The Multiversity

Entre elles, tout n’était qu’amour. Un amour fort et puissant, qui ne semblait jamais devoir s’altérer. Elles avaient été séparées quand Ivy avait quitté Gotham pour s’exiler au Japon, et cela n’avait été que point mieux de retrouver. Harley avait elle aussi survolé le Pacifique pour rejoindre sa « Pamy-chérie », cette belle plante aux cheveux rouges. Elles s’embrassèrent avec passion, partageant entre elles la semence de Natalia. Elles prolongèrent ensuite le baiser, assez longtemps, tandis que Natalia respirait longuement, son corps magnifique embelli par la sueur qui coulait sur son corps.

« Hmmm… »

Ivy lui sourit ensuite, et lécha les lèvres de Harley, les nettoyant proprement. Sa verge était toujours là, reposant durement dans son fondement. Sa partenaire lui demanda si elle comptait lui remplir le cul. Ivy sourit malicieusement, et l’embrassa encore, tout en la déplaçant.

Le corps de Harley heurta le bureau, et Ivy se concentra.

« Je vais tout te prendre, mon amour… »

Elle sourit malicieusement. Ivy se concentrait donc, et une deuxième verge se mit à pousser. Ce second membre se rapprocha du sexe de Harley.

« Deux fois plus de plaisir… Et, après tout, je dois tout faire pour te rendre enceinte, ma chérie… »

Cette perspective, celle de fonder une famille, elle était réelle. Maintenant qu’elles s’étaient remises ensemble, Ivy ne laisserait plus jamais Harley la quitter. Plus jamais elle ne retournera auprès du Joker, Ivy ne le tolèrerait pas ! Elle la prit donc à deux reprises, s’enfonçant tant dans son fondement que dans sa chatte.

En la prenant ainsi, Ivy attrapa les jambes de Harley, et les releva. Elle les saisit ainsi, écartant ses jambes à droite et à gauche, tout en continuant à la prendre. Le bureau sur lequel Harley s’était appuyé se mit à remuer d’avant en arrière, au gré des coups de reins de Pamela.

« Haaa… Que tu es bonne, ma chérie !! Hmmm… Je t’aime tant, ma petite folle ! Couine pour moi, couine !! »

Nul doute que Harley était folle dingue de sa jardinière. La belle plante qu'était Pamela était son premier amour lesbien et en terme d'amour avec un grand A – et accessoirement un joli petit cul aussi – cela resterait Pam. Leur couple tolérait le volage ici et là, ensemble ou non, du moment que leur lit restait leur lit et qu'elles s'aimaient. Harley a longtemps tangué, amoureuse du Joker, rejeter pour pleurer sur les cuisses d'Ivy, cette dernière laissant son engrais pour mieux cultiver leur amour naissant et ainsi de suite, après de nombreux vas et viens, elle était décidée à rester avec elle à jamais. À l'épouser si besoin, mais surtout, à fonder une famille. Elle avait ce désir en elle, pas seulement pour faire plaisir à Paméla, mais pour ressentir ce besoin d'être mère. Inconsciemment, elle voulait le ressentir de nouveau, même si pour ça, elle n'en gardait aucun souvenir. Sauf que cette fois, rien ni personne ne saura priver l'enfant de ses mamans. Alors peu importe qu'elles doivent essayer dix, cent ou un million de fois ! Elle écartera les cuisses aussi souvent que nécessaires pour y parvenir ! Qui sait, ce changement de pays et ce froid aideraient peut-être à faire pousser la petite graine en elle ?

« Oh, mais après ça, Pamy-chérie... N'hésite pas à me double féconder~ »

Pam et Harley avaient droit de se faire plaisir, mais c'était aussi bien de doubler leur chance en doublant la dose de foutre en elle. Se tenant au bureau pendant que la belle rouquine lui écartait les cuisses, elle lui prenait ses deux trous, la faisant couiner doucement alors que la belle plante commençait le travail, emportée dans son élan de luxure.

« Haaaan ! Haaaaaaaan ! Haaaaaaan Ouiiiiii ! Pamy-chériiiiiiiie continuuuuuuuuee~ »

Elle la connaissait bien, elle savait comment lui faire plaisir dans les bons comme les mauvais jours, avec ou sans sexe, elle connaissait sa chérie sur le bout des doigts alors quand elle demandait ce genre de chose, elle savait comment rendre Pamela heureuse alors qu'elle se mordillait la lèvre inférieure en la regardant. Sa langue passait doucement sur ses lèvres tandis qu'elle ouvrait sa bouche, faisant pendre sa langue en se redressant un peu.

