensation exquise s’empara de son être, et l’homme grogna lentement, appréciant ce contact onctueux.

« Oui, vas-y, Wanda, hmmm… Tu… Hmmm, que c’est bon ! »

Cette sensation délectable, ce plaisir inouï, inné… Indescriptible ! Il aurait voulu rester comme ça sans fin, qu’elle profite encore longuement de sa verge, mais l’homme sentait bien qu’il allait finir par jouir dans sa bouche, et sa main se serrait progressivement sur ses cheveux, tandis qu’il approchait inéluctablement de sa jouissance…

Wanda se régalait bien plus que ce à quoi elle s’attendait. Fatalis avait beau l’impressionner, elle commençait à réaliser qu’au-delà de son personnage de grand dirigeant, il y avait un homme simple, qui appréciait le sexe comme les autres. Et maintenant que le masque était tombé, au sens propre comme au figuré, la jeune femme prenait son pied avec son amant, qui l’avait autorisé à l’appeler Victor.

« Très bien… Victor. »

Tandis qu’elle suçait le mandrin du docteur, elle sentait sa main qui caressait ses cheveux et se régalait en entendant ses couinements de plaisir. Elle adorait la sensation de ce gros chibre tendu qui lui remplissait la bouche, elle adorait être complimentée pour son talent, et elle adorait sentir qu’elle faisait du bien à son amant. Ce dernier semblait clairement avoir besoin de se libérer de quelque chose, mais était-ce seulement une frustration physique ou bien y avait-il une part émotionnelle ? La sorcière ne pouvait rien faire pour ses problèmes émotionnels, mais grâce à sa magie, elle comptait bien le soulager de toute frustration physique.

« Hhhmmm… sslluurrpp… »

Wanda pompa goulument le sexe de Victor jusqu’à ce dernier finisse par jouir dans sa bouche. La jeune femme sentit la semence gicler de son chibre et, en bonne fille, avala tout. Elle ne savait pas si son amant était du genre à aimer voir les filles jouer avec le sperme qu’il éjaculait, alors dans le doute, elle préférait l’en débarrasser. Après l’orgasme de son amant, elle s’allongea sur lui et vint l’embrasser. Elle avait encore un peu de sperme dans la bouche, il fallait espérer que cela ne le gênerait pas trop.

« Victor… je sens que vous allez être… un très bon amant. »

La jeune femme frottait son corps contre celui du docteur. Ce dernier pouvait sentir sa poitrine s’écraser contre son torse, et sa vulve déjà humide contre sa verge qui reprenait peu à peu de la vigueur. La sorcière prit l’une des mains de l’homme et la posa sur son cul.

« Dites-moi… comment vous trouvez mon cul ? Tous mes amants… m’ont dit qu’il était merveilleux. »

Avec u peu de magie rose, elle remplissait la tête de Victor d’idées coquines pour jouer avec son derrière. Le presser, le malaxer, le pincer, l’embrasser, lui donner une fessée… Elle voulait qu’il se sente libre de faire des choses osées avec elle. Après la nuit qu’elle avait passée au Doom’s Club, elle était prête à aller au-delà des rapports sexuels classiques avec lui.

« Alors Victor… y a-t-il des choses que vous avez toujours voulu faire à une femme... mais que vous n’avez jamais pu ? »

Elle diffusa encore sa magie en lui pour attiser son imagination.

« Je veux que ce moment soit inoubliable pour nous deux. Je veux que nos corps et nos esprits s’unissent. Alors dites-moi : qu’est-ce qui vous... non... qu’est-ce qui te ferait plaisir ? »

Victor était en train de succomber. Il comprenait mieux pourquoi Wanda avait tant fait sensation au Doom’s Club. Quelle énergie ! où donc avait-elle appris à devenir si perverse ? À dire vrai, en sondant son esprit, Victor avait eu une petite idée de ça, en voyant ce qu’elle développait avec Vision. Elle avait perfectionné sa magie à des fins notamment sexuelles, dans le but d’obtenir un enfant. Et tout ça l’avait marqué inconsciemment. Et c’était bon, si bon… Il ne put se retenir devant cette puissante fellation, devant les gorges profondes de Wanda. Victor grommela encore, et tous ses muscles se détendirent. Il jouit joyeusement en elle, et elle avala son foutre. L’homme s’abandonna en elle en fermant les yeux, et, quand il commença à reprendre ses esprits, Wanda s’allongea contre lui. Elle était chaude comme la braise, sensuelle, et se frotta langoureusement contre lui.

« Oh, Wanda… »

Le docteur l’embrassa encore, et fourra sa langue dans sa bouche, recueillant quelques dépôts de sperme, comme pour montrer à Wanda qu’il était loin d’avoir des goûts ordinaires… Et, quand Wanda posa sa main sur ses fesses, il pressa sa peau en soupirant. Son cul était effectivement très agréable, une peau moelleuse et délicate qu’il serra encore, lui souriant doucement.

« Évidemment, Wanda… Comment ne pas aimer chaque partie de ton corps ? Tu corresponds à tout ce que j’aime… »

Elle resta lovée contre lui, et il frémit en sentant à nouveau la magie rose affluer en lui. Wanda voulait qu’il se lâche, qu’il se lâche vraiment, et Victor soupira alors. Il ferma les yeux, mais était incapable de la repousser. Sa magie rose affluait en lui, plus forte que jamais, et il frémit encore, tandis qu’elle l’invitait à choisir le fantasme le plus pervers, le plus insensé qu’il était capable d’imaginer. Sa verge se redressa et durcit furieusement, tandis que Wanda posa ses mains gantées sur son visage. Il trembla encore, soupirant encore longuement, sentant un doigt s’enfoncer dans sa bouche. Elle le provoquait encore, bien décidée à le faire basculer. Il suçota son doigt, et la sentit encore insister. L’aura de Wanda l’englobait totalement, sa verge devenait très douloureuse.

Il grogna sur place, cherchant à reprendre le contrôle, mais était comme incapable de détacher sa main de son fessier. Elle susurrait contre lui, frottait ses seins. Irrésistible, tentatrice, perçant son esprit. Il soupira encore, et, quand elle caressa ses lèvres avec deux de ses doigts… L’inconscient de Victor prit le dessus.

