The Multiversity

Quel plaisir, lui qui n'était pas si tenté par le sexe jusque-là, il avait l'impression de redécouvrir cela grâce à Hikari. Cette femme lui faisait voir cela sous un tout nouvel angle et il adorait ça, il y succombait. Non pas que ses expériences passées étaient fade, mais dans l'ordre de ses priorités, ce n'était pas tout devant. Mais là, rien que par sa présence – ou que tout allait bien dans sa vie plus ou moins – il voyait le sexe gagné des places dans son estime. Et grâce à elle, il allait aller plus loin ? En-tout-cas, elle était d'accord, si belle, nue et fragile entre ses bras, Hikari acceptait cette proposition, elle aussi envieuse de ce dénouement. Il sentait un frisson le parcourir. S'attendait-il a un refus ou qu'elle ne soit pas si emballé que ça ? En tout cas, son délicieux baiser le remotivait, roulant avec elle sur le futon, de sorte à ce qu'elle reste allongée, qu'elle se repose puis, c'était lui, l'homme, non ? Il l'embrassait doucement, mais pas trop longuement en venant ensuite remonté ses lunettes qui glissaient un peu avec l'effort, la sueur.

« Reste allonger et détends-toi... Je m'occupe du reste. »

Il la laissait se retourner avant de la voir ainsi, sur le ventre, imprimant dans son esprit la forme de son corps, les quelques marques ou petit détail qu'il pourrait se trouver sur sa peau comme un grain de beauté ou un tatouage ? Ce serait surprenant sur elle, mais il ne la connaissait pas encore si bien que ça. Mais sa peau était vierge et immaculée, à son image. Il baisa une de ses épaules, venant tenir sa verge pour la diriger, son gland caressant sa peau douce, trouvant le petit trou secret, il fallait à présent forcer l'entrée.

« Prête ? J’arrive doucement. »

Tenant sa queue en forçant, il y allait doucement en elle jusqu'à enfin être entièrement dans son étroit petit cul. Un nouveau baiser sur son cou cette fois, puis, il était prêt à y aller plus fort même s'il comptait y aller progressivement. Toujours cette peur d'aller trop vite.

« Mmmh, n'hésite pas à me dire... pour le rythme, mais... écartes tes cuisses... Je veux pleinement pouvoir te prendre, ma petite chienne. »

Penché sur elle, ses avant-bras posé sur le futon, il la dominait par sa taille et sa carrure, sans être minuscule comparé à lui, elle était dans la moyenne Japonaise, lui, un peu au-dessus. Gardant son visage près du sien, limite à la frôler au moins mouvement, il y allait normalement, ni trop vite, ni trop lentement. Il avait hâte de sentir ses couilles se balancer pour mieux se vider en elle. Mais, justement, il ne faudrait pas qu'il se vide trop rapidement. Il n'osait pas aller trop loin dans les insultes et dans le reste, car il faisait ses premiers pas dans cet univers, il n'était pas un grand connaisseur de tout cela. Est-ce qu'il risquait d'aller trop loin ou au contraire, d'être trop gentil ? Il va falloir qu'il étudie le sujet, Hikari se fera sûrement une joie de lui apprendre des nouvelles choses.

Hikari soupira doucement en sentant Hirotaka se redresser derrière elle. Il l’amena à s’étaler lentement sur le futon, et elle le fit. Ses jambes s’étirèrent, et elle soupira en le sentant prendre son temps. Oh, comme elle aimait ces moments ! Ces moments de silence, ces interludes où chacun prenait son temps. Elle tremblait doucement d’excitation, se mordillant les lèvres, sentant les mains d’Hirotaka-chan glisser sur sa peau, sa verge heurtant ses fesses. Il la coucha doucement, et elle croisa ses bras devant elle, les utilisant pour reposer sa tête. Dans un coin de celle-ci, elle se demandait à quoi celui-ci ressemblerait en étant travesti en fille… Cette idée revint en elle, et elle se pinça les lèvres, retenant un gloussement, avant de frémir quand elle sentit son membre remuer contre sa croupe. Elle soupira lentement, et le sentit s’activer contre elle, son souffle rauque remuant dans le creux de son cou.

« Hi-Hirotaka-chan… »

Elle gémit alors, et le sentit venir en elle. Il y allait lentement, et grogna doucement. Son fondement était tout de même bien serré, et son amant s’y enfonçait lentement, en grognant, en soupirant, se tortillant longuement. Hikari gémit à nouveau, et remua encore, sentant Hirotaka se retirer encore, nerveux. Il avait sans doute besoin qu’elle l’encourage. Ses mains s’étaient crispées sur le futon, et elle lui parla donc, pour l’encourager, pour le motiver :

« En-Encore… P-Plus fort, Hi-Hirotaka-chaan… ! »

Hikari l’avait soupiré, et elle continuait à se tortiller sur place, savourant les coups de reins de Hirotaka, qui allaient progressivement s’accentuer, et ce pour son plus grand bonheur…

Leur soirée continuait de plus belle, Hirotaka faisait face à cette jeune femme au charme simple, diraient certains, mais pour lui, elle était de loin la plus belle femme avec qui il avait couché. Même si le nombre de ses partenaires était assez court, à ses yeux, plus le temps passait à ses côtés et plus il serait difficile pour une autre femme de détrôner la demoiselle tant cette dernière avait de l'importance à ses yeux. Oh ça oui. Son fondement offert, il avait que peu d'hésitation devant lui, il allait en profiter et se faire plaisir, ainsi qu'à elle, il n'était pas le seul à prendre son pied après tout. Son étroit petit cul était doucement envahi, il serrait les dents en progressant doucement, ne voulant pas aller trop vite pour s’enserrer, il se doutait bien qu'après, il allait devoir être un peu plus rentre-dedans par contre. Une fois qu'il approchait du bout, elle l'encourageait à sa façon, terminant de s'insérer de façon un peu plus sec, mais, voilà une bonne chose de faites !