« Haaaaan, Pam... Haaaan, embrasse-moi~ Tes bites sont hm, toujours si bonnes mais... ma bouche a besoin de toi~ »

Et d'elle, pas de ses plantes, langoureuses ou sauvages, elle s'en fichait, elle voulait sentir sa langue en elle, sa salive qui se mélange à al sienne, sentir son goût sur la langue.

« Embrasse-moi et après... Défonce-moi ! »

L'amour avait bien des visages, elle pouvait être aussi beau que les plus beaux poèmes et les muses des plus grands peintres, petits ou grands nom de l'histoire, comme l'amour pouvait être aussi tendre que le plus hardcore des films porno ou ça hurle dans tous les sens. Pam et Harley, c'était un peu ça, elles passent du coq à l'âne avec pourtant toujours le même message, qu'il soit subtil ou évident. Leur amour et en l’occurrence, l'envie de faire en sorte qu'un plus un, égale trois.

Ce que femme ordonne, femme a ! Ivy avait déployé deux verges, signe de son excitation, à tel point que ses yeux en prenaient une teinte rose ! Plus que jamais, elle avait avec Harley un désir d'amour profond, charnel, mais aussi plus intense, plus... Complet. Elle voulait l'épouser, et fonder une famille avec elle. Elle ne le réalisait pas encore, mais elle tenait la clef de ses recherches dans cette chambre. Black Widow savait des choses que Poison Ivy ignorait, et, tandis que Natalia reprenait ses esprits, elle commençait elle aussi à ressentir du désir envers cette femme. Au sein de la (i]Red Room[/i], on avait fait en sorte que toutes les Widow ne puissent pas procréer, qu'elles ne ressentent jamais le besoin d'enfant, un désir qui se heurterait nécessairement à leur sens du devoir. Alors, depuis qu'elle s'était arrachée à l'influence néfaste des agents de la Red Room, et qu'elle s'était rapprochée des Avengers, elle avait aussi mené des recherches pour guérir. Tout cela, elle y pensait fugacement en regardant les deux femmes continuer à faire l'amour. Dehors, la nuit était bien avancée, si avancée qu'on se rapprochait du jour. Le ciel nocturne avait pris une teinte plus bleuâtre, l'un des premiers signes de l'aube naissante. Mas ces deux femmes étaient tout simplement inépuisables !

Avec ses deux verges dressées, Pamela plaqua furieusement Harley contre le plus proche mur, et l'embrassa. La belle plante semblait même s'être épaissie, grandissant et durcissant légèrement son corps, se musclant. C'était une conséquence de ce double phallus, de toute cette testostérone qui bouillonnait en elle. Elle était magnifique ! Poison Ivy la prenait, et le mur tremblait. De l'autre côté, il était à ce stade impossible de dormir. Entre les hurlements des unes et des autres, puis les solides coups de reins de Pamela... De fait, les vibrations résultant de ces coups de reins se diffusèrent dans tout l'hôtel. Poison Ivy montrait au monde entier son amour inconditionnel pour son petit clown. Elle l'embrassait, l'empêchant de hurler, et maintint le contact pendant de longues minutes. Une main sur ses cheveux, l'autre sur ses fesses, elle donnait de grands coups de reins, se reculant, entraînant avec elle le bas-ventre de Harley, puis repartait en avant, la besognant avec force, avec férocité.

« Hmmm ! »

En la déplaçant, Ivy avait aussi changé ses trous, et avait enfoncé sa première verge dans la chatte de Harley, puis la seconde. Elle grognait sur place, car l'espace était très étroit, et elle sentait le corps de Harley se crisper. Elle la laissa mordre, griffer, se presser avec force contre elle, se tortillant contre le corps musclé de sa partenaire. La douleur était bien compréhensible, et Ivy finit par déplacer sa deuxième main, l'amenant elle aussi sur les fesses de Harlkey, puis continua à la prendre, à la bourrer furieusement, jusqu'à l'orgasme final, qui risquait d'être particulièrement explosif !

Tout cela débordait d'amour ! Harley et Ivy, malgré les hauts et les bas, là, c'était le pic de leur amour ! Cela planait toujours là-haut, dans ses environs et la seule façon d'aller plus haut encore, c'était de s'épouser et d'avoir un enfant au moins. Deux projets qui étaient en cours. Si Natalia agitait le drapeau blanc, ça ne les gênait pas, ça leur donnait l'occasion de s'aimer plus encore ! L'arlequin était baladé par sa belle plante qui la prenait sous tous les angles, peu importe dans quel endroit de la chambre. Elle s'était accrochée à elle alors ça pouvait autant être sur le lit que sur le tapis, la table, la commode, contre le mur, qu'importe ! C'était toujours un plaisir ! Avec ses deux verges, elle faisait de sa Harley une femme heureuse et ce n'était pas fini ! Accrochée à elle, elle se faisait baiser sans la quitter, se frottant à son corps, elles se l'embrassaient quand elle n'était pas occupée à hurler de plaisir dans la chambre.