Les deux se téléportèrent, ils disparurent de cette chambre pour rejoindre une autre pièce… Ils atterrirent sur un autre lit au centre d’une grande pièce en latex, et Wanda comprit très vite que cet endroit était très particulier.

« C’est ma chambre des plaisirs… Un plan astral que j’ai conçu il y a des années… Pour purger mon esprit de… De tout ce que tu me fais sentir en ce moment, Wanda… Des années de désir sexuel refoulés s’entassent et mûrissent ici. Personne n’y est encore jamais entré, mais… Cet endroit va également matérialiser tes désirs… »

Les murs étaient comme flottants, matérialisant des formes, des silhouettes… De fait, une silhouette ne tarda pas à émerger derrière Wanda, qui se tenait à califourchon sur Wanda. Des mains bleuâtres caressèrent ses épaules, et, dans son dos, Susan Storm se matérialisa, et embrassa langoureusement Wanda…

Wanda ne savait pas trop à quoi elle s’attendait en demandant à Victor de se lâcher, mais elle fut assez surprise quand elle se téléporta avec lui jusqu’à un lit dans une grande pièce tout en latex. Il lui expliqua qu’il s’agissait de sa chambre des plaisirs, un plan astral qu’il avait conçu il y a des années pour purger son esprit de toute pensée tentatrice. Des années de désir sexuel refoulé entassées ici, sous la forme d’une chambre où les désirs des deux amants allaient se matérialiser. Et pour commencer, une silhouette émergea devant Wanda, à califourchon sur elle. Des mains bleuâtres caressèrent ses épaules, et elle vit une belle femme blonde aux yeux bleus se matérialiser devant elle.

« Que... »

Avant qu’elle ait pu dire un mot, la mutante se retrouva à embrasser cette femme. Un baiser langoureux et très excitant, dans lequel elle put sentir une bonne dose de plaisir se diffuser en elle.

Ouah... elle embrasse vraiment bien.

La sorcière passa ses mains dans le dos de cette apparition et fut surprise de voir combien elle était douce à caresser. Sa peau nue était aussi chaude et délicate que le serait la peau d’une vraie femme. Il était clair que cet endroit avait de nombreuses surprises en réserve pour elle.

Quand le baiser se rompit, l’apparition sourit à Wanda, et cette dernière regarda en direction de son amant.

« Dis moi Victor... cette femme est-elle une matérialisation de tes désirs... ou bien des miens ? »

Depuis qu’elle était arrivée en Latvérie, la sorcière avait surtout couché avec des femmes, donc il n’était pas absurde de penser que cette femme était là pour combler ses envies. Mais il aurait été plus logique qu’elle prenne la forme d’une femme qu’elle avait déjà vu, comme Anna ou Indra. Elle se dit donc que cette femme devait être un souvenir du docteur, une personne qu’il aurait désirée à un moment de sa vie.

« Est-ce que tu fantasmes sur le fait que je couche avec elle pendant que tu nous regardes... ou bien tu veux qu’on s’occupe de toi à deux ? »

Histoire de lui donner envie, elle se mit à peloter le corps plantureux de cette femme, malaxant sa poitrine d’une main et mettant des claque sur son cul de l’autre. Que son amant soit un voyeur ou un amateur de plans à trois, elle était prête à lui donner ce qu’il voulait. Si cette pièce était vraiment la matérialisation de son plaisir refoulé, alors elle comptait bien la faire disparaître dès aujourd’hui.

Susan Storm… L’amour de sa vie. Il n’était pas surprenant qu’elle règne ici en maître, tant elle était importante aux yeux de Victor. Il avait tout réussi dans sa vie. Il avait pris les rênes de son pays, il avait défié les Dieux, il avait combattu Galactus, il faisait jeu égal avec le Beyonder, mais il n’y avait toujours eu qu’un seul problème dans sa vie, une seule chose qu’il n’avait jamais réussi à avoir : le cœur de Susan. Un cœur que Reed lui avait volé, un amour perdu, la femme de sa vie. Si Victor n’avait jamais aimé qu’une personne, elle se tenait là, matérialisée et symbolisée par ses fantasmes, embrassant tendrement Wanda. Elle était curieuse sur son idée, et ce fut Susan qui répondit.

« Victor ne t’a pas parlé de moi, Wanda ? Estime-toi heureuse, tu es dans son antre intime… Je suis Susan Storm. Enfin, la Susan que Victor idéalise, celle qu’il aime depuis toujours…
-  Hmmm…
-  Navrée, Victor, mais, ici, tu ne peux pas mentir à toi-même. Victor a toujours été en rivalité avec un homme, le Docteur Reed Richards. Au-delà des oppositions idéologiques et mathématiques, c’est finalement une histoire aussi vieille que le monde… Celle de deux hommes qui ont des vues sur la même femme. Je contrôle les fantasmes de Victor, Wanda, je suis la partie inconsciente de sa psyché qui correspond à son amour pour elle… »

Victor ne pouvait guère nier, et observa les deux femmes, tandis que le décor évoluait encore. Des tentacules jaillirent, et s’enroulèrent autour des poignets et des chevilles de Victor, l’immobilisant sur place. « Sue » retourna embrasser Wanda. Son baiser était magique, ses lèvres très sucrées.

« Et toi, ma belle, tu es vraiment magnifique… À la base, Victor m’a créé pour que je travaille son corps et son endurance sexuelle. Il a toujours trouvé ça très dégradant, tu vois, de s’adonner au sexe. Mais toi, tu as l’air d’avoir un talent unique pour sauter toutes ses inhibitions… »

Elle connaissait désormais le secret de Victor, et Wanda eut droit à un autre baiser sulfureux. Susan se frottait langoureusement contre elle, tandis que les murs continuaient à onduler. Des tentacules étaient déjà venus piéger Victor, qui sait ce qui allait encore arriver ? Sa verge en érection se frottait contre les deux femmes, ce qui amena Susan à légèrement glousser, comme si cette situation l’amusait.

« Ta proposition me tente bien, Wanda… Faisons l’amour sous son nez… Victor a développé un fort penchant pour le voyeurisme… »

Un penchant qui pouvait s’expliquer, vu la situation dans laquelle son corps s’était retrouvé avant que Wanda ne le guérisse enfin de sa malédiction. Une seule chose semblait désormais être sûre : Wanda allait passer un nouveau moment extrêmement agréable ici !

