The Multiversity

On la surnommait « Maîtresse B ». Un initiale qui pouvait aussi bien dire « Bambi » que « Bimbo ». Bambi était en charge du complexe médical, et elle disposait de pouvoirs spéciaux. Elle pouvait très provisoirement transformer les femmes en F-Girls. Elle utilisait ce pouvoir avec parcimonie, et ses fonctions étaient donc centrales. Un léger sourire orna ses lèvres quand Usagi demanda si les tests étaient bons, tout en commençant à avoir un début d’érection. On avait enfilé à Usagi une combinaison noire intégrale en latex, et son érection déformait donc sa combinaison. Bambi sourit donc.

« Installe-toi. »

Il s’assit donc, sur la chaise à côté de celle précédemment occupée par le docteur Stuart, qui pompait avec appétit la grosse queue de Bambi. Ses seins nus pointaient fièrement.

« Tes résultats sont clairs ; de tous nos cobayes, tu es celui qui s’approche le plus de notre rêve. Si nous t’inoculons notre solution, tu te transformeras en femme. Le résultat est définitif, et la probabilité que ton organisme rejette la solution est estimée à 00,0001%. »

Bambi se racla la gorge.

« Nous allons préparer l’opération, elle aura lieu d’ici une semaine. Tu auras d’ici là des rendez-vous préparatoires classiques. La chirurgienne te recevra pour que tu confirmes ton consentement, tu auras aussi des tests de sang, et un rendez-vous avec l’anesthésiste. La date définitive te sera confirmée d’ici à demain. L’opération durera normalement une journée. Le matin, on te préparera, puis tu seras ensuite placé en anesthésie générale. Et, ensuite, tu te réveilleras changé à jamais. »

Il y était donc. Le point final, le point de non-retour. Maintenant que les tests confirmaient l’efficacité de la solution, il y aurait d’autres réunions, notamment du conseil d’administration. Bambi lui sourit donc.

« On t’a créé une messagerie interne, tu recevras tous les détails sur ton ordinateur, dans ta chambre personnelle. Ensuite, tu pourras profiter de nos services, faire un peu de tourisme, profiter de tes derniers moments en tant que mâle. Peach et Courtney ont prévu de sortir ce soir, tu pourrais les accompagner ? »

Bambi sourit encore.

« Si tu as des questions, n’hésite pas… Sinon, tu peux venir me sucer. Madame Zarast doit venir pour examiner les résultats, je pense qu’elle sera ravie de te voir… A fortiori si tu as ma verge plantée dans ton petit cul de pervers. »

Chez les F-Girls, les insultes fusaient naturellement…

Avant de m’emmener voir le Dr Stuart son infirmière m’a fait enfiler une combinaison intégrale en latex, et devant le spectacle de la blonde en train de sucer goulument Bambi mon érection se voit maintenant de manière très nette. En revanche je ne comprends pas pourquoi la combinaison inclut des chaussures à talons ; ce n’est pas des plus pratiques pour marcher et on ne peut pas les enlever sans enlever la combinaison elle-même. C’est vraiment bizarre, il doit y avoir une fonction qui m’échappe.

En tout cas Bambi me confirme que mes tests sont revenus positifs et que je suis, d’après elle, le cobaye qui s’approche le plus de l’idéal recherché par Fut’Corp. L’injection de leur solution me transformera en femme de manière définitive, avec un risque de rejet quasi-nul. Ils sont déjà en train de préparer l’opération, qui aura lieu d’ici une semaine et prendra une journée, et j’aurai plusieurs rendez-vous avant cette date pour passer divers examens. Elle m’explique aussi que j’ai maintenant accès à une messagerie interne depuis l’ordinateur de ma chambre et que je vais pouvoir profiter de leurs services pour savourer mes derniers jours en tant qu’homme. D’ailleurs Peach et Courtney ont apparemment prévu une sortie ce soir.

« Je leur demanderai. »

Elle me demande si j’ai des questions, sinon je peux tout de suite venir la sucer en attendant que la présidente de Fut’Corp ne passe pour examiner les résultats.

« Et bien… oui j’ai quelques questions. Mais je peux les poser tout en vous suçant. »

Le Dr Stuart s’écarte pour me laisser la place et je me mets à genoux devant cette belle friandise. Pas besoin de la lubrifier, elle est déjà pleine de bave après le passage précédent, je commence donc tout de suite ma fellation, prenant une pause de temps en temps pour poser mes questions.

« Ma mère vit à Uatis. Je ne l’ai pas vue depuis… très longtemps… elle croit peut-être même que je suis mort. Si je dois devenir une femme pour toujours… j’aimerais au moins lui parler avant. Si je vous donne son nom… vous pourriez la retrouver ?
La sortie de Peach et Courtney… vous savez où ils ont prévu de la faire ? Je ne peux pas trop sortir dans la rue.
Et si… et si je ne voulais plus devenir une femme ? »

Ça c’est vraiment la question la plus importante.

« Depuis que je suis arrivé ici j’ai découvert qu’il y avait aussi de bons côtés à être un homme, et je suis sûr que j’en découvrirai d’autres d’ici une semaine. Si je ne voulais plus subir l’opération… est-ce que je devrais partir ? Ou est-ce que vous pourriez utiliser votre produit pour me transformer en F-Boy ? »

Sa réponse va être décisive pour la suite.

Maîtresse Bambi écarta donc le docteur Stuart, et laissa Usagi la rejoindre. Il avait une démarche un peu maladroite, à cause des talons, mais cela, il allait devoir s’y habituer ! Il se mit à genoux devant Bambi, qui soupira doucement quand il commença à la sucer. Elle posa sa solide main sur sa tête, et le laissa faire. Il interrompit ses succions de séance de léchage, sa langue glissant sur son vit monstrueux, tout en l’interrogeant. De fait, Usagi avait plusieurs questions, et même des questions étonnantes. Bambi l’écouta donc, un peu décontenancée, surtout quand il indiqua s’il pouvait renoncer à l’opération. Elle resta silencieuse, et répondit en commençant par le début :

« Personne ne reste cachée éternellement à Uatis. Si tu as son nom, nous la retrouverons. Quant à Peach et Courtney… Généralement, ils aiment prendre le TransContinental pour aller à Night City. Il y en a pour 2 heures de trajet, donc ils y vont en début de soirée, et reviennent au petit matin. Si tu as peur d’être recherché, Night City est le lieu qu’il te faut. »

C’était une ville éloignée, bénéficiant d’un statut juridique assez particulier, et où les criminels cherchaient souvent à se rendre. Oh, il y avait bien une police, bien sûr, mais la ville était très dense, et on pouvait donc aisément se fondre dans la masse. Cela n’était néanmoins que du détail, car ce fut surtout la principale question qui intéressa Bambi.