« Haaaaaaaa ! Pamyyyyy chééééériiiiiiiiie !!!! »

Pamela comptait passer à l'étape suivante, ralentissant la chevaucher, elle se concentrait pour placer ses deux verges dans le même trou. L'une y était déjà bien installée, mais la seconde tenait à l'accompagner et cela n'était pas sans douleur. Harley serrait les dents en se crispant à sa chère et tendre. C'était une tendre douleur, mais une douleur quand même en sentant sa grosse tige forcer le passage. Elle tâchait de ne pas faire mal à sa belle plante, mais c'était dur ! Comme ses verges !

« Houuuuuuuuuu ! Pu-tain !!! Tu me fait si mal, Chérie ! Mais continue.... Allez, défonce la chatte de ta Harley... Remplis-moi de ton engrais... haaaa... Remplis ma chambre à bébé de ton amour~ »

Le final était soufflé à son oreille, une douce petite voix, un petit choc sur sa lobe de ses dents qui venaient la pincer. Elle avait déjà répété ça ou des phrases similaire par le passé, mais elle ne perdait pas espoir, un jour, elle sentira un poids dans son ventre, mais elle savait qu'elle aura une Pamela aux petits soins pour elle et leur bébé et ça, ça valait toutes les peines à venir. Ses jambes bien enroulé à sa taille, il ne restait plus qu'à savourer, profiter et croiser les doigts tandis que Poison Ivy redoublait, triplait ses efforts pour la faire tomber enceinte dans ce final des plus sublimes et des plus savoureux ! Pour sûr, elles allaient bien dormir quand la fatigue sera là.

Au matin…

La chambre de Pamela et de Harley était assurément dans un piètre état.  Tandis que le soleil s’était levé, et que l’hôtel semblait ressortir d’une sorte de transe, Ivy rouvrit les yeux. Elle avait baisé Harley comme jamais cette nuit, terminant par une double verge. Une explosion orgasmique finale qui l’avait amené à s’effondrer dans lez lit. Elle se réveilla donc en sentant le corps nu de Harley lové contre elle, sur sa gauche… Et le corps de Natalia également lové sur sa droite.

*Oh, la vache…*

Ce fut ce à quoi elle pensa avant de s’endormir encore.
L’après-midi…

Pamela rouvrit les yeux en sentant contre elle le corps endormi de Harley. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, et sourit à sa belle, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« Coucou, toi… »

La voix de Pamela était légèrement épuisée. Elle se retourna, et constata que Natalia n’était plus dans le lit. L’espionne avait dû se réveiller plus tôt que prévu. Pamela traîna encore un peu, et étouffa un bâillement. Elle finit par se relever au bout d’un moment. Harley était plutôt celle qui traînait au lit, et, après tout, c’était quand même Pamela qui l’avait furieusement baisé. Qu’elle reste donc endormie n’était finalement pas si surprenant que ça. Pamela se releva, toute nue, et ouvrit la fenêtre, laissant un peu d’air frais venir. Dehors, cette ville semblait plus perdue et paumée que jamais. Pamela sentit rapidement l’air frais lui saillir le corps, et vit que des flocons commençaient à tomber. Un pick-up roulait rapidement sur la rue principale.

La porte de la chambre s’ouvrit alors. Pamela se retourna, et vit Natalia. Elle portait des vêtements urbains. Loin de la combinaison moulante, elle avait enfilé une épaisse doudoune avec une capuche, des moufles, et un pantalon.

« Oh… Vous êtes réveillées ?!
-  Oui… Et il va falloir qu’on prenne du café.
-  Ils en servent en bas… »

Pamela hocha la tête. Il allait sûrement falloir qu’elles parlent de ce qui s’est passé cette nuit.

« J’ai acheté une carte. La route vers le col de Dyatlov va se compliquer, il y a de la neige qui s’annonce. »

Pamela hocha la tête, puis caressa la joue de Natalia. Sa joue était froide, signe qu’elle était effectivement sortie. Elle la vit néanmoins rougir, et l’embrassa chaudement sur les lèvres.

« Attends-nous en bas, ma chérie, le temps qu’on se prépare…
-  B-Bien, Maîtresse… »

Pamela se retourna vers le lit, et retourna se coucher dedans, pour embrasser à nouveau Harley.