La femme qui s’était matérialisée se présenta sous le nom de Susan Storm, le seul grand amour de Victor. Il n’avait jamais pu gagner son cœur, et elle avait fini dans les bras d’un autre homme, ce qui expliquait sans doute pourquoi elle se matérialisait ici, dans cette pièce qui représentait toute la frustration sexuelle de l’homme. Et la sorcière prit réellement la portée de la puissance de cette apparition quand elle vit des tentacules sortir du mur et immobiliser son amant en s’enroulant autour de ses poignets et de ses chevilles.

Pauvre Victor. Il a dû tellement souffrir...

Wanda était encore plus déterminée maintenant qu’elle savait ça. Si elle pouvait faire disparaître cette pièce et cette apparition, alors elle saurait que son union avec Victor serait complète, ce qui serait bénéfique dans sa quête pour revoir ses enfants. Susan et elle s’embrassèrent, et la blonde la complimenta sur son don pour faire sauter les inhibitions du docteur, lui qui trouvait le sexe dégradant. La femme se frottait langoureusement contre elle tout en lui offrant un baiser sulfureux, et la mutante ne cachait pas son excitation devant cette femme séduisante.

« Je compte faire bien plus... que faire sauter ses inhibitions. Je vais le combler... aaahhh... jusqu’à ce qu’il soit totalement... satisfait. »

Et pour commencer, Susan proposa à Wanda qu’elle fassent l’amour ensembles pour combler les pulsions voyeuristes de Victor.

« C’est un voyeuriste ? Hhhmmm... très bien. Offrons-lui un spectacle... qu’il n’est pas prêt d’oublier. »

La sorcière embrassa encore l’apparition, savourant le contact de ses lèvres contre les siennes, l’engageant dans un ballet des plus endiablés avec sa langue contre la sienne. Pas de doute, c’était un vrai régal. Leurs corps nus se frottaient l’un contre l’autre, elles gémissaient et soupiraient langoureusement en commençant à se caresser. La mutant alla palper le cul bien moelleux de la blonde, et cette dernière en fit de même avec elle, pour le plus grand désarroi de Victor. Nul doute qu’il aurait aimé pouvoir toucher ces belles fesses lui-même.

« Aaahhh... et maintenant... passons aux choses plus amusantes. »

Wanda se pencha un peu pour pouvoir venir sucer les seins de Susan. Sa bouche sur son téton, elle aspirait et léchait cette belle pointe de chair rose tendue, la mordillant parfois, tout en caressant son autre sein avec sa main. Et pour bien pimenter le tout, elle faisait aussi appel à un peu de magie, curieuse de voir comment cette apparition allait réagir.

Ce monde était vraiment étrange. C’était un plan astral où leurs corps avaient été envoyés. C’était donc bien le véritable corps de Wanda, et celui de Victor, qui soupirait doucement, semblant comme écrasé par cette force. Susan avait dit à Wanda tout ce qu’elle avait à dire, mais cet endroit n’était pas issu de la seule imagination de Fatalis. C’était une petite partie d’un vaste plan astral très particulier. Il avait jadis été le domaine de Slaanesh, le Dieu Noir de la Luxure et des plaisirs interdits. Tzeentch y formait ici ses amants et ses esclaves, ses disciples et ses soldats. On l’appelait alors « Lusst’ghaa », et ce domaine avait fait l’objet d’une guerre entre Slaanesh et Aphrodite. Aphrodite avait fini par remporter la bataille, et l’ancienne appellation de ce monde avait disparu, au profit d’un terme plus générique… Le « Royaume Érotique de Lust ». Ici, Lus,t ou Aphrodite, y régnait en toute puissance.

Victor avait découvert ce monde en suivant les recherches de sa mère, une puissante sorcière gitane, Cynthia Von Fatalis, qui avait été capturée et torturée par Méphisto. C’était pour elle que Victor avait été jusqu’à devenir un magicien, conscient que la science ne lui permettrait pas de vaincre Méphisto. Il avait contacté bien des créatures puissantes, comme Morgane Le Fey, ou encore la Déesse Sha, en vue de combattre Méphisto. En fait, Victor avait augmenté ses pouvoirs dans le but de pouvoir rejoindre Méphisto, et marchander avec lui. Mais Méphisto était dur en affaires. Victor, pour échanger l’âme de sa mère, avait capturé Franklin Richards, en vue d’offrir l’enfant des Quatre Fantastiques à Méphisto.

C’était l’autre versant de l’histoire de la chute de Wanda. Le marché avait été accompli, mais Méphisto était tombé dans un piège.

« Je… Je n’avais nullement l’intention de sacrifier un enfant. J’avais senti que Franklin disposait de pouvoirs impressionnants. Richards l’aurait senti aussi, s’il n’était pas si… Obnubilé par la science. Des pouvoirs que d’autres convoiteraient. Pendant que je préparais l’échange avec Méphisto, j’ai amplifié les pouvoirs de Franklin. C’est lui qui a dispersé Méphisto, qui a failli le tuer… Mais je n’ai pas pu récupérer l’âme de ma mère. Elle… Elle a été corrompue par Méphisto. »

Cynthia, qui était une sorcière aimante et pacifique, très appréciée des Zafiro, était devenue une démone perverse et cruelle, qui avait refusé la main tendue de son fils. Victor se confessait en observant les deux femmes s’embrasser. Susan gémissait longuement, et laissa Wanda s’attaquer à ses seins, serrant ses cheveux.

« Hmmm… Oh, Wanda, par les démons…
-  J’ai une part de responsabilité, Wanda, c’est… C’est pour ça que je souhaite t’aider. Franklin a détruit l’âme de Méphisto, et l’âme de Méphisto s’est reconstruite en utilisant les âmes de tes enfants… Ton histoire est liée à la mienne… Comme les deux côtés d’une même pièce. Je ne crois pas au destin, mais… Il me semble inévitable que… Que nous terminerons cela ensemble, Wanda. »

Sue gémissait encore, et tira sur les cheveux de Wanda, avant de l’embrasser encore. Mais, quand Wanda utilisa sa magie rose, Susan frémit. Ses pupilles virèrent au violet, et une verge se forma alors, ainsi qu’une queue caudale.