« Le F-Gen est un mutagène très particulier, Usagi. Il permet de modifier ton code génétique. Je ne rentrerai pas dans les détails, car je ne les connais pas moi-même. Et toi, tu es très particulier. On a toutefois dû te le dire, je pense… Pour qu’une transformation veuille, tu dois le vouloir. Sinon, ton corps rejettera la transformation. »

Bambi soupira lentement, et attrapa les cheveux d’Usagi, enfonçant ainsi sa trique dans sa bouche.

« Il y a… Des variantes possibles, hmmm… Modifier ton code génétique pour que tu changes de sexe… F-Boy ou fille… Mais n’oublie pas que tu es venue ici pour être changé en fille. La question n’est pas tant de savoir ce qu’on peut faire que ce que tu veux faire. Te transformer en fille, cela n’implique pas pour toi d’être employé ici… Mais, si tu deviens un F-Boy, hmmm… Tu dois nous rejoindre, pas comme salarié, mais aussi comme membre de notre grande famille. Alors, si on t’oriente là-dessus, ta mère biologique ne sera plus une option. Elle devra te rejoindre… Hmmm… Vivre parmi nous, ou devenir une F-Girl… Tu sais, quand Meryl est devenue une F-Girl, elle a transformé Peach en F-Boy, et sa fille, April, en F-Girl… Donc, tu vois, la vraie question que tu as à te poser, mon mignon petit sodomite, c’est… »

Bambi soupira encore, et enchaîna :

« As-tu envie de rejoindre la Fut-Corp ou non ? »

Bambi a l’air un peu décontenancée devant mes questions, surtout la dernière, et ça peut se comprendre. Pourquoi voudrais-je faire demi-tour maintenant alors que je suis si proche de la ligne d’arrivée ? En plus, comme elle l’a dit, je suis le patient parfait pour Fut’Corp. Si je renonce à l’opération ce sera une perte à la fois pour moi et pour la société. Néanmoins elle prend quand même le temps de bien répondre à toutes mes questions : l’entreprise peut retrouver ma mère, Peach et Courtney font la fête à Night City donc j’ai moins de risques à les suivre, et pour le F-Gen… d’après elle il est seulement question de ce que je veux.

Le F-Gen est un mutagène très particulier, il peut être calibré pour opérer les changements que je souhaite sur ma personne, femme ou F-Boy. Mais il faut que je sois sûr de ce que je veux : si je décide de devenir un F-Boy, ça implique aussi que je devienne un employé à part entière de Fut’Corp, et apparemment même ma mère devrait rejoindre l’entreprise. Finalement, la seule question que j’ai à me poser est de savoir où je veux aller.

« Hhhmmm… »

Ce que je veux faire… honnêtement je n’en sais rien. En arrivant ici je pensais que tout serait simple, que je n’aurais qu’à recevoir le F-Gen et qu’ensuite je redeviendrais la femme que j’étais au Lys. Mais maintenant je réalise qu’être un homme a aussi ses avantages et je suis tiraillé sur la route à suivre, surtout en sachant que l’opération est irréversible. Suis-je vraiment prêt à abandonner ma masculinité pour toujours ? J’en étais sûr il y a encore une journée, mais maintenant…

« Je… je ne sais pas… je ne sais plus ce que je veux. »

Je ne suis même plus sûr de vouloir voir ma mère finalement. Si elle me croit mort depuis le jour où on m’a intégré au programme Weapon Nano elle a dû faire son deuil depuis des lustres. Réapparaître d’un seul coup dans sa vie, ce serait y causer une certaine pagaille. En plus qui sait ce qu’elle a pu devenir depuis tout ce temps, ou même si elle vit encore ici.

Je ne veux plus penser à ces questions. Je me perds complètement dans ma fellation, j’avale la queue de Bambi avec toute l’énergie que je peux y mettre et aussi profondément que possible, je la pompe et je lèche son gland avec appétit jusqu’à ce que j’obtienne ma récompense : une belle giclée de foutre tout droit dans ma bouche, et comme une bonne petite salope j’en avale la moindre gorgée, même si une partie m’échappe quand même et coule hors de ma bouche. Mais ça doit rajouter à mon allure de salope bouffeuse de queues.

« Aaahhh… ça vous a plu, maîtresse ? »

Le F-Gen était un mutagène très particulier, dont la conception était secrète. Mais, au cœur de la formule, il y avait le jus intime d’une Déesse, la Déesse Lust. C’était la clef du F-Gen, mais aussi l’assurance que le F-Gen ne pourrait pas être administré à des personnes qui n’en avaient pas envie. Car, comme Maîtresse Bambi venait de l’expliquer, pour que le F-Gen fonctionne, il fallait que l’utilisateur le souhaite. Sa volonté permettait de déclencher l’effet divin attaché au F-Gen. Sinon, le mutagène ne produisait que des effets très timorés. C’était aussi la raison pour laquelle les sujets étaient si peu nombreux, et pourquoi les liens familiaux étaient privilégiés.

Bambi sourit quand Usagi lui fit part de ses doutes, et elle serra sa main sur ses cheveux, l’encourageant à la sucer, enfonçant sa queue dans sa gorge. Il s’étouffait dessus, et il pouvait alors sentir la main de Bambi se maintenir sur sa tête.

« Je crois, moi, que tu sais ce que tu veux, hmmm… »

Maîtresse Bambi soupira encore, et le laissa s’activer. Il pompait son dard avec soif, et elle soupirait doucement, le laissant jouer, jusqu’à finir par juter en lui. Sa main empoigna à nouveau ses cheveux, et elle balança des chapelets de foutre dans sa bouche. Elle sourit encore quand il lui demanda si elle avait aimé.

« Baiser des pervers comme toi, c’est toujours très agréable, mais tu es bien placé, maintenant, pour savoir que c’est ton petit cul qui va prendre… ♥ ! »

Croire qu’on pouvait sortir d’un entretien avec une F-Girl sans se faire ramoner le derrière, c’était être bien présomptueux ! Bambi le souleva donc, et l’étala sur le bureau, son cul se frottant contre sa verge. D’une main, elle attrapa sa laisse, et tira dessus, l’étranglant, tout en donnant de grosses claques sur son cul. Et elle se délecta de ses couinements, puis de son hurlement, quand elle le sodomisa.

« Tu hurles comme une fille, hihi… Hmmm… J’ai rarement vu un sous-homme comme toi, hmmm… Aurais-tu peur que cela change en devenant une femme ? De ne plus être… Ce fucktoy que nous baisons jusqu’à plus soif ? »

Bambi soupirait encore, s’écrasant contre lui, l’étranglant à moitié. Elle donnait d’intenses coups de reins, sa verge coulissant pratiquement hors du fondement d’Usagi, avant d’y retourner frontalement, ses bourses claquant contre ses fesses.