« Debout, mon petit cœur, fit-elle d’une voix douce. On s’est bien amusées, mais il faut se réveiller… »

Un réveil compliqué ? Oui, c'était toujours comme ça avec Pamela, quand elle était décidée à se donner à fond la nuit, les réveils n'étaient pas si simple. Harley avait beau être habituée, ce n'était pas une chose qu'elle faisait facilement. Mais une nuit à dormir contre elle était toujours reposante. Cette petite odeur de plante qu'elle avait sur sa peau, c'était comme se réveiller dans un champ de fleurs, c'était agréable... Sauf si on était allergique aux fleurs. Quand cette dernière la tirait de son sommeil, elle se réveillait en souriant, ses bras se tendaient vers la source de la voix pour la serrer dans ses bras. Ce n'était pas forcément le signe que le sexe allait de nouveau avoir lieu, mais c'était pas impossible non plus.

« Mmmmmmh~ Ma Pamy-chérie~ »

Arrivant à ses lèvres, elle l'embrassait tendrement, pour bien commencer la journée, même si le soleil n'avait pas attendu leur réveil pour se mettre au travail. C'est aussi ça l'amour, il fallait pouvoir subir l'assaut amoureux de sa fiancée et pouvoir se réveiller à l'heure... c'était un peu compliqué comme dernier point cela dit. Le corps nu, sous cette légère fraîcheur, elle l'attirait contre elle pour la sentir tout contre elle et enfin ouvrir les yeux. Même au petit matin, Pamela était magnifique ! Elle, elle devait avoir quelques épis dans les cheveux vu leur nuit torride et la sève qui avait éclaboussé ici et là, , mais une fois encore, l'amour de Pamela ! Un baiser tendre mais pas trop long, admirant surtout sa crinière rousse, sa peau verdâtre, la femme de sa vie était forcément la plus belle au monde, même dans ce pays froid.

« Est-ce qu'au moins... je t'ai fait faire de beaux rêves ? »

Même si elle ne s'en souvenait déjà plus, ils étaient forcément beaux les siens. Que ce soit purement sexuel ou plus cliché que les rêves d'un pré-ado qui découvre l'amour en s'imaginant tenir la main de sa belle sur un cheval blanc dans un monde féerique. Mais comme toujours, Harley rêvait de cet instant ou elle sentirait des nausées le matin, car l'on disait que c'était signe qu'elle serait enceinte ? Et que ce soit des rumeurs ou la vérité pure, elle espérait au moins un jour que Pamela découvre la vérité et qu'Harley porterait son bébé. Qui sait, c'était une belle plante donc, les « mauvaises » choses d'une femme enceinte, ce n'était peut-être pas pour elle ?

« Est-ce qu'on commence cette journée sérieusement, ou alors ma belle jardinière va tenter de planter sa petite graine ? Mon jardin t'est toujours ouvert, mon amour~ »

C'était mielleux, mais elle aimait ça, une façon imagée de parler de procréation.

Elles avaient du travail à faire. Pamela et Harley n’étaient pas venues dans ce coin paumé pour faire du tourisme. Alors, en toute logique, elles n’auraient pas dû traîner au lit. Natalia était partie avant elles pour préparer la suite de leur voyage, et il y avait fort à parier que leur longue séance de sexe de la nuit avait mis en retard la quasi-totalité des occupants de cet hôtel. Mais, quand Harley lui demanda si elle avait « au moins » fait des beaux rêves, Pamela savait qu’elle ne pouvait laisser cela sans réagir. Elle était en couple avec Harley, mais elle savait aussi que Harley souffrait d’un fort complexe d’infériorité, un complexe qui avait curieusement rejailli avec la présence de Black Widow. Ce complexe se traduisait par de curieuses pointes de jalousie. Quand elle était en couple avec le Joker, Harley était souvent manipulée par Batman, grâce à ça. Pamela ne souhaitait pas laisser un ver contaminer le fruit. Elle observa donc sa belle, puis lui sourit, et l’embrassa ensuite, quand Harley lui demanda si elle se sentait prête pour lui faire l’amour.

« Moi qui pensais que tu serais rassasiée après cette nuit de sexe… » s’amusa-t-elle.

Harley ne tarda pas à sentir contre sa chatte une excroissance venir du corps de Pamela. La semi-Alraune déploya sa verge, et la pénétra tendrement, s’allongeant sur elle. Un missionnaire classique. Pamela voulait lui montrer que Harley restait l’objet de son désir, de sa flamme, de son amour.  Depuis sa transformation, les sentiments humains lui avaient souvent semblé très éloignés.

« Là, je suis en toi, hmmm… »

La verge d’Ivy était ramollie et flasque. Cependant, elle ne tarda pas à durcir, à gonfler, comme une plante qu’on abreuverait d’eau. La verge de la jeune femme se mit lentement à durcir, tandis qu’elles s’embrassaient. Pamela remuait en elle, commençant à donner de solides coups de reins. Elle savait déjà que, si Harley faisait un test de grossesse, il serait négatif. Mais là n’était pas la question pour elle.