« Hmmm… Je crois que tu commences à le sentir, non ? Je ne suis pas Susan Storm, mais je ne suis pas non plus une simple apparition. Tu as entendu parler des Épouvantards ? Ce sont des créatures démoniaques, des spectres qui prennent la forme la plus effrayante qu’un individu puisse imaginer. Moi, je suis différente… J’ai conclu un pacte avec Victor, et je prends la forme de la personne qu’il aime le plus au monde. Le jour où je prendrai ton apparence, Wanda, c’est que l’amour de Victor à ton égard aura dépassé la culpabilité qu’il ressent pour toi. »

La femme sourit doucement à Wanda, et l’embrassa à nouveau, longuement, sensuellement, puis la poussa en avant, la forçant à se coucher sur le dos, sur le corps de Victor.

« Il ne me touche jamais, tu sais… Je ne sais pas s’il le fait par profond respect envers Susan, ou parce que, inconsciemment, il sait qu’elle n’est pas pour lui, alors… Cela veut peut-être dire que tu as ta place, hum ? »

Un nouveau baiser s’ensuivit, tandis que la verge de Susan flattait les cuisses de Wanda, prête à venir la pénétrer énergiquement…

Malgré l’ambiance érotique qui régnait dans cette chambre, Victor n’avait pas encore totalement la tête au sexe. Il se mit à raconter à Wanda qu’il avait utilisé Franklin Richards, le fils de Susan, pour tenter de détruire Méphisto, mais qu’il avait échoué. Il était à présent convaincu que seul son union avec Wanda pourrait permettre de venir à bout de la créature.

« Victor... »

Mais contrairement à lui, la sorcière voulait profiter de l’instant présent, et dès qu’elle utilisa sa magie sur l’apparition, ses pupilles virèrent au violet, une verge émergea entre ses cuisses et une queue caudale de succube apparut en haut de ses fesses.

« Oh ? Ce n’est pas habituel ça. »

Susan lui expliqua qu’elle n’était pas une simple apparition. Elle était un Épouvantard, un spectre qui a la particularité de prendre l’apparence de ce que les gens redoutent le plus. Mais celui-ci avait fait un pacte avec Victor pour devenir la personne qu’il aimait le plus au monde. La tâche de la mutante était donc de faire en sorte qu’il prenne son apparence plutôt que celle de Susan.

« Alors on dirait que j’ai du travail devant moi. »

L’Épouvantard coucha Wanda sur le dos, et la jeune femme sentit le corps de Victor contre le sien. Apparemment, le bon docteur ne faisait jamais rien au spectre, alors il était plutôt heureux de voir enfin quelqu’un à qui il pouvait faire l’amour.

« Oui mon beau... hhhmmm... »

Elle écarta les cuisses en grand et se caressa les lèvres intimes pour faire couler sa mouille. L’invitation était claire.

« Allez... baise moi bien fort... que Victor profite du spectacle. »

Susan frotta sa queue contre l’entrée humide de Wanda pour la préparer un peu, puis elle finit par la pénétrer. La mutante lâcha un cri de plaisir quand elle sentit ce chibre entrer en elle.

« Aaahhh ! Ouais... vas-y à fond ! »

Wanda savait qu’elle allait avoir droit à une baise délicieuse, mais elle pensait aussi à Victor. Combien de temps allait-il tenir avant que sa frustration ne soit trop forte pour qu’il soit retenu ? Sans compter que le plaisir qu’elle ressentait lui faisait libérer toujours plus de magie rose dans l’air. Elle pouvait sentir des tentacules venus des murs entourer ses poignets et ses chevilles, remontant lentement le long de son corps, et la queue caudale du spectre titiller son anus.

Pour quelqu’un comme Victor, rien n’était plus important que d’arriver à se contrôler. Il avait perdu son visage en essayant de retrouver sa mère, en n’arrivant pas à se contrôler. Il avait ensuite tout fait pour la retrouver, mais aussi pour s’améliorer. Le sexe avait été un domaine difficile, qu’il avait dû maîtriser, car, pour devenir l’homem puissant auquel il aspirait, et pouvoir espérer vaincre Méphisto, il devait contrôler son corps, ses pulsions et ses pensées inconscientes. Victor avait longuement travaillé en ce sens, et, si la sexualité s’était développée au sein de la Latvérie, c’était en partie pour ça. Il avait passé de nombreuses heures à se rendre dans les clubs, et à regarder des orgies, des spectacles érotiques exquis, en essayant de contrôler ses érections et son corps. Cette chambre de plaisir avec cette Susan succube en était l’ultime épreuve. Il avait capturé un Épouvantard en traquant Méphisto, et avait mené de multiples expériences sur lui, jusqu’à changer sa nature. Désormais, cette créature était une sorte de succube perfectionnée. Cette Susan avait longuement provoqué Victor, elle avait enflammé ses sens. Il se réfugiait derrière son masque de métal, mais elle parvenait à le battre.

Là, Victor se livrait à une nouvelle expérience. Les tentacules jaillissaient autour d’eux, et Susan pénétra Wanda, reprenant son apparence normale. Elle la prit joyeusement, juste à côté de Victor, et les soupirs des deux femmes vinrent emplir l’air. C’était un spectacle très agréable, bien sûr, qui alléchait Victor, mais celui-ci savait qu’il se devait de résister. La tâche serait d’autant plus difficile que Wanda libérait sa magie rose.

« Sa queue est si dure, hmmm… Il aime nous voir faire l’amour, Wanda… Et je dois bien admettre, haaa… Que tu es vraiment exceptionnelle, haaaann… Toute cette magie qui émane de toi, c’est… C’est un vrai régal pour moi ! »

Susan était comblée, et continuait son office, sous les yeux assoiffés de Victor. Sa verge se redressait douloureusement, plus tendue que jamais. Elles en profitaient, bien entendu ! Et, à vrai dire, il pouvait le comprendre, c’était aussi ce qu’il attendait de Wanda.  Qu’elle le stimule, qu’elle le provoque, qu’elle l’amène à la limite de ce qu’il pouvait supporter. Tandis que les tentacules le retenaient, il vit une queue caudale jaillir du bas du bassin de Susan, et elle pénétra avec le fondement de Wanda.

« Hmmm… »

Victor allait-il pouvoir tenir ? Sa queue l’élançait furieusement, et les tentacules croissaient sur son corps, l’un d’eux venant caresser sa verge, non pas pour le faire jouir, mais pour le frustrer davantage. Tout était fait pour qu’il craque progressivement, et supplie les deux femmes de lui faire l’amour !