« C-C’est ça, hein ? Tu veux… Tu veux rester notre petit chien, l’esclave qu’on va baiser jusqu’à satiété, qu’on va humilier et torturer sexuellement… DIS-LE ! Dis-le, petit pervers, ta Maîtresse te l’ordonne ! »

Avec toutes ces nouvelles informations j’ai du mal à prendre une décision pour la suite. Dois-je rester dans ma première idée de prendre le mutagène pour devenir une femme ? Maintenant que j’ai découvert le plaisir qu’on peut prendre en étant un homme ici, j’ai un peu de mal à accepter de devoir y renoncer définitivement. Mais si je choisis la voie du F-Boy ça veut dire que je deviendrai un employé de Fut’Corp pour toujours. Même ma mère sera obligée de s’installer ici, voir de prendre le F-Gen, si je m’engage sur ce chemin. C’est un choix difficile et qui, quelle que soit ma décision, va m’engager sur une voie sans possibilité de revenir en arrière.

Bambi ne fait pas de pause, elle m’étale tout de suite sur son bureau et vient frotter sa verge toujours aussi dure contre mon cul.

Est-ce que les F-Girls peuvent seulement être au repos ? Je pense pas en avoir déjà vu une qui ne bandait pas.

Je sens le collier qui se serre autour de mon cou, les mains de Bambi qui s’abattent sur mon cul dans de grosses fessées, et finalement sa lance de chair qui s’enfonce entre mes fesses.

« Aaahhh ! »

Ma maîtresse dit que je couine comme une fille et elle se met à me baiser en disant que je suis son petit chien, son esclave, son fucktoy. Et elle veut que je le dise à haute voix.

« Ooohhh… oui maîtresse… je suis votre petit pervers… aaahhh… j’adore quand vous me baisez. Oouuhh… je veux que vous me baisiez encore… que toutes les F-Girls me baisent. J’aime tellement être leur fucktoy. »

Honnêtement je ne sais plus si c’est moi qui parle ou si c’est juste l’excitation du moment, je suis juste tellement content de me faire prendre par une F-Girl. En plus ça m’aide à ne pas penser à ce dilemme qui me travaille.

« Vous avez vu la vidéo… ooohhh… où je suis au milieu des bureaux… et où les employées me baisent en écrivant des insultes sur mon corps ? Oouuhh… j’ai envie de le refaire. »

Je n’aurais jamais cru que j’avais une telle perversité en moi mais quand je me remémore ce moment dans les bureaux de Fut’Corp où j’étais entouré par les employées, baisé par Bridget tout en étant filmé et le corps recouvert de mots vulgaires comme « Pute » ou « Vide-couilles »… oui ça m’excite beaucoup et j’ai hâte de recommencer.

« Hhhmmm… j’adore être le fucktoy… des F-Girls. »

J’espère que la patronne ne va pas arriver trop vite, je profiterais bien de cette sodomie encore quelques minutes.

Si Usagi avait envie de passer encore du temps avec Maîtresse Bambi, il allait être servi ! Les journées des F-Girls étaient longues, et elles étaient souvent en retard à des rendez-vous, voire les déprogrammaient, car elles passaient effectivement beaucoup de temps à faire l’amour ! Et, si vous veniez vous plaindre du fait qu’elles étaient en retard, les F-Girls vous punissaient sévèrement ! C’était ainsi que les choses fonctionnaient au sein de la Fut-Corp ; les F-Girls étaient les Maîtresses, le sexe fort et dominant. Quand quelqu’un avait rendez-vous avec une personnalité importante, il était d’usage que cette personne arrive en retard, pour faire ressentir à son invité que c’était elle qui avait la maîtrise du temps. Alors, oui, les F-Girls arrivaient en retard, et c’était tout à fait normal. En ce qui concerne Bambi, celle-ci était très intense, et particulièrement rude. Elle sodomisait Usagi avec force, l’amenant à pousser de délicieux petits couinements. Il lui confessa entre plusieurs soupirs avoir adoré ce moment où il avait été malmené par les employées de la firme.

« Petit pervers… Tu aimes quand on t’humilie publiquement, hein ? »

Voulait-il donc vraiment devenir une femme ? Ou un F-Boy ? Cela n’impliquait pas forcément de transformer sa mère en F-Girl, mais il faudrait sans doute qu’Usagi lui en parle. Bambi ignorait toutefois la nature exacte de ses relations avec ses parents, et c’était à ce stade totalement secondaire. Usagi se faisait prendre avec force par Bambi, et les quelques minutes durèrent finalement une bonne demi-heure. Le corps d’Usagi remuait d’avant en arrière, et Bambi s’amusa à le retourner. Elle le coucha sur le dos, et releva ses jambes, avant de retourner dans son cul, donnant un grand coup de reins qui le fit hurler. Elle releva les jambes d’Usagi, le pliant en deux, dans une position de l’enclume qui fit trembler le bureau, faisant osciller le meuble dans tous les sens. Grognant et soupirant, Maîtresse Bambi devenait de plus en plus reptilienne, de plus en plus sauvage. Elle éructait, elle sifflait, crachant parfois sa salive sur le torse d’Usagi, croisant son regard. Sa main empoigna ses cheveux, et elle continua à le prendre.

Finalement, elle se déplaça, rejeta Usagi au sol, renversant une chaise au passage, et le finit sur un gros tapis rembourré au sol. Là, Usagi se mit à hurler, et sans doute même à pleurer, car Bambi le prenait en levrette, avec toute sa force, avec toute sa passion, avec tous ses muscles qui s’abattaient frénétiquement sur le délicat petit cul du jeune homme.

« Hmmm, prends ça, sale pute !! »

Se cambrant sur place, Maîtresse Bambi serra le cou d’Usagi dans le creux de son bras, lui faisant une clef de bras à hauteur du cou. Elle l’étouffa contre lui en jouissant, et le masturba avec son autre main. Usagi se mit à jouir frénétiquement, son sperme fusant sur son ventre, sur les doigts de Bambi, tandis qu’elle-même grognait contre lui, soupirant chaudement et sensuellement à son oreille tout en lui inondant le cul. Elle le tapissa de foutre blanc, sa sueur se mélangeant à la sienne. Et ce ne fut que quand elle eut terminé, soit après une bonne minute, qu’elle relâcha le brave Usagi. Ce dernier s’affala mollement sur le sol, et Bambi resta agenouillée sur le tapis, soupirant longuement, le corps en sueur, un sourire néanmoins ravi se dessinant sur ses lèvres…

Je n’ai pas passé beaucoup de temps dans les locaux de Fut’Corp mais je crois que j’ai déjà développé un certain goût pour l’humiliation. Ce n’est pas quelque chose que j’ai beaucoup fait au Lys, mais ici les F-Girls semblent prendre plaisir à malmener leurs amants, que ce soit physiquement ou verbalement. Il suffit de voir à quel point Bambi s’amuse à me traiter de pervers ou de pute tandis qu’elle me défonce le cul, et honnêtement j’adore ça.

