Re: Amies d'enfance [Hinata Kaguya]
Posté : 30 août 2024 01:44
Oui, Elena pouvait comprendre ça. Elle avait déjà fait l’amour avec Adamante, et, ce qu’elle adorait, outre le moment en lui-même, c’était aussi... L’après. La sueur collait leurs corps, et elle se blottissait toujours dans le creux des bras de la magicienne, la tête positionnée sur ses seins, laissant le sommeil la guetter. Là, les deux souveraines s’étaient un peu reposées, se relaxant, avant de reprendre de plus belle, quand Hinata enfonça deux doigts en elle. Elena se mit à gémir sous cette intrusion, écartant les cuisses, et, devant le compliment d’Hinata, sourit, tout en rougissant encore davantage, se mordillant doucement les lèvres. Ses mains, étalées sur son lit, se redressèrent, et l’une se posa sur les cheveux d’Hinata, amenant ainsi son visage contre le sien, l’embrassant une nouvelle fois, fourrant sa langue dans sa bouche.
« Hmmmm... Hi... Hinata, haaaa... Tu... Tu me fais tellement de... De biieenn, haaaa... ! »
Réussissant à parler, Elena papillonna des yeux à plusieurs reprises. Il était fascinant de la voir se dévergonder petit à petit, elle, la discrète et timide Reine. Est-ce que sa mère avait été comme ça ? Elena essayait de ne pas s’intéresser à ça, mais elle connaissait les rumeurs qui circulaient sur la vie sexuelle des Ivory. Elena savait par exemple que, depuis les quartiers royaux, un ancêtre avait jadis construit un harem secret, destiné à le soulager de ses pulsions insatisfaites par sa femme, une bigote que l’homme avait été forcé d’épouser pour apaiser les conflits entre la royauté et l’Ordre Immaculé. Mais, quant à Nöly, certains disaient que, si elle était amoureuse de Liam, il leur arrivait parfois d’inviter d’autres personnes dans leur couche. Elena n’avait jamais su si l’histoire était vraie, mais il était exact que beaucoup d’Ivory avaient été bien plus pervers que ce que l’histoire officielle en disait.
Elena allait-elle finir comme ça ? Mais en quoi était-ce mal de se faire du bien avec une amie ? Hinata était loin d’être une prostituée, c’était une amie d’enfance, une femme belle et agréable. La Reine ne se sentait nullement coupable de l’embrasser ainsi, ou de laisser la jeune femme explorer son intimité, jouer avec ses seins, ou même palper ses fesses... Bien au contraire, elle n’en ressentait qu’un immense plaisir, comme une vague grandissante, qui enflait progressivement en elle, menaçant de la submerger. Elle haletait, elle gémissait, soupirait de plaisir en se tortillant sur le lit, mais finit par poser ses mains sur les épaules d’Hinata, et la repoussa.
« A... Attends... ! »
Que se passait-il donc? Elena se redressa en écartant Hinata, et s’extirpa du lit. Sachant très bien que son amante devait se poser des questions, Elena s’empressa de les balayer, tout en allant chercher un objet.
« Je... Il y a quelque chose que j’aimerais essayer avec toi, Hinata, maintenant que... Euh... Enfin, maintenant qu’on a fait ça, quoi... »
Elle ouvrit un tiroir, et en sortit une petite boîte noire, un délicat coffret, qu’elle posa sur le lit, puis alla ensuite récupérer une clef, dissimulée dans sa table de chevet, et rougit encore plus furieusement en l’approchant.
« Tu.. Tu ne te moques pas, hein ?! C’est... C’est Adamante qui me l’avait offert il y a quelques mois, quand... Hmmm... Bref... ! »
Les joues de la Reine devinrent encore plus cramoisies. Elle avait surpris une fois l’une des littératures érotiques d’Adamante, et il s’agissait d’une revue uatéenne, sur une femme hermaphrodite. Malheureusement, son amie de toujours l’avait vu, et lui avait ensuite fait ce « cadeau ». Elena déglutit encore, affreusement gênée, puis fourra finalement la clef dans la serrure, et respira profondément.
*Allez, plus question de faire marche arrière ! Vas-y !*
Elena enfonça donc la clef, la tourna, et leva l’objet... Puis le referma immédiatement.