Susan ne ménageait pas Wanda. La sorcière pouvait sentir la queue puissante de son amante enfoncée en elle, labourant ses chairs et lui arrachant couinement sur couinement. Les deux femmes étaient comblées, mais Victor, en revanche, luttait contre le désir qui était en train de le dévorer. Sa verge se redressait douloureusement, plus tendue que jamais. La mutante libérait sa magie rose dans l’air à chaque seconde, intensifiant sans cesse le plaisir de tous ceux qui étaient dans cette pièce. L’Epouvantard poussa même le jeu plus loin en pénétrant le fondement de son amante avec sa queue caudale.

« Aaahhh... ooohhh... ce que c’est bon... »

Wanda remarqua que l’un des tentacules s’amusait à caresser la verge de Victor, et elle se demanda combien de temps il allait encore pouvoir tenir avant que la frustration ne le submerge. Elle ne pouvait pas le forcer à la baiser, mais s’il ne se laissait pas aller, jamais ils ne parviendraient à unir leurs pouvoirs. Il restait toujours l’option de la méditation et des exercices mentaux, mais combien de temps cela allait-il prendre ? Et quels étaient leurs chances de réussite ? Le docteur avait lui-même admis que cette méthode était la plus rapide et la plus efficace, pourquoi semblait-il rechigner à la tâche maintenant ? En tout cas, elle n’allait pas le lâcher. Elle comptait bien le voir se lâcher avec elle, peu importe le temps que cela prendrait.

« Baise-moi fort Susan... hhhmmm ! Montrons à Victor... de quoi nous sommes capables ! »

Wanda ceintura Susan et la fit s’allonger sur elle pour qu’elle puisse l’embrasser pendant qu’elle se faisait sauter. Elle sentait sa poitrine frottant contre la sienne, la chaleur de son corps, la puissance de ses coups de reins... c’était le pied. Elle aurait pu rester ainsi pendant des heures, mais son plaisir était si grand qu’elle finit par jouir au bout de dix minutes de cette baise intense.

« Oui... oui... OOOUUUIII ! »

La mutante sentit sa mouille jaillir entre ses cuisses, arrosant le chibre de l’apparition, qui ne tarda pas à éjaculer à son tour, remplissant son utérus avec sa crème chaude. Mais ce n’était encore que le début. Il en fallait bien plus pour que Fatalis n’atteigne son point de rupture. Alors la jeune femme se mit à qautre pattes devant l’Epouvantard, qui se tenait à genoux devant elle, et elle vint embrasser sa queue.

« Et maintenant... je vais te pomper le dard... pour que tu retrouves ta vigueur. Et n’hésite pas à décrire tout ce que tu ressens... pour inspirer Victor. »

Wanda commença à lécher le chibre de Susan, lentement et sensuellement, dans la perspective de le sucer goulument et d’offrir un beau spectacle à Victor.

Quand il n’y avait « que » la succube, Victor arrivait à tenir, quoique très difficilement. Elle le narguait, elle le séduisait, frottant son corps contre son membre, implorant Victor de la prendre, et il résistait. Oui, il avait tenu bon… Mais, là, face à ces deux femmes, le Latvérien sentait bien qu’une nouvelle épreuve, beaucoup plus difficile, allait lui tomber dessus. Comment résister indéfiniment ? C’était impossible ! Il avait conçu à l’origine ses sessions avec la succube pour tester sa volonté, sa détermination à garder la tête froide face à l’objet de ses désirs. Mais, face à Wanda et Susan, il se sentait petit à petit partir, son esprit se disloquant et se fracturant au fur et à mesure que les deux femmes se faisaient copieusement l’amour.

Gémissant fortement, Susan pénétrait Wanda contre lui. Il n’avait qu’à tourner la tête pour les voir, couchées juste à côté. Susan la prenait en missionnaire, et c’était un spectacle de toute beauté. Victor déglutit en les entendant gémir, inhalant leur odeur, leur parfum… C’était magnifique ! Elles continuaient à se faire lascivement et longuement l’amour. Une danse magnifique et envoûtante pour Victor, qui les observait silencieusement.

« Hmmm… Vous… Vous êtes… Hmmm…
-  Haaaa… Il n’y a pas que Victor que je vais faire craquer, haaaann… J-Jouis, ma chérie, relâche-toi contre moi ! »

Wanda en avait les mains moites, tout comme la succube, mais la Sorcière-Rouge retenait leurs orgasmes respectifs, jouant ainsi avec les nerfs de la démone… Mais aussi avec ceux de Victor. Quand les deux femmes finirent par jouir, Victor ferma les yeux en se pinçant les lèvres. Sue gloussa doucement en s’asseyant à côté de lui, et serra d’une main les cheveux trempés de Wanda, l’invitant à venir le sucer.

« Je croyais que tu ne devais jamais fermer les yeux, Victor…
-  C’est… Ce n’est rien, hmmm…
-  Vraiment, hmm ? Je crois plutôt que notre chère Wanda est en train de mettre tes nerfs à rude épreuve. Qui aurait cru que quelqu’un puisse un jour réussir à percer ta carapace ? »

Elle sourit encore, malicieusement, tandis que Wanda continuait à lécher tendrement sa verge.

« Regarde, Victor… Ce sont nos règles. Tu dois tout voir !
-  Tu… Tu es vraiment démoniaque !
-  C’est pour ça que tu m’aimes… »

Pendant ce temps, un tentacule se rapprocha encore. La pointe s’ouvrit à l’extrémité, et il se posa sur la verge de Victor, venant le pomper. Le tentacule s’ouvrit en quatre et se posa sur toute sa verge, tandis que, à l’intérieur, la queue de Victor heurtait des parois internes très chaudes et gluantes. Des frissons nerveux le traversèrent.

« Tu vas le faire craquer, Wanda… Je le sens bien ! »

Le dirigeant latvérien grommela encore, serrant nerveusement les lèvres, peinant à conserver son calme…

Gourmande à l’extrême, Wanda se régalait en couchant avec Susan, mais elle déplorait le fait que Victor refusait toujours de se laisser aller. Heureusement, l’apparition faisait tout pour le pousser hors de ses retranchements, lui rappelant qu’il ne devait jamais fermer les yeux, tout regarder de ce qui se passait, tandis que la mutante lui pompait la verge. Et afin de le faire céder plus vite, elle envoya un tentacule s’occuper de sa trique.