« Aaahhh… oui maîtresse… j’aime quand vous m’insultez. »

Plus le temps passe plus la F-Girl se montre intense dans sa baise. Après une bonne demi-heure allongé sur le bureau je me retrouve en position de l’enclume et elle continue à me pénétrer, en crachant parfois sa salive sur mon ventre et toujours en me tirant les cheveux. Elle aime me voir souffrir et prendre mon pied, ça se voit dans ses yeux. Ensuite, sans que je m’y attende, elle me jette au sol en renversant une chaise au passage et je me retrouve étalé sur un tapis rembourré posé à même le sol. Elle vient immédiatement se placer pour me sodomiser en levrette, toujours avec autant de force et de passion. Je peux sentir ses muscles s’abattre sur mon corps, j’entends les insultes qui se déversent de sa bouche et c’est plutôt jouissif bien que douloureux.

« Aagghh… maîtresse… vous me baisez si fort… ooohhh ! »

Mais encore une fois Bambi me prend par surprise. D’un geste elle me plaque contre elle et passe son bras autour de mon cou, m’immobilisant et m’étouffant à moitié tandis qu’elle continue à m’enculer et que son autre main me masturbe frénétiquement. Là ça fait beaucoup d’un coup mais je ne vais pas m’en plaindre, je prends mon pied comme je l’ai rarement fait auparavant.

« Aaahhh… AAAHHH ! »

Alors que j’ai l’impression de commencer à étouffer pour de bon, j’atteins l’orgasme et il est plutôt intense. Mon sperme se met à jaillir, et juste après je sens la queue de Bambi exploser dans mon fondement, y déversant son foutre crémeux pendant une minute entière. Après ça elle me relâche et je m’écroule sur le tapis, reprenant péniblement mon souffle. Je suis en sueur, le cul dégoulinant de semence, mais je vais bien. Enfin… je crois.

« Ooohhh… »

Il me faut plusieurs minutes pour retrouver mes forces et mes esprits. Je me redresse péniblement pour me mettre à genoux devant Bambi.

« Toutes ces sensations… est-ce que je les aurai encore… après l’injection du F-Gen ? Après que je sois… devenu une femme ? »

J’ai besoin de plus de détails sur la façon dont le F-Gen va interagir avec mon organisme avant de prendre une décision pour savoir si je veux devenir une femme ou un F-Boy.

Qu’on se le dise : coucher avec une F-Girl était toujours un spectacle épuisant ! Violente et passionnelle, Bambi l’étrangla, l’humilia, l’insulta, le pinça, le gifla, le mordilla. Elle tirait sur ses cheveux, elle se délectait, avec cruauté de ses couinements, gloussant quand il se mettait à pleurer. Et sa verge, imperturbable, infatigable, avait continué à lui ramoner le cul pendant un long moment, avant que la jouissance  ne vienne. Un orgasme furieux et énergique, où elle se vida puissamment dans le petit cul défoncé d’Usagi. Le sperme afflua massivement en lui, et Bambi sembla alors se calmer. Les F-Girls pouvaient se montrer violentes et perverses, mais aussi très douces, et aussi aimantes que des mamans. Après tout, chaque F-Girl avait déjà eu au moins une fille. Elle se retira du corps d’Usagi, et s’assit sur son fauteuil, en sueur. Bambi soupira longuement en attrapant une cigarette, et commença à la fumer.

« Je dois admettre que je comprends pourquoi les autres t’adorent, tu es un très bon amant, mon petit lapin. »

Il s’était affalé devant elle. Elle posa son pied sur son ventre, en conquérante, jusqu’à ce que le jeune homme ne reprenne ses esprits. Il se redressa alors, et se mit à genoux devant elle. Bambi expulsa de la fumée. C’était une fumée rose, faite de tabac, bien sûr, mais aussi de composants spécifiques.

« Le F-Gen te rendra plus endurant, que tu sois un F-Boy ou une femme… Donc, oui, tu resteras un nympho’… Ou une nymphomane, c’est selon. L’inconvénient d’un homme, c’est que tu ne peux pas te faire prendre en sandwich par mopi et une autre F-Girl. Tu imagines Meryl et moi en traijn de te baiser toutes les deux, avec ton petit corps de pute qui se dandinerait entre nous deux ? »

Bambi sourit lentement, puis caressa la joue d’Usagi, et l’attrapa ensuite. Elle le serra contre ses bras, et lui fit tout simplement un câlin. Elle le pressa contre elle, et l’embrassa sur la joue.

« Tu es un bon garçon, Usagi. Que tu sois homme ou femme, cela importe peu, finalement. Ce qui compte, c’est que des femmes comme moi puissent continuer à te dominer et à te baiser jusqu’à plus soif… »

Au fond et dans l’absolu, c’était là la chose plus importante !

La baise a été vraiment intense mais j’imagine que je vais devoir m’y habituer, les F-Girls sont des amantes très exigeantes après tout. Bambi va s’asseoir et commence à fumer tout en m’expliquant que le F-Gen me rendra plus endurant, peu importe que je mute en femme ou en F-boy. Elle ajoute que l’inconvénient en tant qu’homme est que je ne pourrai pas me faire prendre en sandwich entre deux F-Girls. Et effectivement, imaginer cette scène est très excitant.

« C’est vrai que ce serait dommage. »

Bambi souffle sa fumée sur moi, une fumée rose dont je peux deviner qu’elle doit contenir des aphrodisiaques, puis elle se met face à moi pour me prendre dans ses bras en me disant que je suis un bon garçon et que peu importe que je sois un homme ou une femme, l’important est que je puisse continuer de me faire dominer et baiser par des femmes comme elle.

« Oui… c’est ce que je veux aussi. »

Ça me fait presque bizarre de voir Bambi se comporter de manière aussi douce avec moi après ce qu’on vient de faire mais cette gentillesse est la bienvenue. J’ai besoin de me reposer et de reprendre des forces, surtout si je sors ce soir avec Peach et Courtney.

« Je ne sais pas encore ce que je veux… mais je le saurai avant mon premier rendez-vous préparatoire. »

Ça devrait me laisser au moins une journée pour bien peser le pour et le contre de chaque option. J’essaie de me rhabiller du mieux que je peux avant que madame Zarast n’arrive pour examiner mes résultats, je veux être présentable pour elle.

« Est-ce que vous savez ce que Peach et Courtney font pendant leurs soirées à Night City ? »

J’imagine que ça inclut du sexe mais il doit y avoir autre chose. Pour être déjà allé à Night City je sais que c’est une ville où on peut trouver à peu près ce qu’on veut du moment que c’est illégal.

