The Multiversity

Tout ce qui ressortait du corps de Lissandre, c’était sa combinaison rose. Sa tête disparaissait au milieu des plis de la queue caudale de Fönn, qui serrait régulièrement, non pour faire du mal à Lissandre, mais pour l’enfermer dans ce cocon soyeux. Elle devait avoir l’impression de flotter, comme un enfant baignant dans le liquide amniotique maternel. Les écailles de la Lamia libéraient en effet un léger mucus qui lubrifiait ses écailles, évitait que Lissandre ne se blesse. La respiration était similaire au placenta, l’oxygène arrivait depuis la verge qui labourait longuement la bouche de Lissandre. Alors, certes, un placenta ne faisait évidemment pas de fellation à un fœtus, mais le placenta maternel apportait au bébé à venir de l’oxygène par les vaisseaux sanguins. Chez Fönn, sa verge faisait office d’apport nutritif, en libérant un mucus comprenant des cellules de dioxygène. Comme quoi, jamais Fönn ne mettra jamais en danger Lissandre !

De son côté, Lissandre laissait parler Mélissandre, qui agit à sa manière. Elle focalisa son énergie sur la verge de Lissandre, qui grossit et durcit. Fönn aurait pu se libérer des tentacules venant enserrer son cou, mais elle n’en fit rien. Les tentacules formèrent comme les pétales d’une fleur en latex, qui se referma sur la tête de Fönn, l’enfermant elle aussi dans un délicieux cocon.

« Hmmm… !! »

Elle laissa cette queue grossir dans sa bouche, et la sentit s’enfoncer dans sa gorge. C’était un vrai régal, et elle continuait donc à la pomper, curieuse de voir où tout cela allait les mener. Ce n’était pas comme ça qu’elle s’était imaginée faire l’amour à Lissandre, mais, s’il y avait bien quelque chose que Fönn avait retenu avec Lissandre, c’est qu’il fallait s’attendre à tout avec sa femme ! Elle était encore en train de le montrer, et sa queue avait pris de solides proportions, s’enfonçant dans la gorge de Fönn, qui usait de ses capacités de Lamia pour prendre ce membre, sans chercher à le repousser. Mélissandre souhaitait que ses deux mères s’aiment… Et c’était précisément ce qu’elles allaient faire ! Dans l’amour et le stupre !

Mélissandre était heureuse ! Sa maman était contente. Elle revivait une sorte de grossesse. Elle baignait dans un mélange de magie Rose, de fluide et d’oxygène. Elle ressentait à la fois cette sensation d’étouffer et celle de respirer dans du liquide. C’était étrange. Difficile à mettre en mots. Mais l’excitation était bien réelle ! Toute la combinaison de slime rose vibrait de plaisir. Elle donnait franchement l’impression de gémir à une fréquence trop basse pour les oreilles humaines.

Mais Mélissandre était un peu perdue. Elle s’était attendue à davantage de nouveautés du côté de la lamia. Elle avait soif d’apprendre de nouvelles techniques. De nouvelles transformations. Mais la lamia prenait trop son pied avec ce mélange de gorge profonde et d’enfermement floral. Alors elle changea la texture de sa verge. En y faisant apparaitre comme de petits bourgeons. Mélissandre s’inspira à la fois des fleurs qui n’avaient pas encore déployées leurs pétales. Mais aussi de l’impressionnante collection de sextoys à la villa Verrières ! Il y en avait tant et de tant de formes différentes.

Il fallait faire davantage. Alors elle se mit à suer. De la mouille. Du lubrifiant directement dans sa bouche, dans sa gorge, dans son estomac. … … Mélissandre douta fortement. Que souhaitait-elle faire exactement ? Faire grossir sa verge jusqu’à ressortir du corps de Fönn la lamia ? Non. Ce n’était pas bien. Elle se trompait de façon de faire. Elle devait faire plaisir à sa maman. Mais comment ? Il fallait qu’elle se souvienne. Qu’est-ce qui lui avait fait plaisir ? Oh ! Sa maman avait été jalouse que Fönn la lamia ait pu jouer avec deux androgynes.

Et donc elle se retira de moitié de la gorge de Fönn. Les pétales de la fleur s’ouvrirent pour qu’elle puisse voir à nouveau. Parce que la slime curieuse voulait voir l’expression à la découverte des deux clones qu’elle avait sculpté. Pas vraiment des clones, des excroissances sortant de la combinaison de latex rose. Deux silhouettes androgynes avec des sexes de petite dimension. Les visages étaient plutôt lisses. Les yeux ne bougeaient pas. D’étranges automates qui caressaient déjà le corps de la lamia. Est-ce que ça allait plaire à Fönn ? Et sa maman ? Mélissandre crut faire une bêtise. Par deux fois elle ne pourrait pas jouer avec les deux jolis androgynes. Hi hi ! Mélissandre était un peu sadique pensa-t-elle.