« C’est toi que j’aime, Harley… Natalia… Elle est comme notre esclave, notre source de renseignement… Je n’ai accepté cette mission… Hmmm… Que dans la perspective d’obtenir son aide et celle de son organisation pour améliorer ma condition, et pouvoir enfin te rendre enceinte, ma chérie… Tout ce que je fais, je le fais pour toi, pour nous… Alors, quand je rêve, je rêve toujours de nous, car fonder une famille avec toi, c’est la seule chose que je souhaite ! »

Harley ne pouvait pas se contenter d'un réveil classique, pas pour le moment en tout cas. Lorsqu’elle sera enceinte de sa femme, elle pourra imaginer se réveiller simplement avec un câlin et un café que lorsqu'une petite graine sera en train de pousser en elle. Une mini-Pamela qui grandirait en elle ! Peut-être sera-t-elle aussi rousse ? Mais alors elle portera des lunettes, comme elle. Ou alors elle sera très joueuse et joyeuse ? Ou alors ce sera comme elle une petite blondinette adorable qui aimera faire des câlins à ses mamans ? Seul l'avenir le leur dira ! Sa femme ne tardait pas en tout cas à venir lui prouver son amour, son érection commençait déjà à se faire sentir, ce qui mettait la belle blonde en appétit.

« Mmmmmh~ c'est ce que je veux, han, aussi, ma chérie... Porter notre bébé... Devenir mamans... Je veux notre bonheur, haaan, Pamy-chérie. »

Ses bras se tendaient, venant attiré à elle la belle plante pour prolonger leur baiser tout en sentant sa verge remuer en elle. C'était si plaisant et si bon, elle savourait cet amour dés le réveil, il était très plaisant. Même si elle ne tombait pas enceinte de suite, sa maigre compensation était ses instants de bonheurs. Ça comptait beaucoup, oui, mais c'est sûr que le jour où elle se saura enceinte, cet instant sera du pipi de chat comparé au bonheur qu'elles auront toute les deux. Même si Harley aimerait avoir quelques enfants, deux ou trois, quatre, maximum, elle saurait qu'un seul serait déjà une bénédiction pour elles. Ses mains glissaient sur ses épaules, dans son dos, sa peau était douce et chaude, elle se laissait enivré par le plaisir.

« Mmmmh haaaaaa~ Remplis moi, Pam'... Ensemence mon jardin huuuuuum~ ! »

Elle se cambrait sous les différents coups de reins pleins de passion de sa fiancée. C'était toujours aussi bon, même après des milliers de fois.

Aussi parfaite soit-elle, Harley manquait de confiance en elle. C’était un point inhérent à sa personnalité, Ivy l’avait constaté. Cela compensait avec Ivy, qui avait plutôt tendance à se surestimer. Elle savait que le Joker avait su exploiter cette faille en elle pour faire sombrer la brillante psychiatre qu’elle était, et transformer Harleen Quinzel en Harley Quinn. Elle s’était identifiée à « Red », voyant en elle lez symbole de la femme forte et indépendante qu’elle rêvait secrètement d’être… Et qu’elle avait fini par devenir. Seulement, le pivot n’était plus son « Mister J. », mais elle. Pamela acceptait ce rôle, elle était moins toxique que le Joker, et plus soucieuse de mener avec Harley une vie normale. Elle, elle l’aimait pour ce qu’elle était, et elle ne voulait pas la changer. On aurait pu croire qu’il fallait guérir Harley Quinn, reconstruire Harleen Quinzel, mais ce n’était pas le point de vue de Ivy, qui aimait sa Harley comme elle était : énergique, vive, enfantine, et terriblement perverse. Poison Ivy la prenait donc avec force, soupirant longuement, et sourit donc quand Harley demanda à se faire remplir par elle.

Oui, c’était aussi ce complexe d’infériorité chez Harley qui la rendait si énergique, si désireuse de s’assurer que Ivy l’aimait toujours, elle qui avait tant de prétendants, elle qui pouvait séduire si facilement. Poison Ivy sourit doucement, et l’embrassa donc, s’étalant sur elle. Pour leur réveil, c’était une prise en missionnaire, le rythme s’amplifiant lentement. Ivy gémissait, et retourna embrasser sa belle, posant sa main sur sa nuque, serrant ses cheveux. Le lit grinçait doucement sous elles, et Pamela continuait à la prendre, faisant attendre Natalia.