Bambi tira sur sa cigarette à nouveau. Un héritage de son ancienne vie, avant qu’elle ne soit F-Girl. Comme quoi, le F-Gen pouvait guérir bien des choses, mais, visiblement, les addictologies survivaient au mutagène. Usagi se rhabillait lentement, encore un peu secoué par cette baise intense. Cependant, il commençait à s’y faire. Avoir les parois anales dilatées serait désormais un classique pour lui. Il était d’ailleurs curieux qu’il n’ait pas des courbatures et ne soit pas dans l’impossibilité de s’asseoir sans ressentir des douleurs aux fesses.  Il demanda ce que Peach et Courtney faisaient généralement à Night City. Bambi haussa les épaules.

« Ceux que font tous les touristes qui vont là-bas, je suppose : s’éclater toute la nuit à Edotown ou dans le centre-ville. Généralement, il y a une F-Girl qui les accompagne, et nous en profitons pour faire la promotion du F-Gen. Leur point de départ privilégié est l’Afterlife. »

C’était un bar très populaire à Night City.

« Quand on s’y rend, on discute avec la propriétaire des lieux, Rogue Amendiares. Night City est une ville à part dans Uatis, la cité dispose de son propre fonctionnement. Rogue est un excellent contact pour nous. La direction compte ouvrir son premier établissement secondaire à Night City, c’est un endroit parfait pour expérimenter le F-Gen. »

Tout le monde savait que, à Night City, les contrôles étatiques étaient bien plus faibles qu’ailleurs.

« Enfin, le mieux est de leur demander, ou d’y aller avec eux… C’est bien ce que tu avais en tête, non, mon petit lapin ? On aurait pu croire que te faire baiser toute la journée t’aurait épuisé, mais il semble que tu sois très endurant en la matière… Je me demande si c’est une caractéristique propre à ton espèce, ou l’une de tes spécificités… » s’amusa-t-elle, tout en finissant sa cigarette.

Bambi ne sait rien sur les plans précis de Peach et Courtney pour leur soirée à Night City, elle suppose qu’ils vont faire ce que font tous les touristes qui vont là-bas : s’éclater toute la nuit, potentiellement en emmenant une F-Girl avec eux. Ils ont quand même un point de départ privilégié : l’Afterlife, un bar très populaire dans ce coin et tenue par une femme bien connue de Fut’Corp, Rogue Amendiares. Mais bon je pourrais toujours voir ce qu’il en est en allant avec eux. Bambi salue d’ailleurs mon endurance.

« Merci… mais après ça je crois que je vais avoir besoin de repos après tout ça si je veux être en forme ce soir. »

Même si je ne connais pas les détails de la soirée je suis sûr qu’on va encore s’envoyer en l’air, surtout s’il y a une F-Girl avec nous. Il faut que je sois en forme.

Après quelques minutes d’attente, Charlie finit par arriver. Je la salue avec tout le respect qu’un petit soumis comme moi doit à la patronne de Fut’Corp et elle me répond avec une claque sur le cul avant de m’ordonner de lui lécher les pieds.

« Oui maîtresse. »

Pendant que je fais ça elle vient examiner mes résultats et en discute avec Bambi. Je ne comprends pas tout, il y a beaucoup de jargon médical, mais de ce que je comprends elles vérifient juste les résultats ensemble et s’assurent qu’elles en ont la même interprétation. Charlie semble très enthousiaste, je peux sentir son regard sur moi.

Bientôt je travaillerai pour vous maîtresse… je baiserai avec tous vos employées… et avec vous aussi.

Oui je serai une belle salope pour l’entreprise. Femme ou F-Boy, ça reste à déterminer.

Charlie rejoignit le bureau de Bambi pour discuter des résultats, et, comme à son habitude, imposa rapidement à Usagi de lécher ses collants. Tandis qu’il s’exécutait, et se frottait contre le nylon savoureux de la patronne, Bambi confirma à Charlie que tout se passait bien d’un point de vue purement médical. Mais une telle transformation était aussi physiologique, et, sur ce point, Bambi expliqua à Charlie que Usagi hésitait entre soit, se féminiser, soit devenir un F-Boy.

« Oh… Il faut croire que Peach et Courtney t’ont un peu trop influencé, mon mignon petit rebelle… »

La patronne sourit doucement. Comme cela était étonnant ! À Uatis, il n’y avait pas d’égalité des sexes, les femmes représentaient le sexe fort, et la mentalité uatéenne visait même à arriver à la création d’un sexe unique. Alors, qu’un homme puisse ainsi hésiter, voilà qui ne manquait pas de piquant ! Charlie l’observa donc, sans trop savoir quoi en penser.

« Eh bien, je suppose que tu as encore le temps d’y réfléchir. En l’état actuel, la technologie de notre machine ne permet pas de forcer un changement sexuel. Il faut que tu sois consentant et volontaire, donc… Tout va dépendre de toi. »

Qui sait ? Cette virée à Night City serait peut-être décisive…

Charlie semble contente de voir que tout se passe bien d’un point de vue médical mais elle m’encourage à bien réfléchir à ce que je veux faire. En l’état actuel, la technologie de Fut’Corp ne permet pas de forcer un changement sexuel, il faut que je sois consentant et volontaire donc tout va dépendre de moi.

« Je sais maîtresse… et je vous promets que d’ici ma première visite médicale en vue de l’opération je saurai quoi faire. »

D’ailleurs je vais sûrement en discuter avec Peach et Courtney lors de notre soirée à Night City. En tant que F-Boys ils seront surement de bon conseil.

Après avoir bien examiné mes résultats d’analyse et discuté un peu avec moi, Charlie me laisse retourner dans ma chambre. En chemin je croise quelques employées qui me font des caresses et même une F-Girl qui me demande une fellation au milieu des couloirs, si bien qu’il me faut presque trente minutes pour revenir dans ma chambre. Je ne vais pas dire que ça me ravit d’avoir fait un trajet de trois minutes en dix fois plus de temps mais c’est comme ça : je suis au service des employées et je dois les satisfaire dès qu’elles en ont envie. Homme, femme ou F-Boy, ça ne change pas.

La journée est bien plus avancée que ce que je pensais, je devrais avoir juste le temps de me préparer avant de devoir rejoindre Peach et Courtney. Je me déshabille et je file sous la douche, j’en ai bien besoin après tout cet exercice. L’eau chaude coule sur ma peau, je me savonne des pieds à la tête et je m’assure de n’oublier aucun recoin. Voir mon corps nu me fait encore penser à la décision que je dois prendre mais je ne suis pas vraiment plus avancé qu’il y a une demi-heure. Un corps de femme et un corps de F-Boy ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients, c’est juste que pour le moment je connais que l’un des deux. C’est pour ça que j’ai besoin de parler à Peach et à Courtney, pour savoir comment ils vivent au quotidien et s’il y a des choses importantes liées à la condition de F-Boy que je devrais savoir.