« Ha ! … Pardon, mais maintenant... on va pouvoir... commencer... »

Mains sur ses hanches, il commençait doucement, tâtant le terrain en quelques sortes avant de grimper doucement les vitesses, sans être trop rapide pour le moment, mais sans se traîner. Sa respiration s’essoufflait doucement tandis qu'il tentait de tenir le coup. Par moments, il tentait de donner quelques coups de reins plus fort, histoire de bien se faire ressentir quand même. Toujours donner une petite claque, il fallait bien changer un peu de disque.

« Haaaf ! Que t'es belle... comme ça ! »

Il ne la voyait que de dos, en partie allongé, mais peu importe, il la trouvait toujours plus belle que n'importe qui à ce jour. Il sentait quelques gouttes de sueur perler ici et là sur son corps, mais rien ne le fatiguait vraiment, il voulait continuer et attendre que son corps craque, pas lui. C'était la fatigue qui allait le plonger dans le sommeil et personne d'autre.

Elle le sentait venir en elle, énergique, puissant, si fort ! Oh, oui, qu’il était fort ! Son corps remuait en elle, et il la sodomisait avec passion, amplifiant petit à petit le rythme. Tremblant nerveusement, Hikari sentait sa solide verge s’enfoncer dans son fondement, dilatant ses parois anales. Il se glissait de plus en plus facilement en elle, et Hirotaka-chan était très énergique. Il ne faisait aucun doute que la tisane d’Alice avait renforcé leur endurance sexuelle, mais, même avec cet élément en tête, il fallait aussi compter sur leur désir mutuel, qui devait agir comme un amplificateur. Enfin, Hikari n’en savait rien, mais elle aimait l’idée. En son for intérieur, elle savait que rien ne serait plus comme avant après cette nuit… Rien ! Hikari se dandinait sur place, réduite au statut magnifique de poupée de chair, réduite à recevoir le plaisir de son amant, à partager sa fougue, à l’entretenir. Oh, quelle énergie !

« Hi-Hirotaka-chaaaann… !! »

Hikari l’entendait dire combien elle était belle. Si elle avait été une petite chatte, elle en aurait ronronné ! Mais, à défaut, se faire baiser, ça lui allait tout aussi bien ! Elle aimait ça, elle aimait ce contact, elle aimait ce membre massif niché en elle, qui enflait, qui grossissait, qui durcissait, qui la malmenait avec délectation. Un plaisir inouï et jouissif qui l’envahissait, comme une marée qui envahissait son lac jusqu’à en faire déborder les rivages. La douleur devenait le moteur d’un plaisir unique, qui dépassait même la douleur, ou le plaisir, formant un mélange des deux, une fusion qui emportait avec délice tout son corps. Belle comme ça, elle ? Sûrement ! Il ne la voyait pourtant que de dos ! Sa grosse verge s’enfonçait profondément en elle, provoquant des sensations exquises, éruptives ! Hikari avait conscience qu’elle mouillait, ses longs cheveux en bataille et en sueur glissant sur son dos.

Son corps remuait d’avant en arrière, subissant avec délice les coups de reins de son amant… Encore, encore, jusqu’à l’orgasme, libérateur, jouissif, voilà tout ce que son être réclamait, tout ce que sa chair implorait !

Hirotaka était toujours en pleine action, avec Hikari, plus rien ne comptait autour de lui, même si demain pouvait être éprouvant avec peu de sommeil, ce n'était pas important, car il comptait profiter d'elle au maximum, voir qui des deux allaient agiter le drapeau blanc en premier. Il la tenait par les hanches et continuait de la prendre, chaque son qui sortait de sa bouche était du miel pour lui, le forçant à continuer et à tout donner pour elle. Même s'il ne la voyait que de dos, elle était bien la plus belle femme qu'il ait rencontrée et coucher avec. Pourquoi regarder les soi-disant tops modèles siliconés et sur-maquillés venue des autres pays ? Le Japon restait simple dans sa beauté et il en avait la preuve sous les yeux, Hikari était si belle. Impossible – ou très très difficile – de lui faire dire le contraire. Si jamais il trouvait une personne qui égalait sa beauté, déjà, ce serait fort, mais que sa collègue ? Autant espérer voir une baleine à bosse voler avec des ailes dans le ciel, ça semblait plus probable à ses yeux.

« Haa ! Hikari, je sens... que ça vient ! »

Pas immédiatement, mais il s'en rapprochait et comme la mèche était allumée, prête à exploser, il augmentait la dose, d'abord rapidement avant d'opter plutôt pour ses coups plus lent, mais plus fort, tout en maintenant bien la jeune femme contre lui. Ce n'était qu'une fois en train de jouir, qu'il se penchait sur elle, venant cueillir un baiser sur ses lèvres, profitant de sa grande taille pour rendre cela possible et l'embrasser, même du bout des lèvres. Doucement, il l'écrasait de son poids, la forçant à s'allonger, évitant de couper leur baiser. Petit à petit, il la fit changer de position, l'installant sur le côté, comme lui, sa main caressait sa silhouette, la douceur s'installait et était la bienvenue. Il fallait bien qu'il reprenne un peu de force entre deux orgasmes, mais il comptait bien reprendre, en ayant un peu plus accès à ses lèvres.

« Hikari, c'était si bon de te prendre par-derrière... Mais ne pas voir ton visage, ça m'a manqué. Est-ce que... Tu pourrais supporter cette position ? »

Allongé sur le côté, il comptait relever une de ses cuisses pour avoir un meilleur accès à son intimité pour mieux lui faire l'amour et de nouveau lui remplir l'utérus. Elle avait un petit cul très savoureux, et une bouche des plus savoureuses, mais il préférait remplir son intimité. Chacun ses trucs. Baisant la commissure de ses lèvres, Hirotaka était amoureux, qu'il s'en rende compte ou non.

« Tu es devenue ma drogue, Hikari-chan... Jamais aucune femme ne m'avait à ce point envoûté. »

Si ça continue ainsi, le retour à la maison allait être très différent de d'habitude, tant chez eux qu'au travail ! D'imaginer coucher avec elle, dans un de ses tailleurs, ouh, ça lui redonnait de l’énergie ! Doucement, sa verge reprenait son souffle, se redressant peu à peu et quand elle touchera la jeune femme, ce sera le signal pour recommencer.