« Dé... Désolée... ! »
La Reine soupira encore. Sous le coffret, il y avait un élégant coussin violet sur lequel Adamante avait déposé une culotte noire très particulière, puisqu’elle comprenait un gode, long et profilé, avec deux plugs internes. C’était un vibromasseur d’origine uatéen, très perfectionné, destiné à faire plaisir aux deux amantes en prodiguant des sensations exquises.
Mais, pour qu’elle le montre, il allait falloir l’inciter un peu...
« Hmmmm... Hi... Hinata, haaaa... Tu... Tu me fais tellement de... De biieenn, haaaa... ! »
Réussissant à parler, Elena papillonna des yeux à plusieurs reprises. Il était fascinant de la voir se dévergonder petit à petit, elle, la discrète et timide Reine. Est-ce que sa mère avait été comme ça ? Elena essayait de ne pas s’intéresser à ça, mais elle connaissait les rumeurs qui circulaient sur la vie sexuelle des Ivory. Elena savait par exemple que, depuis les quartiers royaux, un ancêtre avait jadis construit un harem secret, destiné à le soulager de ses pulsions insatisfaites par sa femme, une bigote que l’homme avait été forcé d’épouser pour apaiser les conflits entre la royauté et l’Ordre Immaculé. Mais, quant à Nöly, certains disaient que, si elle était amoureuse de Liam, il leur arrivait parfois d’inviter d’autres personnes dans leur couche. Elena n’avait jamais su si l’histoire était vraie, mais il était exact que beaucoup d’Ivory avaient été bien plus pervers que ce que l’histoire officielle en disait.
Elena allait-elle finir comme ça ? Mais en quoi était-ce mal de se faire du bien avec une amie ? Hinata était loin d’être une prostituée, c’était une amie d’enfance, une femme belle et agréable. La Reine ne se sentait nullement coupable de l’embrasser ainsi, ou de laisser la jeune femme explorer son intimité, jouer avec ses seins, ou même palper ses fesses... Bien au contraire, elle n’en ressentait qu’un immense plaisir, comme une vague grandissante, qui enflait progressivement en elle, menaçant de la submerger. Elle haletait, elle gémissait, soupirait de plaisir en se tortillant sur le lit, mais finit par poser ses mains sur les épaules d’Hinata, et la repoussa.
« A... Attends... ! »
Que se passait-il donc? Elena se redressa en écartant Hinata, et s’extirpa du lit. Sachant très bien que son amante devait se poser des questions, Elena s’empressa de les balayer, tout en allant chercher un objet.
« Je... Il y a quelque chose que j’aimerais essayer avec toi, Hinata, maintenant que... Euh... Enfin, maintenant qu’on a fait ça, quoi... »
Elle ouvrit un tiroir, et en sortit une petite boîte noire, un délicat coffret, qu’elle posa sur le lit, puis alla ensuite récupérer une clef, dissimulée dans sa table de chevet, et rougit encore plus furieusement en l’approchant.
« Tu.. Tu ne te moques pas, hein ?! C’est... C’est Adamante qui me l’avait offert il y a quelques mois, quand... Hmmm... Bref... ! »
Les joues de la Reine devinrent encore plus cramoisies. Elle avait surpris une fois l’une des littératures érotiques d’Adamante, et il s’agissait d’une revue uatéenne, sur une femme hermaphrodite. Malheureusement, son amie de toujours l’avait vu, et lui avait ensuite fait ce « cadeau ». Elena déglutit encore, affreusement gênée, puis fourra finalement la clef dans la serrure, et respira profondément.
*Allez, plus question de faire marche arrière ! Vas-y !*
Elena enfonça donc la clef, la tourna, et leva l’objet... Puis le referma immédiatement.
« Dé... Désolée... ! »
La Reine soupira encore. Sous le coffret, il y avait un élégant coussin violet sur lequel Adamante avait déposé une culotte noire très particulière, puisqu’elle comprenait un gode, long et profilé, avec deux plugs internes. C’était un vibromasseur d’origine uatéen, très perfectionné, destiné à faire plaisir aux deux amantes en prodiguant des sensations exquises.
Mais, pour qu’elle le montre, il allait falloir l’inciter un peu...