Alors que je sors de la douche on vient frapper à ma porte. Pas vraiment le moment idéal pour recevoir une visite.

« Oui oui, une minute. »

Pas le temps de m’habiller, je m’enroule dans une serviette et je vais ouvrir. Je craignais que ce soit une F-Girl venue pour s’amuser avec moi mais heureusement ce sont juste Peach et Courtney qui sont venus me chercher pour partir en soirée.

« Peach, Courtney ! Content de vous voir. Désolé j’étais en train de me préparer. Venez, entrez. »

Heureusement que ce ne sont pas des F-Girls parce qu’en étant nu et humide comme ça avec juste une serviette pour me couvrir j’aurais été bon pour me faire prendre en sandwich entre elles.

« En fait vous tombez bien. Je ne sais pas trop ce qu’on va faire ce soir, je devrais m’habiller comment ? »

Tandis que Usagi avait passé sa journée à faire des tests, et surtout à se faire baiser dans tous les sens, Peach, lui, avait aussi mené une journée sexuellement intense. Il l’avait terminé en faisant une séance de streaming. Peach était une égérie de la Fut-Corporation, alors il disposait d’une image de marque qu’il entretenait. En l’occurrence, il s’agissait surtout pour lui de streaming sexuel, assez en vogue à Uatis. Il y passa plusieurs heures, avant que sa mère ne vienne le voir, et ne lui dise que, ce soir, Usagi les accompagnerait. Peach acquiesça, visiblement satisfait de cette nouvelle, et lui et Courtney allèrent donc voir le jeune homme. Une voiture devrait les conduire à la gare. C’était le TransContinental qui allait de Uatis City à Night City, traversant la majeure partie du pays avec quelques escales. Courtney vint avec un sac à main rose fuchsia, comme toujours habillé en cowx girl, avec un chapeau rose, un débardeur, une minijupe, et de longs gants blancs avec des tâches noires, évoquant ainsi la peau d’une vache, soit une façon de jouer sur le côté cow girl.

Quand Usagi leur ouvrit, il sortait encore de la douche. Peach le salua, tout comme Courtney, et les deux jeunes hommes efféminés rentrèrent dans sa chambre. Ils avaient appris les hésitations d’Usagi, qui hésitait entre, soit se transformer en femme (ce qui était son objectif initial), soit devenir un F-Boy. Mais, pour l’heure, Usagi souhaitait comment s’habiller.

« Hm… Ça me semble assez évident, rétorqua Peach. On va t’habiller en fille !
-  Il n’y a pas que les vêtements, ceci dit, on va aussi devoir te maquiller, te recoiffer, et te parfumer. C’est pour ça que j’ai ramené ma trousse de toilettes ! »

Ils retournèrent dans la salle de bains. La serviette d’Usagi tomba au sol, puis Peach et Courtney entreprirent de l’habiller convenablement. Du fond de teint, du rouge à lèvres, du vernis pour ses ongles, ils le parfumèrent ensuite avec leur parfum alléchant, et nouèrent ses longs cheveux argentés en une belle queue-de-cheval. Avec le fond de teint, les traits un peu rigides de son visage se firent plus ovales, le faisant ainsi davantage ressembler à une femme. Ensuite, pour la tenue, Peach lui fit mettre de longs collants moulants brillants, une culotte, une minijupe, et de longs gants opéra moulants, et un crop top.

« Et voilà ! claironna-t-il. Comment tu te trouves ? Moi, je te trouve superbe ! »

Peach et Courtney ont tous les deux mis des tenues assez courtes et séduisantes mais ce que je remarque surtout c’est que ce sont des habits de femme. D’ailleurs, quand je leur demande comment je dois m’habiller pour la soirée, ils me répondent tous les deux que je dois m’habiller en fille comme si c’était une évidence. Ils ont même prévu de me maquiller, me coiffer et me parfumer.

« Ah… d’accord. »

Honnêtement je ne sais pas trop quoi répondre à ça, et de toute façon ils ne me laissent même pas le temps de le faire avant de m’entraîner dans la salle de bains pour me préparer. Je me retrouve nu devant le miroir et les deux F-Boys s’en donnent à cœur joie : fond de teint, rouge à lèvres, vernis à ongles, parfum… Ils attachent mes cheveux en queue de cheval et m’habillent avec des collants, une culotte, une minijupe, de longs gants et un crop top. Une fois leur travail terminé ils s’écartent et me laissent m’observer dans le miroir pour savoir ce que j’en pense. Peach précise quand même qu’il me trouve superbe.

« Ouah… c’est vrai que vous avez assuré. J’ai presque du mal à me reconnaître. »

Le maquillage redessine les traits de mon visage, les rendant plus doux et ovales, me faisant ainsi davantage ressembler à une femme.

« Pour la tenue… je trouve qu’elle me va bien mais ça fait bizarre de porter ce genre de vêtements avec mon corps d’homme. D’ailleurs… hhggnn… la culotte est vraiment obligatoire ? Je me sens un peu à l’étroit. »

Mais ils ne me laisseront pas l’enlever. En tout cas cette tenue me conforte dans l’idée que cette soirée ne va pas être de tout repos et que le sexe risque de s’inviter. Autant j’apprécie de m’envoyer en l’air dans des endroits sûrs comme le Lys ou les locaux de Fut’Corp, autant le faire avec des inconnus dans un bar ou une boîte de nuit m’emballe déjà moins, surtout dans un coin aussi périlleux que Night City.

« Sinon vous ne m’avez toujours pas dit ce qu’on allait faire ce soir. »

Quand Usagi demanda à changer de culotte, Peach secoua la tête en remuant le doigt négativement :

« Han-han ! Si tu veux être un F-Boy, il faut t’habituer à vivre comme une fille, et à porter des vêtements de fille ! Ta queue ne va pas diminuer, tu sais.
-  Il faut s’habituer au frottement, et remuer ton bassin, ou déplacer la culotte pour que ta verge soit bien au milieu. »

C’était surtout une question d’habitude, qui amènerait Usagi à devoir rouler du cul souvent, ce qui renforcerait à lui donner un côté sexy et pervers. Peach le prit par la main, et ils marchèrent dans les coursives de la compagnie. Curieux, Usagi leur demanda ce qu’ils allaient faire à Night City. Une certaine nervosité était palpable chez lui. Mais Peach estimait que cette virée imprévue à Night City lui offrirait tous les choix dont il avait besoin.