Ce qui se passait ne pouvait pas s’imputer qu’au stimulant d’Alice… Oh non ! Cela n’avait été qu’un révélateur, une secousse finale permettant de débloquer quelque chose chez eux deux. Hikari se tortillait sur place en sentant Hirotaka dans son dos, mais celui-ci finit par lui dire que ça ne lui convenait plus, qu’il en voulait plus… Qu’il voulait la voir, elle !

« Oh, Hirotaka-chaan… »

Elle soupira doucement, et sentit l’homme se retirer d’elle.  Respirant lourdement, il la coucha sur le flanc, et, naturellement, elle le laissa faire. Hikari n’avait aucune raison de le repousser, bien au contraire. Elle frémit en sentant sa main soulever sa jambe, et les deux amants s’embrassèrent, la main d’Hikari partant en arrière pour soutenir la tête de l’homme. Il la pénétra dans la foulée, et elle frémit sur place, bandant ses muscles en sentant la verge d’Hirotaka-chan s’enfoncer dans ses lèvres intimes trempées. Il délaissa ses fesses pour revenir à un autre angle d’attaque.

« Haaaa… Hmmm… Haaaann… »

Hikari était bien incapable de dire quand elle s’épuiserait. Elle sentait en elle un feu qui brûlait, une vague qui refusait de se consumer. Envie, elle en avait encore envie ! Elle rougit encore quand il lui indiqua qu’elle était sa drogue, haletant contre elle. Sa verge ne semblait en effet pas devoir dégonfler, et le corps d’Hikari remuait d’avant en arrière, sautillant sur sa queue. Elle haletait, couinait, gémissait, continuant à se faire prendre avec passion. Hikari soupirait longuement.

« Je… Je t’aime, Hirotaka-chan… Remplis-moi, hummm... Mon corps t’appartient, haaa… ! »

Pouvait-on faire plus clair ? Les deux amants étaient partis pour une longue nuit. Il continuait à la prendre sur le flanc, une main sur sa jambe, et son autre main alla presser l’un de ses seins, le palpant avec envie. Hikari gémissait contre lui, tout excitée, remuant longuement en sentant les coups de rein d’Hirotaka s’accentuer, et en sentant sa verge en elle… Oh, c’était si bon ! L’idée de le sentir en elle, de sentir ce membre qui continuait à danser dans son corps… La belle en mouillait joyeusement, espérant que cette séance ne se terminerait jamais. Elle nageait en effet dans un bonheur sans fin dont elle espérait bien ne jamais sortir !

Peut-être qu'elle ne s'en rendait pas compte, victime de son propre succès, mais pour Hirotaka, un jeune homme qui n'avait été trop attiré par la gent féminine – encore moins masculine – qu'elle puisse le mettre dans un tel état d'excitation, c'était hors du commun ! Ce n'était plus être sur le haut du panier, elle était en haut de l'arbre ! Actuellement, à ses yeux, aucune femme au monde ne pouvait prétendre rivaliser avec sa beauté pour lui. Miss Japon, Miss Univers, du pipi de chat oui ! Aucune femme ne pouvait lui arriver à la cheville ! Oh allez, soyons gentils, certaines pouvaient frôler cette perfection qu'était Hikari, mais personne n'y arriverais. Elle était belle en kimono, elle était belle dans son tailleur de professeur, il était sûr et certain que même au naturel elle était belle. Que ce soit en pyjama, pour aller faire ses courses ou même pour juste traîner les pieds à la maison, elle serait belle en toute circonstance. Même au réveil, en tout lieu, en tout temps, personne ne pourrait la rattraper.

Dans cette position, il était plus simple de l'embrasser que par-derrière, sa verge logeait entre ses cuisses, tout était parfait, quand bien même il maintenait l'une de ses jambes relevées. Cette femme lui donnait tant d'envie, c'est sûr qu'à présent, sa vie ne sera plus jamais la même. Si depuis leur rapprochement dans le train, il entrevoyait une suite un peu différente, là, il n'y avait plus aucun doute, la jeune femme faisait partie de sa vie. Sa simple existence bouleversait tant de choses...

« Mmhhph, je t'aime aussi, Hikari-chan... haaaa... Je veux te faire l'amour... Demain... Et encore après, hmmm, puis après... »

Sa drogue, ce n'était pas la plus belle des déclarations, mais elle avait le mérite d'être vrai. Puis il passait de temps en elle, avec elle, puis il en voulait tant, il se sentait bien. Rien du monde extérieur ne saurait le déranger, rien n'avait plus la moindre importance. Sa main palpait son sein, savourant la douceur de ce dernier, deux de ses doigts venaient parfois titiller son petit bout de sein, le pinçant, sans trop insister, de quoi lui envoyer éventuellement quelques décharges de plaisir ? Elle aimait bien le sentir claquer son cul, mais peut-être était-elle plus sensible à ce niveau ? Peu importe, il en profitait pour lui voler un nouveau baiser, même si leurs lunettes se gênaient un peu, pour lui, c'étaient ses yeux, sans ça, il verrait que du floue, pour elle, que ce soit pareille ou juste corriger un tantinet sa vue, elle restait plus belle à ses yeux ainsi. Dire qu'il avait un faible pour les femmes à lunettes ? Oh oui, sûrement. Il a pas eu beaucoup de petites amies dans sa vie, mais toutes avaient des lunettes. Mais bon, vu que cela se comptait sur les doigts d'une main, ça devait manquer de nombre de partenaires pour rendre cela plus crédible ?

« Mmmmh, je sens que j'approche... Je vais encore te remplir, ma Hikari-chan... Tu le veux bien ? »

Il devait se montrer dominant, mais il ne pouvait s'empêcher de penser à elle avant tout. Elle était si importante à ses yeux.

Leurs lunettes se heurtèrent à nouveau quand il l’embrassa. Un délicat cliquetis qui accompagnait le son répété et intense de la chair qui claquait contre la chair, des soupirs et des grognements. Hikari le sentait en elle, encore et encore, décrivant les mêmes mouvements passionnés, assoiffés et profonds. Il ne lui épargnait rien, il la baisait au contraire avec une force incroyable, une énergie renouvelée. La tisane d’Alice les aidait, mais la passion était le véritable moteur de leur désir mutuel. Hikari serrait d’une main moite les cheveux de Hirotaka, répondant à chacun de ses baisers. Elle soupirait longuement en le sentant en elle. Couché sur elle, sur le flanc, il avait opté pour une posture intense, et elle remuait d’avant en arrière, l’accompagnant autant que possible.