« Toi… Toi, tu as besoin d’amour, ma chérie… Quelle gourmande tu fais, je t’ai baisé toute la nuit, et tu en redemandes, haaaa… »

Mais tout était bon pour la féconder ! Plus que jamais, Ivy avait envie d’un bébé, de rendre son sperme fécond. Une tâche qui lui semblait pour l’heure impossible. Mais Pamela et Harley ne désespéraient pas, et elles aimaient faire l’amour ensemble. Alors, Pamela continuait à la baiser, amplifiant le rythme, avec force, sa verge durcissant solidement, s’abreuvant de l’engrais naturel que Harley sécrétait entre ses cuisses.

« Là, là, jouis, ma belle, hummm… Répands-toi de tout ton amour pour moi… Et sache… Hmmm… Que je t’aimerai toujours, haaaa…. T-Toujours, hmmm… »

Harley n'avait pas besoin de raison spéciale pour faire l'amour à sa Pamela chérie. Même si l'arrivée, temporaire ou non, de Natalia dans leur vie, l'obligeait à redoubler d'efforts. Une rouquine en tenue moulante qui se balade autour d'elles, ça non ! Harley n'était pas spécialement jalouse, mais déjà le fait qu'elle avait enquêté sur elles, fouillées dans leurs affaires, elle n'avait pas aimé ça... et que ce soit marqué sur leur fichier ou non, que sa tenue soit si moulante, ça non ! Il n'y avait qu'elle que Pamela pouvait observer à longueur de temps dans de belles petites tenues bien moulantes ! Mais on en était loin, même si la page s'était doucement tourné, pour l'instant, c'était que entre elles, Harley et Pam', rien qu'elles, et c'était tout ce qui faisait le bonheur de la belle Harley. Voir sa belle Pam qui la prenait avec amour, en ayant qu'elle dans son reflet, c'était merveilleux. Elle en voulait plus, même si leur projet était d'avoir un enfant, qu'importe que ça arrive aujourd’hui ou dans trois mois. Elles s'aimaient.

« Oh ouiiii, ma chérie~ Je te donne, hum, tout mon amour... Tout mon nectar~ »

Elle mouillait abondamment pour elle, bientôt, entre leurs bruits de respirations et leurs gémissements, le bruit spongieux de leur ébat se mêlait à tout cela, rendant le tout encore plus érotique. Se sentant approché de la fin, comme de Pamela, Harley la ceintura avec ses jambes, la coinçant pour qu'elle y aille à fond sur la fin et surtout, tout au fond.

« Allez, ma chérie ! J'arrive, viens avec MMMMOIIIIIIIIIII !!!!!! »

Serrant Pamela à la taille avec ses jambes, elle atteignait le paradis, les yeux clos en criant son amour. Dans sa tête, se dessinait l'image d'une adorable petite rouquine à lunettes. Ça y est ? Leur petite Pamy/Harly allait grandir en elle ? Impossible de savoir, mais elle espérait. Enfin, elle ne partageait pas cela avec sa chérie, elle a si souvent imaginé cette petite rouquine, sans jamais la voir grandir en elle. Mais ça viendra un jour, elle avait confiance pour ça. À la place de mots, ce fut un langoureux et doux baiser tandis qu'elle libérait sa dulcinée de ses puissantes cuisses, restant paresseusement dans le lit.

« C'est pourtant toi qui m'as appris que les plantes avaient souvent soifs. »

Sa bouche ne fut pas spécialement nourrie, mais cela pourrait se régler plus tard dans la journée, ou maintenant, mais ça risquait d'être plutôt crémeux. Après un réveil si doux, il sera temps pour elles d'aller donc continuer leur petit périple dans ce pays froid et voir ce qui les attendaient au bout de la route. Après tout, leur mission n'avait rien de facile et, où la fin serait de découvrir une belle petite plante rare, ça pouvait facilement tourner au vinaigre tout ça...

Enfanter sa petite Harley, sa délicieuse et délicate fleur, c’était bien l’objectif de Pamela. Qu’elle porte son enfant, puis que Pamela porte leur enfant. Cela semblait impossible, et elle avait même souvent été découragée, mais Yoake était source de miracles. Pour Pamela, Natalia n’était qu’une distraction, une très bonne amante, mais son cœur appartenait à Harley. La jalousie d’Harley était toutefois quelque chose de réelle, même si elle le niait. Cette fragilité, elle l’avait toujours en elle, et elle l’aurait sans doute toujours. Cela faisait de sa personnalité, et Pamela avait appris à faire avec. Elle la pénétrait donc, avec force, et récompensa Harley par sa semence. L.es jambes de son clown s’enroulèrent autour de sa taille, et Harley appuya fort, pour s’assurer que le membre de Pamela soit le plus loin possible niché en elle.