« On ne sait jamais vraiment à l’avance. On commence à l’Afterlife, et, après, on avise.
-  On y reste souvent une première partie de la nuit, à sucer des clients, ou à se faire prendre dans les toilettes, puis on va là où il y a des soirées… Le Lizzie’s Bar, par exemple.
-  Pour ta première fois, c’est fort probable qu’on aille au Lizzie’s. Tu sais, on nous emploie comme des publicités vivantes. Si tu veux être un F-Boy, il faudra que tu prennes goût au fait de te prostituer et d’aimer coucher avec des hommes.
-  Sinon, il y a aussi des clubs sadomasochistes… »

Difficile de savoir si cela le tenterait toujours. Avec une F-Girl, on avait tendance à perdre les pédales, mais les F-Boys ne servaient pas que pour les F-Girls. Peach et Courtney rejoignirent finalement le garage. Il y avait là plusieurs voitures de luxe. Le trio ne tarda pas à entendre des soupirs. Leur voiture était prête, c’était une belle voiture, et Meryl était là, occupée à baiser la femme qui faisait office de chauffeur. Peach expliqua à Usagi que cette jeune femme, Diane, était aussi leur garde du corps, car elle venait de Night City. Et, face à quelqu’un comme Meryl, quand on avait un joli cul, il ne tardait pas à se faire remplir ! Le corps de Diane rebondissait contre le capot à l’avant, et elle gémissait fortement, tandis que Meryl continuait avec force ses coups de reins.

La main de Courtney caressa la culotte d’Usagi, et il sourit à ce dernier.

« Tu bandes, hein ? N’hésite pas à faire ressortir ton sexe de sa culotte, il faut que tu t’habitues à cette sensation… »

Peach et Courtney m’expliquent que le programme d’une de ces soirées n’est jamais connu à l’avance. Ils vont d’abord à l’Afterlife où ils restent une première partie de la nuit à sucer des clients ou à faire l’amour dans les toilettes puis ils vont là où il y a des soirées. Ils me disent qu’on va surement aller au Lizzie’s pour ma première fois et qu’il faut que je commence à m’habituer à l’idée de servir de publicité vivante si je veux être un F-Boy.

« Ils vous en ont parlé ? Je pensais qu’il y avait un secret professionnel entre les médecins et leurs patients. Enfin… au moins vous allez pouvoir m’aider à me décider ce soir. »

Je rejoins le garage avec mes deux camarades de soirée et nous allons retrouver Diane, la femme qui sera à la fois notre chauffeur et notre garde du corps pour cette soirée, qui est un peu occupée pour le moment puisqu’elle est en train de se faire baiser le cul par Meryl. Le spectacle de son corps rebondissant contre le capot et la musique de ses gémissements me font rapidement bander, ce dont Courtney profite pour venir me caresser en me disant que je ne dois pas hésiter à faire ressortir mon sexe de ma culotte pour m’habituer à la sensation.

« Hhmm… bonne idée. »

Je passe ma main sous ma jupe pour remettre mon sexe en place et c’est déjà un peu plus confortable mais je sens que je vais souvent devoir réajuster ma culotte au cours de la soirée. Je parie que certains clients des bars et clubs qu’on va visiter ne se priveront pas d’apprécier la vue et d’autres seront assez audacieux pour venir m’aborder en pensant que je suis un coup facile.

Diane se fait encore prendre pendant de longues minutes après notre arrivée. Ça m’excite tellement de voir ça que j’ai presque envie de me branler devant elles mais heureusement elles arrêtent avant que l’envie ne soit vraiment trop forte. Je dois me maîtriser, une soirée bien remplie m’attend. Diane nous fait monter en voiture et nous voilà partis pour la gare. La banquette arrière est si grande qu’on peut y rentrer à trois et qu’on a assez de place pour étendre nos bras et nos jambes.

« OK les garçons, j’imagine que vous avez hâte d’être à Night City pour faire la fête mais il faut qu’on repasse en vue les règles. Déjà, qui parmi vous n’est jamais allé à Night City ? »

Je suis le seul à lever la main. Quand on y pense c’est assez étrange que je ne sois jamais allé là-bas alors que j’ai été un fugitif hautement recherché, mais je me disais que je serais encore moins en sécurité dans cette ville qu’avec les forces spéciales aux trousses.

« Usagi c’est ça ? Première soirée à Night City avec deux F-Boys… j’espère que ton petit cul est prêt. Mais si tu veux vraiment t’amuser il va falloir que tu suives mes consignes c’est compris ? »

« Oui madame. »

« Madame ? En voilà un qui a été bien éduqué.
Déjà dis-toi que tu seras plus en sécurité que la plupart des paumés qui seront de sortie à Night City ce soir. Y’a que les désespérés pour s’en prendre à ce qui appartient aux grosses sociétés, et maintenant tu rentres dans cette catégorie puisque tu bosses pour Fut’Corp. Malgré tout on peut toujours tomber sur un suicidaire donc voilà les règles à suivre.
Première règle : je vous veux toujours dans mon champ de vision. Je dis pas que vous devez sucer le même mec à trois, même si ça me faciliterait le boulot, mais essayez au moins de rester groupés. »

« Mais… et si quelqu’un veut nous prendre dans les toilettes ? »

« Et ben vous irez vous faire prendre tous les trois. Encore une fois, pas obligé que ce soit le même gars mais en tout cas vous serez aux toilettes ensemble.
Deuxième règle : on y va doucement sur la picole, et surtout vous n’acceptez pas un verre si vous n’avez pas vu le barman le remplir. Et gardez toujours un œil sur vos boissons, les drogues circulent facilement dans ces endroits. L’Afterlife et le Lizzie’s sont plutôt sûrs là-dessus mais méfiez-vous si vous voulez aller ailleurs pendant la soirée. »

Là-dessus je ne crains pas grand-chose, les nanites élimineront toute drogue qui entrera dans mon organisme sans mon consentement. Ils éliminent aussi l’alcool donc je ne risquerai pas non plus de me saouler.

« Et enfin troisième règle : ce soir j’ai la charge de vos petits culs donc vous devez m’obéir au doigt et à l’œil. C’est pour votre sécurité, compris ? »

« Oui madame. »

« Ah oui ? On va vérifier. Usagi, va sucer Courtney. »

« Hein ? Mais… »

« Qu’est-ce que j’ai dit ? Au doigt et à l’œil. Et dépêche-toi, on est bientôt arrivés à la gare et je veux qu’il ait joui avant que vous descendiez. »

Je sais que ce n’est pas une question de sécurité, elle veut juste s’amuser avec moi, mais j’ai dit que je suivrai les règles et je ne veux pas contrarier Diane. En plus de ça je suis un petit lapin soumis, je ne peux pas m’empêcher d’obéir quand une belle femme me donne un ordre. Courtney sort son sexe et je n’ai qu’à me pencher pour commencer à le sucer.