« Haaaa… Hi-Hirotaka-chaaaann… »

Il lui affirma qu’il comptait désormais la baiser chaque soir, et cela ne pouvait que l’exciter. Elle déglutit, en serrant sa main sur ses cheveux. Elle avait envoyé pour cela sa main en arrière, appuyant dessus, sur son cuir chevelu.

« O-Ouuui, je veux te sentir en moi, chaque soir, haaaa… Que tu me baises t-tous les jours, hmmm… »

Mine de rien, elle avait du retard à rattraper dans ce domaine ! Quand on voyait ce que les élèves du lycée Jinmu faisaient déjà, il y avait de quoi avoir des complexes ! Hirotaka-chan soupirait derrière elle, des soupirs de plus en plus rauques, de plus en plus profonds. Il approchait avec délice du point de rupture. Il lui indiqua qu’il allait la remplir, et elle soupira, mouillant elle aussi fortemen,t :

« O-Ouuuii… Vi-Vide-toi en moi, Hirotaka-chan ! REMPLIS-MOI !! »

Comment aller contre un tel vœu ? Il soupira en se vidant, et elle jouit également, poussant un long gémissement. Yeux clos, elle le griffa en relâchant prise, et sentit la vague l’emporter. Oh ! Oh ! Une jouissance magnifique, une vague qui l’envahit. Elle s’abandonna à ce plaisir ultime, et retomba sur le ventre quand elle sentit la vague partir, plus heureuse que jamais… Et surtout incroyablement détendue et sereine !

Il y a des choses contre lesquelles on ne pouvait pas lutter, et en ce moment, c'était son attirance pour Hikari. La jeune femme était la plus parfaite des femmes, en tout point – qui lui connaissait pour le moment – et ça, même si l'amour en était la cause, personne ne pourrait lui prouver le contraire. Après tout, la beauté, c'est chacun son avis, difficile de dire à l'unanimité que cette femme ou homme était la personne parfaite, physiquement, et que toute la population mondiale était d'accord avec ça. Certains aimaient les femmes grandes ou petites, âgée ou jeune, asiatique ou plus exotique, tant de goût différent qui rendait cela impossible, mais à ses yeux... Hikari Harigato était la femme de sa vie. Japonaise, un âge similaire au sien, cultivée, intelligente, parfaite, tout simplement. Elle devait avoir quelques défauts, comme tout le monde, mais à moins que ce ne soit d'arracher des entrailles d'animaux à main nue, il ne voit pas comment il pourrait être dégoutté pour si peu. Sa peau contre la sienne dans l'effort, il se sentait approché de l'orgasme à ses côtés, encore et il comptait bien faire en sorte de tenir parole, de lui faire l'amour chaque soir, chaque jour si possible. Il était loin d'imaginer ça encore ce matin, maintenant, de nouvelles idées et envie naissait en lui.

Celle de s'isoler dans un coin avec elle pour se soulager ensemble ou juste faire passer ses envies quand il serait égoïste ou les siennes quand il accepterait de l'aider, bref, son quotidien bien rangé risquait d'être un peu plus désordonné avec elle sur son planning maintenant, mais c'était un changement qu'il était prêt à accepter. Succombant à ses désirs, il se vidait à nouveau en elle, remplissant sa petite chatte de son nectar d'amour, il se serrait à elle, son nez dans sa chevelure. Même là, malgré l'effort, elle sentait bon. Le temps pour sa verge de cracher le tout, avant de se détendre quelques instants, laissant le calme reprendre le dessus, à peine gêner par leur respiration. Relâchant la pression, il n’ôtait pas les mains autour de son corps, il profitait juste un peu plus de cette récompense en s'approchant un peu plus d'elle. Ses mains se baladaient un peu au hasard sur son corps, elle était douce partout. Le ventre, la poitrine, les cuisses, peu importe, la douceur était sa peau.

« Est-ce que tu en as encore envie ? Si tu penses que tu en as assez donné, je saurai me dire stop. »

Il n'en avait pas envie, mais il n'irait pas contre ses envies, sinon, c'est illégal. Légèrement redressé, il baisait son épaule, caressant sa hanche en observant son magnifique corps, elle était si parfaite, il n'avait pas fini de le dire tant la vérité lui crevait les yeux.

« Si jamais tu veux te reposer un peu, je peux m'occuper de toi, avant tout. »

Dans un côté très soft, la masser ou juste l'embrasser, sinon, il pouvait embrasser certaines parties de son corps ou trouver quelques zones érogènes ? Chez certaines personnes, c'était des endroits très surprenants parfois.

Hikari soupirait doucement, reprenant peu à peu ses esprits. Hirotaka venait de jouir en elle, et elle avait également contracté un orgasme. Elle reprenait ses esprits, et lui restait dans son dos, reprenant également ses esprits. Il embrassait doucement ses épaules, restant près d’elle. Hikari, bien sûr, savait qu’Alice les avait drogués… Mais, curieusement, elle ne se sentait pas chargée, ou sous l’effet d’un quelconque hallucinogène. Non, au lieu de ça, elle se sentait étrangement apaisée. Plusieurs mèches de cheveux rebelles s’étaient abattus sur son visage, alors elle les écarta d’un revers de la main. Elle lui sourit ensuite quand il lui demanda ce qu’ils allaient faire.

« C’est plutôt à toi de voir si tu es encore capable de faire plus, Hirotaka-chan. »

Hikari caressa sa joue, et elle l’embrassa tendrement.

« Je compte te faire l’amour chaque soir pendant ce séjour, Hirotaka-chan… Mais mon dos n’est pas en acier. »

Mine de rien, ils avaient fait l’amour à même sur le sol, sur un léger matelas. Hikari se pinça les lèvres, et se releva alors. Elle étira ses membres. La chambre comprenait une salle de bains, et elle se dirigea vers la porte.