« Hhhmmm... tu es vraiment... maléfique. »

Oui, cet Epouvantard prenait peut-être un peu trop goût au plaisir de faire mariner le docteur, mais la sorcière se dit que c’était un mal nécessaire pour arriver à ses fins. En plus, elle adorait pomper le dard de la blonde. Un vit veineux, érigé et chaud, qui l’excitait follement tandis qu’elle le mettait dans sa bouche, qu’elle le léchait et l’aspirait entre ses joues. C’était le pied.

Wanda utilisa sa magie rose et ce qu’elle avait appris jusqu’ici pour s’assurer de rendre la fellation de Susan aussi longue et savoureuse que possible, aussi bien à vivre qu’à regarder. Et au bout de dix minutes, l’apparition vint jouir dans sa bouche, et la mutante se fit un plaisir de tout récolter. Pour autant, elle n’avala rien, et vint coller sa bouche contre celle de la blonde afin de partager sa semence avec elle dans un baiser gluant et passionné.

« Hhhmmm... »

Après ce baiser, elle se tourna ensuite vers Victor, qui semblait toujours faire de son mieux pour ne pas céder à ses plus bas instincts. Mine de rien, cela commençait à être agaçant. La mutant décida de prendre les choses en main, et elle vint se mettre devant le docteur.

« Pourquoi résistes-tu Victor ? C’était ton idée d’unir nos esprits en couchant ensemble. Et maintenant tu fais tout pour ne pas te laisser aller. Puisque c’est comme ça... je fais sortir les grands moyens. »

Un petit sort de magie rose, et Wanda se retrouva avec les seins remplis de lait. Un bon lait tiède et sucré qui allait stimuler la libido de ceux qui le boivent. Elle frotta son téton droit contre la bouche de son amant, où perlait déjà une première goutte de lait.

« Allez Victor... on ouvre grand la bouche et on boit son lait. »

Victor était en état second, peinant à se contrôler, sur le point de craquer. La fausse Susan le mettait très souvent dans cet état, mais jamais aussi rapidement… Le tentacule continuait à pomper sa verge, et Wanda, après avoir reçu le sperme de Susan, se livra avec elle à un long baiser, aussi sensuel que dégoûtant, aussi glauque qu’excitant. Elle joua avec le sperme de la démone, et les deux femmes se frottèrent l’une contre l’autre, dans un long et torride ballet. Victor était comme possédé, absolument fasciné. Il les observait avec appétit, sa verge l’élançant furieusement, douloureusement, puis Wanda se pencha sur lui. Prête à agir, la Sorcière-Rouge se rapprocha du Latvérien, qui soupira en la regardant, les joues rougies.

« Je… W-Wanda… »

Pouvait-il encore lutter ? À ce stade, il avait depuis longtemps perdu. Elle gonfla alors ses seins, et il déglutit doucement en les regardant. Sa queue était dure comme du bois, extrêmement rigide, mais l’orgasme ne venait pas. Sa verge était bloquée, coincée, contrite, et son corps tout entier semblait témoigner du plaisir intense et inouï qu’il recevait en ce moment. Elle gorgea ses seins de lait, et se pencha ensuite, venant l’aveugler, son sein venant frotter son visage, le téton glissant sur ses lèvres.

Victor se laissa faire, et suça donc le sein, absorbant un lait terriblement aphrodisiaque. Un lait chaud, délicieux, savoureux, qui tapa dans sa gorge, inonda ses lèvres. Le lait glissa sur ses dents, et il commença donc à la téter, crispant et décrispant ses poings. Wanda gémissait longuement, et les minutes passèrent. Près d’elle, « Susan » venait caresser les cheveux de Wanda, mais ce ne fut que quand le lait cessa de venir que Wanda se rapprocha, et vit que l’Épouvantard avait changé de forme. Il représentait désormais Wanda. Une autre Sorcière-Rouge se tenait là, et lui sourit donc.

Deux Wanda se faisaient face, et l’Épouvantard embrassa encore la Wanda originelle.

« On dirait bien que tu as réussi, ma chère Wanda… Victor ne pense plus qu’à toi, maintenant. »

Le docteur soupira, tandis que les tentacules le retenant s’éloignaient, et il se redressa alors. N’arrivant même plus à parler, Victor attrapa le second sein de Wanda, et commença à le pomper, tandis que celle-ci se déplaça, et sentit enfin la verge de Victor s’enfoncer en elle, remuant dans sa chatte. Sur le côté, l’Épouvantard caressait d’une main les cheveux de Victor, veillant bien à ce qu’il boive le lait de la Sorcière-Rouge, tout en allant longuement embrasser celle-ci.

« Oh oui, vous êtes si beaux tous les deux… »

Wanda soupirait doucement en sentant Victor aspirer son téton et boire son lait aphrodisiaque. Il avait un peu résisté au début, mais après quelques gorgées, il buvait avec plaisir, et la mutante gémissait doucement tandis qu’elle se faisait vider les mamelles.

« Hhhmmm... oui... c’est bien Victor... régale toi... et ensuite tu pourras te lâcher. »

Près d’elle, Wanda pouvait sentir la main de Susan caresser ses cheveux, probablement heureuse d’observer un tel spectacle. Mais quand le docteur eut fini de vider le sein de la sorcière, elle se tourna vers l’Epouvantard et réalisa qu’il avait changé d’apparence. Désormais il y avait deux Wanda, et l’apparition vint embrasser l’originale pour la féliciter. Désormais, elle était l’objet de toutes les pensées intimes de son amant. Après ça, les tentacules qui retenaient ce dernier se retirèrent, et il fut à nouveau libre de ses mouvements.

« Victor... comment tu te sens ? »

Il ne lui répondit même pas. Il déplaça son corps pour pouvoir venir pomper le second sein de la mutante et enfoncer sa verge dans sa chatte humide, qu’elle accueillit avec plaisir.

« Aaahhh... ooohhh... voilà... ça c’est le Victor que je veux voir. »

A côté d’elle, l’apparition caressait d’une main les cheveux du docteur et embrassait longuement la version originale en complimentant le couple.