« Oh, Harley… »

Les deux femmes s’embrassèrent dans un ultime baiser, tandis que Pamela se mit à inonder la chatte de sa partenaire. Sa queue tressauta en elle, et elle récompensa Harley pour sa dévotion et pour son infaillible amour par une épaisse vague de sperme qui fusa dans son adorable ventre… De quoi la fertiliser ? Peut-être… Mais Pamela ne voulait encore rien parier. Tout vient à point qui sait attendre…


« Nous avons encore du chemin jusqu’au col Dyatlov, et les choses commencent à se compliquer. »

Assise face à Natalia dans l’auberge de l’hôtel, Pamela la laissait parler, tout en caressant le dos de Harley. Tout l’hôtel avait été marqué par les spores de Pamela, mais personne ne semblait rien leur dire. De toute manière, Ivy aurait nié toute implication. Malgré cette folle nuit, les choses se déroulaient plutôt bien, et Widow avait profité de leurs ébats tardifs pour peaufiner l’itinéraire.

« Contrairement à ce que les Américains pensent, le gouvernement russe n’a pas un contrôle absolu sur ses territoires et sur la totalité de ses oblasts. L’enlisement de la Russie en Ukraine amène certains leaders locaux à critiquer la position de Vladimir Poutine, que ce soit parce qu’ils sont opposés au conflit, ou parce qu’ils estiment que le gouvernement n’est pas assez ferme avec les puissances occidentales qui soutiennent l’Ukraine. »

Pamela se rappela l’histoire de la révolte de la milice Wagner qui avait fait route jusqu’à Moscou, avant de s’arrêter à quelques kilomètres. Elle savait aussi que, derrière la propagande, l’économie russe ne se portait pas très bien, et était de base très inégalitaire.

« Il existe un mouvement rebelle, une milice, le Parti Ultranationaliste, mené par Imran Zakhaev, un marchand d’armes. Cette milice agit dans l’oblast où nous sommes. Donc, pour rejoindre le col, il va falloir emprunter des routes de campagne, jusqu’à rejoindre un petit village. Là-bas, nous pourrons obtenir des motoneiges pour rejoindre le col.
- Natalia, je te rappelle que ni moi ni Harley ne sommes des combattantes…
- J’ignore ce que les rebelles de Zakhaev font dans le coin, mais on peut raisonnablement supposer qu’ils ont entendu parler des phénomènes qui désordonnent la flore autour de la base abandonnée. Mais ne vous en faites pas, je sais que vos reins sont solides, mais je protègerai vos jolis petits culs… Que ce soit celui de ma Maîtresse ou le tien, Harley. »

Une nuit d'amour, comme toujours, avec sa Pamela. Depuis leurs retrouvailles, les nuits sans Pamela et/ou sans sexe, c'était rare ! Il fallait un événement spécial pour ça, qu'une ou deux soient vraiment occupée ailleurs ou avec quelqu'un d'autres. Tant que ce n'était pas par amour, elle s'en fichait, même s'il ne s'était rien passé, elle s'était amusé avec sa copine génie, genre génie de la lampe, mais sans lampe. Puis avec le White Rabbit aussi, ça fait un moment qu'elle a pas jouer avec sa bunny girl. Mais avec Pamela, c'était toujours l'amour fou. Elle était jalouse, certes, mais Harley a souvent été jeté comme un mouchoir usagé par l'homme dont on ne doit pas prononcer le nom, que cette peur restait là, à planer autour d'elles. Dans un sens, cette envie de fonder une famille, ce serait un ciment qui va rassurer Harley. Sa famille n'était pas un modèle de vertu et comme partout, parfois ça crie, mais ça se réconcilie et ça s'aime. Elle savait que son couple avec Pamela sera comme ça, une fois mamans, il y aura des hauts et des bas, mais ça ne sera jamais grave et elles s'aimeront en oubliant les sujets de discorde rapidement.

De retour à une réalité un peu plus morne et moins amusante, Nathalia évoquait la suite de leur mission, elle écoutait ça, allongé sur le lit en agissant ses pieds de bas en haut, par ennui, oui, mais elle écoutait. Cette mission, c'était pour aider Paméla, mais Harley avait connue plus palpitant comme mission. Crapahuter en Russie, dans la neige, le froid et les odeurs de vodka, mouais, Gotham craignait sur bien des points, mais quand elles sortaient en ville, elles n'avaient pas les trois points négatifs ci-dessus d'un coup, ou alors faut tomber sur la bonne ruelle bien craignos. L'arlequin avait certes enterré la hache de guerre avec sa copine rouquine de Russie, mais la terre était encore fraîche et la déterrer était simple.