« J’ai besoin de me nettoyer, je vais prendre une douche… Je te laisse décider si tu m’accompagnes ou non. »

Hikari lui sourit malicieusement, et déposa ses lunettes sur le plan de la cuisine, à côté de la porte menant à la salle de bains. Elle entra à l’intérieur, fila dans la cabine de douche. Si elle ferma la porte de la cabine, elle laissa la porte ouverte, et enclencha la douche. L’eau chaude lui fit du bien, et elle se mit à frémir doucement. La cabine n’était pas très grande, alors, si Hirotaka entrait, ils allaient devoir se serrer l’un à l’autre…

Ils en étaient à combien ? Hirotaka avait perdu le compte, la seule chose qui lui importait, c'était de prendre son pied avec Hikari qui, elle aussi, voulait vivre ça, chaque soir. Une demande qui l'étonnait à peine, mais cela ne lui déplaisait pas pour autant. Sa main caressait ses courbes tandis que la belle se retournait pour venir l'embrasser en mentionnant ne pas avoir un dos en acier, signe qu'il devait y aller plus doucement ou alors, dans une autre position. C'est noté. La belle se dégageait, voulant prendre une douche en l'invitant, s'il le voulait bien. Évidemment qu'il le voudrait ! Mais le hic étant qu'il allait devoir y aller sans ses lunettes et sans ça, c'était une vraie taupe. Il approchait donc de la salle de bain, retirant ses lunettes pour les mettre sur le bord du lavabo et soudainement, il grimaçait un peu, plissant les yeux pour repérer une forme. Au moins, là, il savait que la seule personne à portée de main était Hikari. Doucement et à tâtons, il arrivait dans la douche, sa main glissant sur la peau humide de sa jolie partenaire. L'une de ses mains remontait, mais c'était uniquement pour être sûr de son visage, même s'il voyait quand même la forme, faut savoir s'il était devant ou derrière elle. Il n'allait pas rouler une pelle à ses cheveux non plus, il n'avait pas ce fantasme.

« Excuse-moi, sans mes lunettes, je suis perdu, mais.. Laisse-moi te faire du bien pendant ce temps-là. »

Pas son plaisir... Pas en priorité du moins, mais celui de la jeune femme plutôt. Ses mains passaient sur sa peau, il pouvait la laver même s'il devait se fier à ce qu'il avait sous les mains pour ça. Mieux vaut qu'il lui laisse le visage, c'était plus sûr, après, il pouvait se concentrer sur les autres surfaces en attendant.

« Et si ce n'est pas assez, je te masserai juste après, d'accord ? »

Il serait aux petits soins pour elle, bien entendu. C'est juste dommage qu'il ne voyait pas clairement ce qu'il faisait, ni même son merveilleux sourire. Enfin, il en profiteras après.

Hikari avait sciemment laissé la porte de la salle de bains ouverte. L’eau s’écoulait, et elle sourit en entendant les bruits de pas de Hirotaka-chan. Il ouvrit la porte de la cabine de douche, et elle frissonna en le sentant dans son dos, ainsi que ses mains sur ses épaules. Il lui avoua qu’il avait du mal à voir, et Hikari sourit en se retournant vers lui. Elle posa ses deux mains sur son torse, remontant jusqu’à ses joues, et sourit en se rapprochant de lui. Ses seins heurtèrent son torse, et elle se mordilla les lèvres.

« Donc, toi, tu es hypermétrope… Moi, je suis très myope. Pour te voir distinctement, il faut que je me rapproche, encore et encore… Comme ça… »

Elle se hissa sur la pointe des pieds, enlaçant Hirotaka, puis elle l’embrassa avec appétit. Elle se plaqua contre lui, et sentit avec délice les mains de son amant caresser son dos, glisser sur ses hanches, puis aller vers le bas de son dos. Hikari frissonna lentement en s’appuyant contre Hirotaka, et poursuivit le baiser pendant quelques secondes. Elle rompit ensuite le contact, et lui sourit, avant de sentir une tension pousser contre ses cuisses. Elle s’en mordilla doucement les lèvres, ses yeux pétillant de plaisir, puis s’écarta un peu.

« Pour être honnête… En prenant cette douche avec toi, je ne souhaite pas juste que tu me masses… Laisse-moi te montrer. »

Hikari fléchit les genoux, et Hirotaka se recula, ses fesses heurtant la porte de la cabine de douche. Elle caressa son sexe avec sa main, et sentit l’appareil génital du professeur durcir contre ses doigts, gonflant et s’étirant avec délice. Hikari s’en humecta les lèvres, puis donna plusieurs baisers dessus. Elle sourit encore, et approcha ses lèvres, optant pour une prise plus sérieuse, et commença à le sucer. Hikari s’appuya dessus, et enfonça son membre entre ses lèvres, optant pour une belle fellation… De quoi sortir Hirotaka de sa torpeur, et lui faire comprendre que Hikari avait encore soif de chair… Et qu’elle avait encore envie qu’ils fassent l’amour !

On n'y pouvait pas grand-chose, sa vue, c'était son point faible, sans ses lunettes, le monde n'était qu'un amas de couleur floue qui remuait devant lui. Avec le temps, il apprendra sûrement à reconnaître Hikari dans tout ce floue, même sans ses lunettes, mais pour le moment, c'était assez simple à deviner, étant donné qu'elle était la seule. Mais on ne peut pas dire qu'il puisse profiter de sa beauté, il savait que c'était elle, mais... Il ne voyait pas des masses. La demoiselle était moins handicapée sans ses lunettes, même si cela semblait être une excuse pour lui voler un baiser, mais à ce propos, il n'allait pas s'en plaindre. Hirotaka profitait de la douceur des lèvres sur les siennes, tout comme le reste de son corps se pressait contre lui. C'était agréable et tendre, même sans poser la main dessus, il sentait les formes de sa peau sur la sienne. Et surtout, la jeune femme venait en profiter pour lui offrir quelque chose, qui lui faisait dire que c'était encore plus dommage de ne pas avoir ses lunettes pour voir ça. Au moins, il le ressentait.