« Hhhmmm... et ce n’est qu’un début... crois-moi. »

En effet, Wanda comptait bien faire sauter tous les tabous et les blocages dans l’esprit de Victor pour en faire un amant puissant et imaginatif. Son bref passage au Doom’s Club lui avait montré que la sexualité était un large univers, et elle ne comptait pas s’en tenir à des rapports classiques après avoir goûté au fruit défendu. Mais pour l’instant, elle savourait juste la bouche de son amant contre son sein, et sa trique dans sa chatte. C’était le pied.

Très vite, Victor eut un orgasme, et Wanda sentit sa semence jaillir dans son antre intime. Mais même après cette première décharge, il continua de la baiser. Même après avoir fini de boire le lait de son second sein, il la coucha sur le lit et se mit à la pénétrer énergiquement tout en malaxant sa poitrine rebondie.

« Aaahhh... ooouuuiii... comme ça... ouais... AAAHHH ! »

Après la deuxième éjaculation de son amant en elle, la jeune femme atteignit la jouissance et sa mouille éclaboussa le bassin de l’homme. Cet orgasme la libéra d’un poids, et elle enroula ses jambes autour du corps du docteur.

« Bien... aahh... maintenant que tu es chaud Victor... parle-moi un peu de tes goûts. Hhhmmm... dis-moi ce que moi et l’apparition... pouvons faire pour te satisfaire complètement. »

De toute façon, Wanda n’allait pas le relâcher avant que cette pièce ne s’écroule ou que ses couilles soient complètement vides, selon ce qui arriverait le plus vite.

Victor ne se retenait plus, il ne cherchait plus à se contrôler. Une vague terrifiante l’envahit, un désir inexpugnable qui le traversa de part en part. Il déglutit lentement en retrouvant l’usage de son corps, et pénétra vigoureusement Wanda. Il s’étala sur elle, le corps rempli du délicieux lait aphrodisiaque de la jeune femme, et la pénétra vigoureusement. Il s’étala sur elle, et la pénétra donc, tout en pinçant ses seins, laissant la vague déferler en lui. Une vague de pur plaisir, absolument magnifique, l’envahit. Sa queue remuait fortement en elle, profondément, et il s’unissait longuement à son corps, ne faisant plus qu’un avec elle. C’était Wanda, sa Wanda, et il l’embrassa encore, avant de se relâcher énergiquement. Le Latvérien, au vu de son excitation, offrit une très bonne résistance, mais, dans une telle situation, il ne pouvait pas tenir éternellement. C’était tout simplement trop lui demander !

« Hmmm… »

L’orgasme fut jouissif, libérateur. Un torrent de sperme s’inonda dans la chatte de Wanda. Il s’unit à elle avec un appétit dévorant, grognant sur place, et ralentit ensuite le rythme. Allongé sur elle, le Latvérien l’observa en respirant profondément. Ce double orgasme avait eu le mérite de lui éclaircir les esprits, et il sourit ensuite quand Wanda demanda qu’il laisse parler ses désirs. Il déplaça alors sa main, et caressa brièvement le visage de Wanda, avant de glisser ses doigts sur ses lèvres, et les tripota, s’amusant à enfoncer ensuite un doigt dans sa bouche.

« Oh, Wanda, mais c’est toi qui dois être satisfaite, tu es mon invitée… »

L’Épouvantard changea encore de forme, et prit une apparence plus masculine… Un deuxième Victor venait d’apparaître, aussi nu et bien membré que le premier. Le Victor originel sourit doucement, une lueur perverse se mettant à brûler dans ses yeux, tandis qu’une idée était progressivement en train de germer dans son esprit.

« Je veux te prendre en sandwich, Wanda… Qu’est-ce que tu en dis ? »

Heureuse que Victor se soit enfin lâché avec elle, Wanda frémissait sur place dans l’attente de la suite. Son amant caressa ses lèvres avec ses doigts, enfonçant l’un d’eux dans sa bouche, puis lui répondit que c’était à lui de la combler et pas l’inverse. L’Epouvantard répondit à ses désirs et changea de forme pour devenir un second Victor, aussi nu et bien membré que l’original. Il proposa à son amante de la prendre en sandwich, et elle se mit à sourire.

« J’en dis que c’est une merveilleuse idée. Venez vite vous mettre en place tous les deux. »

Puisque Victor venait de jouir deux fois dans sa chatte, Wanda se mit face à lui pour qu’il puisse lui remplir la bouche avec son chibre, pendant que l’incarnation, elle, se ferait un plaisir de la baiser par derrière. Elle lécha tendrement le gland du sexe de son amant, caressant ses bourses qu’elle devinait encore bien remplies, pendant que dans son dos, elle pouvait sentir les mains de l’Epouvantard sur ses fesses et sa trique frotter contre sa raie. Apparemment, il voulait se faire plaisir avec une sodomie.

« Hhhmmm... allez les garçons... au travail. »

Wanda accueillit avec plaisir les chibres de ses amants dans sa bouche et dans son cul. Victor vint taper à l’entrée de sa gorge dès le début, et l’Epouvantard s’enfonça en elle jusqu’à la garde. Une fois en position, les deux hommes commencèrent à baiser la jeune femme sans retenue, et cette dernière, bien qu’ayant la bouche obstruée, pouvait quand même faire entendre ses couinements étouffés.

« Hhhmmm... Gggmmmppphhh... »

Au moins ses amants savaient ce qu’ils voulaient. Prise en sandwich, la jeune femme se faisait allègrement démonter par les deux Fatalis, lui procurant des sensations délicieuses. Elle espérait que ce premier désir assouvi du docteur serait un premier pas efficace vers une véritable synergie entre eux, afin que ses pouvoirs en soient renforcés, et que son objectif final soit bientôt à sa portée.

Fatalis avait enfin franchi le cap. Il avait cessé de lutter contre ce qu’il pensait vraiment, et était désormais décidé à se laisser aller, et à ne faire plus qu’un avec Wanda. L’Épouvantard avait pris son apparence, et, face aux deux Fatalis, Wanda se laissa peu à peu aller, séduite et tentée par l’idée de coucher avec deux Fatalis. Le Fatalis d’origine s’assit donc sur le lit, et Wanda commença à lécher sa verge. Sa queue durcit rapidement, et un frisson le traversa. Il grogna doucement en se pinçant les lèvres, et déplaça sa main pour caresser ses cheveux, crispant ensuite ses doigts quand elle commença à s’enfoncer, et à gober réellement son membre. Un agréable frisson le traversa, et le dirigeant latvérien soupira doucement. C’était fascinant… On avait beau diriger un pays, maîtriser la magie à un très haut degré, être un individu parfaitement accompli en tout point et infiniment supérieur au commun des mortels, le sexe restait une donnée centrale, fondamentale, qui reliait les gens entre eux, et qui les ramenait tous à un point d’égalité.