« Peach, je dois regarder la route alors tu vérifies qu’Usagi fait bien ce que je lui ai demandé. Et décris-moi ce que tu vois. »

Peach expliqua sommairement à Usagi, en souriant, qu’il n’y avait aucun secret au sein de la Fut’-Corp. Tout ce qui se passait au sein de la Fut-Room restait dans la Fut-Room. Sur ce, le trio put voir Meryl en train de baiser très fort Diane. Le corps de la femme rebondissait contre le capot, elle glissait dessus, et Meryl lui tirait les cheveux, grognant et soupirant. Contre ses doigts, Courtney gloussa à son tour en sentant la verge d’Usagi durcir, et il laissa ce dernier remettre son string en place. L’élastique du string n’était pas dangereuse pour la verge, il n’y avait pas de risques d’irriter la peau, car la texture du string était pensée pour que le sexe d’Usagi s’y repose bien. Il devait juste s’habituer au fait de se sentir serré dedans. Le trio observa donc la scène, non sans quelques précisions de Peach :

« Diane est ma marraine. Ma mère et elle ont fait l’armée, mais, là où ma mère a rejoint le programme pour être F-Girl, Diane, elle, s’est mise dans le mercenariat… Elle connaît tous les fixers de Night City. »

Autrement dit, une femme plus dangereuse que ce qu’on pouvait penser. Meryl lui faisait d’ailleurs l’amour avec passion, mais sans chercher à l’humilier ou à la rabaisser comme elle le faisait habituellement avec ses amantes. Elle se mit à jouir dans le corps de Diane, soupirant longuement, puis salua ensuite leurs passagers. Diane reprit rapidement son sérieux, tandis que Meryl s’installa également dans la limousine, à côté de la place réservée à Diane. Le trio grimpa également. La limousine était très confortable, avec un minibar et même un  téléviseur intégré. On pouvait s’allonger, et assurément faire l’amour. Usagi avait toujours son érection, et Courtney s’était assis à côté de lui, frottant sa cuisse contre la sienne, faisant tout pour maintenir à feu doux la flamme qui brûlait chez Usagi.

Diane posa ses conditions, et on pouvait voir qu’elle ne rigolait pas. La sécurité était importante, et elle connaissait suffisamment les F-Boys pour savoir qu’ils aimaient bien jouer avec ses règles. Elle donna un exercice pratique, et Usagi, en rougissant, dut s’exécuter. Peach se déplaça un peu, et sortit son téléphone portable, puis l’alluma.

« Et voilà… Une petite vidéo pour mes fans… ! »

Dos tourné, Usagi ne montrait pas son visage, et Courtney posa ses mains sur sa tête, caressant ses cheveux.

« Eh bien… Usagi est en train de pomper le dard de Courtney, Madame Diane… Il y va franchement, c’est un vrai petit goinfre, hihi ! Et Courtney a l’air d’aimer ça. Fais un peace à la  caméra, Courtney, tu sais que mon public adore te voir bander !
-  Sa-Salut tout le monde, hmmm… »

Courtney avait lui aussi une bonne érection, et on pouvait compter sur les propos salace de Peach pour le faire jouir.

La limousine est vraiment confortable : en plus de la banquette moelleuse et spacieuse on a un minibar et même un téléviseur intégré. On pourrait s’allonger entièrement sur le sol et même y faire l’amour. J’ai du mal à croire qu’on nous fournit une limousine aussi spacieuse juste pour un trajet de vingt minutes entre les bureaux de Fut’Corp et la gare du Transcontinental, mais il faut dire que je ne suis pas habitué au luxe qu’offre les grosses sociétés.

Diane m’a donné un ordre et je dois lui obéir, même si je sais que ce n’est absolument pas pour notre sécurité. En tout cas me voilà allongé sur la banquette à sucer Courtney pendant que Peach filme avec son téléphone tout en décrivant ce que je fais à Diane dans un langage bien salace.

« Hhhmmm… »

Savoir que Peach est en train de filmer ma fellation et que tous ses fans vont me voir sucer Courtney comme « un vrai petit goinfre » pour le citer… ça m’excite. Je dois vraiment avoir un truc avec le fait d’être filmé ou pris en photo pendant l’acte, je sens mon érection reprendre de la vigueur sous ma jupe. Je me souviens que j’étais complètement déchaîné dans les bureaux quand toutes les employées sont venues me filmer alors qu’on me sodomisait et que j’avais le corps couvert d’insultes, et maintenant j’ai presque envie de soulever ma jupe pour montrer mon joli cul à la caméra. Je ne le fais pas parce que la position n’est pas idéale pour que je puisse lever ma jupe et que je ne tiens pas à me montrer plus que nécessaire au cas où cette vidéo serait beaucoup partagée. Il suffirait d’un rien pour que le gouvernement me retrouve avec ce genre de trace.

« Ggghhh… »

Je suis ravi de sucer Courtney mais je déteste sentir ma verge être serrée. Pourquoi a-t-il fallu qu’ils me mettent un string ? Une culotte aurait déjà été gênante alors un string… j’ai tout le temps envie de tortiller du cul pour le remettre en place et j’imagine que c’est exactement le but recherché par mes camarades de sortie. J’essaie d’oublier cette gêne en me concentrant sur ma fellation, je pompe le dard du F-Boy avec appétit en montrant tout ce que j’ai appris auprès des F-Girls et j’écoute avec délice comment Peach décrit mon œuvre à Diane. La soirée commence à peine et je m’amuse déjà comme un petit fou, j’ai hâte de voir ce qui nous attend à Night City.

A force de pomper je parviens à faire jouir Courtney et j’avale toute la semence qui gicle dans ma bouche, j’attends que Peach coupe sa caméra pour me redresser. On arrive à destination, Diane gare la voiture et coupe le moteur avant de se tourner.

« Allez petites cochonnes, tout le monde descend. »

Je sors de la limousine avec les autres et Diane vient tout de suite me mettre une tape sur les fesses.

« Ah ! »

« Tu as pris ton temps mon lapin. Avec vingt minutes de trajet je pensais que tu aurais le temps de sucer Courtney et Peach. Il va falloir t’améliorer si tu veux tenir le rythme chez Fut’Corp. »

« Ah bon ? Les F-Girls avaient l’air assez contentes quand je les suçais. »

« Dans les bureaux on peut être pépère et prendre son temps pour sucer. Quand on est dans un club, à l’arrière d’une voiture ou dans une ruelle, il faut être rapide et efficace. Tu dois être capable de faire jouir un gars avec ta bouche en moins de cinq minutes si tu veux être un bon F-Boy. »

Je n’aurais jamais pensé que le sexe était si différent en fonction du lieu. Il faut dire que mes seules expériences étaient en intérieur, que ce soit au Lys ou dans les bureaux de Fut’Corp. Je n’ai jamais fait l’amour dans un endroit qui n’avait pas quatre murs, sauf la fellation que je viens de faire à Courtney dans la limousine.

« Allez on s’active, il ne faudrait pas rater le train. Peach, Courtney, expliquez un peu à votre copain comment vous faites quand vous êtes à Night City et que vous enchaînez les pipes et les sodomies. »