Les lèvres de sa collègue venaient de poser entre ses jambes, jouant avec sa verge pour ensuite commencer une fellation. C'était des plus agréables, il se tenait à la porte de la cabine et laissait tout le loisir à Hikari de faire cela à son rythme. C'est qu'il avait peur de poser ses mains sur sa tête et la déranger ou autres, lui offrir ça, c'était déjà beaucoup pour lui, alors il n'allait pas casser l'ambiance. Il se contentait de gémir doucement et surtout de profiter de cette chance même si du bout des doigts, il cherchait à lui caresser un minimum les cheveux. Ça ne devrait pas trop la déranger à ce niveau, non ?

Hirotaka-chan se montra plus effacé, plus nerveux. De toute évidence, l’aphrodisiaque d’Alice commençait à s’estomper, ce qui expliquait sans doute les réactions plus timorées de son amant. En relevant la tête, Hikari pouvait cependant voir qu’il appréciait ce qu’il subissait. Elle soupira donc, et continua son office. Elle le suçait avec appétit, notant sa soif, percevant ce désir qui s’exprimait en lui. Sa main se déplaça nerveusement pour titiller ses cheveux, et elle sentit qu’il s’était fermé, que ce n’était plus ce Hirotaka passionné et sauvage qui l’avait besogné à même le sol. Peut-être que l’orgasme avait purgé de la douce drogue d’Alice ? Hikari se disait déjà qu’elle allait devoir en redemander à la blonde, afin de pouvoir l’utiliser à nouveau… Puis elle se dit qu’elle était sûrement capable d’en faire autant ! Elle avait envie que Hirotaka attrapa ses cheveux, qu’il se cramponne dessus, qu’il remue sa verge en l’insultant de bonne petite chienne ! Mais il ne faisait rien de tout ça, craignant sans doute de la choquer, de la faire paniquer.

*Il va falloir que je le motive, alors…*

Pour cela, Hikari avait quelques techniques infaillibles. Des méthodes qu’elle ne pensait jamais devoir utiliser un jour avec Hirotaka… Elle se hissa donc un peu, et déplaça ses mains. Elle continuait à le sucer, enfonçant sa verge en elle. Ses lèvres se refermaient sur son appareil génital, sur cette queue trempée et durcie, et elle refusait de la laisser partir. Aucun coup de dents, mais elle utilisait sa langue à bon escient, et surtout ses lèvres, essayant ainsi de coincer ce membre, ou de l’enfoncer le plus profondément possible en elle. Mais ce n’était pas tant à sa bouche mutine qu’il allait falloir attention qu’à ses mains ! Elle les remonta en effet sur le corps d’Hirotaka, et les posa sur ses fesses. Hikari se mit à les malaxer, appuyant dessus, et elle sentit le corps de son amant frémir.

« Hmmm… »

Plus audacieuse, elle déplaça sa main, et en utilisa une pour tirer sur la fesse de Hirotaka-chan, dévoilant ainsi sa croupe… Et Hikari enfonça un doigt dans son fondement. Elle sentit alors la main de Hirotaka se crisper sur ses cheveux, et elle gémit doucement, se sentant un peu plus excitée, puis remua son doigt, prête à en enfoncer par la suite un second…

Dans la douche, l'ambiance était moins chaude que dans la chambre. Ce n'est pas que la drogue faisait plus effet – peut-être un peu moins – mais c'est juste que sans ses lunettes, il ne voyait pas grand-chose. Il pouvait avoir la plus belle femme du monde – en l’occurrence Hikari – ou un mec, il n'en avait aucune idée, il ne voyait qu'une forme floue donc... il y a mieux pour se sentir excité. Ce n'était donc pas la drogue ou Hikari qui posait un souci, mais l'endroit. Sans lunette, c'était une véritable taupe ! La demoiselle faisait donc son possible tandis que lui, arrivait à toucher ses cheveux, ne voulant pas trop la gêner surtout que bon, il ne voyait rien pour ainsi dire. Mais concernant sa collègue, elle en voulait plus et si elle se montrait gourmande, elle n'allait pas tarder à lui faire quelque chose d’inattendu. Car quand il sentit la demoiselle s'introduire en lui, il se redressa, tout comme sa verge, surpris par cela ! Il venait même à en grimacer, mais plus par surprise que pour autre chose car... Soyons franc, ce n'était pas si mauvais ?

« Hi-Hikari... »

C'était une sensation étrange mais pas désagréable, c'était surprenant, ça oui, mais dire qu'il a détesté... Peut-être vu qu'il ne voyait rien, mais c'était une chose a retenter, dans de meilleures circonstances.

« C'est... un peu bizarre comme... Je... je vois rien mais... on... pourra retenter, quand je verrais, ok ? »

Faire ça à l'aveuglette, ce n'était clairement pas son délire, mais si Hikari retente quand il aura ses yeux sur le nez, pourquoi pas ? Qui sait, ça pourrait amener a essayer d'autres choses ? Même si dans l'idée, il était très classique, il vient bien d'avoir l'expérience que, tenter de nouvelles choses, ça pouvait être.

« Promis... après, je serais plus participatif... Hikari-chan. »

Hikari ne put que froncer les sourcils quand Hirotaka lui signala que, comme il ne voyait rien, ils devraient sans doute remettre à plus tard ce moment. Elle posa alors son doigt sur ses lèvres, lui intimant le silence.

« Hirotaka-chan, laisse-moi te donner un bon conseil de séduction… »

Elle se rapprocha de lui. Ses seins heurtèrent son torse. Il était myope comme une taupe, alors elle devait bien se rapprocher pour qu’il puisse distinguer sa silhouette, ses formes, ses longs cheveux mouillés qui tombaient en cascade sur son dos, et surtout cette lueur d’assurance et de désir qui brûlait dans ses yeux. Sa main ne tremblait pas, et, si c’était à elle de tenir la culotte dans ce couple, elle assumerait ce rôle ! Elle sentait l’érection d’Hirotaka, elle sentait sa verge tendue, elle sentait le désir qui bouillonnait en lui, sur le point d’exploser. Oui, une telle vague, et elle devrait aller prendre une tisane, et au lit ? Et puis quoi encore ?! Elle embrassa Hirotaka sur les lèvres, un baiser rapide et vorace, où elle mordilla la lèvre inférieure de Hirotaka, la coinçant entre ses dents. Ce faisant, Hikari tira doucement dessus, afin de lui arracher une pointe de douleur.

