Re: The Stepford Wives [PV]
Posté : 18 août 2024 14:03
Bobbie avait pu consulter le dossier de la belle Zoey. Comme elle, elle était venue à Stepford snas trop savoir à quoi s’attendre. Un voyage temporaire, et, comme elle, elle avait subi les traitements des habitants de Stepford. Célibataire, elle avait été mariée de force à un homme de Stepford, sans tenir compte de ses orientations sexuelles profondes. Pour Bobbie, le modèle de Stepford n’était plus adapté au monde d’aujourd’hui, un monde où les relations sexuelles étaient plus librement admises entre personnes du même sexe. Zoey et Bobbie avait eu l’occasion de discuter de tout cela librement, et Bobbie n’avait jamais caché à Zoey être une Futanari. Si cela lui valait souvent des regards d’incompréhension ou de pitié de la part des autres femmes de Stepford, chez Zoey, ça n’avait pas été la même chose. Zoey n’était pas spécialement plus vieille qu’elle à Stepford, mais Bobbie, pour son projet révolutionnaire, ne souhaitait négliger aucune aide.
Zoey avait été capturée alors qu’elle se reposait au motel de Stepford, et, depuis lors, sa vie n’était plus du tout la même. Face à Bobbie, elle trembla nerveusement sur place, avant d’avouer son attirance pour elle. Bobbie esquissa un léger sourire, et se déplaça à son tour. Elle caressa le visage de Zoey, très doucement, et déplaça son autre main sur son tailleur, venant déboutonner lentement les boutons de celui-ci.
« Ma chérie… »
Un autre bouton se retira. Bobbie devait attendre jusqu’à 11 heures pour vraiment baiser Zoey, alors, en attendant, elles allaient juste passer aux préliminaires. Sous le tailleur, elle aperçut la chemise de Zoey, une belle chemise blanche, et devina son soutien-gorge noir et blanc dessous.
« Tu fais beaucoup de sport, Zoey… Quelque chose me dit que tu cherches à compenser quelque chose. Tu sais pourquoi les Futanaris existent à Stepford, hum ? Nous sommes là pour les femmes comme toi, celles qui accumulent, sans le savoir, un trop-plein de frustration auprès de leurs maris. Les hommes de Stepford n’ont pas été augmentés comme nous, ils ne peuvent pas comprendre le fonctionnement de nos corps. Coucher avec une femme, ce n’est pas comme coucher avec un autre homme, et toi, ma chère Zoey, tu es sexuellement frustrée, même si tu affirmes le contraire. »
Sa voix restait calme, posée, et elle fourra son pouce dans la bouche de Zoey, dessinant des cercles avec. Elle avait fait sauter tous les boutons, et, sans hésitation, caressa la jupe de Zoey, entre ses cuisses, et sentit cette dernière gémir encore.
« Je pense que c’est pour ça qu’on t’a mis avec moi. Ma chère Zoey, dès le premier jour, quand tu t’étais penchée pour récupérer un classeur en bombant ton cul, j’ai eu envie de te défoncer. Chaque jour qui passe, je rêve de te baiser sur mon bureau… Et c’est ce qu’on va faire aujourd’hui. Mais je suis une femme aimante, ma chérie, alors, j’ai proposé à ma femme de me rejoindre vers 11 heures. On te baisera ensemble, puis je vous baiserai sûrement toutes les deux cet après-midi… »
Au vu du conditionnement psychologique de Zoey, il allait falloir plusieurs heures, presque toute la journée, pour la briser, et ainsi l’amener dans la même situation que Joyce Mallone, à libérer tout son corps de cette frustration, à faire sauter le verrou de son esprit. Bobbie s’écarta alors, et commença par fermer la porte de son bureau à clef. Joyce avait un double, et Bobbie n’avait pas envie qu’on la dérange.
Bobbie se déplaça encore, et ouvrit un tiroir, où elle sortit un carton comprenant quelques affaires, et se changea sous les yeux de Zoey. Elle retira son propre tailleur, révélant, dessous, un superbe corset avec un string noir. Un trou se situait au milieu du string, laissant passer la puissante verge de Bobbie. Enfin, sous son pantalon, Bobbie avait de magnifiques collants. Elle se redressa donc, après avoir enfilé une longue paire de gants noirs, et tenait une cravache à la main.