« Protège mon cul si tu veux, moi, je me charge de celui de ma Fiancée ! Je reconnaîtrais son cul à l'aveugle et sans les mains. »

Elle ne disait pas cela méchamment mais elle soulignait bien avec un stabilo bien fluo que Pamela était SA Fiancée à Elle et qu'on n'y touche pas si facilement. Tel un chaton qui faisait la belle, elle se roulait dans le lit, près de sa Pamela chérie en levant sa main vers ses cheveux, jouant avec le bout de ses mèches oranges.

« De toute façon, s'ils veulent pas qu'on emprunte leur moto des neiges, suffit de se servir. J'ai toujours fait comme ça à Gotham. »

Certes, cela pouvait causer quelques soucis, mais même sans Pam, elle savait se défendre et éloigné les mauvais types à ses fesses, avec un peu comme beaucoup de bobos pour eux. Gothalm, c'était un peu le cancer de l'Amérique, la zone où le taux de criminalité était le plus haut, donc la Russie... bah, le plus dangereux ici, c'est le froid, après, ça allait.

« Faut juste espérer que la couleur des motos va bien se marier à ce qu'on porte ? Hum ? Ça, c'est embattent de pas savoir sur quoi on va tomber... »

Le pire, c'est qu'elle était sérieuse. Harley pouvait prendre un rien pour sujet passionnant et inversement, elle passait avec facilité du coq à l'âne, parfois comme une enfant, se lassant bien vite d'un sujet sérieux et épineux, préférant regarder une vidéo de chat sur Internet. Là, c'était un peu ça. Elle fantasmait leur viré en espérant que ça se passe comme ça, sinon... bah, ça sera moins drôle...

Comme quoi, entre la propagande du régime et la réalité… Les trois femmes étaient retournées dans leur chambre. On sentait encore cette odeur de sexe, de stupre, de renfermé… Elles avaient baisé comme des folles, et, même malgré& ça, Harley crut encore utile de rappeler à Natalia qu’elle se chargerait de protéger Pamela. Ivy sourit.

« C’est touchant, Harley… Tu es ma garde du corps, alors ? »

Harley n’avait en soi aucun super-pouvoir, mais Pamela l’améliorait régulièrement. Elle était son merveilleux cobaye. Tout avait commencé quand Le Joker avait enfermé la jeune femme dans une fusée artisanale. Elle s’était écrasée à Robinson Park, un parc de Gotham où Ivy s’était domiciliée. Pamela avait soigné Harley, et, en examinant son sang, modifié par les toxines du Joker, elle avait concocté un mutagène qui avait amélioré les réflexes de Harley, ainsi que son agilité, et sa force. Oh, pas de quoi rivaliser avec Superman, ou même Spider-Man, mais de quoi lui permettre d’être une gymnaste accomplie. Ivy se retourna ensuite vers Natalia, et l’interrogea sur la situation politique en Russie. Après tout, si on se fiait au discours officiel, Vladimir Poutine contrôlait d’une main de fer le pays.

Cela fit sourire Natalia.

« Tu as dû entendre parler de la rébellion du Groupe Wagner, non ? Tous les médias en ont parlé. La Russie est comme l’URSS, elle donne l’illusion de la puissance, mais elle gouverne par la terreur et par la force. Les Russes sont habitués à vivre comme cela, ils ont intériorisé cette soumission. Malheureusement, les rebelles comme Zakhaev ne sont guère des démocrates, ce sont d’anciens fidèles de Poutine qui voient ses échecs en Ukraine comme la preuve qu’il est faible, et souhaitent le renverser pour un régime plus intransigeant encore.
- Je me demande bien à quoi peut ressembler un régime plus tyrannique encore… »

Black Widow haussa les épaules.

« Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’on va commencer à s’aventurer en terrain dangereux. Depuis la guerre, les touristes sont rares en Russie, et encore plus quand on sort de Moscou.
- Très bien, très bien… De toute façon, il y a beaucoup d’arbres. Pour l’heure, je n’ai rien senti de particulier, mais nous verrons en nous rapprochant… »

Pamela se rapprocha de la fenêtre de l’auberge, observant la cime des arbres.

« Il me semble néanmoins percevoir un murmure diffus… Mais nous en saurons plus en approchant.
- Je vais essayer de trouver un camion, mais, avec les tensions actuelles, ce n’est pas simple.
- Fais donc, ma belle. »

Ivy l’embrassa tendrement, puis Natalia partit en lui souriant. Pamela se retourna ensuite vers Harley, et s’assit à califourchon sur elle.

« Je pense que nous avons bien une bonne heure avant qu’elle ne trouve son camion… Que dirais-tu de mettre ce temps à profit ? Je te sens encore un peu tendue, ma chérie, je crains de ne t’avoir pas suffisamment montré toute l’étendue de mon amour pour toi cette nuit. »

En souriant lentement, Pamela se pencha davantage vers Harley, et l’embrassa tendrement…