Rompant le contact, elle finit alors ce qu’elle avait à dire :

« …Quand une femme en chaleur t’invite à prendre une douche avec elle, tu ne la rejettes pas ! »

Elle l’enlaça alors, et l’embrassa encore, l’empêchant de répondre, et sautilla sur lui. Elle enroula ses jambes autour de son bassin, et le sentit soupirer. Hikari conserva ensuite son appui, et relâcha l’une de ses mains, qu’elle glissa derrière son dos. Elle attrapa la verge trempée de l’homme, et s’en servit ensuite.

« Shhhttt, tu n’as pas besoin de voir, contente-toi de ressentir… Fourre ta tête contre mes nichons, petit pervers… ♥ Laisse Hikari-sensei te guider… »

Avec sa main, elle orienta sa verge… Et s’empala dessus en soupirant, tout en serrant la tête de Hirotaka avec son autre main, l’amenant contre ses seins.

« Tu ne t’en tireras pas si facilement, mon chéri… Quand on allume un feu, il faut l’éteindre… ! »

C'est sûr que ça, ça pouvait être un problème, mais sans ses lunettes, le pauvre ne voyait pas le bout de son nez. En d'autres circonstances, ça pourrait être plus grave, mais là, c'était le fait de prendre une douche à deux. En soit, seul, il savait se débrouiller pour se laver et donc, ça allait. Mais sans ses yeux, et avec une autre personne, il craignait le pire en cas d'accident ! Mais Hikari était là pour veiller à leur sécurité et la demoiselle, très entreprenante ne comptait pas quitter cet endroit si facilement. En soit, il pouvait porter ses lunettes sous la douche, mais tout le monde sait que ça peut facilement déranger d'avoir autant d'eau sur ses verres. Elle se collait à lui, il ne pouvait voir qu'avec son corps et cela restait agréable bien que la voir, vraiment, ce serait bien mieux, mais il n'allait pas faire le difficile pour quelques minutes. Les mains douces et expertes de sa belle parcouraient certains endroits de son corps tandis qu'elle semblait d'un appétit mordant... Ce qui n'était pas pour lui déplaire, mais c'était étrange. Les premières fois, ça l'est souvent après tout.

Très entreprenante, il ne pouvait que subir, quand elle lui grimpait dessus, cherchant à s'empaler sur lui, pendant qu'elle collait sa poitrine sur son visage. Inutile de dire que c'était là très agréable. Il tâchait de se tenir, cherchant à avoir le meilleur appui possible, mais sous la douche, sans voir grand-chose, il n'était pas rassuré, mais il tâchait de faire avec. Il la sentait, elle et son poids s'écraser sur sa verge, l'apesanteur faisait le reste, elle glissait naturellement vers le bas, lui arrachant un léger soupire bien qu'il soit coincé sur elle. Il espérait ne pas glisser en bougeant un peu, d'une main, il maintenait une barre présente le long du mur – sûrement pour les personnes qui avaient du mal à bouger – se servant de cela comme d'un appui stable, avant d'approcher du mur, coinçant à son tour Hikari contre la paroi. Il en profitait pour retirer sa tête de ce petit coin de paradis, car quand bien même il y était bien, ses lèvres étaient bien mieux. Le baiser dura quelques longues secondes avant qu'il ne fasse de nouveau entendre sa voix.

« Je tâcherais de m'en souvenir. Je vais éteindre ce feu en toi, ma belle. »

C'était à son tour de montré son affection pour elle. L'avantage, c'est que pour ce genre de feu, sa lance pouvait faire l'affaire, après, reste à savoir en combien de temps il parviendra à éteindre les flammes ? Cela pouvait se faire facilement comme il pouvait y avoir un retour de flamme, prudence avec le feu. Il la prenait contre le mur, l'avantage, c'est qu'avec leurs corps humides, elle glissait le long du mur, le frottement devenait moins pénible ainsi tandis qu'il continuait, savourant le fait de l'écraser tendrement. Au moins après ça, ils pourront reprendre ailleurs, du moment qu'il pourra voir ce qui se passe, ça sera très bien. Il ignorait si ce genre de moment allait arriver souvent à présent, mais il devait en profiter tant que ça dure !

« Mmmmmh oh, Hikari-san... Je vous veux... han, je veux vous baiser... haaa, tout les jours ! »

Il allait un peu vite ? Une chose est sûre, il n'a jamais ressenti ni vécu ça avec aucune fille avant elle, quand bien même ses relations furent assez courtes dans le passé.

Hikari et Hirotaka étaient partis à nouveau ensemble. Si Hirotaka pensait s’en sortir aussi facilement, c’était la preuve qu’il ne connaissait pas bien Hikari ! À vrai dire, elle-même ne se connaissait pas très bien. Elle n’aurait jamais imaginé pouvoir faire preuve d’une telle endurance, se montrer aussi insatiable et énergique. Et pourtant… On ne pouvait pas tout mettre sur le dos de l’aphrodisiaque, après tout ! Cette soif, Hikari la sentait en elle, elle la dévorait de l’intérieur, elle remontait en elle, elle la dominait totalement ! Elle s’était redressée contre Hirotaka, et son dos heurta le mur. Hikari soupira, et embrassa Hirotaka.

« Regarde-moi avec tes mains… Si tu ne sais pas où voir, tu peux me toucher, Hirotaka… Tout mon corps est à toi, chaque centimètre, chaque partie… »

Qu’il ait du mal à voir n’était pas un problème en soi, Hikari était là pour le guider ! Et, après tout, Hirotaka était au bon endroit, en elle ! Il lui avoua avoir envie de lui faire l’amour tout le temps, tous les jours ! Hikari frémit doucement en l’entendant, resserrant ses jambes autour de son bassin, et ses mains sur sa nuque. Elle appuyait sur lui, mais le soulageait en s’appuyant contre le mur. L’eau ruisselait entre eux, et même elle avait du mal à voir. Entre l’eau qui l’aveuglait et leur sueur réciproque, elle ferma les yeux en l’embrassant encore, remuant ses seins contre son corps. Elle se déplaça encore, et finit par se retirer de lui, consciente que la porter allait être épuisant. Elle se retourna alors, et s’appuya contre la paroi vitrée de la douche.