« Mon objectif est de te dresser convenablement jusqu’à ce que ma femme arrive, ma chérie. Alors, agenouille-toi, et montre-moi combien tu as envie que je sois ta Maîtresse en m’embrassant le pied, et en jurant d’être ma belle petite chienne… »
Le ton montait subitement, mais la frustration sexuelle des femmes de Stepford était telle qu’elles pouvaient vite laisser s’exprimer une profonde perversion…
Zoey avait été capturée alors qu’elle se reposait au motel de Stepford, et, depuis lors, sa vie n’était plus du tout la même. Face à Bobbie, elle trembla nerveusement sur place, avant d’avouer son attirance pour elle. Bobbie esquissa un léger sourire, et se déplaça à son tour. Elle caressa le visage de Zoey, très doucement, et déplaça son autre main sur son tailleur, venant déboutonner lentement les boutons de celui-ci.
« Ma chérie… »
Un autre bouton se retira. Bobbie devait attendre jusqu’à 11 heures pour vraiment baiser Zoey, alors, en attendant, elles allaient juste passer aux préliminaires. Sous le tailleur, elle aperçut la chemise de Zoey, une belle chemise blanche, et devina son soutien-gorge noir et blanc dessous.
« Tu fais beaucoup de sport, Zoey… Quelque chose me dit que tu cherches à compenser quelque chose. Tu sais pourquoi les Futanaris existent à Stepford, hum ? Nous sommes là pour les femmes comme toi, celles qui accumulent, sans le savoir, un trop-plein de frustration auprès de leurs maris. Les hommes de Stepford n’ont pas été augmentés comme nous, ils ne peuvent pas comprendre le fonctionnement de nos corps. Coucher avec une femme, ce n’est pas comme coucher avec un autre homme, et toi, ma chère Zoey, tu es sexuellement frustrée, même si tu affirmes le contraire. »
Sa voix restait calme, posée, et elle fourra son pouce dans la bouche de Zoey, dessinant des cercles avec. Elle avait fait sauter tous les boutons, et, sans hésitation, caressa la jupe de Zoey, entre ses cuisses, et sentit cette dernière gémir encore.
« Je pense que c’est pour ça qu’on t’a mis avec moi. Ma chère Zoey, dès le premier jour, quand tu t’étais penchée pour récupérer un classeur en bombant ton cul, j’ai eu envie de te défoncer. Chaque jour qui passe, je rêve de te baiser sur mon bureau… Et c’est ce qu’on va faire aujourd’hui. Mais je suis une femme aimante, ma chérie, alors, j’ai proposé à ma femme de me rejoindre vers 11 heures. On te baisera ensemble, puis je vous baiserai sûrement toutes les deux cet après-midi… »
Au vu du conditionnement psychologique de Zoey, il allait falloir plusieurs heures, presque toute la journée, pour la briser, et ainsi l’amener dans la même situation que Joyce Mallone, à libérer tout son corps de cette frustration, à faire sauter le verrou de son esprit. Bobbie s’écarta alors, et commença par fermer la porte de son bureau à clef. Joyce avait un double, et Bobbie n’avait pas envie qu’on la dérange.
Bobbie se déplaça encore, et ouvrit un tiroir, où elle sortit un carton comprenant quelques affaires, et se changea sous les yeux de Zoey. Elle retira son propre tailleur, révélant, dessous, un superbe corset avec un string noir. Un trou se situait au milieu du string, laissant passer la puissante verge de Bobbie. Enfin, sous son pantalon, Bobbie avait de magnifiques collants. Elle se redressa donc, après avoir enfilé une longue paire de gants noirs, et tenait une cravache à la main.
« Mon objectif est de te dresser convenablement jusqu’à ce que ma femme arrive, ma chérie. Alors, agenouille-toi, et montre-moi combien tu as envie que je sois ta Maîtresse en m’embrassant le pied, et en jurant d’être ma belle petite chienne… »
Le ton montait subitement, mais la frustration sexuelle des femmes de Stepford était telle qu’elles pouvaient vite laisser s’exprimer une profonde perversion…