Et, tandis que Wanda venait le sucer, dans son dos, le Fatalis cloné se rapprocha, et enfonça sa trique dans son fondement. L’Épouvantard, qui avait longuement observé Fatalis, pouvait le dupliquer à la perfection, et grogna en sentant le cul étroit de Wanda, ses parois anales très serrées. Il banda ses muscles, et n’hésita pas à la gifler, tandis que Fatalis soupirait sur place, laissant Wanda gober son membre. La Sorcière-Rouge s’avérait très douée, exactement comme Fatalis pouvait l’aimer. Ah, quel appétit ! Le Latvérien se faisait plaisir, et sentait le désir croître de nouveau en lui, explosant joyeusement dans sa poitrine.

« Hmmm… Wanda, haaa… »

Ah, quel pied ! Il se sentait délicieusement succomber, et l’observait encore, serrant ses cheveux, s’unissant à elle. Fatalis était plus que jamais proche de cette femme, proche de celle qui allait devenir sa Reine. Elle ne se sentait sûrement encore pas capable d’assumer cette fonction, mais c’était à lui qu’il lui appartiendrait de lui donner de la confiance, et de lui montrer qu’elle était tout simplement la plus à même d’accomplir ce noble destin…

Wanda se sentait tellement heureuse. Non seulement elle avait réussi à pousser Fatalis à se lâcher avec elle, mais en plus elle allait avoir droit à une baise en sandwich en récompense. Tandis que le vrai Fatalis savourait une bonne pipe, l’Epouvantard se faisait plaisir en la sodomisant et en fessant son cul. Le plaisir était immense pour la jeune femme, qui se régalait d’autant plus en sachant que plus elle donnait de plaisir à Fatalis, plus elle parviendrait à unir son esprit avec le sien, et ainsi devenir plus forte.

Qui aurait cru qu’un jour, baiser deviendrait si important pour moi.

Wanda pompait goulument la queue de Fatalis en faisant des bruits humides pour l’exciter encore plus, et elle remuait son bassin au rythme des allées et venues de l’Epouvantard pour qu’il s’enfonce toujours plus profondément en elle. Elle était heureuse d’avoir ces deux belles bites juteuses rien que pour elle, et elle comptait bien en profiter à fond.

Grâce à sa magie rose, la mutant parvint à faire jouir ses amants avant elle. L’apparition dans son dos juta sa semence dans son fondement, puis elle s’éloigna de lui avant de sortir la queue du docteur de sa bouche et de la prendre dans sa main pour la branler vigoureusement jusqu’à l’orgasme. Le sperme lui éclaboussa le visage, et elle se redressa ensuite pour être face à face avec son amant.

« Hhhmmm... tu aimes quand je suis toute sale ? Tu veux me nettoyer ? Ou bien c’est moi qui dois le faire comme une bonne petite cochonne ? »

Wanda était allé trop loin pour se contenter d’une simple baise avec Fatalis. Elle voulait découvrir ses goûts, ses fantasmes, et utiliser ses pouvoirs pour les rendre réels. Que le bon docteur soit amateur de furries, d’infirmières, de blondes à gros seins, de twerk ou de dieu-sait-quoi d’autre, elle lui donnerait ce qu’il voulait pour qu’ils baisent jusqu’à ce que toute trace de frustration disparaisse de l’esprit de l’homme. Ensuite, leur union pourrait réellement commencer.

Le pouvoir de Wanda était terriblement impressionnant, et Fatalis était admiratif. Même ici, dans cette dimension miniature faite de pur désir, elle arrivait à étendre son influence. Ils se rapprochaient intimement à travers le stupre, bien plus que Fatalis aurait pu le croire initialement.  C’était une situation inattendue, et Wanda le surprit en le masturbant. Tandis que le démon de luxure venait de jouir en elle, Wanda masturba frénétiquement Fatalis, qui grogna sur place, avant de relâcher son foutre sur son visage. Il s’abandonna avec appétit, et, en reprenant lentement ses esprits, constata que Wanda jouait avec lui, visiblement très excitée à l’idée de le voir ainsi. Déglutissant silencieusement, Fatalis l’observa, et sourit quand elle demanda s’il la préférait ainsi.

Silencieusement, l’homme se redressa alors, et se rapprocha d’elle. Sa main glissa sur sa joue, caressant ses mèches de cheveux, et il l’embrassa alors, frottant son visage contre le sien.

« Je t’aime comme tu es, Wanda… Sale comme propre. »

Il semblait sincère. C’était un homme très paradoxal, avec de multiples facettes et des lignes de faille. Wanda commençait à observer cela, et Fatalis lui sourit ensuite.

« Essuie-toi avec tes doigts, et laisse-moi les sucer… Tu as dû comprendre que j’étais fétichiste, non ? Quant à ce que je voudrais… »

Fatalis n’enchaîna pas immédiatement, allant plutôt suçoter les doigts de Wanda. Des doigts fins et élégants. Les sentir dans sa bouche était un vrai régal, quelque chose qu’il ne s’expliquait pas vraiment.

« Cela te semble peut-être idiot, mais, avec l’armure que je porte quotidiennement, j’ai comprimé mon sens du toucher… Pour moi, ce que je vis là est une vraie libération. Un délice pour mes sens. »

Que pouvait-il demander de plus ? Il avait bien une petite idée…

« Fais-le moi encore sortir, Wanda… Tu es une sorcière, et je te veux comme femme, comme Reine. Montre-moi la Reine qui sommeille en toi, soumets-moi. »

C’était comme si un autre individu semblait avoir pris possession de Victor, tant l’homme semblait différent de la stature d’homme fort qu’il se donnait en public. Wanda avait-elle réussi à percer sa nature profonde ? En tout cas, il se jetait avec elle sans aucun parachute, comme s’il ne craignait à aucun moment de s’écraser sur le sol.