« Viens en moi, mon chéri, montre-moi ta fougue… Je te l’ai dit, utilise tes mains pour repérer où aller… Touche-moi, dis-moi comme tu aimes me palper, mon amour… »

Sa voix était chaude, Hikari était brûlante d’excitation, et s’arqua légèrement vers l’arrière, son bassin venant frotter sa verge en excitation.

C'était son seul défaut, sans lunettes, il y voyait autant qu'un aveugle. Il voyait une forme, mais de là à reconnaître qui s'était, c'était autre chose. Par chance, il n'y avait qu'eux donc, sauf si une troisième personne s'était caché tout ce temps, ça ne pouvait qu'être sa sublime collègue. Elle s'accrochait à lui, mais il n'allait pas s'en plaindre, étant quasiment aveugle, la « voir » avec le toucher était ce qu'il pouvait espérer de lieux sous la douche. Elle remuait sur lui pendant leur embrassade, il profitait de tout sauf de la vue, il la visualisait dans sa tête, selon ce qu'il sentait. Mais le plaisir entre ses jambes restait encore bien au-dessus. Elle était si belle et parfaite à ses yeux, elle ne cessait de l'étonner, dans le bon sens. Elle lui appartenait. Non pas qu'il se sente tout-puissant en étant possessif, mais sur le coup, sur ce moment précis, il l'était, il ne céderait sa place pour rien au monde. Hikari changeait un peu de position, le guidant toujours, mais de ce qu'il sentait, elle lui tournait le dos, elle était dans une position des plus aguichante.

Il sentait sa peau douce, chaude et glissante sur sa queue, il pouvait la prendre par-derrière... Mais non, pour une telle première fois, il ne voulait pas imaginer, mais aussi voir. À tâtons avec sa verge et une de ses mains, il la guida entre ses cuisses, se lovant dans son dos, sa main glissant sur sa peau humide, remontant jusqu'à sa poitrine. Pas très grosse, mais dans la norme japonaise, ça lui convenait parfaitement. Il remuait doucement, mais la vitesse ne tarderait pas à vite grimper.

« Mmmmh oh Hikari, ha... J'ai hâte de quitter cette douche... mmmh, je compte... je compte te prendre par-derrière, quand j'aurais, ha, retrouvé la vue. »

Parlant doucement près de son oreille, il l'embrassait sur la joue, puis comme il pouvait sur les lèvres. Leur corps se frottait, sa main palpait sa poitrine, la seconde la maintenait contre lui, poser sur son ventre. Ce qui commençait simplement presque doucement commençait à changer de vitesse, leur corps humide sous la douche allait augmenter le bruit de chair qui claque. Plus le rythme grimpait, plus Hirotaka devenait tactile et faisait preuve d'amour envers elle. Dire qu'il y a à peine une heure, il pensait juste avoir un faible pour cette femme magnifique et maintenant, il en profitait pleinement ! Il n'était pas vieux jeu à se dire que ça allait trop vite, que ça aurait dû attendre le mariage, même s'ils pouvaient remercier Alice pour son aide secrète, c'est sûr que sans ça, s'il aurait été jusqu'à l'embrasser, ça aurait été une sacrée avancer ! Mais là, ils ont plus que brûler des étapes.

« Ma chérie ! Ha ! Je sens... Je sens que ça vient ! »

Pour sa défense, Hikari était aussi belle que doué, il n'en menait pas large, lui qui avait peu d'expérience dans le domaine !

Hikari frémit quand Hirotaka annonça qu’il comptait ensuite la prendre par l’arrière. Elle se mordilla les lèvres, en se cambrant un peu plus. La jeune femme était consciente que son amant ne voyait pas grand-chose, mais il ne pouvait pas non plus prendre une douche avec des lunettes !

« Oh, tu sais comment me chauffer, toi… »

Les deux amants étaient méconnaissables, comme si leur désir trop longtemps refoulé avait explosé. Dans un coin de sa tête, il semblait évident pour Hikari qu’elle devrait tôt ou tard remercier Alice, à sa manière, et à la manière dont Alice le souhaitait. Hirotaka s’enfonça donc en elle, visant de nouveau sa chatte, et utilisa ses mains pour se repérer. Une main sur l’un de ses seins, l’autre sur son ventre, il put se glisser ensuite en elle, et elle soupira lentement. Elle aurait aimé qu’il la prenne là par l’arrière, mais il préférait voir ça. Cela, Hikari pouvait le comprendre. Elle aussi, elle avait besoin de ses lunettes ! Il continuait donc à s’unir en elle, remuant longuement, énergiquement. Leurs soupirs emplissaient l’air, et elle aimait ce contact. Elle aimait sentir sa verge en elle, et il continuait encore, jusqu’à finir par jouir. Elle le laissa bien sûr venir. Elle lui appartenait en ce type de moment, bien sûr, et elle-même mouillait fortement.

Il soupira contre elle, et elle se retourna, venant l’embrasser, se pressant contre lui. D’une main, elle coupa finalement l’eau, et, de l’autre, elle ouvrit la porte de la cabine. Un courant d’air frais vint naturellement les cueillir, la faisant frissonner, alors elle se pressa davantage contre Hirotaka, l’embrassant encore, se collant à lui. Avant de lui redonner ses lunettes, il fallait tout de même que les deux sèchent, alors elle préféra, pour ne pas rompre le moment, l’embrasser encore, en se pressant contre lui. Ils sortirent de la douche en étant reliés ensemble, et elle eut soudain une idée. Hikari rompit leur baiser, et s’agenouilla devant Hirotaka.

« Je vais préparer ton petit soldat… Pour que tu me la foutes dans le cul. »

La manière crue dont elle parlait témoignait de son excitation profonde. Elle caressa son sexe, le masturba, et commença ensuite à le prendre en bouche, juste pour le stimuler, pour réveiller sa verge…